P O R T F O L I O - 2 0 2 3

STAGE DE CÉSURE - 6 mois - architecture

Tél. +33 7 60 21 44 53

Email maya.tohme.archi@gmail.com Profil Libanaise, 22 ans, réside à Paris. Adresse 14 rue d'Alsace-Lorraine, 75019.

Formation

Master 1 à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville. 2020-2021

2021-2022

Licence � à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville. Ouverture - Génie civil au Conservatoire National des Arts et Métiers. 2018-2020

Licence 1 et 2 à l’École d’Architecture de l’ Académie Libanaise des BeauxArts à Beyrouth. Ouverture - Design et Sciences Cognitives.

2018

Expériences Professionelles

Baccalauréat Scientifique - Spécialité Siences de la Vie et de la Terre au Collège des Frères Mont La Salle. Mention Très Bien ; moyenne de 18.34.

........................................................................................................... 2022-2023

Ateliers Jean Nouvel paris Stage en cours de 6 mois : Octobre 2022 - Mars 2023 Participer à la création de divers projets : Opéra et complexe événementiel à Shenzhen (Chine), résidences et hôtellerie de luxe au Moyen-Orient (confidentiel).

2020-2021

A.G.R.Y.L &CO courbevoie Assistante chef de projet. Relevés et visites sur chantier, permis de construire et DOP, models 3D.

Joseph Himo Architects beyrouth Stage de première pratique : Conception, maquette et chantier. 2018

2019

Select Agency beyrouth Hotesse d’acceuil et de vente dans le secteur de l’évènementiel et du luxe.

Expériences Variées

2021-

Membre de l’association Le Pari solidaire. 2021 Formation d’animateur de la Fresque du Climat à l’ENSAPB. 2019

Membre de la communauté des ChangeMakers. (Beyrouth) Participation à divers ateliers et conférences sur l'entrepreunariat. 2016 Workshop Girls Got IT. Ateliers STEAM (Science Technology Engineering Art and Mathematic).

2015-2016

Model United Nations : UNHCR - Lebanese American university. 2008-2017

Compétences

Scoutisme : Membre des Guides du Liban et des Scouts de l'Indépendance.

Dessin, modélisation et rendu 3D: Autocad, Sketchup, V-ray, Rhinoceros, Revit, Enscape, Lumion Design, mise en page, traitement de données: Suite Adobe, Affinity, Suite Office 365. Cartographie et analyse thématique: ArcGis, Qgis, ArcMap, Archiwizard.

Compétences relationnelles: Polyvalence, rigueur, organisation, aisance relationnelle et capacité d’adaptation.

Ce portfolio donne à voir un échantillon de mes projets réalisés entre 2018 et 2023 au sein de l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris Belleville et de l’Académie Libanaise des Beaux-Arts, et dans le cadre de mes expériences professionnelles, notament aux Ateliers Jean Nouvel.

Merci pour l’attention que vous porterez à ce travail.

Rénovation - Transformation.

D’uN SYStÈMe De FLuX À uN DISPOSItIF D’ÉCHANGeS.

Ce projet pose la question de la Rénovation et Transformation énergétique de l’existant. L’analyse de l’école (ENSAPB) nous a permis de dégager des enjeux liés à la circulation. Ainsi, nous sommes partis de deux constats. D’abord, la multiplicité des niveaux et des parcours rend difficile la promenade. Ensuite, les circulations existantes représentant déjà un volume important, nos interventions ont pour but l’optimisation des volumes chauffés.

Ainsi, nous nous sommes intéressés aux lieux avec pour règle commune la distinction de différents degrés de confort thermique :

- Chauffés : Au niveau de l’existant, auxquels on affecte des usages autres que le simple passage.

- Intermédiaire : tant par leur climat (température constante autour de 12°C) que par leurs usages, puisqu’ils accueillent des usages hybrides (expositions, rencontres…). Ces espaces suivent une logique d’amplification et d’utilisation des vides que sont les cours de l’école.

- Non chauffés : Ayant pour unique usage la circulation.

- Extérieurs couverts.

Responsables : Emilien Robin, Françoise Fromonot. Collaborateurs : Pauline Ancey, Justine Garde, Jules Henrion, Sarah Navellou.

On ne cherche pas à intervertir les programmes de l’école mais à créer/ donner de nouveaux usages grâce aux circulations. Ainsi, notre intervention s’inscrit dans une logique d’amplification qui pourrait se faire sans interrompre l’activité de l’école.

Ces différents types fonctionnent ensemble pour créer des transitions entre intérieurs et extérieurs grâce à des seuils thermiques, et possèdent une identité structurelle qui confère une cohérence à l’ensemble.

Coupe détail : Extérieur couvert, cour centrale.

BATIMENT A : UNE NOUVELLE SÉQUENCE D’ENTRÉE.

La cour Villette, jusqu’ici peu exploitée, est une entrée à plusieurs seuils. Cette entrée est la vitrine de l’école sur la ville. Elle débute par un espace extérieur couvert à l’ossature métallique légère, et se poursuit par un espace intermédiaire, lieu d’exposition pour les studios qui se comporte comme un sas thermique et absorbe les déperditions dues aux entrées/sorties. Ce second espace contraste le premier par sa structure massive poteaux/poutres en bois.

BATIMENT B : MISE EN VALEUR DU JARDIN PLANTÉ.

La façade d’origine du bâtiment B a été repensée de manière à élargir l’espace intérieur et renforcer son lien avec l’extérieur. La façade, plus ouverte et transparente permet un lien visuel et fonctionnel avec le jardin.

Le but est de mettre en valeur le jardin planté en installant des usages de détente et de rencontre dans un espace chauffé communiquant avec l’espace extérieur couvert.

Coupe Bat. A et B - Détail gradin

0 1 2m

Coupe séquence d’entrée Bat. A

USAGE DES STUDIOS : DES PAROIS HABITÉES.

Les parois des bâtiments E et F ont d’abord un rôle thermique. De plus, cette épaisseur est au service de l’usage. Dans le bâtiment E, la façade est reconstruite et isolée avec du béton de chanvre. L’ossature de bois se prolonge en une tablette qui installe un rapport à l’extérieur.

Dans le bâtiment F, la paroi est intérieure et vient partitionner le studio grâce à un dispositif de cloisons mobiles.

Elle possède un usage de rangement. De plus elle crée un couloir au niveau de la façade nord, sas thermique entre l’extérieur et les studios. Elle est associée à un système de faux plancher contenant les gaines de CVC.

Détails

NOEUD BURNOUF : FÉDERER LES STUDIOS

La verrière est un espace intermédiaire construit qui s’insère dans la cour Burnouf. Ce volume de verre a une ossature en bois et possède deux plateaux. Il dessert les bâtiments C, E et F aux trois premiers étages.

Ce nouveau noyau est un espace d’exposition et de soutenances commun aux studios qui gravitent autour. Il est ouvert au public, il devient ainsi une nouvelle entrée depuis la rue Burnouf. Sa géométrie linéaire n’entrave pas les usages actuels de livraison.

Coupe détail de paroi : Bat E

Être(s) en ville

.

PeNSer Le LOGeMeNt À GrANDe ÉCHeLLe.

Le projet vise la construction d’un îlot de logement collectif pour répondre aux besoins de différents types de foyer. On part ainsi d’un logement “idéal” type T4 qui se décline du studio au T5 en conservant ses qualités spatiales et de rapport favorisé avec l’extérieur. Ce rapport est travaillé à l’échelle de l’unité d’habitation et à l’échelle du bâtiment. La cour centrale est une place et un jardin protégé par le bâti et par le regard des habitants. Un square et un jardin publique ont été également pensés en relation avec le quartier, créant ainsi une rue piétonnière. Le RDC a aussi été conçu pour créer un équilibre entre les besoins des habitants (salles communes, stockage poussettes et vélos…) et la mise en place de locaux commerciaux et associatifs en relation plus étroite avec la ville.

Il convient d’aborder le phénomène urbain dans sa capacité à être habité, c’est à dire envisager la ville comme une structure permettant de tisser les liens nécessaires entre l’homme la société et l’environnement. Si la notion de contexte est principalement rattachée à la ville, c’est parce qu’elle reste l’espace social par excellence où se cristallise de manière exemplaire toute les questions liées à l’environnement. Environnement social, d’une part, où se construit le rapport à l’altérité et se tissent les liens entre l’individu et la société. Mais aussi, d’autre part, environnement terrestre et élémentaire où l’être prend possession du monde.

Responsable : Éric Babin.

Commerces / locaux associatifs Espaces intérieurs au service de la copropriété T1 T2 T3 T4 T5

Légende: RDC+1/+2/+3

Toulon 401 - architecture urbaine.

uNe urbANItÉ : uN ÉquIPeMeNt PubLIC et CuLtureL.

Le projet répond à la problématique : Comment réattribuer le théâtre à sa ville et créer une urbanité autour de la culture et par le vide urbain ?

On conçoit un centre culturel autour du sport et du théâtre, ou plutôt les arts de représentation en général. Ce centre fait partie intégrale de la ville de Toulon en créant une urbanité par un fort rapport à la rue avec une perméabilité et une porosité urbaine. C’est l’opportunité de restructurer le vide urbain pour créer de nouveaux liens dans le quartier et renforcer les liens déjà existants. Le projet est accessible et intégré par son emplacement choisit et son architecture. Il touche le grand publique et se procure une audience engagée. L’emplacement est accessible par les transports communs et fait partie d’un grand complexe scolaire.

On reprend les programmes existants sur site et on les intègre, avec le théâtre, le long d’une nouvelle rue qui lie la voie principale à la voie secondaire à l’arrière. Les programmes sont installés du plus publique (théâtre, exposition) au plus privé (piscine) avec le gymnase au milieu. On accorde une emprise égale à ces trois programmes pour démocratiser le théâtre et le sport, en leur donnant la même importance, sans créer une hiérarchie. Ceci accorde une forte flexibilité au projet ayant des espaces modulaires et flexibles.

Responsables : Bita Azimi, Pascale Richter.

Collaboratrice : Letícia Lopes Zuffo, Faculté d’Arch. et d’Urb. de l’Université de São Paulo.

Photo de maquette 1/500

Circulation du vide : Création de connexion entre les programmes culturels et scolaires

LYCÉe DuMONt D’urvILLe

ÉCOLe jeAN AICArD

Centre culturel : Théâtre, espaces de représentation, de répétition et d’exposition

Centre sportif : Terrain adapté à plusieurs activitées sportives et salles polyvalentes

Centre aquatique : piscine olympique et piscine pour enfants

Au Cœur d’un Village.

uNe MAISON D’HôteS.

Le projet est celui d’une maison d’hôtes à Beit Mery, village libanais situé à Metn, Mont-Liban. Il s’agit d’un village semi-rural du fait de son altitude (800m) et des liens étroits qu’il a développé avec la capitale. Le village surplombe la ville de Beyrouth, et est sur le point culminant de la première colline faisant face à la mer Méditerranée. Son emplacement stratégique, mais aussi symbolique en a fait un site remarquable comprenant de nombreux vestiges archéologiques et monuments historiques, dont plusieurs maisons traditionnelles classées patrimoine.

Le terrain occupé par la maison d’hôtes se trouve au centre du village, entre les deux églises autour desquelles s’est organisé historiquement ce village tel qu’on le connaît aujourd’hui. La valeur de ces églises ne se limite pas à leur rôle cultuel, il s’agit aussi de la place publique autour de laquelle s’étendent les voies de circulation piétonnes et cavalières et les habitations des familles originaires du village.

Ce projet vise à créer une symbiose entre l’Homme, l’architecture, l’histoire du site et sa nature. Cette association se fait par la préservation des éléments naturels du site (topographie, arbres, flore) et la mise en valeur d’espaces de rencontres autour d’une place centrale vers laquelle converge la circulation au sein du complexe en créant une ambiance chaleureuse et conviviale.

Responsable : Nazareth Tovmassian.

Plan d’étage courant Coupe AA

Détail paroi traditionnelle régionale Etude de logements collectifs vernaculaires

0 0.3 0.6m

La Cohabitation Intergénérationnelle.

uN LOGeMeNt COLLeCtIF eN zONe urbAINe DeNSe.

: Nazareth Tovmassian.

Collaboratrice : Maribel Nasr.

Suite à une analyse du site et des travaux de recherche sur le logement collectif, on a choisi le programme du logement intergénérationnel pour la construction du logement collectif dans le quartier de Mar Mikhael. Nous nous sommes attardés sur le besoin d’appartenance qui est un besoin de relation humaine. Dans une société en constante évolution, le mode de vie et le modèle social ne cessent de varier. Il faut donc repenser nos besoins et notre architecture pour éviter l’isolement social. Les enjeux contemporains demandent aussi une architecture qui se caractérise par la modularité, la mutabilité et la flexibilité.

Le quartier étudié est l’un des plus anciens et des plus actifs de Beyrouth, rien qu’à quelques centaines de mètres de son port. Ce quartier patrimonial, étant en pleine croissance, est en proie à la gentrification. Il se caractérise par l’augmentation des prix foncier, un boom de la vie nocturne, l’attraction de investisseurs, des conflits entre nouveaux et anciens résidents, des expulsions, et la transformation de la morphologie urbaine par des destructions et des reconstructions. Ceci mène à la marginalisation des personnes âgées qui étaient les anciens locataires et des jeunes qui cherchent à s’établir. D’où la proposition de créer un logement collectif intergénérationnel qui profite aux jeunes diplômés et aux seniors.

Responsable

Programme proposé pour la résidence Jeunes-Seniors

Analyse urbaine du quartierr de Mar Mikhael : Circulation - Activité - Bâti

0 1.5 3m Plan d’étage type Plan RDC 0 1.5 3m Coupe transversale

Opéra house de Shenzhen.

uN COMPLeXe ÉvÉNeMeNtIeL.

“

Un Opéra est un lieu sacré d’expression humaine de l’émotion artistique. La construction d’un grand Opéra, c’est l’invention d’un lieu d’émotions. Et comme les grands scénographes l’ont toujours compris, l’émotion commence avant que l’on entre à l’intérieur, de l’extérieur, dès en apercevant le symbole de la musique. La vue d’un Opéra dans une ville doit être la première émotion du désir musical… L’architecture est la sœur de la musique. Dans son harmonie, dans son rythme et dans sa composition… Shenzhen est la rencontre de la musique et de la mer. L’un doit évoquer l’autre. La mer accueille, intègre la musique. L’Opéra accueille, intègre la mer. Ils se renforcent, se connectent.” - Jean Nouvel

Le texte de Jean Nouvel exprime le concept, et toute l’équipe du projet travaille à la réalisation de ce concept. Dans ce texte, une phrase clé sur le rapport entre la mer et la musique.

Cette relation poétique s’exprime par la couverture du projet par une grande toiture en forme de vague, qui exprime la relation entre la mer et l’opéra que ce toit abrite. Cette verrière couvre le projet jusqu’à la mer, et finit dans l’eau comme une vraie vague : pour avoir cette eau, des bassins et des miroirs d’eau sont placés devant le projet sur le front de mer. Ils recréent une zone d’eau sous les retombées de la vague.

Les volumes sous les vagues sont des volumes simples, en béton BFUP gris de façon à rester assez neutres par rapport à la vague, et rappeler les rochers au bord de l’eau. Les salles sont surélevées du sol pour permettre le passage du public entre la promenade au bord de l’eau et le “village” sous les toits. Ce “village” fait partie de la composition urbaine de l’ensemble du projet.

Chef de projet et maître de stage: Didier Brault. Collègues encadrants : Jing BEAUREGARD ZHOU, Sarah BEN YOUSSEF, Mario Di SIBIO.

Coupe transversale des quatres salles

0 10 20m 0 10 20m

Façade maritime

Coupe longitudinale - Concert Hall

« territoire & ses règles » Léa Guinguet et Véronique Turgeon

Interfaces Métropolitaines.

MÉNAGer LA LISIÈre AGrICOLe : ÉquIPer, reLIer, DIverSIFIer.

Responsables : Frédéric Bertrand, Philippe Simay, Mohamed Benzerzour.

Collaboratrices : Léa Guinguet, Cécile Triadu, Véronique Turgeon.

Partant du constat de la fragmentation du territoire en zones à la mono-fonctionnalité très lisible, nous nous sommes intéressées à la question du tracé règlementaire, et à sa matérialisation (passage d’une zone à une autre, espace réservé…), en nous appuyant principalement sur l’analyse des PLUs (zones pavillonnaires, zones commerciales ou d’activité, zones agricoles et «naturelles»).

La mise en parallèle de ces limites réglementaires avec les situations de lisière entre l’urbain et le « non-urbain » sur le territoire est rapidement devenue centrale dans notre démarche. Les communes d’Ecouen et d’Ezanville constituent en effet une bande urbanisée mince, prise entre de grands espaces agricoles ou forestiers : les situations de lisière sont donc nombreuses.

Cette question de la lisière nous est apparue d’autant plus pertinente qu’un projet de déviation de route (RD 370) envisage le passage d’une nouvelle voie au nord des communes, traversant les champs. Cette route nous paraît être une étape majeure vers un étalement urbain déjà lisible dans la disposition des zones à urbaniser des PLUs. Une des qualités de ce site étant la grande proximité avec des espaces « naturels » ou agricoles, l’épaississement de la bande bâtie d’Ecouen et d’Ezanville doit être limitée.

Les projets se développent donc le long de cette lisière agricole mise en danger par la déviation, et investissent des zones déjà concernées par des OAP ou identifiées comme « zones à urbaniser ». Ces contre-projets visent ainsi à limiter l’étalement urbain vers les zones agricoles, et à donner des qualités à la lisière considérée dans son épaisseur.

9 communes du site bassins versants

9 communes du site Bassins versants

département

Département

Schéma synthèse : Superposition de plusieurs documents règlementaires traduite en cartes d’analyse thématique

Schéma synthèse: superposition de plusieurs documents règlementaires

Groupe

SCoT PEB

SCoT PEB

9 communes du site

bassins versants SCoT

Zones urbaines monofonctionnelles : Prédominance du pavillonaire et des aires commerciales.

Réseau hydrolique

Réseau hydrolique enterré

Axes de ruissellement

Zones UG (bâties) du PLU

Zones A (agricoles) du PLU

Zones N (naturelles et forestières) du PLU Aires commerciales

PEB département

synthèse: superposition de plusieurs documents règlementaires

Lisières agricoles comme limities de l’étalement urbain : Espaces de transitions entre milieux naturels et urbanisation.

OAP

0 0.6 1.2km

Contrat de dév. territorial

Emplacement réservé Zones à urbanise Zones A (agricoles) du PLU Zones N (naturelles et forestières) du PLU

Liasons vertes - SDRIF Limites de front urbain - SDRIF

Lisières agricoles comme limites de l’étalement urbain: espaces de transitions entre milieux naturels et urbanisation

Zones urbaines monofonctionnelles: prédominance du pavillonaire et commerciales

Visualisation des éléments règlementaires du PLU

situation : 3 sites reliés par un projet de déviation de la

gens du voyage habitants aux alentours habitants du pavillonnaire employés de entreprises localisées sur site

nouveaux habitants de la commune

Créer des centralités nouvelles L’eau comme base du maillage chaussée sol minéral accessible à tous sol minéral à usages privés

emprises bâties équipements «points de repère» paysagers chemins d’eau Petit Rosne axe de ruissellement

Qualifier les usages du sol «urbain» ... tout autant que ceux du sol non artificialisé

sol boisé ou végétalisé terrains agricoles jardins partagés

De la route au pavillonnaire - paysages intérieurs Seuils et limites - Diversifier les types de rue pour favoriser des usages différents.

De la route au champ - des espaces publics vers le grand paysage

La Lampe d’architecte.

AteLIer bOIS - MObILIer.

L’atelier proposait de travailler autour d’un luminaire emblématique : la lampe articulée dite ‘d’architecte’.

Le modèle a évolué et de nombreuses variations autour de ce type ont été dessiné. Certains comme la Jacobsen ou la Toloméo sont devenus des icônes du design. Essentiellement réalisés en métal, nous proposons autour d’un modèle emblématique de la traduire en bois. Le travail de traduction d’un matériau à un autre engendra la possibilité d’interpréter le modèle. L’objet final réalisé remplie le même niveau fonctionnel et conserve le même encombrement que l’original.

Notre proposition n’est pas une copie conforme du modèle, mais une interprétation avec les possibilités qu’offrent le matériau, et les procédés de fabrication disponibles à l’atelier bois. C’était aussi l’occasion de penser la production en série, puisque le luminaire, conçu par un groupe 4, est réalisé en 4 exemplaires.

Merci pour votre lecture.

Je reste à disposition, je vous pris de me contacter pour tout complément d'information.

STAGE

DE CÉSURE - 6 mois - architecture

Tél. +33 7 60 21 44 53

Email maya.tohme.archi@gmail.com Profil Libanaise, 22 ans, réside à Paris.

Adresse 14 rue d'Alsace-Lorraine, 75019.