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P 04 Quand Bernard Arnault fait du cinéma malgré lui
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P 08 Quand des Grenoblois font du hip hop
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P 12
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Quand deux artistes se font directeurs
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DR
Faut-il se réjouir de la relaxe du rappeur Orelsan, jugé pour incitation à la violence envers les femmes suite à la plainte de cinq associations ? Oui. Bien sûr, il ne s’agit pas de délégitimer le combat hautement capital contre les violences faites aux femmes ; ni de louer les mérites littéraires d’Orelsan (son « Renseigne-toi sur les pansements et les poussettes / Je peux faire un enfant et te casser le nez sur un coup de tête » pique fortement les yeux) ; ni de s’extasier devant les conclusions assez réductrices du jugement (le rap serait « par nature un mode d’expression brutal, provocateur, vulgaire, voire violent puisqu’il se veut le reflet d’une génération désabusée et révoltée ») ; mais de constater que la cour d’appel de Versailles a tranché au nom de la liberté de création. « Il y a effectivement des gros beaufs dans le rap, mais il est clair qu'Orelsan n'est pas à prendre au sérieux quand il tient ce genre de propos. Il raconte des personnages » explique à francetvinfo.fr Mehdi Maizi, auteur de Rap français, une exploration en 100 albums, bouquin dont on avait vanté les mérites en décembre. Ici, on est donc du côté de l'expression artistique (sans jugement sur la qualité de cet art), et non du côté du discours politique – même si les deux notions se rejoignent lorsque le propos est pertinent. La nuance a son importance, ce que certains ne semblent pas comprendre en associant par exemple le nom d’Orelsan à ceux de Dieudonné et d’Hitler, comme l’a fait dans Libé la sociologue Nathalie Heinich en regrettant que la cour n’est pas censuré les propos du premier. Une position tout autant réductrice que les provocations limites d’un rappeur auquel on prête tout de même une trop grande attention. AURÉLIEN MARTINEZ
ATELIER OCTOBRE / 2011
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