GINETTE NY

Un prénom français chargé d’histoire associé à la dynamique infinie de la ville de New York, parfaite définition de la marque GINETTE NY, entre passé et présent, entre France et Etats Unis.

Née à Marseille, Frédérique Dessemond, créatrice de la marque GINETTE NY, grandit dans un univers propice à la création, la Cité Radieuse, complexe dessiné par Le Corbusier, célèbre architecte connu pour son minimalisme et son goût des lignes géométriques pures. Après ses études d’histoire de l’art à la Sorbonne, elle rejoint New York en 1999 et dès 2002 va y écrire l’histoire singulière de GINETTE NY. Une marque dédiée aux femmes de caractère, conscientes de leur singularité et de leur pouvoir. À l’origine du concept de joaillerie contemporaine, GINETTE NY a pour ambition d’offrir aux femmes un luxe quotidien, un bijou de peau en or moderne et intemporel.

Matériaux purs et pierres naturelles, inspiration design et architecturale, luxe de la simplicité, épure des formes, les collections sont le reflet d’une expression artistique singulière.

Une inspiration new vintage, une expérience sensuelle, un lifestyle N.Y.C.-Paris. GINETTENY, l’invention d’une sensation entre le bijou et la peau: une extension du Soi qui reflète la personnalité de chacune. Un ADN unique dans l’univers de la joaillerie contemporaine.

Comme un oasis de charme au cœur des vignes : La Plage est une invitation à l’évasion, à la détente et à la relaxation…à 10 minutes seulement du centre-ville, dans un cadre unique, vous toucherez au plaisir du farniente sous le soleil, entouré de parfums méditerranéens, un véritable voyage en immersion en pleine nature. La piscine à débordement de plus de 21 mètres surplombe le vignoble, bordée de sunbeds et transats, vous offre le confort semblable aux plus belles plages. Au bout des allées de cépages, la brasserie chic propose une cuisine aux accents du Sud, raffinée, fraîche et savoureuse. Notre chef travaille les produits de saison et de la région pour vous offrir un pur moment de plaisir. Les pieds dans le sable, installés dans un de nos confortables sunbeds ou tout simplement au bar… dégustez les meilleurs champagnes, des cocktails signature, envoutés par une programmation musicale pointue et accompagnés de délicieux grignotages…Une équipe complètement dédiée pour vous satisfaire et vous faire vivre l’exceptionnel.

-ORA / AURELIA FRANTZ QUINTESSENCE AGENCY ©

INSTALLÉE AU SEIN DE L’HÔTEL RICHER DE BELLEVAL, LA FONDATION GGL HELENIS ENCOURAGE AVEC FERVEUR LE DIALOGUE ENTRE ART ET PATRIMOINE. COMME POUR LAISSER UNE TRACE, UNE EMPREINTE PÉRENNE AU MONDE DE DEMAIN, SES ŒUVRES MONUMENTALES ONT INVESTI LES LIEUX.

Depuis de nombreuses années, la société HELENIS, filiale du groupe GGL, soutient activement l’art contemporain dans le but de valoriser la création artistique dans la région. Depuis 2008, une quarantaine d’œuvres ont été intégrées par le promoteur au sein de ses réalisations. Avec le projet de restauration de l’Hôtel Richer de Belleval, orchestré par l’atelier d’architecture Philippe Prost grâce à l’action du groupe GGL

www.fondationhelenis-ggl.com

et de sa filiale, la création d’une fondation prend désormais tout son sens. L’hôtel particulier renaît de ses cendres pour accueillir un hôtel Relais & Châteaux, le restaurant des chefs étoilés Jacques et Laurent Pourcel et plusieurs œuvres magistrales. Numa Hambursin, directeur artistique, s’est attaché à faire dialoguer l’héritage historique du lieu et l’art contemporain avec un parti pris: faire de l’art d’aujourd’hui l’héritier de celui d’autrefois.

Numa Hambursin

© Alois Aurelle

Hommage à un Esprit Libre, Jan Fabre, 2019, détail © DR

Les artistes choisis se sont inspirés de l’âme du lieu pour donner naissance à des œuvres qui font corps avec l’architecture du bâtiment. Dans le hall d’entrée, le peintre et sculpteur américain Jim Dine a réalisé une fresque-mosaïque éclatante de couleur qui déploie une centaine de cœurs. Une œuvre qui conjugue l’intime et l’universel. Sous la voûte de l’escalier, on découvre l’univers de la plasticienne Marlène Mocquet qui s’étend en un jardin d’éden peuplé de créatures joyeuses: neuf sculptures en céramique qui invitent à monter le regard pour s’attarder sur les détails de la peinture dorée à la feuille de laiton qui illumine l’escalier depuis son zénith. Au plafond de l’ancienne salle des mariages, une série de blasons en élytres de scarabées signée du renommé Jan Fabre frappe par sa grande beauté et interroge avec émotion le lien entre art et histoire. L’une des salles voûtées du rez-dechaussée accueille une fresque de l’artiste Abdelkader Benchamma peinte à l’encre à même la voûte. Installé dans la partie médiévale du bâtiment, un espace dédié accueillera chaque année différentes expositions temporaires. La première sera consacrée au travail de Jim Dine.

Fondation GGL HELENIS Place de la Canourgue - Montpellier Jan Fabre

© Carlotta Manaigo

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Route de la Foire, Pérols - Tel : 04 67 50 36 00

Zac des Vignoles, 60 rue Paul Laurent, Nîmes - Tel : 04 66 28 27 80

Au sol : Carrelage Tanzania Almond / Baignoire, meuble, lavabo, miroir : Collection Liem Sanitaires : Arquitect / Robinetterie : Lignage

À Tel-Aviv, le studio Pitsou Kedem Architects signe une maison ultra-contemporaine. Véritable havre de paix en plein centre de la cité, la façade peu ouverte côté rue dissimule secrètement l’habitation d’une simplicité luxueuse et presque immatérielle.

Design : Pitsou Kedem, Nurit Ben Yosef Photographe : Amit Geron Le projet se dessine autour de deux lignes perpendiculaires croisant deux volumes cubiques. Il s’imbrique entre deux cours dévoilant deux somptueux espaces dédiés au jardin. On ne distingue depuis la rue que les cimes des arbres plantés dans la cour arrière de la maison. L’espace central de la structure, volontairement placé au milieu du terrain, est accessible en empruntant une passerelle suspendue et des marches fichées dans l’imposant mur en béton. Ce cheminement inattendu qui surplombe la cour et mène à la porte d’entrée donne le ton d’une architecture sobre et épurée. L’espace principal met l’accent sur la superficie avec des dimensions surprenantes plafonnant à 6 mètres et s’étendant sur près de 17 mètres. L’étage, desservant la suite des propriétaires, est habilement dissimulé derrière un espace bureau longiligne, positionné en mezzanine au-dessus de l’espace à vivre. Le volume adjacent dessert au rezde-chaussée deux chambres, l’arrière-cuisine et se termine dans la cuisine au niveau de l’open space. Ce même volume distribue au niveau inférieur encore deux chambres et un lieu destiné à la détente avec un salon dédié au home cinéma.

Les portes vitrées en double hauteur se replient latéralement pour dégager complètement la façade et connecter l’intérieur à une terrasse XXL. Au rez-de-chaussée, les pièces de vie ont véritablement été pensées comme un open space combinant salon, salle à manger et cuisine entre deux espaces vitrés à l’est et à l’ouest, pour baigner le volume de lumière tout au long de la journée. « On a le sentiment que l’espace est constamment enveloppé par la lumière naturelle et la verdure des arbres dans la cour », souligne l’architecte. Entièrement consacré aux espaces de vie, il combine la cuisine à la salle à manger et comprend l’espace salon de réception. Les portes vitrées en double hauteur se replient latéralement grâce à un système de motorisation électrique piloté par une domotique, pour dégager complètement la façade de cette sublime maison et connecter l’intérieur à une terrasse XXL. Dans une unité chromatique de couleurs claires, l’espace se veut dépouillé et contemporain, les fenêtres sont vitrées du sol au plafond, et agrémentées de voilages fins ; le moindre détail a été pensé pour accentuer le volume et magnifier le dessin de l’architecte. Un bassin de nage de couleur anthracite s’étend avec sobriété à l’infini à l’arrière de la maison. On se sent immédiatement apaisé ici, comme une bulle dans laquelle vous vous installez avec le plaisir déconcertant que procurent le luxe, le calme, et la plénitude. Le sortilège est tel qu’on en oublie les turpitudes de la métropole engorgée.

Le projet architectural de cette villa, située à Hertsliya en Israël, a été réalisé par le studio Pitsou Kedem Architects. Dans ce nouveau projet, le studio israélien Pitsou Kedem joue l’entrelacement des structures pour une conception architecturale inédite et dynamique tout en légèreté.

Design : Pitsou Kedem, Nurit Ben Yosef Architecte en chef : Nurit Ben Yosef Conception d'éclairage: Orly Avron Alkabes Styliste déco : Eti Buskila Photographe : Amit Geron Le studio Pitsou Kedem Architects fondé en 2002 réunit en effet une équipe de jeunes architectes qui y développent un style minimaliste basé sur des principes modernistes. Leurs réalisations mettent l’homme au centre des créations, utilisent des matériaux adéquats et s’efforcent de proposer des solutions non conventionnelles. Le studio d’architectes se reconnaît bien volontiers très influencé par les travaux d’Albert Loos, défenseur du dépouillement intégral dans l’architecture, et par le modernisme des années 1950. Il se dit particulièrement inspiré par le travail de Mies van der Rohe, sa vision des transparences comme celle des volumes. Coup de projecteur donc sur l’excellente réalisation de ce studio, la splendide J House : une superbe villa aux dimensions et au style dignes de tous les superlatifs. Réalisée selon les caractéristiques du modernisme des années 1950, elle se veut résolument contemporaine : elle offre d’immenses volumes et des lignes générales sobres et épurées. Selon le studio, l’architecture civile contemporaine doit respecter la dimension intime et privée de l’individu, et pour cela offrir des espaces résidentiels à la fois très accueillants et réservés.

La forme libre de cette conception établit un lien étroit avec la complexité structurelle des étages. Les architectes du studio ont réussi l’exploit d’imaginer un bâtiment qui, malgré sa cuirasse de béton, en impose par la grâce et l’impression de légèreté qui s’en dégage, la structure plus massive des niveaux supérieurs semblant littéralement être posée sur un claustra d’une finesse absolue.

D’une infinie sobriété, cette maison familiale agit comme une oasis inspirant force et quiétude, loin du tumulte urbain tout proche. La maison se présente comme une résidence très moderne ouverte sur l’extérieur par de grandes fenêtres, des portes en verre et les parois vitrées. L’intérieur rempli d’une lumière filtrée en faisceaux dévoile une géométrie simple et minimaliste. Les espaces intérieurs font la part belle à des volumes généreux ouverts et baignés de lumière, ainsi les frontières entre la salle à manger, la cuisine, le salon, le jardin et la piscine sont complètement gommées. Le salon spacieux et lumineux donnant sur la piscine accueille dans une mise en scène théâtrale des compositions de mobilier signé par les plus grands designers du moment. Comme dans tous les projets du studio, l’eau a un rôle déterminant. À la fois esthétique et utilitaire, la piscine structure l’espace tout en lui permettant de fusionner le solide et le liquide, matière insaisissable et mouvante. L’élévation inférieure révèle quant à elle avec subtilité les nuances de vert des plantes exotiques du jardin attenant. Chaque mouvement ou regard invite le visiteur à partager et vivre une expérience unique dans cet espace travaillé de manière consensuelle.

L’esprit pionnier et libre qui, depuis plus de 90 ans, fait de Cassina une entreprise avant-gardiste traçant un chemin unique dans le monde de la décoration et de l’architecture intérieure, conduit aujourd’hui l’entreprise à étendre sa philosophie aux espaces extérieurs. Cassina transfère ainsi à l’extérieur sa capacité exclusive de meubler entièrement les salons et salles à manger, en combinant l’innovation de nouveaux produits avec les icônes du mouvement moderne pour créer des ambiances originales et accueillantes. The Cassina Perspective Goes Outdoor place les icônes de la LC Collection et le style élégant de Charlotte Perriand aux côtés de trois grands designers contemporains : Rodolfo Dordoni, Philippe Starck et Patricia Urquiola. De nouveaux éclairages, tapis et accessoires d’extérieur viennent enrichir et compléter la gamme de produits qui se caractérise par des finitions chaleureuses et invitantes, des tissus aux couleurs riches, des matériaux tridimensionnels et des motifs jacquard élaborés dans un style tropical.

Philippe Starck : en harmonie avec la nature

Fenc-e Nature s’inscrit dans la continuité d’une exploration menée par Philippe Starck et Cassina pour révolutionner la conception du canapé et proposer des matériaux toujours plus avant-gardistes. Définie par Starck comme un style de vie à l’élégance décontractée, la collection Fenc-e Nature comprend un fauteuil, un canapé deux places, un canapé trois places et une table basse disponible en deux hauteurs différentes. Philippe Starck célèbre l’harmonie et l’osmose avec la nature à travers une collection de mobilier d’extérieur inspirée par son environnement et extrêmement respectueuse de celuici. La sélection des matériaux les plus naturels et l’excellente qualité de chaque composant ont permis de créer une collection durable et intemporelle. La collection Fenc-e Nature est caractérisée par ses formes et éléments tactiles et organiques, presque primitifs, comme son large accoudoir en teck massif traité au jet de sable pour créer un effet brut naturel. Le dossier de chaque siège/assise est tissé à la main avec de la corde selon un motif unique spécifiquement conçu et étudié pour ce projet ; le dossier est également disponible en saule, un matériau naturel dont l’utilisation inédite dans ce contexte renforce le lien

Disponible au showroom DOMUS 11, rue de l’Horloge – NÎMES Tél. 04 66 76 13 56

« Avec la collection Fenc-e Nature, j’ai créé quelque chose qui n’existait pas ; quelque chose entre le D.I.Y. de tous les jours et le Ready Made de Duchamp. Le mobilier de la collection ne semble pas sortir d’une usine et apporte humanité, charme, poésie, créativité et nature à votre maison. » Philippe Starck

« Fenc-e Nature est le rêve d’une vie en harmonie avec la nature, élégante et respectueuse. Ce n’est pas un projet, c’est une proposition de style de vie. » Philippe Starck.

de la collection avec la nature.

L’Aston Martin DBS Zagato a fait sa première apparition publique au concours Audrain’s à Newport, aux États-Unis en octobre 2019. Ce dérivé de la DBS Superleggera rejoint ainsi le lot de dixneuf DB4 GT Zagato Continuation pour former une série limitée de dix-neuf paires, dénommées DBZ Centenary Collection.

Dix-neuf. Pas un de plus. Ils ne seront que dix-neuf amateurs à avoir le privilège de posséder la prochaine Aston Martin réalisée avec Zagato pour célébrer le centenaire du carrossier italien et les soixante ans de complicité entre les deux maisons. Livraison prévue quatrième trimestre 2020. Une attention particulière a été portée à chaque détail. Sa ligne sculpturale est un modèle d’élégance et d’agressivité. Elle arbore une carrosserie d’un rouge étincelant appelé « Supernova Red ». Le toit flottant à double bossage, l’une des signatures de Zagato, semble posé sur une carrosserie qui se distingue par son capot avant très long et l’épaulement marqué des ailes arrière. La cabine entièrement vitrée se prolonge sur la malle arrière. Ses courbes, sportives et agressives à la fois mettent en évidence les splendides jantes noires et dorées réalisées grâce à la technologie de l’impression 3D. Côté performances, elle possède des dessous de DBS Superleggera, mais avec un V12 biturbo de 5.2 L encore plus puissant. Ce dernier est poussé à 760 chevaux, ce qui suffit à en faire l'Aston Martin routière la plus puissante de tous les temps après la Valkyrie. Elle avale littéralement 0 à 100 km/h en 3,4 petites secondes pour une vitesse maximale de 340 km/h. La boîte manuelle compte quatre rapports et envoie le couple aux roues arrière par un différentiel à glissement limité. Sièges en cuir Caithness Spicy Red brodés du « Z » du préparateur Zagato, éléments en or 24 carats, pièces imprimées en 3D, l’intérieur de la voiture est également somptueux. La console centrale, quant à elle, mérite que l’on s’y attarde tant elle est soignée… on y trouve divers motifs géométriques d’une finesse inouïe. Sa réalisation a nécessité des centaines d’heures de travail en recherche et développement. Cette collection représente un pont entre le passé et le futur, renforcé par la vision commune d'une approche innovante.

À première vue, ce nouveau modèle reprend ce qui a fait le succès de la série Continental. Mais ne vous y trompez pas. Ce speedster biplace issu de Mulliner a plus d’un tour dans son sac. Il allie à merveille performances, puissance et style.

Bentley, par sa division de personnalisation Mulliner, dévoile l’une des voitures les plus exclusives de l’année. Et elle en a surpris plus d’un. Son look, très éloigné des standards de la marque, s’apparente davantage à ce que l’on retrouve chez d’autres constructeurs. La Bacalar présente en effet une nouvelle orientation stylistique. Pour ce bolide, le constructeur a gardé ses mensurations pachydermiques avec 4,85 mètres de long. L’extérieur reprend les lignes de la Bentley Continental GT, mais s’inspire plus globalement du concept-car EXP 100 GT sorti en 2019. Il n’y a pas un angle qui n’ait été étudié pour donner de la prestance au roadster. La partie avant est particulièrement travaillée avec ses blocs optiques LED  : on retrouve la forme ronde habituelle de Bentley, mais avec une évolution de l'emplacement de la bande horizontale. La calandre noire se positionne au plus bas pour une allure plus dynamique. Il en va de même pour les prises d’air proéminentes qui sculptent le parechocs. Sportive et agressive, elle est conçue à partir d’aluminium et de carbone tandis que sa peinture est à base de balles de riz recyclées. À l’intérieur, on retrouve quelques touches de jaune qui mettent en valeur le tableau de bord fabriqué à partir d’un bois rare et précieux préservé pendant cinq mille ans. Bentley Mulliner a également collaboré avec une usine de textile britannique traditionnelle pour produire un tissu exclusif utilisé dans les inserts de siège, les dossiers et le côté des appuis-tête. Côté moteur, les lettres de noblesse sont assurées par le W12 de 6,0 litres dont la puissance atteint maintenant les 650 chevaux pour un couple de 900 Nm, soit vingt-quatre de plus que la Continental GT « ordinaire ». On apporte aussi une touche de modernité avec l’intégration d’un circuit électrique sous 48 volts qui gère le système de suspensions. La puissance est directement envoyée aux quatre roues via une boîte automatique à double embrayage à huit rapports. Elle sera produite en seulement douze exemplaires et sera entièrement assemblée à la main.

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