Dis moi décembre 2014

19 940-A

N°14 Déc. - Janv.

2 0 1 4 SUPPLÉMENT AU JOURNAL D I M A N C H E AGRÉGATION

N O :

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«Nous avons entendu un appel, qui est une bonne nouvelle dans nos vies et qui éclaire notre chemin spirituel.»

Monseigneur Delville, Noël 2013

DIS-MOI

Fotolia

LE CAHIER PAROISSIAL DES DOYENNÉS DE LIÈGE CENTRE ET ANS

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MCBF

Vivons un mois de décembre solidaire

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La page «Dis‑moi» se tourne «Dimanche» continue…

AVEC NOËL, LE SEIGNEUR APPORTE UNE BONNE NOUVELLE

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UNITÉ PASTORALE SAINT-LAMBERT

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Au revoir… «‌Dis‑moi‌» Chère lectrice, Cher lecteur, Depuis octobre 2013 et au long des 14 nu‑ méros du Dis‑moi, nous vous avons invi‑ tés à participer à la vie de l’Unité pastorale Saint‑Lambert au tra‑ vers d’informations, d’histoires et surtout Leonor De Mullewie. de témoignages.Ce fut une belle expérience que celle de vous racon‑ ter la vie de la communauté pendant ces 14 mois du Dis‑moi et aussi, c’est avec regret que nous le voyons disparaître. En effet, pour des raisons financières, la Conférence Episcopale des évêques francophones a été contrainte de mettre un terme à la production des cahiers locaux mensuels insérés dans le journal Di‑ manche. Ce numéro sera donc le dernier.

Mais… nous savons bien que si une porte se ferme c’est souvent pour qu’une autre s’ouvre. À nous tous de trouver de nouvelles façons, à la limite peut‑être plus opérationnelles, de diffuser les informations de la communauté de l’UPSL. Comme le disait Monseigneur Jean‑Luc Hudsyn, évêque auxiliaire du Bra‑ bant wallon, référent aux médias, «‌Nous sommes convaincus que cet élan [de diffusion de l’information] existera au‑delà de l’arrêt des cahiers locaux‌». Et, comme le dit encore Mon‑ seigneur Hudsyn, «‌L’arrêt de la production des cahiers locaux ne signifie pas pour autant l’ar‑ rêt de la diffusion de Dimanche. En effet, en 2015, celui‑ci continuera à être édité chaque semaine afin de diffuser au grand public une information catholique de qualité, rôle essen‑ tiel dans notre paysage médiatique belge.

Le Dimanche tiendra le lecteur informé des temps forts de notre vie d’Église en Belgique, et aussi ailleurs, afin que chacun se sente par‑ tie prenante de la Communauté Chrétienne. (…). Et enfin, Dimanche, par son contenu, continuera à aider le lecteur et les familles dans leur rôle d’éducation et de transmission de la foi. Une attention particulière sera éga‑ lement donnée à la vie spirituelle. Et dans ce but, nous pouvons vous annoncer que des col‑ laborations sont déjà à l’étude avec d’autres publications chrétiennes.‌» Merci à l’équipe des Medias catholiques qui nous a soutenu et accompagné tout au long de cette belle Aventure. Merci à vous, chère lectrice, cher lecteur. Merci à tous ceux qui ont collaboré avec le Dis‑moi.

II Leonor De Mullewie ldm@de‑mullewie.be

LA SOLIDARITÉ DANS L’UPSL

LA FONTAINE Fontaine (La) - Association belge de l’Ordre de Malte ASBL Rue Pouplin 3, à 4000 Liège T : 04/222 06 66 @ : malta.belgium@skynet.be - www.ordredemaltebelgique.org Les services prestés par La Fontaine sont : • Douches et mise à disposition de rasoirs, brosses à dents…

• Lessive et don de vêtements si nécessaire.

• Soins infirmiers et orientation médicale.

• Aide sociale et soutien psychologique.

• Cafétéria.

• Coiffeur présent une fois par semaine.

• Consigne, dépôt d’effets personnels.

• Couture pour les petites réparations.

• Ouverture réservée aux femmes le mercredi après‑midi, avec accès aux mêmes services, mais dans un climat plus paisible.

SAINT‑VINCENT DE PAUL Entité de Liège Saint‑Christophe, Saint‑Jacques, Saint‑Jean, Saint‑Denis.

T : 04/223 71 14. Personne de contact : M. Edouard Gillis, président.

Aides : financière (alimentaire et vestimentaire via l’Accueil Botanique).

Entité de Liège Accueil Botanique : T : 04/221 28 80. Personnes de contact : Mlle A. Hendrickx, et M. Pierre de Macar.

Aides : alimentaire, vestimentaire, administrative.

CENTRE LIÉGEOIS DE SERVICE SOCIAL ET ACCUEIL BOTANIQUE Accueil Botanique : Rue de l’Évêché, 12-14 à 4000 Liège.

T : 04/221 28 80, @ : clssbota@gmail.com Horaire : Ouvert du lundi au vendredi de 9 h à 11 h.

Personnes de contact : Aurélie HENDRICKX (assistante sociale), Pierre LEDAIN (accueil, contacts à domicile, animations).

Centre Liégeois de Service Social (CLSS) : Rue des Bruyères, 127-129 à 4000 Liège.

T : 04/229 79 43, @ : clss.asbl@gmail.com Horaire : du lundi au vendredi pendant les heures de bureau.

Personne de contact : Fabienne PEROT

SOLIDARITÉ SANT’EGIDIO • L’École de la paix dans le quartier Saint‑Léonard : des enfants de 6 à 12 ans du quartier Saint‑Léonard sont accueillis pour une aide scolaire et un projet d’éducation à la paix et à la diversité.

• L’accompagnement et l’aide aux personnes âgées isolées : visites effectuées à des personnes âgées seules, à domicile ou dans des maisons de repos.

• L’aide aux sans‑abri et gens des rues : le restaurant Kamiano offre des repas gratuits aux personnes précarisées tous les samedis dans les locaux des Sœurs franciscaines de Jonruelle.

Pour plus d’informations : Tél. 04/222 37 20, e‑mail : liege@santegidio.be, site web : www.santegidio.be.

VISITEURS DES MALADES, PERSONNES AGEES ET ISOLEES Église Saint‑Jacques - Contact : Geneviève Watelet T : 04/226 63 23, @ : gwatelet@yahoo.com Église Saint‑Barthélemy Contacts : Sœur Marie‑Joséphine T : 04/227 21 24, @ : couvent.saint.francois@skynet.be et Vicky Hendrick T : 0497/44 55 67, @ : vicky_hendrick@yahoo.fr Animateur spirituel de l’équipe : Abbé Guy Kasazi • T : 0493/96 62 77 ou 0465 94 54 84 • @ : guykasazi@yahoo.fr ERRATUM Sur la page 2 du Dis‑moi de novembre‑décembre 2014, veuillez noter que le responsable de la pastorale des funérailles est maintenant le Chanoine Joseph Bodeson T : 0497/44 24 62 • @ : jobodeson@skynet.be et non le Chanoine Gérard Gatay comme mentionné

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UNITÉ PASTORALE SAINT-LAMBERT

La leçon du pape François sur le sens de Noël «‌La raison de notre espérance est celle‑ci : Dieu est avec nous. […] Mais il y a quelque chose d’encore plus surprenant. La pré‑ sence de Dieu dans l’humanité ne s’est pas réalisée dans un monde idéal, idyllique, mais dans ce monde réel […]. Il a choisi d’habiter notre histoire telle qu’elle est, avec tout le poids de ses limites et de ses drames […] pour nous sauver, pour nous relever de la poussière de nos pauvretés, de nos diffi‑ cultés, de nos péchés‌» (François, Audience générale, 18 décembre 2013). Ces jours‑ci, pour me préparer au grand événement de Noël, je me répéte souvent ces paroles du Saint-Père.

Le Mystère aime nous défier constamment «‌dans ce monde réel‌», sans hésiter dans ce qu’Il fait ! Pour cette raison, Dieu choisit les circonstances qui peuvent le plus nous montrer qui Il est et quelle nouveaute ? extraordinaire Il peut engendrer dans le monde. Comment nous défie‑t‑Il ?

En attendant Noël, l’Église relit les grandes étapes de la vie du peuple d’Israël et nous montre comment Dieu intervient dans l’his‑ toire. Par exemple, elle met en avant deux femmes stériles, qui ne peuvent avoir d’en‑ fants : une femme de Soréa et Elisabeth (qui deviendront les mères de Samson, le défen‑ seur du peuple juif, et de Jean‑Baptiste, le précurseur du Christ ; cf. Juges 13,2-7.2425a et Luc 1,5-25). Ce sont deux femmes qui ne peuvent d’aucune manière «‌arran‑ ger‌» les choses ; rien de ce qu’elles peuvent faire, aussi génial que ce soit, ne peut les rendre mères. Cela est impossible, c’est quelque chose d’impossible aux hommes.

De cette façon, le Seigneur veut nous faire comprendre que pour Lui tout est possible, et qu’il est donc possible de ne pas déses‑ pérer, que personne ne peut dire qu’il est abandonné, oublié ou condamné à sa situa‑ tion, en trouvant en celle‑ci une justification pour ne plus espérer. Rien n’est impossible pour Quelqu’un qui fait de pareilles choses : rendre mères deux femmes stériles. Leur maternité imprévisible représente le plus grand défi pour la raison et pour la liberté de chacun. Il n’y a pas de situation, il n’y a pas de rapport ou de vie commune entre les hommes qui ne puissent changer. Et même si quelqu’un s’est résigné en pen‑

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Face à l’urgence quotidienne de la vie que nous ressentons tous, et qui semble réduire tout espoir à néant, Noël a‑t‑il encore quelque chose à dire ? N’est‑ce qu’un souvenir qui évoque de bons sentiments ou bien la nouvelle d’un fait capable d’avoir une incidence dans la vie réelle ?

Crèche - Église Saint‑Barthélemy, Liège. sant à sa propre histoire, le Seigneur défie aujourd’hui encore une fois son manque d’espérance. «‌Ta supplication a été entendue - dit l’ange à Zacharie -, ta femme Elisabeth te donnera un fils, et tu le nommeras Jean‌». L’Évan‑ gile appelle cela «‌une bonne nouvelle‌», parce que nous ne sommes ni condamnés au scepticisme, ni anéantis par l’échec de toutes nos tentatives. Et ce n’est pas qu’une promesse, c’est son accomplissement aussi, car Elisabeth a ensuite vraiment eu cet en‑ fant ! Ces faits annoncent à ceux qui gardent ne serait‑ce qu’un brin de tendresse envers eux- mêmes qu’il est possible de changer, parce que tout est possible à Dieu ; il Lui suffit de trouver en nous un cœur dispo‑ nible.

Si nous laissons entrer cette puissance de Dieu dans notre vie, elle se remplira de joie comme celle de Zacharie : «‌Tu seras dans la joie et l’allégresse‌». Cette joie n’est pas que pour nous ; elle nous est donnée aussi pour les autres : «‌Beaucoup d’hommes se réjouiront de sa naissance‌». Et cette joie dé‑ montre qui est Dieu, qui est à l’œuvre parmi nous. Jean «‌sera rempli de l’Esprit saint‌» et commencera à changer ce qu’il touche.

Ainsi, la liturgie de l’Église nous em‑

mène‑t‑elle à regarder une autre femme, une vierge appelée Marie, à qui il arrive quelque chose de non moins mystérieux qu’aux deux femmes stériles : l’évènement de l’Incarnation par l’œuvre de l’Esprit saint, que Marie a simplement accepté en disant oui. Avec Noël, le Seigneur nous apporte cette bonne nouvelle. Le fait de l’accueillir dépend de chacun de nous, de notre dispo‑ nibilité simple à nous laisser surprendre par Lui qui prend l’initiative de nous rejoindre constamment, ici et maintenant, «‌dans ce monde réel‌».

Si nous le demandons et que nous nous rendons disponibles pour ce que le Seigneur est sur le point de faire parmi nous à travers Noël, beaucoup de personnes autour de nous se réjouiront de «‌notre‌» renaissance.

Seule cette nouveauté pourra convaincre tout homme de la crédibilité de l’annonce chrétienne qui l’a atteint. Il suffit de voir combien d’hommes de toutes les cultures se réjouissent aujourd’hui, jusqu’à se sentir défiés comme ils ne l’ont jamais été avant, par l’existence d’un homme comme le pape François, dans lequel le Mystère a trouvé cette disponibilité du cœur.

II Julián Carrón

Avec les enfants des divers niveaux de catéchèse, nous vivons des temps en «‌messe des familles‌». Les parents accompagnent, nombreux, une moyenne de 35 enfants de la catéchèse, soit, à chaque messe, plus ou moins la moitié des enfants inscrits. Les enfants viennent des groupes de la préparation à la première des communions, d’autres de la première ou de la seconde année de préparation au sacrement de la confirmation. Quelques‑uns, enfin, préparent leur baptême.

Tout ce petit monde se retrouve dans une des quatre églises de l’UP pour vivre un temps particulier autour d’un thème proposé en début d’année.

Le 21 septembre 2014, nous avons fêté la rentrée ‌et «‌démarré tous ensemble» à la messe de 9h30 à Vottem. Quinze jours plus tard, les confirmands de première année (5e primaire) s’embarquaient dans le bateau dont Jésus est capitaine. Ils étaient entourés des autres enfants de la catéchèse «‌Soutenons les ‌ confirmands », le dimanche 5 octobre à 9h30 encore à l’église de Vottem. ‌Nous venons de «‌revivre notre baptême» le dimanche 16 novembre à l’église du Thier‑à‑Liège à 9h30 avec tous les enfants de la catéchèse, autour de trois petits enfants entourés eux aussi de leurs familles. C’était génial et super. Le 24 décembre prochain, nous ‌«‌vivrons la fête de Noël ensemble». Les enfants auront préparé des lanternes pour se guider dans la nuit derrière Jésus qui vient nous rencontrer. Ils auront aussi préparé des sachets de friandises et de fruits pour d’autres enfants nécessiteux. Les plus grands rédigeront des cartes ou des lettres à remettre aux personnes âgées, isolées ou malades, en collaboration avec l’équipe des Visiteurs de l’UP. L’année civile prochaine, nous nous rassemblerons encore lors des scrutins de ceux, adultes ou enfants, qui vont être baptisés à Pâques. Nous participerons aux Rameaux et à la procession du Vendredi saint dans les rues de Liège. La fête de Pâques clôturera notre préparation.

Le baptême des bébés et des enfants en âge de scolarité Quand des parents demandent le baptême pour leur enfant, quelle réponse est‑elle donnée à cette demande et pourquoi ?

Unité pastorale Liège Nord - Vottem

LES MESSES DES FAMILLES DANS L’UP

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Messe des familles : revivons notre baptême.

Nos baptêmes ont lieu le dimanche (Jour de la Résurrection), sauf pour de rares raisons, dans une des quatre églises de l’UP selon un calendrier établi. Ils sont communautaires parce qu’on n’est pas chrétien tout seul. L’entrée dans la communauté et le «faire Église» avec d’autres prime sur la «fête de famille». Si les parents sont domiciliés dans l’UP ou s’ils y vivent leur foi, c’est bien chez nous qu’ils doivent s’adresser. S’ils habitent ailleurs, nous les invitons à contacter leur curé.

Si les enfants ont moins de deux ans, les parents choisissent une date ou une église et ils sont invités à suivre deux soirées de préparation en groupe en soirée. Ils échangent sur le pourquoi de leur demande, les grands symboles, et préparent avec sérieux cette étape importante de la vie de leur enfant. Ils édifient en‑ semble le carnet du baptême.

Pour les enfants entre deux et sept ans, nous demandons de reprendre contact lorsque les enfants sont en 2e année primaire pour préparer le baptême pendant la préparation à la première communion. Le baptême est alors célébré à Pâques.

Pour les enfants de plus de huit ans, nous les préparons, lorsqu’ils ont 10 ans, avec ceux qui cheminent vers la confirmation.

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UNITÉ PASTORALE LIÈGE NORD VOTTEM

Reçois la lumière du Christ.

UNITÉ PASTORALE TRINITÉ-ANS

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UNE CONFÉRENCE À NE PAS MANQUER : «‌L’entre‑deux‑synodes : la famille chré‑ tienne entre tradition et modernité‌» par Ralph Schmeder (responsable national de «Vivre et Aimer»- Marriage‑Encounter, journaliste à RCF‑Liège et curé de Ro‑ court‑Juprelle‑Liers - UP ‘Les Douze’).

Mercredi 17 décembre à 20 h à la salle St‑Vincent (coin rue des Français et rue d’Othée).

Depuis l’encyclique Humanae Vitae (1968) du pape Paul VI, le regard de l’Église catho‑ lique sur l’évolution des familles a souvent été critiqué. Avec l’arrivée du pape François, les choses vont‑elles changer ? Quels sont les grands défis qui se présentent aux dis‑ ciples du Christ ? Lors du Synode de 2015, sera‑t‑il possible de dépasser la variété des positions pour trouver des solutions qui restent fidèles à l’enseignement du Christ, tout en prenant au sérieux les changements que le XXe s. a imposés aux structures fa‑ miliales ?

CONCERT de NOËL : Les disciples de Grétry Vendredi 19 décembre à 19 h à St‑Martin (organisé par la Fabrique d’église & la Com‑ mune d’Ans).

CÉLÉBRATIONS DE NOËL Mercredi 24 décembre : -17 h 30 : veillée et messe de Noël à Ste‑Marie (r. Yser). Animée par les jeunes (conte de Noël) et la chorale Ensemble. Les enfants sont invités à venir costumés en ber‑ gers ou en anges. Bénédiction des enfants près de la crèche pendant la célébration.

-23 h 45 : messe de minuit à St‑Vincent (r. Français), chantée par la chorale Arc‑en‑ciel Jeudi 25 décembre - messes du jour de Noël : -8 h 30 : Couvent des Filles de la Charité (r. Cimetière, 2A).

-10 h : St‑Martin (Pl. Nicolaï). Animation : chorale Ensemble.

-11 h : Ste‑Marie (r. Yser). Animation : cho‑ rale Arc‑en‑ciel.

Jeudi 1er janvier 2015 : messe à 10 h 30 à Ste‑Marie et verre de l’amitié Aux abonnés du journal Dimanche Comme déjà annoncé le mois passé, suite aux difficultés financières que traverse le journal, le cahier local Dis‑moi que vous tenez en mains sera désormais supprimé.

En revanche, le journal Dimanche, véri‑ table mine d’informations religieuses sur l’Église belge et universelle, continuera à être publié chaque semaine. Nous ne

pouvons que vous encourager à renouveler votre abonnement !

Concrètement, cela signifie que la pu‑ blication des annonces paroissiales lo‑ cales continuera à se faire uniquement via le feuillet dominical de la messe. Par ailleurs, une feuille mensuelle reprenant toutes les intentions de messe sera désor‑ mais disponible gratuitement au fond des églises. Plus d’infos auprès de G. Lemal : 04/263 48 56 (jeudi de 10 h à 12 h).

Je termine en vous souhaitant une sainte fête de Noël, ainsi qu’une heureuse an‑ née 2015, remplie la paix de l’Enfant de Bethléem !

II J. Spronck, curé CÉLÉBRATIONS ET INTENTIONS DÉCEMBRE M 10 8 h 30 Couvent : fam.

Mattele ; 18 h Ste‑Marie : fam.

Scheidt‑Detrez‑Wafflard ; G. Pecoraro J 11 8 h 30 Couvent : fam. Pirenne ; Ste‑Marie : fam. Capellen et Hebrant ; 18 h : St‑Martin V 12 8 h 30 Couvent : fam. Possoz ; Ste‑Marie : Berthe Fraigneux, fam. Lurquin‑Fraigneux S 13 17 h St‑Vincent : fam.

Pirlot‑Hankart ; C. Ostoya 18 h 15 Ste‑Marie : fam.

Bartholmé‑De Grauwe ; L. Vandormael D 14 8 h 30 Couvent : fam. Wallin‑Albert 9 h 45 St‑Martin : fam. D. Deusings ; fam. Donà‑Dupont ; R. Palazzolo 11 h Ste‑Marie : fam. C. Mukalska ; fam. Chavanne et Esters ; H. Bailly‑Georges L 15 8 h 30 Couvent : fam. Schrœder ; 18 h Ste‑Marie : A. Jaminet M 16 8 h 30 Couvent : fam.

Vandendijck‑Digneffe ; Ste‑Marie : S. Lejeune M 17 8 h 30 Couvent : Sr Jacqueline Allard ; 18 h Ste‑Marie : fam. Jacquemin‑Halleux J 18 8 h 30 Couvent : Sr Th. De Brouwer ; Ste‑Marie ; 18 h St‑Martin V 19 8 h 30 Couvent : Sr M. Dumon ; Ste‑Marie : M. Legros S 20 17 h St‑Vincent :

fam. Brone‑Nadalin ;

fam. D. Dang Van Lam 18 h 15 Ste‑Marie : fam. Remacle Delcourt et Thibaut D 21 8 h 30 Couvent : fam. Lux‑Herbillon

9 h 45 St‑Martin

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Bloc-notes

«‌Crèche solidaire‌» réalisée en briques de lait à Ans Saint‑Martin, au profit des plus démunis.

11 h Ste‑Marie : fam. J. Chlasta ; fam. Chavanne et Esters ; H. Bailly‑Georges L 22 8 h 30 Couvent : Sr M. Hougardy ; 18 h Ste‑Marie : F. Gérard M 23 8 h 30 Couvent : fam. Wallin‑Albert ; Ste‑Marie M 24 8 h 30 Couvent : Sr M. Hubert 17 h 30 Ste‑Marie : épx Granville‑Hansoul

23 h 45 St‑Vincent : abbé Mottard J 25 8 h 30 Couvent

10 h St‑Martin : R. Dupont 11 h Ste‑Marie : L. Tonon ; fam. Joakim‑Genot ; R. Van Tilborg ; A. & M. Donà V 26 8 h 30 Couvent : Sr Louise Litt ; Ste‑Marie S 27 17 h St‑Vincent : M. Tran Thi Dung ; J. Denudt

18 h 15 Ste‑Marie : P. Gilliard D 28 8 h 30 Couvent : fam.

Vandenberg‑Willemaerts

9 h 45 St‑Martin 11 h Ste‑Marie : abbé Mottard ; abbé Mairlot ; H. Bailly‑Georges L 29 8 h 30 Couvent : Sr S. Buffel ;

18 h Ste‑Marie M 30 8 h 30 Couvent : fam.

Vandendijck‑Digneffe ; Ste‑Marie M 31 8 h 30 Couvent : Sr S. Clœtens ; 1 8 h Ste‑Marie JANVIER 2015 J 1 10 h 30 Ste‑Marie : messe en Unité pastorale : fam. Donà‑Dupont

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Historique de l’église de Xhendremael Xhendremael est l’une des plus an‑ ciennes paroisses de la région. La première église (dès au moins le VIIIe siècle) fut dé‑ diée à Saint Georges.

Elle restera jusqu’au début du XIXe siècle l’église «‌mère‌» de plusieurs paroisses (dont Hombroux L’église St‑Georges de et Alleur pourtant Xhendremael. très vite plus impor‑ tantes. Par exemple, jusqu’au début du XIXe siècle, les enfants d’Alleur continueront à être baptisés dans l’église mère de Xhendremael.)

Bien qu’église mère, sa population n’étant pas très importante, la paroisse ne fut semble‑t‑il pratiquement jamais dotée de plus d’un seul prêtre qui devait également desservir une chapelle annexe dans le ha‑ meau du viernay (jusqu’à la fin du XVIIIe siècle environ) En 1842, l’église moyenâgeuse menaçant ruine fut démolie (sauf la tour) et rempla‑ cée par une nouvelle consacrée en 1844.

Hélas en 1865 la foudre frappa le clocher et l’incendie détruisit cette fois la tour et la nouvelle église. (Heureusement les registres paroissiaux avec les traces des baptêmes des enfants des paroisses environnantes étant, ainsi que les archives, conservés comme il va de soi dans le presbytère, fu‑ rent sauvés, ainsi que les calices anciens.

Il n’en fut peut être pas de même pour les autres objets liturgiques car ceux que nous possédons portent surtout la marque de la fin du XIXe siècle) L’église actuelle fut donc construite mais orientée différemment, précédée d’un grand escalier débouchant sur la place et plus grande.

L’intérieur présente une réussite assez rare pour l’époque : la nef centrale est haute, élancée, très claire. Le mobilier, adapté à la liturgie du XIXe siècle, est particulièrement réussi lui aussi.

Les fonds baptismaux sont le dernier vestige des anciennes églises (on approche toujours avec respect de ceux‑ci en pensant à toutes les générations qui y reçurent le baptême).

Il y a aussi plusieurs pierres tombales d’an‑ ciens curés placées dans le cimetière et dans le mur de l’église.

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L’église Saint‑Rémy d’Alleur Le premier lieu de culte à Alleur doit dater du VIIe siècle ; dès le XIe siècle, une structure paroissiale avec un curé à demeure s’est installée.

Plusieurs églises vont se succéder probablement au même endroit que l’actuelle, ce qui expliquerait la hau‑ teur de la bute qui la soutient, celle‑ci ayant été bâtie sur les ruines des églises précédentes.

Le 8 août 1765 une tempête renversa le clocher sur l’église. Celle‑ci dont nous ne savons que peu de choses fut totalement sinistrée. Une nouvelle sera construite et consacrée le 30 avril 1770. Elle occupait la moitié de l’es‑ pace de l’église actuelle au même en‑ droit et au même niveau.

Bien qu’elle soit en parfait état, le L’église Saint‑Rémy d’Alleur. conseil de fabrique l’estima trop pe‑ tite et décida la construction de l’église actuelle en inversant le sens afin d’avoir une entrée et un grand escalier débouchant sur la place centrale. Elle fut consacrée en 1877.

En 1977, de grandes modifications sont apportées avec la démolition des trois autels et l’aménagement d’un chœur moderne dans lequel les statues des retables du XIXe siècle sont intégrées avec beaucoup d’harmonie. Les statues de l’église du XVIIIe qui étaient reléguées dans la sacristie sont elles aussi intégrées à l’église rénovée.

Les statues du chœur sont celles de saints et de saintes qui ont eu un rôle important dans la compréhension de l’eucharistie ; celles des nefs latérales sont d’une part celles de Marie présentant son fils, et de Joachim et Anne, les grands parents de Jésus ; et d’autre part celles de Saint Remy, le patron de l’église, des Saints Lambert et Hubert.

L’église a été sinistrée par un VI à la fin de la guerre (un éclat sectionna la main de la statue de Saint Lambert) et des travaux importants ont dû à plu‑ sieurs reprises par la suite être accomplis au niveau du clocher notamment.

Relevons qu’une boite renfermant les reliques de l’ancien autel a été placée dans l’autel actuel. Lors de son ouverture, on retrouva non seulement le ca‑ chet de l’évêque consécrateur de l’église, mais aussi celui du consécrateur de l’église précédente, et d’un ou de deux autres en mauvais état. Depuis des siècles l’eucharistie est donc célébrée sur les mêmes reliques.

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UNITÉ PASTORALE ALLEUR LONCIN - XHENDREMAEL

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UNITÉ PASTORALE D’AWANS

Conférence décanale le 17 décembre Comme chaque année, le doyenné d’Ans or‑ ganise un cycle de conférences. Nous avons voulu faire écho au synode sur la famille qui a eu lieu en octobre à Rome et prendre le thème de la famille. Nous aurons la joie d’entendre l’abbé Emil Piront, président du séminaire, nous parler de la famille les mercredi 11 et 25 mars à 20 h à la salle Saint‑Vincent à Ans. Nous aurons aussi une conférence décanale sur la pastorale familiale le mercredi 21 jan‑ vier à 20 h à Ans aussi.

Celui qui aura l’honneur de lancer le cycle le mercredi 17 décembre à 20 h à la salle Saint‑Vincent à Ans sera l’abbé Ralph Schmeder, responsable national francophone de «‌Vivre et aimer‌», journa‑ liste à la radio RCF et curé de l’unité pas‑ torale Les Douze (Rocourt‑Juprelle‑Liers). «‌L’entre‑deux synodes : la famille chrétienne entre tradition et modernité‌» sera le thème proposé par le conférencier. Il abordera les thèmes qui ont posé question lors de ce premier synode. Bienvenue à tous !

Réabonnement Comme vous l’aurez lu par ailleurs, vous te‑ ‌nez en main le dernier numéro du Dis‑moi‌, non seulement de l’année 2014, mais aussi de l’histoire ! En effet, pour des raisons fi‑ nancières, les medias catholiques qui assu‑ raient le service de la parution, ne peuvent continuer à fournir le service. Mais l’heb‑ domadaire Dimanche continue à paraître.

Je ne saurais trop conseiller de continuer à vous abonner l’an prochain, d’une part parce que vous pourrez y lire des informa‑ tions sur l’Église catholique en Belgique et ailleurs que vous ne trouverez pas dans les médias nationaux habituels, mais aussi parce que c’est une manière concrète de soutenir financièrement les medias catho‑ liques qui en ont bien besoin. Le prix de l’abonnement pour l’année sera de 29 eu‑ ros. Contrairement aux autres années, il vous est demandé de vous inscrire directe‑ ment au service abonnement de Dimanche plutôt qu’à votre délégué local.

ÉDITORIAL

Le mois de décembre est l’occasion de nous rappeler que sans cesse le Seigneur vient à nous et veut s’incarner dans nos vies.

L’Avent est donc l’occasion de mieux prendre conscience qu’il nous faut faire place nette pour accueillir le Christ. «‌Il n’y avait plus de place‌», nous est‑il dit pour la venue de Jésus il y a deux mille ans. Y en aura‑t‑il plus aujourd’hui ? Que ce mois de décembre nous fasse prendre conscience que nous n’avons pas le temps pour Dieu et qu’il nous faut donc le prendre en faisant des choix… À nous de prendre du temps pour la prière personnelle et communautaire, pour le service, pour l’ouverture du cœur et des mains aux pauvres (derrière lesquels se cache le Christ), pour les visites, pour l’accueil du Sauveur à travers le sacrement de la réconciliation le lundi 15 décembre à 20 h à l’église de Villers‑l’Évêque.

Que l’accueil renouvelé du Sauveur vous apporte la joie et la paix !

II Fabrice de Saint Moulin AGENDA DÉCEMBRE

Mercredi 10 à 20 h à Fooz : réunion des visiteurs de malades au presbytère Dimanche 14 à 11 h à Hognoul : messe des familles Lundi 15 à 20 h à Villers‑l’Évêque : sacrement de la réconciliation Mercredi 17 à 20 h à Ans Saint‑Vincent : conférence décanale par l’abbé Ralph Schmeder sur le synode de la famille qui a eu lieu à Rome en octobre2014 : «‌L’entre‑deux synodes : la famille chrétienne entre tradition et modernité‌» Vendredi 19 à 20 h à Alleur : préparation des baptêmes Dimanche 21 décembre à 10 h 30 à Alleur : messe en famille Mercredi 24 à 18 h 30 à Alleur et Awans : messes de Noël avec animation pour les enfants Mercredi 24 à 23 h 45 à Loncin : messe de la nuit avec animation pour les jeunes Jeudi 25 à 9 h 45 à Othée : messe de Noël Jeudi 25 à 10 h 30 à Xhendremael : messe de Noël Jeudi 25 à 11 h à Hognoul : messe de Noël Vendredi 26 à 20 h à Loncin : soirée de Noël pour les Jalem Mardi 30 à 20 h à Loncin : conseil d’unité Samedi 03 janvier à 17 h à Juprelle : marche à l’étoile pour les jeunes du doyenné vers Liers.

Dimanche 4 janvier à 9 h 45 à Villers‑l’Évêque : messe en famille

DIS-MOI 12/2014 ~ P. 8

DIOCÈSE DE LIÈGE

Retrouvez l’agenda du diocèse sur http://liege.diocese.be et l’information en continu sur www.InfoCatho.be

VER V I E R S

Jean Fraineux, écrivain public Ecrire pour les autres est la mission que s’est assignée Jean Fraineux. Amoureux de sa langue maternelle, le français, ce Verviétois d’origine exerce son art notamment au Centre Maximilien Kolbe.

Il tient une permanence tous les lundis, de 14 h à 16 h, dans la salle de lecture de l’institution.

Un écrivain public, qu’est-ce que c’est ?

La fonction d’écrivain public consiste à rédiger du courrier en français pour des personnes qui ont des difficultés avec cette langue, mais cela ne se limite pas uniquement à la rédaction de courrier. Certaines personnes viennent me trouver également pour leur expliquer le courrier qu’elles ont reçu ; il est parfois écrit dans des termes tellement compliqués pour elles, qu’elles ne parviennent pas à le comprendre correctement. Je leur explique avec des mots plus simples et, s’il y a lieu, je rédige une réponse.

Quel est le contexte économique et social à Verviers ?

C’est la même chose que dans les autres grandes villes de Wallonie, et certainement autour du bassin de la Meuse. Le peu de pouvoir d’achat des personnes n’améliore pas la situation. Celles qui étaient déjà à la limite de la précarité, y tombent à présent.

Personnellement, je ne cherche pas à savoir si les gens que je reçois sont en précarité ou non ; ils viennent pour rédiger ou comprendre un courrier et moi, je me limite à ma fonction d’écrivain public ; je ne suis pas

Il doit quand même y avoir une certaine empathie avec la personne qui se trouve en face de vous ? On ne peut pas rester indifférent à certaines situations.

On ne peut pas rester indifférent, mais notre rôle se limite quand même à l’écriture. Il est évident que pour remplir convenablement cette mission, il faut une certaine empathie pour les gens qui viennent nous trouver.

Mais nous ne pouvons pas accaparer tous les malheurs du monde et nous devons garder nos distances avec ces personnes.

DR

Qui vient solliciter vos services ?

Toutes les couches sociales. Mes permanences se font cependant dans des associations qui sont plutôt tournées vers les personnes en précarité. Il y a aussi les étrangers qui ne manient pas correctement la langue française (NDLR : Jean Fraineux communique en russe et en arabe !), mais j’ai également un public belge qui éprouve certaines difficultés à rédiger en français. Il faut savoir que, dans la population belge, il y a quand même 15 % d’illettrés et d’analphabètes.

ment pour responsabiliser les personnes à leur situation et pour qu’elles restent maître de ce qui est écrit. Nous ne sommes jamais que la plume ; ce sont les demandeurs qui restent responsables de leur courrier.

assistant social. Si ces personnes ont besoin d’une aide sociale, je les renvoie vers les services compétents.

Y a-t-il toutefois des liens qui se tissent entre vous et les personnes pour lesquelles vous écrivez ?

Non, pas à proprement parler. Dans un but d’éducation permanente, j’essaie de responsabiliser les personnes qui viennent me trouver. Je rédige les courriers en deux exemplaires : un que la personne va signer et envoyer au destinataire, et l’autre qu’elle va garder comme archive personnelle. Si elle reçoit une réponse à ce courrier et qu’il faut de nouveau y répondre, elle doit venir avec ses deux lettres. De par la charte et la déontologie des écrivains publics, nous ne gardons aucun écrit sur PC, tout simple-

Quelle est la plus grande qualité nécessaire à un écrivain public ?

Il y en a trois. La première : savoir écrire correctement. La deuxième : avoir de l’empathie pour la personne qui vient vous trouver. Et la troisième est ce que l’on appelle l’écoute active : bien écouter ce que la personne dit et pouvoir le reformuler correctement dans l’écrit.

Est-ce une mission d’avenir ?

Depuis que je suis installé comme écrivain public, les fréquentations au sein de mes permanences n’ont cessé d’augmenter. La première année, j’ai eu une dizaine de personnes ; l’an passé, une trentaine sont venues me trouver, et maintenant, en novembre 2014, une septantaine de personnes ont déjà eu besoin de mes services.

I Propos recueillis par Sylviane Bigaré

Le Centre Maximilien Kolbe Institution bien connue à Verviers, le Centre Maximilien Kolbe promeut justice et solidarité à travers un combat continu contre l’exclusion sociale, une aide aux plus démunis et des actions de sensibilisation de l’opinion publique aux diverses formes de pauvreté.

Le CMK est situé au n° 12 de la Rue du Prince à Verviers. Tél. 087/33 84 22.

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