11 novembre 2021, Volume 5 Numéro 12
La voix francophone d’Orléans depuis 2017
PAGE 3 Campagne de financement pour le Carrefour santé
PAGE 5 La petite histoire du parc Royal 22e Régiment
Prochaine édition 9 décembre
PAGE 7 Jour du Souvenir : Aller au front du choc post-traumatique
Une semaine pour lutter contre l’intimidation
Après une pause forcée d’un an en raison de la pandémie, la cérémonie annuelle du jour du Souvenir sera de retour à la Légion d’Orléans cette année. PHOTO FICHIER
Rebecca Kwan IJL – Réseau.Presse – L’Orléanais La semaine du 15 novembre marque la « semaine de la sensibilisation à l’intimidation et de la prévention », communément surnommée la « semaine du respect » au sein des écoles du Conseil des écoles catholiques du Centre-Est (CECCE). À l’ère où les cours en ligne font désormais partie du quotidien, le Conseil doit mettre les bouchées doubles pour contrer, sinon minimiser, les cas d’intimidation et de cyberintimidation dans leurs écoles. L’intimidation, le taxage et la cyberintimidation sont des phénomènes auxquels n’échappent pas les écoles du CECCE. Toutefois, le fléau qui autrefois était menable dans les salles de classe revêt un nouveau visage en cette période pandémique. C’est ce qu’explique France Goulard, surintendante de l’éducation au CECCE.
« Depuis le début de la pandémie, il y a une hausse dans l’utilisation des médias sociaux et de la technologie. C’est sûr et certain que ça donne plus accès aux élèves d’essayer de faire de la cyberintimidation », remarque-t-elle. Mme Goulard ne manque toutefois pas de dépeindre l’envers de la médaille. « En présentiel, les cas d’intimidation ont diminué comme les contacts entre élèves sont plus restreints, les pauses et les dîners sont beaucoup plus contrôlés qu’auparavant », explique la surintendante. « Mais quand les cours sont en mode virtuel, il y a plus d’occasions où des cas de cyberintimidation peuvent survenir », constate-t-elle. « Beaucoup plus de cas d’intimidation sur les réseaux sociaux nous sont rapportés qu’autrefois », recense pour sa part Jean Cloutier, directeur au service de soutien à l’apprentissage au CECCE. « C’est contraire
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