étudiant 3 mars 2022, Volume 4 Numéro 5
La voix des étudiants francophones d’Orléans
Prochaine édition : 31 mars
Un mystère en Égypte
Élèves cris au pensionnat de La Tuque près de TroisRivières vers 1962. Lire l’article en page A3. PHOTO : FICHIER
Amélie Piché, 6e année Kady-Anne Noël Traoré, 6e année École élémentaire publique L’Odyssée Révisé par Mme Eryka St-Amand Un dimanche matin, Sébastien marchait à l’aéroport en tenant un gros sac noir en cuir. Arrivé à l’aéroport, il se dirigea immédiatement vers le comptoir afin de procéder à son enregistrement. Il fit vérifier son passeport et ses bagages. Le tout se déroula assez rapidement. Après quelques heures à attendre seul et en feuilletant les pages de son livre sur l’Égypte, il se rendit compte qu’il faisait maintenant nuit. Quand il entra dans l’avion, il constata qu’il y avait peu de gens dans l’engin volant. Il s’installa confortablement dans son siège. Quelques minutes après le décollage, l’hôtesse de l’air circula entre les rangées de sièges afin de servir le repas. L’odeur nauséabonde lui coupa complètement l’appétit. Arrivé à son tour, Sébastien dut choisir entre la soupe du jour ou la salade du chef. Son choix était simple, il prit la salade puisqu’il déteste les soupes en général… Il regretta sur le champ sa décision puisque son plateau contenait une vieille salade avec un pain aux champignons
et comme breuvage, de l’eau qu’il croyait être non potable. Le dessert n’était pas très encourageant, il s’agissait d’un pudding glacé incomestible. Affamé et sans aucune autre option, Sébastien se pinça le nez et mangea en quelques bouchées seulement tout son repas sans se plaindre. Une aventure l’attendait et il se dit qu’il ferait mieux de ne pas la vivre le ventre vide. À l’atterrissage, Sébastien avait extrêmement chaud. La sueur coulait sur son front, son cou et même ses genoux. Ce long voyage en avion l’avait enfin mené en Égypte, terre des pyramides et des mystères. Sans plus attendre, il s’empara de sa valise et fit appeler un taxi pour se rendre à son hôtel. Une fois arrivé, il alla chercher les clés de sa chambre avec en tête une seule intention, celle de poser sa tête sur l’oreiller jusqu’au souper. La fatigue était si grande qu’elle l’empêchait d’aller faire un tour des lieux. Plus tard, Sébastien se réveilla, car les gargouillements de son ventre l’empêchaient de poursuivre sa sieste. Il décida donc de descendre au restaurant de l’hôtel pour y
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