PAYSAGE
Nina BUREL - Portfolio de l’existant sous la direction de Lila BONNEAU et Donato SEVERO juillet 2022 - ENSAPVS
FABRIQUER DES LIENS
Portfolio de l’existant juillet 2022
École Nationale d’Architecture de Paris Val-de-Seine
DE 6 : Transformations, temporalités de l’existant et patrimoines Trans/former l’existant
Sous la direction de Lila BONNEAU et Donato SEVERO
Nina BUREL
Région - Ile-de-France
Département - Val-de-Marne Ville - Gentilly
Entrée des garçons - 140 rue Gabriel Péri
Entrée des filles - 25 rue Jean Louis
Altitude - 64 mètres
Superficie totale - 12 260 m2
Superficie intérieure - 5 700 m2
Superficie extérieure - 6 560 m2
L’édifice apparait dans le paysage urbain, son horizontalité atténue sa présence.
2_ La hauteur, de seulement deux niveaux, du groupe scolaire Pierre Curie lui permet de se fondre derrière les pavillons de la rue du Bel Ecru.
pavillons
tissu
l’ancien
dans le
des passants.
4_ Le temps et la pollution ont marqué la matérialité de l’enveloppe de l’édifice, le distinguant des pavillons mitoyens.
dessine
6_ Le bâtiment s’articule autour de deux grands vides, celui des anciennes cours de récréation; une première haute et au loin une basse qui se devine par la couronne de ses arbres.
7_ La façade de l’édifice bas agit fond de scène. Il laisse présager qu’une transparence de l’édifice offrirait de larges vues sur le reste de la Vallée de la Bièvre. Pour le moment, le mur de refend des cours opacifie les vues.
mur de soutènement opacifiant les vues sur le reste du bâti.
9_ La façade tramée en béton armée alterne de grands vides avec les pleins. Par la transparence des vides, nous pourrions deviner les pavillons du tissu urbain de Gentilly, à travers certains vitrages.
dans le vitrage offrent une relation
avec la cour et l’environnement urbain.
Les salles de classes exposées plein sud sont baignées de lumière, les salles s’ouvrent sur les cours
13_ L’intérieur du bâtiment offre un rapport direct et quasi constant avec l’environnement urbain.
vers le fond de la parcelle bâtie depuis la cour arrière du bâtiment, actuellement utilisée comme une cour de service/ zone de stationnement
Le parcours vertical s’opère par de généreuses circulations baignées de lumière zénithale.
16_ Le parcours spatial au sein de l’édifice alterne espaces comprimés et dilatés, sur la photo, le gymnase de la partie des fille.
Les grands vitrages s’ouvrent sur la cour basse végétalisée. Les reflets laissent deviner un édifice traversant faisant pénétrer la lumière.
végétation envahie la
basse.
La végétation s’est installée progressivement dans la cour basse.
21_ Le sol abîmé des cours laisse deviner une succession de couches s’étant superposées dans le temps. Dans les interstices la nature prend place.
22_ Les racines des arbres ont progressivement déformé le sol minéral de la cour basse.
les reflets qu’elles génèrent, les grandes surfaces vitrées offrent un rapport au ciel dans la cour basse pourtant très abritée par la couronne des arbres.
24_ A l’intérieur du gymnase, jeux de reflets, relation continue avec les cours.