Entre le capitalisme, les conflits démesurés, et la mondialisation, le patrimoine urbain et architectural à Beyrouth ne peut être protégé. À travers les activités d'entreprise comme Solidere, ou d'autres initiatives privées visant à construire des hôtels de luxe, des centres commerciaux ou des parcs résidentiels dans le but de reconstruire Beyrouth suite à la guerre civile, Beyrouth emprunte désormais la voie de gigantisme et d’excentricité. C'est la dubaisation de Beyrouth.
SOUAID PHILIPPE
ECOLE NATIONALE SUPERIEURE D'ARCHITECTURE DE PARIS MALAQUAIS