4 mars 2021, Volume 5 Numéro 3
La voix francophone d’Orléans
PAGE 3 COVID-19 : Quel impact sur les relations de couple
PAGE 5 La SFOPHO présente : La petite histoire du parc Georges-Dassylva
Prochaine édition 1er avril
PAGE 7 Nouveau projet de conversations intergénérationnelles
Pour la semaine de relâche, il faudra attendre Rebecca Kwan Initiative de journalisme local - APF - Ontario
Céleste Lévis (en haut à gauche), Marie-Clo (en haut à droite) et Moonfruits font partie des seize artistes franco-ontariens qui donneront une série de concerts virtuels sur rogerstv.com tous les vendredis soirs à partir du 12 mars. PHOTOS FICHIERS
Les élèves et les membres du personnel éducatif devront prendre leur mal en patience : c’est du 12 au 16 avril 2021 qu’ils pourront profiter de la traditionnelle semaine de relâche cette année. Le gouvernement ontarien en a fait l’annonce plus tôt en février, question de décourager les vacanciers de se déplacer à l’intérieur de la province alors que les taux d’infection demeurent élevés. Déception et compréhension sont au rendez-vous. « Je suis déçu de cette décision, même si je suis heureux que la pause n’ait pas été complètement annulée », partage le député provincial libéral d’Orléans, Stephen Blais. « Je pense que nous devons trouver un équilibre. Il est plus important que jamais que les élèves soient en classe pour apprendre et pour développer leurs compétences sociales, poursuit le politicien. Cela ne peut pas se faire au détriment des enseignants et du personnel éducatif qui ont travaillé sans relâche ces derniers mois pour
assurer un retour en classe en toute sécurité et qui méritent une pause. » À son avis, un épuisement chez le personnel enseignant, chez les familles, mais surtout, chez les étudiants, inquiète. « Cette année a été incroyablement difficile pour eux, reconnaîtil. Bien que nous devons attendre un peu plus longtemps pour la pause de cette année, je continuerai à insister auprès des résidents d’Orléans pour qu’ils priorisent leur santé physique et mentale. » Le représentant d’Orléans à Queen’s Park s’engage d’autant plus à continuer à militer pour limiter la taille des classes à 15 élèves, toujours dans le but de permettre une distanciation physique adéquate et sécuritaire dans les salles de classe. Quant à lui, le Conseil des écoles catholiques du Centre-Est (CECCE) dit comprendre les enjeux de santé publique ayant motivé cette annonce et respecter la décision du ministère de l’Éducation de l’Ontario.
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