en bref
2500 Les tonnes de déchets qui ont été récoltées par inBW suite aux inondations de cet été en Brabant wallon. Ces déchets ont pour la plupart été triés dans les filières de recyclage. Le reste a été broyé à Mont-Saint-Guibert puis incinéré à Virginal.
Un corridor cyclable le long de la E411
© Assymetrie
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220 appartements en plus à Court-Village Elle s’est longuement fait attendre, le temps que la commune gère l’imbroglio juridique dans lequel elle était empêtrée. Equilis vient d’introduire la demande de permis d’urbanisme pour la phase 2 de Court-Village, à Court-Saint-Étienne. Et ce, auprès des services de la fonctionnaire déléguée. Elle concerne la construction de 220 logements, qui seront érigés dans le sillage des bâtiments actuels, vers Ottignies. Ils s’ajouteront aux 152 logements déjà vendus et aux 8 000 m² de commerces et services. Altiplan et ABR, déjà à l’œuvre pour la première phase, sont également les architectes de la seconde phase.
Demi-tour pour la navette autonome La navette autonome qui circulait dans les rues de Louvain-la-Neuve est rentrée au garage. Définitivement ? Nul ne la sait. Mais l’expérience qui s’est déroulée du 8 mars au 31 août demande de nouvelles études avant d’être poursuivie. L’idée du TEC est d’en faire un service de mobilité complémentaire pour le dernier kilomètre à parcourir lors d’un trajet.
En Brabant wallon, j’ai toujours eu l’impression que les mesures n’étaient pas assez ambitieuses en matière de gestion de l’eau. L’urbanisation a été privilégiée pendant longtemps. Jean-Luc Biermez, responsable du service des cours d’eau non navigables en Brabant wallon, SPW
L’idée est de relier Louvain-la-Neuve à Bruxelles. Une voie rapide, sorte de corridor cyclable, qui longera l’autoroute E411. Un projet qui sera à construire entièrement. Et qui exigera quelques aménagements importants : quatre passerelles, notamment une qui devra enjamber la vallée de la Dyle, et deux tunnels seront installés pour permettre aux cyclistes de franchir divers échangeurs sans bloquer la circulation automobile. L’idée du ministre wallon de la Mobilité Philippe Henry est de lancer les travaux en 2022 pour une mise en circulation en 2024. Un timing qui sera toutefois tributaire de l’obtention des permis de bâtir. La « véloroute » wallonne rejoindra le réseau cyclable flamand à hauteur de Rosières.