9 novembre 2017 Volume 1 Numéro 12
La voix francophone d’Orléans
PAGE 4-5 Les pages spéciales pour « Le jour du Souvenir »
11 novembre 2020, Volume 3 Numéro 2
PAGE 7 La SFOPHO présente « La petite histoire de la rue Notre-Dame»
étudiant
La voix des étudiants francophones d’Orléans
Prochaine édition 7 décembre
PAGE 9-12 Présentation de la première édition de « L’Orléanais étudiant »
Prochaine édition 10 décembre
La en pleine Enserre souvenir de pandémie ceux et celles
élèves des clubs enviro des paliers intermédiaire Maissa Zemni, 9e année et secondaire venaient donner un coup de main École secondaire Gisèle-Lalonde Depuis quelque temps, nous entendons essentiel à la serre, en plus des élèves qui, par parler de la COVID-19 à la radio, à la télé, intérêt, contribuaient aux projets », dit Mme au point d’en devenir le sujet le plus abordé Bengle. Malgré ces circonstances particulières, des au monde. Dès mars 2020, nous avons appris à nous adapter, à travailler de la maison, à élèves sont venus planter des semences. « La vers pour combattre n’étaient pas Jean-Marc Pacelli n’estl’Europe pas uniquement pour la production rester actifs à la maison ainsi qu’à prendre soin serre légion.Elle sert aussi aux classes de sciences de notre santé. Cependant, plusieurs activités de plantes. L’Orléanais visiterdes pourrares examiner “en vrai” ont Plusieurs été annulées, commeperçoivent des voyages et des qui viennent Parmilal’une exceptions locales historiens la Première les énergies vertes qui y sont installées, comme projets. Guerre mondiale comme un tournant dans d’hommes prêts à aller au front lors de la panneauunsolaire À l’École secondaire publique Gisèle-surle système Premièregéothermique, Guerre se le trouvait dénommé l’histoire du Canada et de sa présence Lalonde, les cours se sont poursuivis en ligne. au glycol, les barils d’eau de couleur noire qui Odilon Tétreau. la scène internationale. Cet héritage a été Cependant, tous les projets ne peuvent pas absorbent la chaleur du soleil pendant la journée Né le 17 mars 1882 à Montebello, au Québâti à même la sueur et le sang déversés sur passer en mode virtuel. C’est le cas de ceux qui et qui irradient cette chaleur pendant la nuit », bec, très Bengle. peu de renseignements sont connus les champs de bataille européens et qui ont ont lieu dans notre serre, la Serre Karyne, qui se affirme Mme au sujet cet homme. Impossible, donc, de laissé,à pour l’époque, une quantité desert, morts Pour les de activités, il a fallu s’adapter aux trouve l’entrée de l’école. Cette dernière savoirsanitaires. ce qui leUne poussa 15 jour marspeut 1916, à et deautres, blessés sans précédent. classelepar entre à récupérer l’eau de pluie ainsi qu’à mesures la serre, son système de ventilation,à soufaireSipousser des fruits et desles légumes. deux joursgrâce de àson 34e anniversaire, certains ont pris armesPendant de leurvisiter est adéquat et fort pratique! la pandémie, cette serre dû la respecter certaines mettre sa candidature auprès du 224e Batailplein gré autant lors ade Première que dece qui Aussi, il y a toujours le jardin de la serre qui précautions. la Seconde Guerre, d’autres y ont été con- lon canadien de foresterie. À titre d’adaptations, il faut Madame Élisabeth Bengle, qui est la peut être Desutilisé. registres nous informent qu’il était traints par l’entremise de la conscription, un technicienne de la serre, n’a pas eu la tâche régulièrement aérer, ouvrir les portes et bien sûr enrôlement obligatoire controversé que des catholique et, à l’époque de la guerre, un facile, vu le manque de bénévoles. « En effet, s’assurer de désinfecter. « bushman » célibataire. est donc Canadiens français ontclub toujours cœur Ce mode de production adapté Il démontre que,possipandémie oblige, aucun n’a pu sur être le créé. ble d’en déduire que Tétreau travaillait un siècle plus tard. Cette réalité a représenté un grand défi comme, malgré la pandémie, on peut toujours atteindre dans du boisn’arrête d’œuvre, uncuriosité, domaine qui cet égard, ce laqui était de alors le àvil-ses l’industrie buts. « La pandémie pas la par À exemple, débuter centaine semis prospérait autantetdans l’ouest du de découvrir la créativité des Québec élèves que lage d’Orléans pas préparer exception aux au-le goût la fin du mois de ne marsfitpour la saison enseignant(e)s », rappelle Mme Bengle. estivale dans les jardins. Avant la dans l’est de l’Ontario. tres communautés ailleurs enpandémie, Ontario les et auet des
qui ont servi
Le jour du Souvenir, nous rendons hommage aux milliers de jeunes La stèle funéraire du Cpl Raymond Joseph Leduc d’Orléans se hommes et femmes qui ont payé le prix ultime pour la défense de la trouve dans le cimetière de Schoonselhof, à Anvers ( Antwerp ) en liberté. PHOTO FICHIER Belgique.. PHOTO ILLUSTRATION : FRED SHERWIN
Canada. Les hommes en âge de s’envoler
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Il ne faut pas oublier.