Curriculum Vitae
Projets d’architecture 1. Projets personnels 2. Contributions - Charrettes Projets d’ingénierie
Autres travaux
PEZET
Je suis diplômée depuis octobre 2022 en architecture et génie-civil à l’INSA de Strasbourg. Intéressée par l’architecture depuis mon plus jeune âge, j’ai pu développer une passion dans ce domaine au cours de mes sept années de formation. Particulièrement curieuse de ce que propose l’architecture participative incrémentale, j’ai pu approfondir mes connaissances dans ce domaine à travers un mémoire de recherche, puis expérimenter une formalisation pour mon projet de fin d’études en architecture.
DIPLÔME D’ARCHITECTURE ET D’INGÉNIERIE CIVILE INSA Strasbourg
BACHELOR EN ARCHITECTURE ET INGÉNIERIE CIVILE INSA Strasbourg
CLASSE PRÉPARATOIRE INTÉGRÉE INSA Strasbourg
EGIS - AUDIT, RÉNOVATION, PATRIMOINE
Assistante chargée d’affaires - 4 mois Montreuil (93)
LA ARCHITECTURES
Assistante architecte, phase DET - 2 mois Paris (75)
ICM GUADELOUPE
Assistante conducteur de travaux - 6 semaines Goyave (971)
S&AA Assistante architecture, phase EXE - 6 semaines Strasbourg (67)
ALM 28 Stage ouvrier phase gros oeuvre - 6 semaines Chartres (28)
GECI INGENIERIE
Réalisation d’avant projets sommaires - 4 semaines Rouen (76)
FRANCAIS ANGLAIS
COMPÉTENCES
2022 2019 2016 2019
2022 2018 2017 2016
PHOTOSHOP ILLUSTRATOR INDESIGN PREMIERE PRO REVIT ARCHICAD ROBOT AUTOCAD SKETCHUP CONTACT
2021
ADRESSE : 3 rue friesé, 67000 Strasbourg MAIL : melodie.pezet@gmail.com TEL : (+33) 660482067 LINKEDIN : linkedin.com/in/mélodie-pezet-8584611a5/
Projet de fin d’études d’architecture. Septembre 2022
Ce projet s’intéresse à la problématique de dévitalisation des centres bourgs en Guadeloupe, observables depuis la fin des années 2000. La progression constante du bâti vacant ou délabré, causée principalement par les risques majeurs et l’indivision, entraîne une paupérisation importante de la population et un étalement urbain. Cet effacement progressif des terres agricoles vient alors nuire à l’économie locale.
L’objet de ce PFE est d’identifier une commune sur laquelle expérimenter des solutions adéquates, qui permettraient de réinvestir et réinventer ces centres-bourgs. Le Moule, commune de 22 000 habitants , orientée sur l’atlantique, capitale agro-industrielle, ancien plus grand port de Guadeloupe, fera l’objet de cette étude. Ce territoire, représentatif des enjeux caribéens, au plan colonial marqué et à proximité même du littoral est confronté à une économie fragile, ainsi qu’à des particularités induites par l’insularité.
Une première approche urbaine a permis de démêler le nœud de ville, causé par l’omniprésence automobile.
Ensuite, le projet ambitionne la transformation du damier colonial
en échiquier urbain. Bâti insalubre, vacant ou dent creuse, le centre bourg peut aujourd’hui être perçu comme un véritable plateau de jeu, dans lequel on peut déployer des stratégies. Il s’agit alors dans un premier temps d’identifier les vides qui peuvent accueillir le logement, programme indispensable au Moule. Un travail sur la réinterprétation de la case créole et les modes de vie locaux a été mené, afin de proposer une conception qui soit dans le respect d’une culture très ancrée, tout en redonnant de l’attrait au logement de centre bourg.
Il est ensuite question de réinvestir le bâti vacant qui présente du potentiel, pour s’en servir comme support à un programme mixte et dynamisant. Les vides résultants, essentiels à la respiration du tissu contraint typique du damier colonial, sont quant à eux laissés à une appropriation guidée.
Enfin, par l’utilisation du bambou, le projet questionne dans le détail les modes constructifs, et matériaux locaux à réinventer, qui permettront de produire une ville résiliente, capable d’évoluer et de s’adapter, aidant le territoire à retrouver, à terme, toute sa cohérence.
Un laboratoire de solutions possibles pour la ville caribéenne
Cooupe détail bioclimatique ech 1:100
Toiture en tuiles de bambou
Dalle : étanchéité bambou - paille de VétiverOSB - enduit terreux
Gouttière en bambou
Volet pliant en bambou tressé - filtre solaire
Garde-corps en bambou tressé
Dalle supérieure : platelage bambou - chape en terre - panneau en bagasse - OSB
Poutres bambou Ø10 cm x 3
Dalle inférieure : étanchéité bambou - OSBenduit terreux
Noue
Descente EP Assemblage en métal
Mur : bambou - enduit - terre - sargasse
Plot d assise en béton
Solive de rive Dalle béton
Concept Dialoguer avec le patrimoine
Déploiement de la halle programmatique Déploiement d’une halle programmatique
Continuité trame poteaux béton - bambou
Continuité trame poteaux béton - bambou
Coupe de la surélévation, ech 1:200
Axonométrie de projet S’approprier les vides résultants
Ilot logement, du 1:200 au 1:20...
Projet de 5ème année. Surélévation d’un parcelle située dans la quartier de la gare à Strasbourg. Le projet devait s’inscrire dans une démarche bio-climatique.
Ce projet de logements s’inscrit sur une parcelle très peu ensoleillée du fait du contexte bâti dense. Notre première volontée était de créer un objet translucide permettant de laisser entrer le plus de lumière possible au sein des espaces intérieurs. Nous venons protéger ensuite les façades à l’aide de tôles perforées issues du réemploi de bardage de façades. L’agencement des panneaux par les résidents permet d’occulter plus ou moins les ouvertures pour se protéger du soleil à l’ouest, et de gérer leur intimité du fait du vis à
vis à l’est. Ces tôles métalisées réfléchissent la lumière en coeur de parcelle.
Vincent PAPAZIAN – Mélodie PEZETNous déployons 4 niveaux de colocations, ainsi que 2 niveaux d’espaces partagés. Ces derniers encouragent la mutualiation des équipements et le vivre ensemble pour une vie en communauté facilitée.
Le projet offre des espaces inclusifs, généreux et agréables. L’utilisation du bois local et de tôles issues du rémploi permet de créer du logement dans un contexte contraint, avec un chantier à faible empreinte carbone.
Translucidité, protection, réemploi
Axonométrie structurelle
Structure MOB, plancher solivage
Structure MOB
Plancher solivage
Projet court de 5ème année, réalisé en une semaine en groupe de trois étudiants.
Pour ce projet, nous souhaitions que l’architecture soit support du paysage, et que réciproquement, le paysage supporte notre architecture. La rythmique des arches du pont de Zaehringen et le vis-à-vis naturel du fait de la topographie du site nous évoquent un lieu propice à la mise en scène et à la contemplation. La pente suggère des gradins, les quartiers vus en élévation évoquent un décor. Nous avons ainsi souhaité développer un centre culturel autour des arts de la scène.
Une école de théâtre donne des cours pour amateurs et professionnels. Des locaux associatifs hébergent et représentent l’organisation des événements festifs de la ville. Un cinéma, une salle de théâtre, une salle de spectacle, une scène d’été, un restaurant et des logements pour les différents usagers prennent également place, avec pour objectif commun de fédérer et représenter les arts de la scène.
Le projet se déploie en lanières programmatiques. Son implantation dessine une structure paysagère en continuité avec le paysage environnant.
Chaque lanière possède sa propre largeur et ses propres amplitudes d’ondulation. En cohérence avec la complexité des flux traversant notre parcelle, les entrées dans le projet sont multiples. Il est donc possible de traverser le site de bas en haut par des cheminements évoquant une promenade en pleine nature, se connectant aux chemins existants, et se prolongeant sur les toitures. Un patio central, généré autour d’une des piles du pont est considéré comme le noyau central du projet. Il permet de donner accès à tous les éléments de programme des différents niveaux. Au sein de la grande salle de spectacle, une large ouverture sur le paysage fribourgeois permet de le mettre en scène et de l’utiliser comme décor.
Ce projet, par son implantation, le programme qu’il propose et les qualités spatiales et d’ambiance qu’il crée offre un lieu unique dans le paysage Fribourgeois. Il invite les habitants à traverser le pont, déambuler, rencontrer, apprendre, découvrir, partager… Dans un cadre d’architecture et de verdure qu’est la ville de Fribourg.
Trame paysagère
Trame paysagère
Trame paysagère
Trame paysagère
Trame paysagère
Révélation du projet
Continuité des cheminements Intégration
Continuité des cheminements
Continuité des cheminements Intégration
Continuité des cheminements
Continuité des cheminements
Révélation du projet Intégration
Révélation du projet Intégration
Révélation du projet Intégration
Projet court de 6ème année, réalisé en une semaine. Réhabilitation de l’institut, édifice héritage du patrimoine moderne du campus universitaire de Strasbourg.
Le nouvel institut de botanique fait peau neuve mais ne perd pas pour autant son langage et son écriture initiale. Cet objet imposant, qui se détache du paysage environnant et de cet écrin de verdure en pleine ville s’intègre dorénavant davantage, de par ses matérialités, les vues et les reflets qu’il génère, et sa
végétation qui le parcours. Mêlant espaces de rencontres, d’apprentissage et de détente, la faculté des sciences et de la vie peut alors évoluer et s’imposer davantage dans la ville et plus particulièrement dans l’axe universitaire historique de la Neustadt.
Références, matérialités Intégration, continuité, rythme
mitsuhiko sato cooperative housing - maille inox
Bardage bois claire-voie vertical
Projet réalisé en 5ème année, lors des «charrettes». Travail collaboratif dans le but de finaliser le projet de fin d’études de Marion HERRMANN.
Le projet se situe dans le Neuhof, quartier mozzaïque le plus au sud de Strasbourg . Il vise à reconnecter les quartiers du Neuhof Cité et du Neuhof Village par un élément de couture urbaine, en proposant un ensemble cohérent basé sur une réflexion à une échelle plus grande que la parcelle, créant du lien et de l’unité. Il s’agit également de favoriser la mixité fonctionnelle et le vivre ensemble. La nature y occupe une place importante,
notamment à travers la question du rapport à la forêt : faire de la lisière un espace de vie où l’on peut habiter, se promener, se cultiver, s’éduquer...
Le projet apporte une réponse à une demande croissante de logements en ville et répond au problème actuel des limites de l’urbanisation, entre le bâti et la nature. Il s’agit de construire la ville sur la ville et d’exploiter le potentiel d’un contexte existant.
Recoudre le tissu urbain autour d’une nouvelle allée
Une nouvelle polarité pour la quartier, une zone artisanale redynamisée
Faire écho à la cité jardin Hiérarchie et typologies d’habitat
Grand collectif
Moyen collectif
Maisons en bande
Maisons individuelles
Du lieu à la matière, de la matière au lieu
Projet réalisé en 6ème année, lors des «charrettes». Travail collaboratif dans le but de finaliser le projet de fin d’études de Lise DERULE.
Et si le réemploi nous donnait l’opportunité de transformer l’acte de bâtir, nos architectures, nos villes ? Situé dans le quartier gare de la ville de Metz, territoire en mutation, le projet propose la réhabilitation d’une friche industrielle ainsi que la restructuration de son îlot attenant en une plateforme et tiers-lieu du réemploi. Vu comme une nouvelle machine de la ville, ce nouveau lieu développe dans son écriture architecturale et dans sa fonction un nouveau rapport à la matière, reconnectant ainsi les individus à leur territoire tout en créant un organe du métabolisme de la matière.
Le projet propose de reconsidérer trois éléments fondamentaux composant le monde d’aujourd’hui : la matière, le vivant et l’individu. La démarche de conception, fondée sur l’utilisation des ressources du
territoire messin, permet de démontrer que nos choix de matières peuvent faire émerger de nouvelles écritures architecturales et une nouvelle considération du territoire urbain. Il ne s’agit plus de produire pour construire mais de s’approprier la matière qu’il nous offre, susceptible de donner vie à nos bâtiments. Aujourd’hui, le réemploi doit être en premier lieu celui de nos architectures et des matériaux qui les composent. Les territoires urbains deviennent ainsi les mines d’aujourd’hui et de demain.
La transformation et la réhabilitation de la friche devient alors un prétexte pour recréer dans cette portion de ville un véritable écosystème capable de s’ancrer dans des réalités urbaines et sociales d’un monde qui se construit désormais sur lui-même.
Dimension 1 Un organe du réemploi
Dimension 2 Une société du réemploi
Dimension 3 Flux et espaces publics
Dimension 4 Un nouvel imaginaire du lieu
Façade partielle Plateforme de réemploi
Projet de fin d’études de 4 mois
SUJET :
Réflexion 4P : Planning, Programme, Phasage, Prix
Repenser les outils de présentation de plans d’investissements phasés et structurer les éléments de prise de décision.
Ce projet de fin d’études consiste en une réflexion 4P, c’est-à-dire sur le Programme, le Planning, le Phasage, et le Prix. L’objectif était de repenser les outils de présentation de plans d’investissement phasés déjà développés par l’équipe, et de structurer les éléments de prise de décision.
Il s’agissait alors de réfléchir à comment présenter de façon claire et synthétique des campagnes de travaux de rénovation priorisés, mais aussi à comment permettre à décideur (gestionnaire, Asset manageur, investisseur) de planifier ses interventions, en optimisant ses coûts, son planning, son impact sur ses espaces tout en minimisant l’impact sur l’exploitation. L’objectif majeur était ainsi de faciliter la communication, la visualisation et la prise en main d’un phasage et d’un planning d’intervention, tout en intégrant les contraintes d’intervention en site occupé. Le format du livrable a été réfléchi et pertinent, afin de permettre une bonne prise en main du maitre d’ouvrage, et permettre ainsi autant une appréhension macro qu’une planification micro. Il propose un niveau de visualisation adapté au MOA et aux données dont l’équipe dispose, et
transforme une liste de travaux brut, en des opérations phasées dans le temps et dans l’espace. Le livrable produit est alors composé de fiches travaux : une fiche correspond à une ligne du listing brut de travaux du fichier Excel de l’ancien livrable. Cette fiche fait apparaître toutes les thématiques identifiées au préalable, et permet une meilleure compréhension pour une meilleure prise en main du PPI par le gestionnaire de patrimoine. En plus de cela, il contient des informations concernant les spécificités du site, les éléments de synthèse de l’ancien livrable, des fiches de synthèse par année, ainsi que des fiches faisant apparaître la stratégie opérationnelle, et permettant d’identifier les différents regroupements possibles et de les ordonnancer.
Un travail important de mise en page et de vulgarisation des informations, par l’utilisation de pictogrammes visuels et de codes couleurs notamment, a été mené.
Tout ce travail théorique a été appliqué à la mission pratique de l’élaboration du PPI (Plan Pluriannuel d’Investissement) du Palais de Tokyo, à Paris.
Projet de 2ème année, réalisé en collaboration avec la ville de Brumath (67), par groupes de 3 étudiants.
Ce projet réalisé dans la forêt de Brumath (près de Strasbourg) est situé dans l’espace entourant un trou existant. L’idée était de créer un espace mettant en valeur le trou que l’on est venu décorer de mousse afin de le signaler plus fortement. Cela permet un travail sur la verticalité et l’inclusion.
Cet espace est composé de trois cubes de taille croissante, faits de branches. Les cubes sont placés les uns dans les autres, en suspension. Ils sont disposés de manière à créer un objet cinétique en fonction des différentes vues que l’on peut avoir en marchant le long du chemin.
Sélection de dessin, utilisant différentes techniques. DESSINS
Sélection de dessins réalisés en classe, lors de voyages d’études ou dans mon temps personnel.
Sélection de photographies de voyages.
INSA Strasbourg melodie.pezet@gmail.com