

CV - MARC- FOURNIER
Formation
University of Waterloo
Master of Architecture (M. Arch)
McGill University
Master of Architecture (non-complétée)
Université de Montréal
Baccalauréat en Architecture (B. Arch)
Cégep Vanier College
Double DEC Music and Social Science Hons.
Expérience professionnelle
Auxiliaire de recherche
(Quality of Multi-Unit Residential Buildings in Waterloo Region)
Rédaction de revues de littérature, documentation et analyse d’études de cas de bâtiments multilogements, photographie, réalisation de dessin d’architecture et d’entrevues
Auxiliaire d’enseignement (Modernisms: Global and Local)
Correction et rétroaction, animation et médiation de groupes de lecture, enseignement magistral
Collaborateur en architecture (ALA + L’Ensemble)
Participation à plusieurs projets de recherche-conception, conception architecturale, illustration, schématisation, modélisation, recherche et collecte de données
Auxiliaire de recherche (Chaire de recherche du Canada CRC-ACME)
Archivage et documentation de concours, illustration, rédaction éditoriale, montage audiovisuel, liaison académique, participation à la planification et l’organisation d’un partenariat pan-Canadien, coordination et obtention de droits d’auteurs et d’images, coordination de sources bibliographiques
Auxiliaire d’enseignement
(Histoire de l’architecture moderne + Ateliers 3 et 4)
Correction et rétroaction, accompagnement de projets d’architecture, participation aux séances de critique
2023-2025
automne 2022
2019-2022
2016-2019
2023-auj.
2024 2022-2023
2021-2022
2021-2022
Prix et bourses
Bourse d’études supérieures du Canada (BESC-M)
Attribuée par le Conseil de recherche en sciences humaines du Canada
Prix d’excellence LEMAYMICHAUD Architecture Design
Prix attribué à un projet pour la qualité de l’expérience des espaces architecturaux plaçant l’usager au centre des décisions conceptuelles (avec Joëlle Tétreault)
Prix d’excellence Patricia-Falta
Prix attribué à un projet qui se distingue par la qualité exemplaire de la conception de l’accès universel.
Bourse d’excellence
Prix remis au meilleur projet développé par les étudiant•es de 2e année (avec Vincent Morrier)
Concours (lauréat)
Il fait beau dans l’métro (premier prix)
Charette du CCA 2023 : Un transport hors du commun (avec Joëlle Tétreault et Xavier St-Jean Labrecque)
Cadavre Exquis (mention du jury)
Call for Architecture Drawings 21 | Entelechia la divina costante (avec Joëlle Tétreault)
Mention du jury
Les insomniaques s’amusent... (deuxième prix)
Charette du CCA 2020 : La ville 25h (avec Xavier St-Jean Labrecque, Joëlle Tétreault et Charlotte Audifax)
Publications
A Comparative Analysis of Social Housing Design Standards in Canada
Quality of Multi-Unit Residential Buildings in Waterloo Region (co-écrit avec Adrian Blackwell)
From For to With: Towards an Allographic Approach in Architecture
Projet-thèse
(sous la supervision de Tara Bissett)
Quand le chantier tourne à la fête interdite
Chaire de recherche du Canada CRC-ACME (co-écrit avec Jean-Pierre Chupin)
UN AIR DE FAMILLE
propose un ensemble tripartite d’équipements collectifs pour répondre au manque d’espaces publics à Lachute et revitaliser son noyau villageois. La rue principale regroupe la majorité des fonctions civiques et commerciales du village en un front bâti linéaire et continu. Derrière cette façade s’étire un vaste stationnement – une friche fragmentée au tissu effiloché qui couvre plusieurs lots. Ce site est envisagé comme le point de départ d’une revitalisation sociale progressive visant à densifier et dynamiser le centre urbain.
Le projet imagine une famille de trois bâtiments publics – l’Atelier, le Centre civique et le Centre d’exposition –chacun doté d’une programmation distincte. Ces trois édifices, tout en ayant des personnalités architecturales propres, partagent un langage commun: un système d’ossature légère exagéré, un bardage en bois rappelant les constructions vernaculaires locales et l’utilisation de marquises périphériques. L’Atelier, une longue structure rouge au caractère invitant, le Centre d’exposition, une tour élancée coiffée de vert qui émerge discrètement derrière la rue principale, et le Centre civique, un bâtiment trapu et bleu, fonctionnent comme des variations sur un thème, renforçant la cohésion de l’ensemble tout en valorisant la diversité des usages.
Malgré leur implantation en retrait, à l’arrière du site, ces interventions s’arriment à la rue principale par des espaces publics conçus comme des quais ou des jetées. Ces lieux permettent de quitter l’espace linéaire de la rue pour investir la friche, transformant progressivement le stationnement en un espace actif et social.
Ces bâtiments, construits progressivement, visent à établir une mémoire civique collective en invitant la communauté à participer activement au développement de son environnement. Ils s’intègrent dans le contexte existant, réinterprétant les couches d’industrie légère et d’auto-construction vernaculaire présentes sur le site. Ce processus met en avant une culture de la circularité – tant des matériaux que de l’artisanat – en créant des espaces où les savoir-faire locaux sont valorisés et partagés.
projet complet première session de la maîtrise université mcgill automne 2022



axonométrie frontale de la rue principale





centre civique: plan du rez-de-chaussée

centre d’exposition: plan du rez-de-chaussée

atelier: plan du rez-de-chaussée

Toit à faible pente:
Membrane de toit
Isolant rigide, 2 épaisseurs de 50 mm
Membrane pare-air / pare-vapeur
Panneau de LVL, ÉP: 50 mm
Poutrelles de LVL, 50mm X 300mm
Solin au parapet
Support au parapet
Poutrelle de rive en LVL
Enveloppe:
1. Lattes horizontales de bois massif, 38mm X 150mm
2. Lattes verticales de bois massif, 38mm X 150mm
3. Lattes horizontales de bois massif, 18mm X 90mm @ 128mm c.c.
4. Supports verticaux en bois massif, 70mm X 13mm
5. Vide d’air continu, 25mm
6. Isolant minéral rigide, ÉP: 100mm
7. Membrane pare-air / pare-vapeur
8. Panneau de LVL, ÉP: 50mm
9. Colombage de bois, 38mm X 150mm @ 610mm c.c.
10. Panneau de gypse, ÉP: 18mm
11. Colonne de LVL, 150mm X 300mm
Marquise:
Chevrons de bois, 38mm X 140mm
Contreplaqué, ÉP:18mm
Panneau d’acier ondulé, ÉP: 25mm
Solin d’aluminium sur une planche de rive en bois massif 38mm X 140mm
Plancher:
Béton fini, ÉP: 50mm
Dalle de béton armé, ÉP: 250mm
Isolant rigide, ÉP: 50mm
Remplissage granulaire, ÉP: 300mm
Mur de fondation:
Mur de béton armé, ÉP: 400mm
Semelle continue @ 1500mm sous le niveau du sol
Isolant rigide, ÉP: 100mm
Membrane pare-air / pare-vapeur
Drainage
Tuile pleureuse

atelier: coupe longitudinale

centre d’exposition: coupe longitudinale

centre civique: coupe transversale

vue intérieure de l’atelier



salle d’exposition


salle polyvalente
DESSINE-MOI UNE MAISON
prix LEMAYMICHAUD
atelier d’architecture 5
troisième année du baccalauréat
université de montréal
automne 2021

fragment constructif 1:30
propose un cadre structurel, fonctionnel et social – une infrastructure d’habitation – qui répond aux besoins actuels et futurs en matière de logement tout en canalisant les énergies créatives et ludiques des résident•es. le développement d’un milieu de vie cohésif et inclusif. Le projet agit comme un outil spatial et social, favorisant la création d’une identité commune, construite collectivement selon les aspirations des résident·es.
L’approche repose sur une analyse approfondie des contextes social, formel et urbain du quartier, avec pour objectif d’imaginer des modèles alternatifs face à la crise du logement actuelle. Le projet s’implante sur la frange résiduelle du centre sportif Étienne-Desmarteau et y introduit des fonctions résidentielles qui parasitent le monofonctionalisme du site et s’imbriquent dans l’écosystème institutionnel existant. Les nouvelles activités s’inscrivent en tension avec les programmes existants, forçant leur interaction et leur contamination mutuelle.
Le projet propose de petits logements pour réduire les coûts de location, ainsi que des espaces collectifs dans la barre située sur Bellechasse. Le projet étant envisagé dans sa temporalité, on envisage une occupation variable du bâtiment où les logements peuvent croître et décroître au rythme de la vie domestique de leurs habitant•es; une transformation rendue possible par un système de parois légères et de mobilier modulable. Un guide de l’utiliseur•ice est développé afin d’encadrer la gouvernance du site et son auto-gestion par les occupant•es.



une infrastructure temporelle maquette 1:100


étude de site • secteur à l’étude

étude de site • contexte immédiat

étude de site • liberté, chaos et appropriation





élévation 13e avenue

plan du rez-de-chaussée

élévation rue bellechasse

élévation est

articulation des volumes

circulations intérieures

Ceints d’un haut mur de pierre, les jardins du Carmel forment un ensemble isolé au cœur du Mile-End; coupé du tissu urbain environnant. Leur qualité recluse et protégée en fait une véritable hétérotopie urbaine qui puisse accueillir un programme de résidence prothétique pour les personnes atteintes d’Alzheimer.
S’OUBLIER DANS LES JARDINS DU CARMEL
prix patricia falta
atelier d’architecture 6
troisième année du baccalauréat
université de montréal
hiver 2022

le construit cède peu à peu place au paysage...
propose un milieu de vie cohérent avec l’essence du lieu – un microcosme communautaire – permettant à ses résident·es d’évoluer librement entre architecture et paysage tout en les accompagnant à travers les stades de la maladie. Le projet développe une architecture douce qui puisse tantôt rassurer tantôt stimuler l’imaginaire des résident·es dans un contexte prothétique empruntant tour à tour aux échelles domestique et urbaine.
L’espace central se déploie entre un tapis de bois et une coque qui assoit et contient l’espace. Cette coque revêt et abrille les espaces de vie en réinterprétant le langage matériel de la chapelle des Carmélites et de son chœur. Les murs, eux, s’effacent en un mince rideau de verre et d’aluminium; contribuant à dilater l’espace horizontal et à projeter le regard vers l’extérieur. Une circulation périphérique, accompagnée d’une main courante en bois, guide les résident·es dans leur déambulation. Aux intersections entre la coque et les barres programmatiques, le tapis cède au minéral, marquant des seuils distincts. Ces pivots hébergent des sous-espaces qui font figure de cabanes dans l’espace libéré.
À l’extérieur, les matériaux dialoguent avec le monastère: la coque en zinc rouge évoque les projections de bois et d’acier peint du couvent, tandis que les volumes principaux réinterprètent la sobriété minérale en utilisant du gabion. On reprend ainsi les résidus de pierre grise montréalaise, abandonnés sur le site, pour les (re)structurer sous un mince filet d’acier.

axonométrie


ci-haut: articulation programmatique ci-contre: plan de rez-de-chaussée







un phare écarlate

des cabanes dans l’espace libéré






restucturer sous un mince filet d’acier

une couverture de bois
from for to with
Bien que les transformations du cadre bâti soient inévitables, la discipline architecturale vise souvent à produire des artefacts idéalisés qui réfutent le passage du temps. Cette approche professionnelle perpétue des dynamiques unilatérales, oppressives, et aliénantes. En étudiant l’incapacité de l’architecture à prendre en compte différentes temporalités, cette recherche souligne comment les architectes négligent leur capacité à favoriser des interactions significatives avec l’environnement bâti. Le rôle de l’architecte doit être redéfini comme celui de traducteur des désirs et des besoins collectifs, comme concepteur de structures qui encouragent l’action et permettent aux individus de s’engager activement dans leur milieu de vie. Ce changement de paradigme nécessite une réévaluation du processus de conception traditionnel de l’architecte et un élargissement de son champ d’application, incluant des outils qui considèrent le temps et l’agentivité comme des variables essentielles.
FROM FOR TO WITH: VERS UNE APPROCHE ALLOGRAPHIQUE EN ARCHITECTURE
projet-thèse maîtrise
université de waterloo
2023-2025

propose de passer de la production d’artefacts à la conception de systèmes architecturaux inspirés des arts allographiques. La pensée allographique se concentre sur le processus plutôt que sur le produit final, en redéfinissant les relations entre auteur, concepteur, interprète et utilisateur, en mettant l’accent sur les possibilités et les obstacles, en favorisant l’action des utilisateurs et en acceptant la contingence.
Les Habitations Jeanne-Mance, un ensemble de logements sociaux d’après-guerre à Montréal, sont utilisées comme étude de cas pour aborder les problématiques de permanence, d’aliénation et de non-réciprocité, tout en servant de terrain d’expérimentation pour une intervention spéculative intégrant la pensée allographique. Ce processus permet de développer un système favorisant la participation active des utilisateurs, l’indétermination et l’établissement de relations réciproques entre les résidents et leur environnement bâti. (lien vers le document complet)







from for to with

habitations jeanne-mance: vue cavalière du site
EX01: exterior playground

C01: ramp
PBE14: public space monitoring
interventions potentielles: extension de la garderie
ED08: daycare classroom
PBE08: painting mural
from for to with

interventions potentielles: espaces éducatifs et porche

MK07: gardening room
SC12: closets
ED17: community kitchen
ED19: dining room
from for to with












exemples de composantes programmatiques, syntaxiques et structurelles du catalogue de l’usagèr•e
“infills” canopée d’acier

dalles de services
exo-squelette d’acier
composantes structurelles du système
from for to with 04

la barre agit comme seuil entre l’intérieur et l’extérieur

les interventions peuvent devenir des structures de jeu

adossée aux bâtiments existants, la barre devient porche

la construction est envisagée comme opportunité relationnelle

les barres perpendiculaires entourent les programmes existants
sous
les insomniaques s’amusent


typologies potentielles


LES INSOMNIAQUES S’AMUSENT
deuxième prix
charrette interuniversitaire du cca
la ville de 25h hiver 2020
invite les noctambules à explorer la nuit de leur métropole, les poussant à se rencontrer et échanger sur une scène expérientielle créative et collaborative.
La proposition vise à rétablir le dynamisme et la vitalité du réseau d’autobus de la ville de Montréal à travers la journée de 25h; à en équilibrer le fonctionnalisme objectif diurne par un contrepoids créatif et libre. Ainsi sont donc proposés des aménagements urbains nocturnes se manifestant en une série d’espaces en mouvement aux programmes changeants et variables, se positionnant comme laboratoires d’échanges. Poursuivant leur trajet quotidien à travers la nuit, les autobus lient les différentes expériences de la ville en renforçant son identité marginale.
Différentes typologies programmatiques émergeront naturellement alors que les citoyen•nes de la ville nocturne, s’appropriant les espaces, proposeront des utilisations à la mesure de leurs désirs et de leurs quartiers. Un dialogue créatif est alors établi entre la ville et ses habitant•es.
La proposition permet également de poursuivre l’offre de service en transport de la STM dans la nuit, en en justifiant l’extension par un programme complémentaire. Les travailleur•euses pourront ainsi côtoyer les nouveaux usagers du réseau dans un contexte ouvert, inventif et inclusif. (extrait)






coupe transversale élévation longitudinale

xavier st-jean, joëlle téreault et charlotte
charrette
Reconnaissant la valeur du métro dans la définition d’une culture métropolitaine, la proposition cherche à favoriser la résilience de nos systèmes de transport en commun en explorant leur capacité à porter un imaginaire collectif urbain. Le métro de Montréal est un système profondément événementiel, marqué à la fois par de grands jalons comme l’Expo 67 et les débats médiatiques liés à l’arrivée du REM, mais aussi par sa capacité à soutenir les activités spontanées à même ses infrastructures.
IL FAIT BEAU DANS L’MÉTRO
premier prix
charrette interuniversitaire du cca
un transport hors du commun hiver 2023
propose de tirer profit du potentiel du réseau à accueillir les appropriations citoyennes en accélérant et démultipliant les événements pouvant y avoir lieu, les organisant selon une programmation annuelle. Les interventions temporaires visées prennent place sur l’ensemble du réseau et naissent à l’intersection de la forme des stations – structure, morphologie – et des spécificités culturelles locales – l’identité d’un quartier, ses acteur•ices, ses groupes communautaires. Ces programmes éphémères sont de durée et de nature variées, déterminées par et pour les communautés locales visées.
À la manière d’une transcription sonore, les évènements sont envisagés comme des objets de nature, d’intensité et de durée variable répartis sur la période d’une année, réconciliant une société tout juste sortie de convalescence avec la temporalité de la ville : la nuit, le jour, les fêtes et les saisons.
planification annuelle et événements










xavier st-jean labrecque et joëlle tétreault
charrette
station place d’armes: potluck et partage culinaire
station angrignon: spectacle de cirque
station beaudry: catwalk et voguing
la


les habitats abrités une toile volante
LA TENTE (ET AUTRES GRANDS ESPACES)
festival international des jardins de métis automne 2024
L’intervention se hisse comme une tente immense dont la toile s’étire vers la forêt, générant ainsi un espace interstitiel ambivalent : à la fois intérieur et extérieur, construit et déconstruit, humain et paysager. La tente, espace liminal, chevauche la frontière entre architecture et nature; n’appartenant ni à l’une ni à l’autre. Sa toile recouvre la clairière et s’ancre aux arbres environnants, qu’elle adopte comme piliers. Les végétaux forestiers s’immiscent à leur tour sous le voile et en brouillent la limite.
La curieuse voûte synthétique filtre la lumière et ondule sous la brise. Le construit imite la nature: son grand mât comme tronc, ses poutres comme branches, sa toile comme canopée - ou serait-ce plutôt la nature qui imite le construit?
La chambre verte - ses quatre murs feuillus, son plancher terreux et son plafond étoilé - invitent les visiteur·euses à s’imprégner de son espace et de ses contradictions; à entrer dans sa clairière aux branches anodisées, au sol de mousse et au ciel plastique.

axonométrie éclatée

s’étendre sous un ciel plastique
en collaboration avec xavier st-jean labrecque et joëlle tétreault
CADAVRE EXQUIS
lauréat
library illustrazioni
call for architectural drawings entelechia
automne 2021
Le processus de construction implique la transfiguration de potentialités en réalités. Par l’acte de concevoir, les idées sont articulées et concrétisées dans la forme bâtie, mais une fois qu’un sentiment de complétion est atteint, toute cultivation additionnelle du potentiel du bâtiment est supplantée par une simple maintenance. La conservation, forme de taxidermie formelle et programmatique, ignore la réévaluation constante et nécessaire des nouveaux potentiels révélés par l’occupation humaine.
Nous proposons l’entéléchie comme une manière collective d’améliorer, de s’approprier et de redéfinir la forme bâtie pour qu’elle concorde avec la mutation perpétuelle de nos besoins sociaux; modifiant constamment la signification des bâtiments et réalisant leur potentiel au-delà de leur construction.

joëlle tétreault
CROQUIS EN VRAC


