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Auf der Suche nach neuen Tierarten!

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Klimapakt Audits

Klimapakt Audits

À la recherche de nouvelles espèces animales

In einer versteinerten Tonknolle ist ein «Brachiopoden (Armfüßer) » zu erkennen. Auch ein Teil des Kopfs eines Trilobiten ist zu erkennen, ob es der gesuchte Spiniscrabella luxembourgensis ist?

DE • Dass die Fauna des Naturparks Öewersauer faszinierend ist, steht außer Frage. Auf einer Grabung des Naturhistorischen Museums konnten sich internationale Experten überzeugen, dass dies schon im frühen Devon vor ca. 407,6 Mio. Jahren so war. Nach einer Begehung mit Ben Thuy, Kurator für Paläontologie, und Dr. Christian Franke, wissenschaftlicher Mitarbeiter des Museums und Entdecker der für das Devon „aktuell vielversprechendsten Fundstellen“, konnten vom Naturpark die nötigen Abstimmungen mit Verwaltungen, Besitzer und Bewirtschafter gemacht werden. Der Bagger rückte an: Der Wellenschlag des Urzeitlichen Meeres hüllte abgestorbene Brachiopoden (muschelähnliche Armfüßer), Seelilien und Trilobiten (Urzeitkrebse) in Tonknollen ein, in denen die Tiere dann versteinerten. Diese Schichten galt es nun zu finden. Mehrere Kisten dieser „Knollen“ konnten geborgen werden. In den nächsten Monaten werden diese analysiert und gefundene Fossilien können herausgearbeitet werden. Der Erkenntnisgewinn, wie das Leben in den damaligen Küstenregionen des Naturparks aussah, ist sicher, ob aber durch die Grabung eventuell auch neue Tierarten im Naturpark beschrieben werden können, bleibt abzuwarten …

Dans un nodule d’argile fossilisé, il est possible d’identifier un brachiopode. L’on reconnaît également une partie de la tête d’un trilobite. S’agit-il du Spiniscrabella luxembourgensis recherché ?

FR • Il ne fait aucun doute que la faune du Parc naturel de la Haute-Sûre est fascinante. Des experts internationaux ont pu constater que c’était déjà le cas au Dévonien inférieur, il y a environ 407,6 millions d’années, lors de fouilles effectuées par le Musée national d’histoire naturelle. Après une visite en compagnie de Ben Thuy, conservateur de la section Paléontologie, et du Dr Christian Franke, collaborateur scientifique du musée, qui a découvert l’un des sites du Dévonien « les plus prometteurs actuellement », le parc naturel a pu mener les concertations nécessaires avec les administrations, les propriétaires et les exploitants. Ensuite, un excavateur est entré en action : Le battement des vagues de la mer primitive a enveloppé des brachiopodes, des crinoïdes et des trilobites (crustacés primitifs) morts dans des nodules d’argile, dans lesquels les animaux se sont ensuite fossilisés. Il s’agissait donc de trouver ces couches, et plusieurs caisses de ces nodules ont pu être récupérées. Au cours des prochains mois, ils seront analysés et les fossiles trouvés pourront être identifiés. Le gain de connaissances sur ce qu’était la vie dans les régions côtières du parc naturel de l’époque est déjà certain, mais il reste à voir si les fouilles vont permettre de décrire de nouvelles espèces animales dans le parc naturel ...

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