étudiant 30 mai 2019 Volume 2 Numéro 8
La voix des étudiants francophones d’Orléans
Prochaine édition 17 octobre
Un budget limité pour les victimes des inondations
de Clarence-Rockland. PHOTO : JACOB HOTTE
COR-18-075
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30 mai, 2019 • Volume 2, Numéro 8 • A1
Le dimanche soir, 12 mai, le niveau de l’eau était encore élevé dans les environs
Jacob Hotte, 9e année École catholique Garneau Depuis la fin mars jusqu’à tout récemment, les inondations dans la région n’ont cessé d’augmenter. De plus, le budget a été coupé par le gouvernement provincial, laissant les bénévoles et les victimes de ces désastres naturels en difficulté financière. Après le commencement des inondations, celles-ci ont gravement empiré depuis le jeudi 9 mai et le vendredi 10 mai 2019 à cause de précipitations terribles qui ont frappé la région. Les désastres naturels sont devenus de plus en plus graves depuis leurs débuts. Les inondations ont même réussi à causer la mort d’une femme, au Québec. Cette tragédie prouve que les inondations printanières sont à prendre au sérieux et que celles-ci peuvent coûter cher financièrement. Cependant, le budget offert aux sinistrés a été réduit de 50 % par le gouvernement provincial. Depuis cette révélation, plusieurs personnes ont utilisé les réseaux sociaux pour exprimer leur opinion. Plusieurs personnes ont été en désaccord avec le choix du parti progressiste-conservateur ontarien. Beaucoup de personnes doutent de cette décision vu que les inondations ne font qu’empirer et que ce temps-ci est le pire temps pour couper le budget pour ces désastres. Cependant, en entrevue, Doug Ford affirme que cette situation lui « brise le cœur » et que les résidents de la partie inondée ne devraient pas subir ça à chaque année. Apparemment, les coupures ont été faites pour aider aux différents projets que Ford aimerait réaliser, même si les communautés des régions inondées ont besoin de plus de ressources possibles en ce moment, surtout à cause du réchauffement climatique qui ne fait qu’empirer les inondations, année après année. En somme, les inondations n’apportent pas de bonnes nouvelles aux finances de la province, surtout que celles-ci sont déjà limitées. La population d’Ottawa et des régions qui subit ces désastres naturels devra faire face à ceux-ci et tenir la tête haute, dû au fait que les inondations n’ont pas fini d’empirer et que le temps et le coût de récupération seront aussi exigeants,