Une simple vie qui s’exprime banalement non, mais comme elle peut Soit avec énormément de difficultés et d’adaptation à l’environnement humain, histoires de temps simplement afin de franchir ou valoir un bloc de rêveries ici à la dérive dans les courant océaniques glacés ; autrement-dit un recul sur les uns les autres où les foules sont promenées par le temps comme d’ab. Les labyrinthes urbains et humains me dégotèrent Orphée l’album de Johann Johansson où oui dans la théorie de la gravité cette inconnue selon comment on voit, voire y voire des perspectives impossibles qui existent belle et bien pour une raison : être là et avancer dans un reflet, l’autisme redécouvert dans les zones d’ombres de la connaissance : C’est étrange que la théorie des grands fonds d’où un oiseau merveilleux est réimmiscent en une résurgence aérienne des fluides imagés jusqu’aux présences humaines où l’essentiel est d’être entendus ? Voire aimé, le savoir ou pas ?
Autour d’un arbre entre deux tableaux Aux remous éternelle danse d’écumes enrobes blanches, sculpteurs éternels d’érosions dans les reliefs ; voire en vert clair et en bleu ciel, encore plutôt – plutôt ; voire en coquille de noix s’en allant à la conquête de la clarté d’une page blanche dans le but de générer de l’entropie dans une boite a douleur, d’où rien ne sort : hormis ici une particularité, une exception parce que 2 x 2 = 4 ou 3 x 3 = 9 toujours 4 x 4 = 16 : soit la couverture de « La théorie du chaos » (Ilya Prigogine) où d’où se cache réellement vraiment la structure de l’Univers ?