A travers l’observation des photos des rues de Londres dans l'après-guerre prises par Nigel Henderson, le duo d’architectes anglais déclare avoir trouvé un intérêt dans la matière primaire de l'existence, constituée par les choses pour comment elles sont, dans leur immédiateté et disponibilité. Ce regarde implique la découverte de l'essence du quotidien, de l’ordinaire comme matière d'étude et base de projet mais aussi un respect pour l’histoire et ses traces sur la ville existante. En proposant des matériaux pas revêtus, bruts, et des modalité constructives lisibles, les Smithsons cherchent engager ce réalisme dans leur projets en le transformant en matière poétique.
Le as found est une pensée que se répande dans les année ‘50 en Angleterre et dépasse le brutalisme et le champ de l’architecture pour devenir une attitude qui interroge aussi les artistes et les vidéastes qui se regroupent dans des mouvements tels le “Free cinema” le “Angry young men” et le “Kitchen sink”. Le as found se configure comme prati