Architecture portfolio - 2019

PORTFOLIO ARCHITECTURE 2014-2019 Maxime Laliberté M. Arch.

Maxime Laliberté M. Arch. maxime.laliberte94@gmail.com (514) 260-6828 Les différents projets présentés dans le document suivant tentent tous, à leur manière, de déceler la logique derrière les mouvements des humains dans les espaces que l’on conçoit pour eux. Les lieux dans lesquels nous évoluons ne sont jamais statiques; au contraire, éminemment dynamiques, ils sont à l’image de leurs usagers qui les perçoivent quotidiennement En tant que planificateur d’espace, il est important de reconnaître nos limites.

Aussi, le travail multidisciplinaire, intégrant les différents acteurs des milieux dans lesquels nous intervenons, est extrêmement important au projet de rendre l’architecture plus démocratique et accessible, dans le but de mener vers une prise de conscience sociale par rapport à l’importance de vivre dans des lieux de qualité.

Curriculum Vitae Formation Maîtrise en Architecture

2017-2019

Baccalauréat Sc. en Architecture

2014-2017

Université Laval

Université de Montréal

Projet Mikwam : récipiendaire de la bourse Alcan-Arcop, récompensant un

diplômé

diplômé

projet démontrant un respect particulier des traditions locales

Échange étudiant en Architecture Université de Tokyo

Diplôme d’Études Collégiales en Science, Lettre et Art Collège Jean-de-Brébeuf

Été 2016 2011-2013 diplômé

Engagements étudiants Comité des finissants 2019

Responsable de l’exposition des finissants, design, montage et démontage de l’exposition, location des salles, organisation de la soirée du vernissage.

Encan de l’Objet 2019

Responsable du Concours d’Idée 2019: organisation d’une charrette de création d’objet, invitation des différents membres du jury, montage de l’exposition et du vernissage de la charrette.

Encan de l’Objet 2018

Responsable aux communications : rédaction du plan des partenaires, communications avec les différents commanditaires, rédaction de communiqués de presse, coordination entre les différents comités.

Auxiliaire d’enseignement - ARC 1215 Dessin d’architecture

Poste occupé au semestre d’automne 2016, à l’Université de Montréal. Cours de dessin technique à la main et à l’ordinateur: introduction aux différents types de dessins, introduction aux différents logiciels de modélisation, correction de travaux d’étudiant(e)s.

Compétences Logiciels de modélisation et de dessin

Très bonne maitrise des logiciels Autocad, Sketchup, Rhinoceros et Grasshopper; connaissance limitée de Revit

Logiciels de rendus

Très bonne maîtrise de la suite Maxwell Render (image), Lumion (image et vidéo); connaissance de VRay

Autres logiciels

Très bonne maîtrise de la suite Adobe (Illustrator, Photoshop, InDesign), ainsi que de la suite Office (Excel, Word, Powerpoint).

Ruelles.6

complexe résidentiel à Montréal

Onde.14

un nouveau pavillon pour le musée McCord

Mikwam.22

une maison pour les Atikamekw

Love Hotel 渋 谷.28

une tour résidentielle à Tokyo

Ceci n’est pas un spa.34

un pavillon paramétrique au Cap-Blanc

Gespegeoag.38

une passerelle bio-inspirée à Sainte-Anne-des-Monts

Projets divers.42

vancouver occupation project - charrette

le forestier - un diffuseur d’huile parfumée tangentes - une résille solaire

PROJET FINAL-RECHERCHE / CRÉATION NOUVEL ESPACE URBAIN À MONTRÉAL

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RUELLES vers un nouveau type d’espace urbain Projet final - essai (projet) Hiver 2019 - Université de Laval Supervisé par Georges Teyssot

Le défi que représente le projet d’accessibilité à l’espace urbain est considérable, et plusieurs architectes et planificateurs ont tenté de s’y attaquer, du moins en partie, depuis le début des années 60. Aussi en découle-t-il une variété d’approche différentes qui ont tous un but commun; certaines sont politiques, d’autres spatiales. Le projet présenté s’est penché sur ce problème avec la lentille de la pensée queer de l’espace, une approche qui prône une libération de la notion d’identité, l’égalité, et un refus des conventions sociales oppressantes. Cette approche critique le déterminisme de l’espace urbain planifié, qui, loin d’être généré de manière organique, est plutôt régit par des intérêts pécuniers répondant à des valeurs dépassées, hiérarchiques et normées. À une époque où habiter la ville semble être plus un privilège qu’un droit, et où les triplex en brique autrefois ouvriers deviennent aujourd’hui symboles ironiques du charme industriel des quartiers en «renaissance»; les ruelles deviennent comme des phares d’espoirs communautaires dans une marée d’interventions urbaines aux intérêts tout autres qu’humains. En recréant les conditions spatiales de la ruelle montréalaise, l’hypothèse est qu’un écosystème urbain dense et diversifié s’y développera de manière organique.

Le site choisi, un îlot montréalais aux dimensions typiques placé au milieu d’une friche industrielle adjacente au chemin de fer du Canadien Pacifique, offrait une page vierge, un terrain de jeu propice à une exploration formelle éclatée. Les voisins du site évoquaient une architecture industrielle du début du 20ième siècle, et présentait des possibilités amusantes concernant l’expression architecturale du projet.

Pour vitaliser un lieu aussi vaste (environ 60 mètres par 250 mètres), il fallut aussi proposer différentes interventions programmatiques, qui allait devenir les entrées au site, ainsi que des points de pivots dans la circulation des habitants. Finalement, cette ruelle se conjugue en différentes étapes, certaines plus privées et d’autres plus publiques.

Rez-de-chaussée ech. 1 : 200

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RUELLES

Premier étage Vue générale, en plongée vers l’ouest, entre le viaduc Rosemont-Van-Horne et la rue de Bellechasse.

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vers un nouveau type d’espace urbain

Deuxième étage

Troisième étage ech. 1 : 500

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RUELLES

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vers un nouveau type d’espace urbain Maquette représentant un détail du projet.

Bois et carton.

Les images mettent en lumières la superposition des différents espaces, en gradation de public vers le privé. Le toit est accessible aux habitants du complexe et devient comme une seconde ruelle, plus communautaires, répondant à la ruelle centrale, plus urbaine, qui agit presque comme place publique pour le quartier. Les puits de lumières dans les logements sont exprimés dans la toiture et meublent autant qu’ils rythment l’espace en toiture.

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RUELLES

Détails de la maquette.

Quatres types de logements (une chambre sur trois étages, deux chambres sur deux étages, trois chambres sur un étage et deux chambres sur un étage), sont conçus comme un parcours du public vers le privés. Les entrées se font tous par la cuisine, et les accès aux espaces extérieurs privés sont dans les espaces plus fermés de la maison. La bande de logements transversaux traite différemment son rapport à la rue et son rapport à la ruelle, s’ouvrant beaucoup plus sur cette dernière et filtrant l’ambiance de la rue par un revêtement en acier corrugué, qui répond à l’histoire industrielle du quartier.

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vers un nouveau type d’espace urbain

Plan des logements ech. 1 : 200

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PROJET COMPLET - CONSTRUCTION

ONDE un nouveau Musée McCord à la Place-des-Arts Hiver 2018 - Université Laval Avec Mélanie Mousseau Dirigé par Jacques Plante Durée de 12 semaines

INSTITUTIONNEL - CULTUREL

La construction d’un nouveau pavillon pour le musée McCord représente l’occasion pour une telle institution de repenser le rôle qu’elle joue dans le visage culturel de la ville de Montréal. À la tête de la place des festivals, au coeur du quartier des spectacles, le site proposé offre une position d’avant-plan permettant une visibilité inédite au musée. Dans son nouveau rôle, il souhaiterait agir comme une lentille vers la ville, pour mieux comprendre autant son histoire que sa vie quotidienne, une vitrine offerte aux citadins et aux touristes.

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Ce site enviable présente tout de même un défi structural de taille: les quais de la station de métro Place-des-Arts se situent directement en dessous, ne permettant au musée que de s’appuyer sur la moitié de son îlot, qui mesure environ 100 m de largeur par 40 m de profondeur. Le musée ne s’appui donc que sur la moitiée nord de son site, utilisant des cadres rigides en porte-à-faux pour suspendre les étages d’exposition, fixés à une structure verticale de béton abritant les laboratoires de conservations, nécessaires à sa collection grandissante.

Deux parcours sont offerts aux visiteurs: le premier conjuge les espaces publics et évènementiels du musée (auditorium, bibliothèque, restaurant, etc) au croisement des places publiques qui cadrent la tête de l’’îlot; le deuxième se glissant entre les galleries du musée, offrant entre chacune d’elles des antichambres reposantes offrant des vues sur le quartier environnant.

ONDE

7ième étage Administration

3ième étage Expositions

1er étage Accueil

ech. 1 : 1000

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Services de conservation

Salles d’exposition

Circulation et programmation publique

Administration

un nouveau musée McCord à la Place-des-Arts

Diagramme structural

Circulation

Mégastructure

Circulation évènementielle

Dalles

Circulation muséale

Appuis verticaux

Salles d’exposition

Coupe longitudinale, traversant l’atrium

Coupe transversale, traversant les quais du métro

ech. 1 : 1000

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ONDE

Détail du parapet Le système d’accrochage du grillage pare-soleil est fixé au parapet, caché par un tympan en continuité avec le mur rideau, lui-même composé de profilés de verre givré en U qui s’emboîtent, laissant entrer la lumière tout en brouillant les vues vers l’extérieur et vers l’intérieur.

L’épaisseur du plafond permet d’y intégrer les systèmes d’aération et d’éclairage, cachés des utilisateurs du musée.

Détail de porte-à-faux Dans les extrusions de la façade, qui surviennent lors des pauses dans le parcours des visiteurs, la structure devient apparente et rythme l’espace.

Le verre utilisé dans le mur rideau de l’extrusion est clair, il permet aux visiteurs d’observer certains instants urbains, comme si la ville faisait ellemême partie de l’exposition du musée McCord.

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un nouveau musée McCord à la Place-des-Arts

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ONDE

La billetterie se situe au premier étage, face à l’escalier donnant accès au hall de l’auditorium, et dos aux espaces d’expositions.

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La visite des expositions est rythmée par des espaces de repos en extrusion sur la façade, celui-ci se projetant vers la Place des Festivals.

un nouveau musée McCord à la Place-des-Arts

Le hall de réception de l’auditorium est suspendu au dessus de la réception et offre une vue panoramique sur la Place des Festivals.

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NATURE - CULTURE

MIKWAM une maison pour les Atikamekw de Wemotaci Projet récipiendaire de la bourse Alcan-Arcop Hiver 2017 - Université de Montréal Avec Marion Gélinas Dirigé par Pierre Boyer Mercier Durée de 9 semaines Wemotaci est une réserve atikamek enclavée dans la municipalité de La Tuque. Comme beaucoup de communautés autochtones au Québec, cette réserve de 1200 habitants fait face depuis longtemps à un sérieux problème de pénurie de logement, ainsi qu’à une planification gouvernementale d’aménagement mal adaptée au climat et à la culture du lieu.

Le projet offre 155 m­2 d’espace habitable avec 4 chambres qui ont toutes accès à un balcon extérieur partagé.

L’interpénétration de la nature fut un conducteur important à ce projet; de nombreux espaces couverts extérieurs permettent l’entreposage et la possiblités d’habiter la nature pendant les mois d’été.

HABITATIONS -UNIFAMILIAL

La maison veut refléter les traditions constructives atikamekw, permettant ainsi à l’habitat autochtone de devnir un canevas pour l’expression personnelle de cette riche culture.

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23

MIKWAM

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Maquette dĂŠmontable.

Bois et plexiglass.

une maison pour les Atikamekw de Wemotaci

plan de l’Êtage

b

a

a

b plan du rez-de-chaussĂŠe

ech. 1 : 200

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MIKWAM

coupe aa

coupe bb ech. 1 : 100

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une maison pour les Atikamekw de Wemotaci

L’espace de la salle à manger est le lieu central de la maison.

On accède à l’espace extérieur partagé à l’étage par les chambres.

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NATURE - CULTURE

L O V E H O T E L 渋谷 une tour résidentielle à Shibuya

HABITATIONS - MULTI LOGEMENTS

Été 2016 - Université de Tokyo Avec Emily Deimert et Dominique Raymond Dirigé par Guillaume Pelletier et Jacques Lachapelle Durée de 6 semaines École d’été de l’Université de Montréal

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Ce projet propose une tour résidentielle de 200 logements, chacun comptant entre 27 et 32 m2, distribués sur 25 étages autour d’une cour intérieure, au centre de la région métropolitaine la plus peuplée au monde. Chacun des appartements donne accès à son propre jardin privé. À la limite du rêve et de la réalité, l’ambiance des espaces domestiques, filtrant l’environnement urbain, enveloppe les habitants. L’écosystème de la mégapole investi les lieux, miroir du quartier environnant, le love hotel hill.

Le love hotel est une typologie de bâtiment très présent à Tokyo qui permet aux jeunes couples de se retirer des maisons multigénérationelles dans laquelles ils vivent pendant quelques heures pour passer des moments d’intimités, trop peu fréquents et inaccessibles dans la capitale niponne. En tant que lieux urbains liminaux et isolés, ces espaces offrent des moments coupés de la vie intense et animée de Shibuya. La conception de la tour résidentielle fut grandement influencée par leur présence dans le quartier, ainsi que par leur capacité à offrir un lieu à la fois lointain et central à son environnement immédiat.

LOVEHOTEL渋谷

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une tour résidentielle à Shibuya

Plans d’étages type ech. 1 : 250

Exemples de logements ech. 1 : 100

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LOVEHOTEL渋谷

Chacune des cours privées filtre l’effet de la ville pour créer un lieu à la limite du rêve et de la réalité, comme un vaisseau flottant au dessus d’une folie de néons.

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une tour résidentielle à Shibuya

L’effet des cours privées sur la façade, se perdant dans la réflection du quartier lui-même, donne une tour qui se fond dans la jungle de la nuit tokyoïte.

La cour intérieure est traitée comme un jardin japonais très peu végétalisée, à l’image du quartier environnant très dense et bétonné.

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CONCE PTION NUMÉRIQUE

CECI N‘EST PAS UN SPA une structure gonflable au bassin Brown

INSTALLATION LUDIQUE

Automne 2017 - Université Laval Avec Shany Vallières Dirigé par Philippe Barrière Durée de 9 semaines

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À proximité du Vieux-Québec, sur un site pittoresque au pied du Cap-Blanc, le bassin Brown accueille actuellement une piscine publique méconnue et peu utilisée. Cette structure gonflable veut offrir une expérience spatiale interactive aux usagers de ce lieu public et lui rendre l’attention qu’il mérite. Conçu dans le cadre d’un atelier numérique, le projet a vu le jour grâce au logiciel paramétrique Grasshopper ainsi qu’à des simulateurs de structure dynamique, qui ont permis de concevoir les tubes soutenants les bulles de plastique.

L’influence du corps sur l’architecture accentue l’effet de retrait réconfortant auquel nous sommes confrontés dès l’entrée dans ce nouveau monde qui nous est offert.

Servant d’escale pour la navigation plaisance, le quai épouse et danse avec la structure en plongeant dans le fleuve permettant la baignade pendant la saison estivale.

Des dolosses protègent la structure pendant l’hiver pour éviter les dommages causés par la glace.

CECI N‘EST PAS UN SPA

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une structure gonflable au bassin Brown

ech. 1 : 250

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C LIMAT ET BIOMIMÉTISME

GESPEGEOAG une passerelle bio-inspirée permettant l’ensablement des berges de Sainte-Anne-des-Monts Projet développé dans le cadre du Biomim’Challenge et présenté à Paris en octobre 2018 Automne 2018 - Université Laval Avec Véronique Côté et Hugo Thibaudeau Sous la supervision de Pierre Côté

Le biomimétisme est une stratégie de design qui s’inspire de la nature pour régler des problèmes humains. Le projet Gespegeoag propose une passerelle favorisant l’ensablement des berges à Sainte-Anne-des-Monts, en Gaspésie, municipalité très vulnérable à la montée des eaux et à l’érosion précoce de ses berges. La spartine alterniflore est une plante pionnère, qui peuple les berges de la Gaspésie et se sert de son réseau racinaire pour ensabler et étendre ses colonies en bordure de mer.

INSTALLATION - ÉROSION

En plus d’utiliser ses racines comme des filets pour le sable, ses tiges sont rigides et brises l’effet des vagues, ralentissant l’érosion.

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Le projet utilise ces principes dans la structure de sa passerelle pour s’implanter à deux endroits dans le village; le premier étant implanté près des habitations, servant de quai pour les embarcations des résidents; et le deuxième, au coeur du village, permettant à la municipalité de revitaliser son centre-ville, servant d’espace communautaire pouvant accueillir plusieurs évènements.

La spartine est une plante pionnière, première à peupler les berges vierges du SaintLaurent.

Ses tiges rigides font un effet de brise-vague et offrent une protection additionnelle.

Son réseau racinaire crée un filet entrelacé qui retient le sable et lui permet d’étendre ses colonies.

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GESPEGEOAG

Le réseau racinaire de la spartine, en fractales à partir de la tige centrale.

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La structure des colonnes, composés d’un morceau de béton préfabriqué, dans lequel peut s’insérer des tiges de différentes tailles, permettant le montage sur place.

une passerelle bio-inspirée à Sainte-Anne-des-Monts

Poutres Colonnes

Assises bio-inspirées

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ASSEMBLAGES, SYTÈMES & DÉTAILS OBJETS & PHOTOGRAPHIES

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projets divers vancouver occupation project Projet présenté dans le cadre de la charrette universitaire du Centre Canadien d’Architecture Avec Marion Gélinas (UBC) La charrette demandait de proposer un kit de survie, un cube de 1 mètre de dimension, pour tenter de penser des moyens alternatifs de loger les personnes en situation d’itinérance. Le projet d’occupation de la ruelle entre East Hastings et East Pender street à Vancouver tente de régler le problème grandissant de droit à l’habitation dans région en proposant un kit de construction d’habitat temporaire se servant des résiduts des grands projets de constructions dans le quartier, qui contribuent à sa gentrification constante.

le forestier Diffuseur d’huiles parfumées inspiré du processus de procréation fongique Acajou et liège, CNC Avec Véronique Côté, Hugo Thibaudeau

tangentes Modèle d’assemblage à l’échelle d’un écran solaire Lycra, bois Avec Antoine Godin, Sammie Petit, Natalia Pico Olmos 43

Maxime LalibertĂŠ, M. Arch. maxime.laliberte94@gmail.com (514) 260-6828