MARIUS CAILLEAU - PORTFOLIO - ARCHITECTE DE - 2021

PORTFOLIO

CAILLEAU MARIUS 2016 - 2021 1

MARIUS CAILLEAU

A 22ans, je clos mon Master 2 représentant ma dernière année d’études du cursus d’architecture à l’ENSAPL, par l’obtention du diplôme d’architecte diplômé d’état (ADE).

Aujourd’hui, ma formation scolaire étant aboutie, je suis à la recherche d’une agence afin de réaliser ma formation d’architecte HMONP, proposant un cadre de travail dans lequel m’épanouir, afin de mettre à disposition mes acquis et ma passion du métier d’architecte, dans une équipe professionnelle, dans un esprit de partage.

« L’architecte perd de son importance (ou il doit en perdre) pour laisser plus d’initiative aux habitants. Les architectes ne doivent plus faire des maisons pour l’homme moyen parce que cet homme n’existe pas... La seule chose que les architectes peuvent faire, ce sont des structures qui laissent le maximum de liberté à chaque personnalité individuelle pour les utiliser à sa guise et selon sa volonté.»

- Yona Friedman, L’architecture de survie Mon engagement architectural trouve son origine dans le “faire avec”. Je ressens le besoin de faire de l’architecture en prenant le temps d’observer les qualités d’un existant, en prenant en compte l’importance identitaire qui lui est propre, en évitant de suivre le chemin de la standardisation. Et pour finir le point qui me semble le plus crucial dans ce domaine est de valoriser les demandes des habitants, en les écoutant et en faisant le projet avec eux.

Au-delà de ces engagements, mon travail est toujours accompagné de recherches nourrissant le projet. Lors de ma dernière année, j’ai choisi de mener parallèlement au projet de fin d’études, des recherches sur l’appropriation dans le logement collectif, afin de réfléchir à certaines pistes permettant une meilleure appropriation par l’habitant de son chez-soi. En parallèle dans le projet, j’ai approfondi la notion d’appropriation par la matérialité. Traitant le sujet à différentes échelles je me suis interrogé sur la manière dont les habitants, par la transformation et l’ajout de matérialité, peuvent écrire une nouvelle page de l’histoire d’un lieu. L’approche expérimentale, réflective et intellectuelle m’ont permis de me projeter vers les sociétés futures, tout en mettant en parallèle les questions d’appropriation et de matérialité.

Dans le monde professionnel, j’aspire à être un architecte centré sur les rapports humains, impliquant les différents corps de métiers et les habitants. L’architecte donne selon moi un cadre et des outils qui permettent aux utilisateurs de s’approprier les lieux.

Je suis guidé par la vision des architectes Lucien et Simone Kroll :

« Créer des choses où les gens sont bien ! »

72 Rue de Néchin 59115 Leers FRANCE 2

marius.cailleau@yahoo.fr 06 49 89 13 05 Permis B

ÉDUCATION

2020 - 2021

2019 - 2020

MASTER 1 | ECHANGE EN MOBILITÉE INTERNATIONALE | QUEBEC

École d’Architecture de l’Université Laval - CANADA

2016 - 2019

LICENCE D’ARCHITECTURE | Diplôme d’études en architecture

École Nationale Supérieure d’Architecture et de Paysage de Lille - FRANCE

2013 - 2016

BACCALAURÉAT | Option L mention «Assez Bien»

Lycée Emile Zola - Wattrelos

2017 - 2021

2018 - 2020

MASTER 2 | PFE Diplôme d’Architecte (diplomé d’état)

École Nationale Supérieure d’Architecture et de Paysage de Lille - FRANCE

EXPERIENCES

ASSOCIATION AUTHENTIQUE AZIMUT Travail ponctuel dans le monde social, dans l’accompagnement vers l’autonomie d’adolescents et jeunes adultes relevant de l’aide sociale à l’enfance.

G.O-ARCHITECTES Travail sur plusieurs projets à differentes périodes, traitant divers sujets d’études (Logements, Médical, Social...) notamment sur le Centre Oscar Lambret en site occupé durant la période de Covid, pour la conception d’un service de soin paliatifs pour enfants.

2019

PALAIS DES BEAUX ARTS DE LILLE Projet Collectif #Fabriktaville au sein de l’ENSAPL en collaboration avec le palais des Beaux-Arts, proposant d’ouvrir le monde de l’architecture au jeune public par l’occupation de l’atrium du musée.

2017

ASSOCIATION LO.DI.SAI Stage ouvrier: Travail sur chantier (Rénovation d’une maison familiale)

2016

ECOLE MATERNELLE CONCORDE Stage de découverte du monde éducatif

VIE ETUDIANTES Participation à la vie étudiante de l’ENSAPL : BDE (Vice President), Association de musique(Adhérant), Archipel (Adhérant), Fablab (Impression laser/3D).

2016 - 2021

LOGICIELS LANGUES CONCEPTION •••• ••••• ••• •• ••••• •••• •• •••• •••• ••• •••••

FRANCAIS

AUTOCAD SKETCHUP REVIT RHINOCEROS

LANGUE MATERNELLE

GRAPHISME

PHOTOSHOP

ALLEMAND NIVEAU B2

INDISIGN ILLUSTRATOR TWINMOTION

ANGLAIS DIPLOMÉ DU CLES

FABRICATION

DÉCOUPE LASER

IMPRESSION 3D ECHELLE 1

3

SOMMAIRE 1/ 2/ PROJETS 1 PROJ Extrait de projets réalisés lors de mes études à l’ENSAPL

01

S10 - PFE

06

S9

16

La Fa’Brique

Planter et Habiter

S6

Extrait de projet de mon année de LAVAL à Qué

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S8

28

Fusion /

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Bipolair

S7

Double

L’apaisante’Heure

40 4

L’Entre

3/ JETS 2 ANNEXES

ts réalisés lors à l’Université ébec

re

Documents supplémentaires

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PFE

Mémoire Recherche Album photo PFE

/ Fracas

e Face

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ÉTUDES

Maquettes Analyses de projets

deux 5

1/ PROJETS 1

Semestre : S10 Projet de fin d’études Sujet : Réhabilitation - Prendre place, puis laisser place Surface : 27 000m² Site : Usine Charles Amédée Prouvost - Roubaix Type : Multifonctionnel

PFE|La Fa’brique

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La Fa’brique | Roubaix Inscrit dans la linéarité du Likoto, le projet la Fa’brique traite de la réhabilitation d’une ancienne usine de peignage de la laine. A la suite des nombreuses destructions industrielles, elle est devenue l’un des symboles emblématiques du quartier, habité par d’anciens travailleurs . Le projet est pensé avec et pour les habitants du quartier de la Lainière, s’adaptant aux demandes changeantes (bureaux, logements, activitées, commerces...).

Suite à l’analyse de l’existant, le projet est pensé en deux phases : La première consiste à rendre le bâtiment “capable” en intervenant directement sur l’existant et en retravaillant la matière présente, nottament 5 grandes thématiques d’interventions (La toiture, les ouvertures, les dalles, les circulations, et la mise en place des gaines).

La seconde s’attache à travailler l’espace “potentiel” dont dispose le bâtiment grâce à l’application de différents programmes, laissant le bâtiment évoluer au fil des besoins du quartier. Après plusieurs hypothèses, le choix d’un dispositif permettant une liberté d’appropriation pour les futurs usagers a été sélectionné ne figeant pas un dessin abouti, mais une multitude de possibilités spatiales. Ses analyses sont tirées de mon mémoire de recherche.

Ce principe de cellule autonome, permet d’une part de profiter des plateaux libres de l’usine, et d’autre part de mettre en place plusieurs programmes à l’intérieur du bâti existant.

Une fois les deux phases appliquées à l’existant, peu à peu le bâtiment reprend vie avec la matière vivante. La première volonté de ce projet était de rouvrir ce lieu au public et d’accueillir à nouveau les habitants du quartier.

En effet, historiquement, cette usine était un lieu d’interaction et d’échange et c’est cela qu’il est essentiel de retrouver aujourd’hui.

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STORY BOARD 3

CARTES D’INTERVENTIONS

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EXEMPLES DE PLANS PROGRAMMATIQUES

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Semestre : S9 Sujet : Analyse constructive du principe modulaire Surface : 6000 m² Site : Parking de la rue de l’Épeule, Roubaix Type : Urbanisme et logement

Planter et Habiter 6

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Planter et Habiter | Roubaix A la suite de l’analyse de differents systèmes constructifs conçus sur la base de modules, dans laquelle le projet puise son inspiration. Nous avons travaillé un nouveau type de construction modulable en bois, travaillant une trame adaptable à differents types de programmes.

Pour expérimenter cette construction nous avons fait l’étude sur un parking de la ville de Roubaix dans le quartier de l’Épeule, ce projet s’inscrit dans la continuité d’une nouvelle dynamique sociale, environnementale, et architecturale insufflée par le couvent des clarisses et l’association Zerm qui l’occupe. Le projet est composé d’un module type, permettant une reversibilité du programme dans le temps, en fonction des besoins du quartier, tout en cherchant à diminuer la place de la voiture en ville, remplacée par des espaces plantés, créant ainsi des connexions entre les parcs.

Le thème général choisi pour ce projet est “planter et habiter le quartier de l’épeule à Roubaix”, l’idée principale de ce sujet est d’installer un cercle vertueux entre la nature, les habitants d’un quartier et la construction.

Plus concrètement, ce projet s’attache à restaurer le sol (En verticalisant les parkings présents dans le quartier, permettant ainsi de libérer le sol et donc de replanter des arbres. En rendant les sols perméables, la végétation peut se densifier et offrir ses bénéfices aux populations de la ville: Réduction de la température locale et globale lors des fortes chaleur, apport d’ombre, fixation des polluants, amélioration du cadre de vie et transformation du paysage ….), à provoquer des Planter et habiter le quartier de l’Épeule interactions entre les habitants (Animé et peuplé, le quartier de l’Épeule pourra bénéficier d’un lieu qui s’attachera à favoriser les échanges, mais aussi à améliorer les conditions d’installation du marché), et à concevoir une architecture réversible et évolutive.

VUES GENERALES VUES 3D

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PLAN MASSE DU QUARTIER

Plan masse - Échelle 1:1000

AXONOMETRIE PROGRAMATIQUE

Sol de l’existant

SOL DE L’EXISTANT

Flux de l’existant

FLUX DE L’EXISTANT

Activités

ACTIVITÉS

Sol du projet

SOL DE PROJET

Flux du projet

FLUX DE PROJET

Programme

PROGRAMME

Lucie Bouloy - Marius Cailleau - Maud Dupont Decaëns - Noémie Heuclin / Atelier Matérialité, P. Rizzotti

REQUALIFICATION DES ESPACES

PERMÉABILITÉ DES SOLS 9

TRAVÉE DU PARKING, 2020

COUPE D’AMBIANCE D’UN LOGEMENT

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2050

EXTRAIT D’UN PLAN DE LOGEMENT SUR LE MODÈLE DE SOPHIE DELAY

2020

2030

2040

2050

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Analyses constructives des modules Street Cinema

Architecte : Omri Revesz Design Studio A Lieu : Fondazione delle Zattere 1401, Venise Année : 2017 Superficie : 50 m² Ce pavillon réalisé par Omri Revesz lors de la Biennale de Venise possède plusieurs fonctions : En journée il peut servir de lieu de rencontre et la nuit il devient un cinéma.

Cette construction appelée Street Cinema, est totalement mobile et modulaire, comme on peut le voir sur l’image ci-dessus, elle dispose de 9 portiques de bois assemblés, ce qui permet de la plier ou la déplier en quelques mouvements. De plus, la structure est posée sur un rail coulissant pour faciliter le glissement des modules en bois. La structure du pavillon permet alors une adaptation en fonction de l’activité. Enfin, une toile opaque vient s’attacher au bois et permet elle aussi une adaptation aux fonctions. Cette construction légère est alors totalement modulaire, démontable en très peu de temps.

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Maison des jours meilleurs Architecte : Jean Prouvé Lieu : Quais de Seine, Paris Année : 1956 Superficie : 57 m²

Suite au terrible hiver 1954 et à la création des Compagnons d’Emmaüs, l’Abbé Pierre fait appel à Jean Prouvé, pour concevoir et construire une maison bon marché, équivalent à un appartement normalisé F3 (50 m²). Elle est constituée d’un soubassement en béton formant une cuvette où vient se poser un îlot central préfabriqué en acier, abritant dos-à-dos, la cuisine et les pièces d’eau.

Supportant une poutre en tôle pliée, le bloc central forme l’ossature porteuse. Elle est préfabriquée dans son usine de Maxéville. Ce projet fait un éloge de l’industrialisation et ses principes de constructions industrielles pouvant être assemblées en sept heures seulement à la force humaine.

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Le «Pavillon circulaire» Architecte : ARUP, Frener et Reifer Lieu : Londres Année : 2016 Superficie : 55 m²

Le projet est un pavillon en toit à deux pentes. Il consistait à créer un bâtiment fonctionnel qui répondrait dans son intégralité aux principes de l’économie circulaire. Tous les composants devaient être mis en oeuvre et utilisés à leur potentiel maximum et pour leur cycle de vie entier. L’objectif était de “démontrer la possibilité d’une industrie tendant vers le zéro déchet”. Le projet constitue donc des murs autoportants et démontables grâce à un système de panneaux structurels isolants (SIPs).

Le système constructif est composé de châssis en acier boulonnés entre eux afin de permettre un démontage et remontage facile. Les raccordements utilisés entre le mur et la structure en acier recyclé peuvent également être réutilisés dans le futur. Chaque matériau et composant a été pensé et utilisé selon la réutilisation qu’il pouvait offrir. Ce prototype est ainsi démontable, chaque matériau pouvant être réutilisé de la même manière ou pour une fonction différente.

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Maison des jours meilleurs Architecte : Renzo Piano Lieu : Paris Année : 1984 Superficie : 550 m²

Le pavillon a été commandé pour une exposition itinérante d’ordinateurs en 1984 par IBM Europe et imaginé par l’architecte Renzo Piano en collaboration avec l’ingénieur Arup. Le pavillon a visité 20 villes dans 14 pays européens sur une période de 30 mois. Piano affirme qu’il a puisé son inspiration dans les nombreuses formes que la nature offre, en particulier la formation de la coquille de crustacés qui combine à la fois la structure et le revêtement comme une enveloppe. Les contraintes de conception du pavillon ont été axées sur la rapidité de montage/démontage (d’une durée de 3 semaines). Les composants structurels ont donc été imaginés petits, légers, faciles à manipuler et facilement transportables.

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Semestre : S6 - Projet de fin de licence Sujet : Partir du détail au projet Surface : 190m² Site : Leffrinckoucke Type : Logement / Bibliothèque

L’apaisante’heure 16

A L’HORIZON Me voilà debout sur la plage, respirant l’air amer de la mer Prenant une grande inspiration, gonflant d’air mes poumons Devant le flot des vagues, moi et mon vague à l’âme Seul contre le néant, cette bourrasque, cet ouragan Le coeur à tambour battant, contre le souffle du vent Un vent d’ouest si puissant, faisant trembler les dunes Étirant les nuages, de manière opportune Il façonne un paysage, à chaque expiration Nous laissant bouche bée, devant tant d’inspiration Inspirant plus d’une personne, pour écrire quelques paroles «C’est la mer que l’on voit danser », « Notre dernier terrain vague» «La tête haute, les yeux au large attendant patiemment la fin de la tempête» Longeant les dunes jusqu’à ce que le soleil émerge Soudain, se dévoilant perçant les nuages Une rencontre inattendue entre ciel et mer, sous ses lumières crues Par habitude opposés aujourd’hui rassemblés Se confondant dans l’horizon à en perdre la raison Dans des teintes grisâtres, parfait décor de théâtre Ce paysage saccadé d’horizontales façonnant mon idéal Celui qui a bercé mon enfance par jour bleuté comme jour grisé Qu’il pleuve, qu’il vente, à midi ou à minuit, de jour comme de nuit Qui continue et continuera à hanter ma vie.

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L’Apaisante’heure | Leffrinckoucke INTENTIONS

Le projet est situé dans une étroite parcelle face à la mer du Nord. Il y a eu une prise en compte du littoral maritime touristique cherchant un programme adapté aux besoins de la ville, et de ses habitants.

La petite commune de Leffrinckoucke situé à quelques kilometres de Dunkerque, fait face à une crise touristique. La proposition d’un espace dédié en front de mer semble selon les habitants une solution permettant de la redynamiser. Dévellopé en parrallèle d’un espace d’accueil culturel, HORIZONTALE CONTINUITE le projet propose un espace bibliothèque géré par un couple d’écrivains retraités vivant dans la maison attenante.

Suite à un workshop intensif d’une semaine sur site, les thèmes qui en ont émérgé sont «Pluriscalaire» pour la perte d’échelle face à ces etendues, «Horizontale» pour ces lignes tracés dans le paysage, lié avec le thème «Continuité», évoquant celle des aspérité existantes et de la matérialité apportée.

Un travail de seuils a été réalisé afin de conscillier l’espace public avec l’espace privé, tout en s’adaptant au contexte environnant. Le projet prends en compte l’aménagement de l’espace public en relation avec le littoral proposant un espace piéton en continuité des espaces culturels.

Des recherches ont été réalisées sur l’apport énergétique naturel, visant à rendre autonome la partie habitation travaillée avec de grands volumes interconnectés permettant des flux d’air naturel.

IRE

INTENTIONS

PLURISCALAIRE

SCHEMAS D’INTENTIONS

Maison Ozenfant - LE CORBUSIER - 1922

PLAN MASSE DE L’AMENAGEMENT DE LA DIGUE 18

PLAN MASSE 200ème

HORIZONTALE

CONTINUITE

SCHEMAS D’INTENTIONS

PLAN R+1 Maison Ozenfant - LE CORBUSIER - 1922

PLAN RDC

«L’Appaisante-Heure» - Marius Cailleau - Atelier Debarge - S6

PLAN MASSE 200ème

Maison Fisher - Louis Kahn - 1967

COUPE LONGITUDINALE

AMBIANCES emè001 D 6S - egrabeD reiletA - uaelliaC suiraM - »erueH-etnasiappA’L«

Neutelings Riedijk - Michiel Riedijk - 1992 VUES D’AMBIANCES D’AMBIANCES VUES STORY BOARD

REFERENCES

«L’Appaisante-Heure» - Marius Cailleau - 19 Atel

COUPE DETAIL 20ème

emè02 LIATED EPUOC

AXONOMETRIE - MATÉRIAUTHÈQUE

MATERIALITE

«L’Appaisante-Heure» - Marius Cailleau - Atelier Debarge - S6

AMBIANCES

DÉTAILS STRUCTURELS DU PROJET VUES D’AMBIANCES

emè001 DUS-DRON TE TSE-TSEUO SEPUOC «

COUPE COUPE DETAIL DETAILLÉE 20ème 20

SCHEMAS STRUCTUREL

ST

AXONO

HEMAS STRUCTUREL

SCHEMAS THERMIQUES

CTURE

UPE DETAIL 20ème

STRUCTURE

TERIALITE

«L’Appaisante-Heure» - Marius Cailleau - Atelier Debarge - S6

AXONOMÉTRIE ÉCLATÉE200ème AXONOMETRIE STRUCTURELLE

SCHEMAS THERMIQUES

«L’Appaisante-Heure» - Marius Cailleau - Atelier Debarge - S6 DÉTAILS THERMIQUES DU PROJET

AXONOMETRIE STR 21

2/ PROJETS 2

Semestre : S8 - Premier projet Sujet : Analyse critique d’un architecte Surface : 1km Site : Côte-de-Gaspé , Rive Sud, Québec Type : Sentier de randonnée

Bipolaire 22

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BIPOLAIRE | Québec À la suite de l’étude de l’Architecte Ishigami, comme le montre les exemples pages suivantes, j’ai eu une grande phase de réflexion. Ayant un point de vue progressant sur son travail, avec l’idée de travailler en symbiose avec la nature, sans limites conventionnelles. Cependant, Ishigami se limite à un pastiche de la nature, et son architecture laisse une trace une fois réalisée.

Ici c’est dans le projet et ses ressentis réels que je souhaite dégager quelque chose de poétique, je veux que le projet lui-même soit une découverte, grâce aux imprévus de la nature. Pour une adéquation parfaite de la nature, il faut que le projet vive aussi, c’est ce qui lui donne la poésie de bouger avec son environnement, et ainsi dévoiler une poésie visuelle en utilisant un paysage peu exploité comme outil principal. Ce projet pourra offrir aux Hommes une confrontation à la solitude, un moment d’isolement, d’introspection, et un recul face au quotidien, une sorte de replis vers soi.

L’architecture paysagère, serait en phase avec ce qui l’entoure, amenant ainsi à une forme de sobriété, comme un simple reflet de la nature, construit.

En réinterprétant ce qui existe déjà, tout en offrant, malgré tout, un confort dans une architecture venant se défaire au grè de la déambulation. Cela rend ainsi une cohésion entre l’homme et la nature, avec l’idée de le réintégrer au sein d’elle-même.

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ESQUISSE D’INTENTION

ESQUISSES D’INTENTIONS

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- BANDE DESSINÉE -

ANALYSE DES PROJETS D’ISHIGAMI | QUÉBEC, CANADA

- AMBIANCES -

ANALYSE DES PROJETS D’ISHIGAMI | QUÉBEC, CANADA

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Semestre : S8 - Deuxième projet Sujet : Analyse d’une chanson vers un projet architectural Surface : 1km Site : Imaginaire Type : Sensoriel

Fusion / Fracas 28

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FUSION/FRACAS | Imaginaire A la suite d’une rencontre avec l’auteur compositeur, interprète Pierre Lapointe je me suis vu attribué la chanson «Debout sur ma tête». L’objectif de ce projet etait de réaliser une architecture sur la base d’une de ses compositions en travaillant le texte, la musique, et l’univers dans lequel elle nous immerge. Suite à de nombreuses réflexions et d’écrits, cette chanson délivre l’idée d’un homme qui se surpasse face aux autres, mais aussi face à lui-même. Si je devais l’imager je choisirais la toile ci-dessous qui représente un homme seul face à un paysage sans fin entre réalité et fantaisie, contemplant son propre royaume. C’est ainsi que debute le projet, un Homme face à l’inconnu.

Peu à peu le projet a pris forme, un lieu de méditation alternant entre une violence incomparable et un calme plat. Il prend en compte l’importance de l’impact de la nature sur l’architecture la laissant se délabrer sous les coups de cette derniere. Cette architecture lymbiryntique propose un cheminement de l’eau à travers l’entièreté du batiment la dirigant en son coeur un bassin couvert.

Les parcours proposés confrontent le corp, à l’architecture et les éléments naturels, positionnant l’Homme au dessus, au niveau ou dessous du niveau de l’eau.

Le projet se veut faire une éloge du temps qui passe, laissant les marques d’usures et de dégradations laissant peu a peu le batiment s’éffondrer sur lui même recouvert peu a peu par les marrées ne laissant pour finir qu’un tas de ruines, évoquant le passage d’un être sur terre.

bout sur Debout ma tête sur ma tête rre Lapointe Pierre Lapointe

amour en devenir Vous qui m'avez tout volé Vous qui m'avez tout volé oisi le pire Mon amour en devenir Volé tout mon royaume choisi le pire Volé tout mon royaume qui me faisaitArire Allez-why, gardez tout qui me faisait rire Et faites-en un arbre sur qui me faisaitCe jouir Allez-why, gardez tout qui me fait mourir Ce qui me faisait jouirQui on éjacule Et faites-en un arbre sur qui me fait souffrir Ce qui me fait mourir Des crachats de regrets Qui on éjacule est-ce que tuCe dirais qui me fait souffrir Qu'est-ce que tu dirais Des crachats de regrets tais debout sur ma tête?que tu dirais Si j'étais debout sur ma tête?

Qu'est-ce Qu'est-ce que tu dirais mme un roi fatigué Crachant sur les passants Si j'étais debout sur ma tête?

Si j'étais debout sur ma tête? oir toujours marché Qui ne comprennent pas Comme un roi fatigué sur les passants u qui coule sur mes doigts Qui ne comprennent Crachant pas toujours marché mme une fleurD'avoir carnivore Que je suis fatigué Qui ne comprennent pas L'eau doigts fleur qui avale toutqui coule sur mes Fatigué de marcher Qui ne comprennent pas Comme une fleur carnivore avale tous les royaumes Fatigué de souffler Que je suis fatigué me les plus beaux royaumes Une fleur qui avale tout Pour chauffer mon royaume Fatigué de marcher me les plus grands royaumes Qui avale tous les royaumes Mon bien trop beau royaume Fatigué de souffler est-ce que tuMême dirais les plus beaux Mon bien trop grandPour royaume royaumes chauffer mon royaume tais debout sur ma tête?

Même les plus grands royaumes Mon bien trop beau royaume mme un roi fatigué Qu'est-ce que tu dirais Mon bien trop grand royaume oir toujours marché Si j'étais debout sur ma tête?

Comme undemandé roi fatigué « Je me suis souvent ce qu’il se passerait si on explosait u’on connait pour en faire émerger du nouveau, bousculer les codes.

D'avoir toujours marché uis nos premiers pas onm'avez dimensionne, on limite, on contacte, en créant Vous qui tout volé « Je meroyaume suis souvent ce qu’il se passerait si on explosait que jours une nouvelle histoire dans laquelledemandé les scènes sont multiples et Volé tout mon se rejoue sans pense avoir sur tout mais c’est un vrai ceexcès. qu’onOn connait pour le encontrôle faire émerger du nouveau, bousculer les codes.

Allez-why, gardez tout rinthe stroboscopique.

Peu à Peu on se on crée son identité avec son propre Depuis nos premiers dimensionne, on limite, on contacte, en créant Et faites-en un situations, arbre pas sur moi que adapté chaque aux différentes je choisi dans la joielaquelle mais demeure jours une nouvelle histoire les scènes sont multiples et Quicôté on éjacule étré par l’autre du miroir celui qui laisse énorme au plus sur tout mais c’est un vrai tout crachats se rejoue sans excès.

On une pense avoirfaille le contrôle regrets ond de mes Des entrailles. Dans de cette boite se trouvait les idées de libertés et labyrinthe que stroboscopique.

Peu à Peu on se crée son identité avec son propre Qu'est-ce dirais Personne ncien fantasmes rongés par latutristesse. ne la voyait sauf moi dans masque adapté aux différentes je choisi la joie mais demeure Si j'étais debout sur ma ature nouvelle, celle qui ne cesse de tetête? détruire. situations, Elle n’obéit moi à aucune pénétré du miroir celui laisse une énorme faille au plus t te laisse seul dans le par regret etpassants ta côté vrai personne qui étaitqui d’une grande Crachant surl’autre les profond de mes entrailles.

Dans cette boiteau sechaos trouvait les idées de libertés et esse et qui finit par dans le ciel, à peu sensible et à Qui nes’envoler comprennent pas peu d’ancien fantasmes rongés tristesse. estruction.

Est-ce la peur des changements ou lalapeur d’êtrePersonne confronténe à la voyait sauf moi dans s Qui ne comprennent pas par e propre réalité ?» la nature nouvelle, celle qui ne cesse de te détruire. Elle n’obéit à aucune Que je suis fatigué loi. et tede laisse seul dans le regret et ta vrai personne qui était d’une grande Fatigué marcher

etrouve danssagesse les deuxet textesfinit l’idée d’un Hommedans qui selesurpasse face aux sensible au chaos et à s’envoler ciel, peu à peu Fatigué de qui soufflerSipar es, mais aussi face à lui-même. je la devrais l’imager je choisirais ou la toile la destruction.

Est-ce peur des changements la peur d’être confronté à es Pour chauffer monseul royaume ontre qui représente un homme face à un paysage sans fin entre notrebien propre ?royaume » mes Mon tropréalité beau té et fantaisie, contemplant son propre royaume. «Toi la star du haut de Mon grand royaume ague descend versbien noustrop tu verras mieux» (Chanson la ballade des gens OnLenorman) retrouve dans lescomme deux textes l’idée d’unleHomme qui se surpasse face aux eux deGérard ce n’est cela que debute projet, un autres, mais aussi face à lui-même. Si je devrais l’imager je choisirais la toile me face à l’inconnu.

Caspar David Friedrich, Le voyageur contemplant une mer de nuages, 1818

ci-contre qui représente un homme seul face à un paysage sans fin entre réalité et fantaisie, contemplant son propre royaume. «Toi la star du haut de vague descendsivers nous tu verras mieux» (Chanson la ballade des gens emandé cetaqu’il se passerait on explosait

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« Je me suis souvent demandé ce qu’il se passerait si on explosait ce qu’on connait pour en faire émerger du nouveau, bousculer les codes. Depuis nos premiers pas on dimensionne, on limite, on contracte, en créant chaque jour une nouvelle histoire dans laquelle les scènes sont multiples et ou tout se rejoue sans excès. On pense avoir le contrôle sur tout mais c’est un vrai labyrinthe stromboscopique. Peu à peu on se crée son identité avec son propre masque adapté aux différentes situations, moi je choisis la joie mais demeure pénétré par l’autre côté du miroir, celui qui laisse une énorme faille au plus profond de mes entrailles. Dans cette boite se trouvait les idées de liberté et d’anciens fantasmes rongés par la tristesse. Personne ne la voyait sauf moi dans la nature nouvelle, celle qui ne cesse de te détruire. Elle n’obéit à aucune loi et te laisse seul dans le regret. Ta vraie personne qui était d’une grande sagesse, finit par s’envoler dans le ciel, peu à peu soumise au chaos et à la destruction.

Est-ce la peur du changement ou la peur d’être confronté à notre propre réalité ? »

- RÉFLÉXION PERSONNELLE -

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Semestre : S7 - Premier projet Sujet : Partir de la forme au programme Surface : 220m² Site : Les plaines d’Abraham - Québec Type : Pôle multiculturel

Double Face 34

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- DOUBLE FDOUBLE FACE | Québec

Au commencement du projet, les formes induites par l’utilisation du carton ont abouti au projet « Double face », un pôle multiculturel où pourrait se développer différentes activités liées au contexte Histoire : surSon lequel vient s’implanter le projet. Il se situe aux plaines d’Abraham sur l’ancien emplacement de Son Histoire : Au commencement projet, les formes par l’utilisation du carton ont découléla vers « Double », un pôle multiculturel où d’un lourd passé, l’Armurerie.

Il est du devenu un induites lieu incontournable pour ville deface Québec, chargé Au commencement du projet, formes induites par l’utilisation du carton ontsur découlé vers «grand Double faceparc », un pôle multiculturel o pourrait se développer différentes activités au contexte sur lequel vient s’implanter leguerre projet.

Il se de situe aux plainesAujourd’hui, d’Abraham l’ancien c’est notamment le lieu duliées champ de bataille delesla 1759. ce de pourrait seface développer différentes activitéschargé liées aud’un contexte lequel vient s’implanter le projet.

Il se situe aux plaines d’Abraham sur l’an 98emplacement hectares situé àIll’est deunla ville, aux remparts, fait partie duc’est quotidien des et des de l’Armurerie. est devenu lieu incontournable pour la ville de Québec, lourdsur passé, notamment le lieu du habitants touristes pour différents types d’activités sportives, culturelles, …

Cependant aucun édifice attitré emplacement de l’Armurerie.

Il est devenu un lieu incontournable pour la ville de Québec, chargé d’un lourd passé, c’est notamment le lie champ de bataille de la guerre de 1759. Aujourd’hui, ce grand parc de 98 hectares situé à l’est de la ville, face au rempart, fait partie du quotidien nedes permet un développement annuel de ces différentes activités. champ de bataille de la guerre de 1759.

Aujourd’hui, ce grand parc de 98 situé à l’est de la ville, face au rempart, fait partie du qu habitants et des touristes pour différents types d’activités sportives, culturelles, … cependant aucun édifice attitré nehectares permet un des habitants et des touristes pour différents types d’activités sportives, culturelles, … cependant aucun édifice attitré ne permet un développement annuel de ces différentes activités.

Les enjeux multiples du projet : développement annuel de ces différentes activités.

Premièrement, travailler l’intégration d’un grand édifice dans un parc naturel, cherchant à s’intégrer à la topographie existante tout en étant facilement repérable. + = = ruralité et urbanité, en réalisant un Le second a été de travailler la mise en scène du contraste entre + = = maillage entre le projet et les plaines par l’idée d’une coupe traversant le bâtiment et dévoilant ses fonctions mais aussi l’idée de décors.

Ce serait comme une « coque extérieure » avec l’utilisation Les enjeux multiples du projet : d’un Premièrement, seul matériau, le d’un béton, sousdans différentes techniques de l’intégration grand édifice un parc naturel, cherchant à s’intégrer à laconstructions. topographie existante tout en étant Les enjeux multiples du projet : Lefacilement troisième a été l’idée de réaliser la moitié du programme dans un sous-sol semi enterré, sans repérable.

Premièrement, l’intégration d’un grand édifice dans un parc naturel, cherchant à s’intégrer à la topographie existante tout en entrée de lumière latérale, mais développant des jeux de lumière zénithale créant différents La seconde fut de travailler la mise en scène du contraste entre ruralité et urbanité, en réalisant un maillage entre le projet et les facilement repérable. aspects scéniques, notammentLadans la petite salle de spectacle ou encore le lieu commun pour plaines par l’idée d’une coupe traversant le bâtiment et dévoilant sestravailler fonctions mais en aussi l’idée décors. Ce serait comme une seconde fut de la mise scène dude contraste entre ruralité et urbanité, en réalisant un maillage entre le projet et les« employés. coque extérieur » avec l’utilisation d’un seulplaines matériau, béton, sous différentes techniques de constructions. par le l’idée d’une coupe traversant le bâtiment et dévoilant ses fonctions mais aussi l’idée de décors. Ce serait comme une La troisième a été l’idée de réaliser la moitié du programme dansl’utilisation un sous-sold’un semiseul enterré, sans entrée desous lumière latérale,techniques mais « coque extérieur » avec matériau, le béton, différentes de constructions.

Ladéveloppant dernière a été celle de la question historique du lalieu à mettre en encore exergue grâce à certains des jeux de lumière créant différentsLa aspects scéniques, notamment dans petite de spectacle lieu enterré, sans entrée de lumière latérale, ma troisième a été l’idée de réaliser la moitié dusalle programme dansou un sous-sollesemi rappels historiques comme le mur d’escalade reprenant l’image de la citadelle infranchissable, ou commun pour les employés. développant des jeux de lumière créant différents aspects scéniques, notamment dans la petite salle de spectacle ou encore le lieu encore la « cheminée » et le toit en « shed » faisant un rappel de l’ancienne Armurerie des plaines.

La dernière a été celle de la question historique lieules à mettre en exergue grâce à certains rappels historiques comme le mur commundupour employés.

Le mur d’escalade est un point fort du projet, c’est ce qui lui permet d’être remarquable au sein d’escalade reprenant l’image de la citadelle infranchissable, « cheminée » et le toit endu « shed faisant un rappel à grâce l’ancienne La dernièreoua encore été cellelade la question historique lieu à» mettre en exergue à certains rappels historiques comme le mu du site et d’accentuer l’aspect « décor » présenté précédemment. De nombreuses recherches ont Armurerie des plaines d’escalade reprenant l’image de la citadelle infranchissable, ou encore la « cheminée » et le toit en « shed » faisant un rappel à l’anc été réalisées afin de trouver l’aspect présenté, avec de nombreuses variations dues aux contraintes Le mur d’escalade est un point fort du projet, c’est ce lui permet d’être remarquable au sein du site et d’accentuer l’aspect Armurerie desqui plaines de sécurité, aux aspects matériels, et aux aspects esthétiques…

« décor » présenté précedemment. De nombreuses ont été l’aspect présenté, avecd’être de nombreuses Lerecherches mur d’escalade estréalisées un pointafin fort de dutrouver projet, c’est ce qui lui permet remarquable au sein du site et d’accentuer l’aspect

variations dues aux contraintes de sécurités, «aspect et précedemment. esthétique… De nombreuses recherches ont été réalisées afin de trouver l’aspect présenté, avec de nombreu décormatériel, » présenté variations dues aux contraintes de sécurités, aspect matériel, et esthétique…

LA DOUBLE FACE DU PROJET LA DOUBLE FACE DU PROJET

36

PLAN MASSE D’IMPLANTATION

- MARIUS CAILL

COLLAGES D’HYPOTHESES: SKATE PARK / PISCINE / POLE MULTICULTUREL

37

- DOUBLE FACE -

remarquable du site d’accentuer ais aussi l’idéeaudesein décors.

Ceetserait comme l’aspect une stechniques afin de trouver l’aspect présenté, avec de nombreuses de constructions.

A

B

B’

PLAN R-1 200ème

semi enterré, sans entrée de lumière latérale, mais ant

C

dans la petite salle de spectacle ou encore le lieu EVOLUTION DE LA FORME

Son Histoire :

PLAN RDC 200ème

Au commencement du projet, les formes induites par l’utilisation du carton ont découlé vers « Double face », un pôle multiculturel où

B

nne grâceemplacement à certains rappels comme le chargé murd’un lourd passé, c’est notamment le lieu du de l’Armurerie.

Il est devenu historiques un lieu incontournable pour la ville de Québec,

pourrait se développer différentes activités liées au contexte sur lequel vient s’implanter le projet. Il se situe aux plaines d’Abraham sur l’ancien

champ de bataille de la guerre de 1759. Aujourd’hui, ce grand parc de 98 hectares situé à l’est de la ville, face au rempart, fait partie du quotidien

née » desethabitants le toit en « shed » faisant un rappel à l’ancienne et des touristes pour différents types d’activités sportives, culturelles, … cependant aucun édifice attitré ne permet un développement annuel de ces différentes activités.

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C

PLANAA’ R-1200ème 200ème COUPE

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Les enjeux multiples du projet : Premièrement, l’intégration d’un grand édifice dans un parc naturel, cherchant à s’intégrer à la topographie existante tout en étant facilement repérable.

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PLAN RDC 200ème

La seconde fut de travailler la mise en scène du contraste entre ruralité et urbanité, en réalisant un maillage entre le projet et les plaines par l’idée d’une coupe traversant le bâtiment et dévoilant ses fonctions mais aussi l’idée de décors. Ce serait comme une « coque extérieur » avec l’utilisation d’un seul matériau, le béton, sous différentes techniques de constructions.

La troisième a été l’idée de réaliser la moitié du programme dans un sous-sol semi enterré, sans entrée de lumière latérale, mais développant des jeux de lumière créant différents aspects scéniques, notamment dans la petite salle de spectacle ou encore le lieu

PLAN R-1 200ème

commun pour les employés.

La dernière a été celle de la question historique du lieu à mettre en exergue grâce à certains rappels historiques comme le mur

COUPE BB’ 200ème COUPE AA’ 200ème C - MARIUS CAILLEAUCOUPE - AA’ 200èmeD

d’escalade reprenant l’image de la citadelle infranchissable, ou encore la « cheminée » et le toit en « shed » faisant un rappel à l’ancienne Armurerie des plaines

ESQUISSES D’INTENTIONS Le mur d’escalade est un point fort du projet, c’est ce qui lui permet d’être remarquable au sein du site et d’accentuer l’aspect

« décor » présenté précedemment. De nombreuses recherches ont été réalisées afin de trouver l’aspect présenté, avec de nombreuses variations dues aux contraintes de sécurités, aspect matériel, et esthétique…

PLAN R-1 200ème COUPE BB’ 200ème

COUPE BB’ 200ème - MARIUS CAILLEAU -

LA DOUBLE FACE DU PROJET

COUPE AA’ 200ème

RA DETAIL -MUR D’ESCALADE DETAIL MUR D’ESCALA MARIUS CAILLEAU -

- MARIUS CAILLEAU -

COUPE BB’ 200ème

MODÉLISATION DE LA FORME

- MARIUS CAILLEAU -

38

DÉTAILS TECHNIQUES

DETAIL MUR D’ESCALADE

DETAIL MUR D’ESCALADE

RAMPE DU DECORS

D

ACE A

A’

B

B’ PLAN RDC

PLAN RDC 200ème

PLAN R-1

PLAN R-1 200ème

COUPE AA’

COUPE AA’ 200ème

COUPE BB’

COUPE BB’ 200ème 39

Semestre : S7 - Deuxième projet Sujet : Appropriation d’un tiers lieu de la ville Surface : 260m² Site : Percée entre les rues St Jean et St Gabriel - Québec Type : Espace de Coworking

L’Entre deux 40

41

L’ENTRE DEUX | Québec

COUPE

Le projet se situe dans la zone extramuros de la ville de Québec. Le choix de cet emplacement est lié au fait qu’il soit éloigné de la zone touristique tout en étant dans un quartier vivant avec un grand nombre d’activités qui l’entoure créant ainsi des connexions envers divers pôles d’activités.

Il s’installe dans une percée entre la rue St Jean et St Gabriel, deux rues complètement opposées amenant à penser en fonction d’un double accès, soit un pour l’espace public et un pour l’espace privé.

Le projet vise à s’intégrer au mieux dans cet entre-deux en reprenant différents aspects qu’il en dégage, que ce soit en façade, en plan, et autres aspérités. Il se compose en deux parties distinctes par la séparation du bloc de circulation verticale reprenant la faille du bâtiment existant. Elles sont toutes composées dans une logique d’espaces alternant entre espaces servis, et servants, ce qui permet d’exploiter au maximum les quatre façades du bâtiment, tout en repoussant les espaces d’entre deux.

Le bâtiment se développe sur une logique de trois traversées à travers le bâtiment, par étage, ce qui permet de rendre l’entre-deux dynamique avec des passerelles reliant les deux parties à travers la faille. Les matériaux sont au plus neutres de manière à favoriser au mieux la concentration et le développement de nouvelles idées.

Il y a eu une grande réflexion sur la façade principale du bâtiment, afin de reprendre l’idée de Bow-window en le réappropriant pour créer des espaces fonctionnels dans le bâtiment en faisant référence aux anciennes toitures canadiennes. Pour ce qui est des ouvertures, le choix est pensé en adéquation avec le plan du quartier retravaillé.

FACADE RUE ST GABRIEL

42

COLLAGE D’INTENTION - ENTRÉE PRINCIPALE

reprendre l’idée de Bow-window en le réappropriant pour créer des espaces fonctionnels dans le bâtiment en faisant référence aux anciennes toitures canadiennes.

Pour ce qui est des ouvertures, le choix a été pensé en adéquation avec le plan du quartier retravaillé.

INTEGRATION

RUE ST GABRIEL RUE ST GABRIEL COUPE SCHEMATIQUE COUPE SCHEMATIQUE

CONNEXION

RUE ST JEAN

RUEINTEGRATION ST JEAN

S.A.M

S.A.M

CUISINE PATIO 

CUISINE

AIRE OUVERTE

ENTRÉE --Rue principale double voies Rue principale double voiesAIRE - Rue principale double voies

RENFONCÉE ACCESSIBILITE- Rue commerciale

OUVERTE

AUTRES

PUBLIC

- Grande = PUBLIC

PUBLIC = PUBLIC

skyline haute

- Petitebasse échelle skyligne basse échelle skyligne RUE ST JEAN = PRIVÉ

COUPE PAYSAGERE = PRIVÉ

IMPERFECTION DE FACADE

PRIVÉ

CIRCULATION VERTICALE

CIRCULATION VERTICALE

ESPACE EXTERIEUR (Terrasse/Parc)

ESPACE EXTERIEUR (Terrasse/Parc)

CONSERVATION DES ARBRES EXISTANTS

CONSERVATION DES ARBRES EXISTANTS RUE ST JEAN

COUPE SCHEMATIQUE COUPE SCHEMATIQUE COUPE SCHEMATIQUE S.A.M CUISINE

RUE RUE STST JEANJEAN

SALLE COWORKING S.A.M

S.A.M

ENTRÉE TERRASSE

ENTRÉE RENFONCÉE

SITE DE PROJET

PATIO

SALLE REUNION

AIRE OUVERTE

ACCEUIL

SALLE PARC COWORKING

ENTRÉE PUBLIC RENFONCÉE CIRCULATION VERTICALE PRIVÉ

PRIVÉ

RESEAU DE BUS

AIRE OUVERTE ACCEUIL

SALLE

REUNION CUISINE

PUBLIC

AIRE OUVERTE

PATIO

TERRASSE

RUE RUE ST GABRIEL STSALLE GABRIEL

REUNION

ACCEUIL

PAR

TERRASSE PATIO

S.A.M

SALLE COWORKING

ACCESSIBILITE

CUISINE

ENTRÉE SALLE RENFONCÉE COWORKING

CUISINE

RENFONCÉE

SITE DE PROJET

COUPE SCHEMATI

voie simple

- Rue de logements

PRIVÉ

ACCESSIBILITE

PARC

-Rue secondaire voie simple -voie Ruesimple secondaire Rue secondaire

=PRIVÉ Petite

COUPE LONGITUDINALE 200ème RESTAURANT

RESTAURANT CAFÉ/BAR MAGASIN CAFÉ/BAR AUTRES MAGASIN

ACCEUIL

- Petite échelle skyligne basse

- Grande échelle skyline haute

-PUBLIC Grande échelle échelle=skyline haute

SALLE REUNION 

 PATIO 

- Rue de logements - Rue de logements

- Rue commerciale- Rue commerciale

SITE DE PROJET SITE DE PROJET

RUE ST GABRIEL

TERRASSE

SALLE PARC COWORKING 

SALLE  ACCEUIL REUNION

INTEGRATION

RUE RUEST STGABRIEL GABRIEL

TERRASSE

SALLE COWORKING ENTRÉE RENFONCÉE

OPPOSITION

PARC

TERRASSE PATIO

SALLE REUNION

ACCEUIL

PARC

AIRE OUVERTE

ESPACE EXTERIEUR (Terrasse/Parc)

RESEAU DE BUS

STATIONNEMENTS DE PROXIMITÉ

CIRCULATION VERTICALE

CONSERVATION DES ARBRES EXISTANTS

VOIES MULTI-USAGES (VOITURE/VELO/PIETON)

STATIONNEMENTS DE PROXIMITÉ

ESPACE EXTERIEUR (Terrasse/Parc)

VOIES MULTI-USAGES (VOITURE/VELO/PIETON)

SITE DE PROJET RESEAU DE BUS STATIONNEMENTS DE PROXIMITÉ VOIES MULTI-USAGES (VOITURE/VELO/PIETON)

PUBLIC

PUBLIC CONSERVATION DES ARBRES EXISTANTS

PRIVÉ

PRIVÉ

CIRCULATION VERTICALE

CIRCULATION VERTICALE

ESPACE EXTERIEUR (Terrasse/Parc)

ESPACE EXTERIEUR (Terrasse/Parc)

CONSERVATION DES ARBRES EXISTANTS

CONSERVATION DES ARBRES EXISTANTS

FACADE ST JEAN

PROJET DE COWORKING - L’ENTRE DEUX - PROFESSEUR ASSOCIÉ SYLVAIN BILODEAU - MARIUS CAILLEAU ESQUISSES D’INTENTIONS COUPE PERSPECTIVE DE LA FAILLE

SCHÉMA DU DÉGR

CAPS

CAPSU

COLLAGE D’INTENTION - ENTRÉE COTÉ RUE ST JEAN

ASSOCIÉ SYLVAIN BILODEAU - MARIUS CAILLEAU

COLLAGE D’INTENTION - ESPACE D’ENTRE DEUX

43 PROJET DE COWORKING - L’ENTRE

AXONOMETRIE STRUCTURELLE

AXONOMÉTRIE ÉCLATÉE 44

PRINCIPE D’OUVER

PRINCIPE D’OUVERTURE

PLAN R+2 200ème

TERRASSE

PLAN R+2

PLAN R+1 200ème

PLAN R+1

PLAN RDC 200ème

DU DÉGRADÉ DE COULEUR

PLAN RDC

COUPE LONGITUDINALE 200ème

CAPSULE DE REPAS

COUPE LONGITUDINALE FACADE RUE ST GABRIEL

CAPSULE DE TRAVAIL

FACADE ST JEAN

45

3/ ANNEXES

ARCHITECTURE ET APPROPRIATION

EXPERIMENTATION ET LOGEMENT COLLECTIF EN FRANCE

Documents supplémentaires ARCHITECTURE ET APPROPRIATION

EXPERIMENTATION ET LOGEMENT COLLECTIF EN FRANCE

On observe l’apparition d’une remise en question multidisciplinaire sur la réflexion liée à l’appropriation du logement collectif. Cependant, cette idée n’est pas neuve, elle était déjà présente à partir des années 50. Nous étudierons premièrement la notion « d’appropriation », partant de recherches sociologiques afin d’en déduire une définition générale, et verrons comment celle-ci est perçue.

Pour ce faire, nous aborderons en priorité l’action de l’habitant, puis comment cette notion est valorisée par les concepteurs (Sociologues, Architectes, etc.) Une approche chronologique comparative permettra de répondre à la problématique suivante : Comment aujourd’hui, la question de l’appropriation dans le logement collectif en France, se renouvelle-t-elle ?

Séminaire d’initiation à la recherche : Architecture Contemporanéité Complexité Marius Cailleau

2020/2021

- MÉMOIRE DE RECHERCHE -

46

On RECHERCHES observe l’apparition remise en question Pour faire, nous COLLECTIF aborderons en priorité l’action de DE FIN d’une D’ÉTUDE | L’APPROPRIATION DU ce LOGEMENT - LILLE, FRANCE multidisciplinaire sur la réflexion liée à l’appropriation du l’habitant, puis comment cette notion est valorisée par les logement collectif. Cependant, cette idée n’est pas neuve, concepteurs (Sociologues, Architectes, etc.) Une approche

TRAVAIL PHOTOGRAPHIQUE EN LIEN AU PROJET DE FIN D’ÉTUDE

Je cherche avec cette série de photographies à présenter la vision que j’ai eue de l’usine du Peignage Charles Amédée Prouvost lors de mes nombreuses visites. Chacune d’entre-elles était une redécouverte de l’édifice me présentant des atmosphères changeantes selon les saisons, les heures, la lumière, la température. Comme une nouvelle rencontre à chacune de mes venues.

Ces photographies m’ont permis de capturer des ambiances qui faisaient sens pour moi et qui ont nourri ma réflexion architecturale notamment dans la compréhension du lieu.

J’ai écrit un poème qui dialogue avec les photos de cet édifice qui, chargé d’histoire, témoigne encore aujourd’hui d’un passé ouvrier oublié.

En collaboration avec l’artiste photographe Lilloise Hélène Marcoz - ANALYSE PHOTOGRAPHIQUE -

RECHERCHES PROJET DE FIN D’ÉTUDE | USINE DU PEIGNAGE AMÉDÉE PROUVOST |ROUBAIX, FRANCE

47

48

- MAQUETTES PFE LA FA’BRIQUE| S10 | 2021|ENSAPL

MAQUETTE D’ENSEMBLE 1/200ème

MAQUETTE DÉTAIL 1/50ème MAQUETTE DETAIL 1/50ème

- MAQUETTES ERASMUS L’ENTRE DEUX| S7 | 2020|QUÉBEC

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50

- ANALYSE ARCHITECTURALE CHAPELLE DE TADOUSSAC | SYLVIO BRASSARD | 1750 | TADOUSSAC, QUÉBEC

- ANALYSE ARCHITECTURALE ÉCOLE PRIMAIRE A GANDO| DIÉBÉDO FRANCIS KÉRÉ | 2001|GANDO, BURKINA FASO

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PORTFOLIO CAILLEAU MARIUS ARCHITECTE DE 2016 - 2021 54