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ATELIERS DE PROJETS PAYSAGES ET TERRITOIRES
Relief : du tactile au ductile (2020)

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Ce premier projet réalisé dans le cadre des études a été l’occasion de s’approprier le sujet de la topographie, indispensable préalable à tout projet futur.
À partir d’une accumulation d’élements, il a fallu trouver une technique pour en relever le relief, en traduire les courbes de niveau pour ensuite réaliser une maquette tramée.
Cette compréhension de l’espace par la genèse d’un paysage imaginaire issu d’une réalité d’objets a été source d’inspiration de le voir habité et prendre vie. C’est par le vautour que j’ai voulu l’exprimer au milieu de ces canyons et dans son quotidien.
et circonvolution

Un lieu dans la ville : Amarrage du port urbain (2021) (co-réalisé avec Amaury Durand) mise en avant des espaces de circulation, Versailles (78) perception de l’environnement sonore perception de la luminosité
Première expérience de projet in situ, le choix s’est porté sur le jardin de la mairie de Versailles et ses abords. Le site, véritable promontoire, est marqué par la diversité de son environnement urbain: du côté calme de la zone d’habitation à la partie animée de l’avenue principale ; de la rondeur des coteaux de Versailles et cette ouverture vers l’horizon à la rigidité de l’architecture qui par endroit arrête le regard. La captation des effets sonores rend le site plus animé qu’il n’y paraît. De par son orientation, il se dévoile à nous, relevant les secrets de certains endroits et dissimulant d’autres facettes. Chaque visite reste une découverte.
Le site offre ainsi un caractère dual, que cela soit par sa situation géographique par rapport à la ville, de son utilisation par rapport à l’environnement proche.



Le projet s’est traduit par la reconnection du jardin avec la gare RER et ses abords tout en assurant une liaison avec les quartiers en surplomb. Tel un navire amiral amarré, il est force d’attraction transformant les abords à des allures de quais, attisant la curiosité pour découvrir plus avant le dédale de rues plus en amont.




A B B’ A’ B B’ 0 0 50 5 m m un pivot reconnectant deux quartiers initialement décorrélés par leur topographie


Conduire le vivant: le droit à l’erreur (2021) (co-réalisé avec Sarah Bronsard, Céline Lallau et Damien Nouguès)
Cet atelier nous a amené à envisager un réaménagement d’une clairière au sein des coteaux de Versailles et son évolution au cours des 20 prochaines années. Il s’est déroulé en deux temps, le premier en groupe pour une étude d’une portion de la clairière ainsi que la réalisation des travaux de réalisation du projet. Le deuxième temps s’est effectué en individuel prenant en compte l’entièreté du site.


Notre choix s’est porté sur une portion escarpée dominant la ville. Nous avons souhaité tirer avantage du site par une mise en valeur des vues par des découvertes successives suivant la densité arborée ainsi que la création d’un sentier tout en assurant la régénération des arbres et leur protection.
Le rebond : sac et ressac (2021) dynamique forestière : densification des lisières et renouvellement forestier après travaux de et éclaircissement du
Dans le projet global de rebond, j’ai pris en considération les dynamiques forestières dans une volonté de séparation des flux entre promeneurs et autres utilisateurs du site, tout en maintenant les qualités que nous avions définies lors du projet de groupe.


De nouvelles lisières sont formées, le couvert végétal est maintenu par des coupes de taillis sous futaie, tout en préservant l’intimité du lieu.









