Laurent'S CITY MAGAZINE LUXEMBOURG · AbrĂLL'11
The graphic designer is passionate about bicycles and says cycling in the capital city is joy. Ce graphiste est un passionnĂ de vĂlo et il affirme que faire du vĂlo dans la capitale luxembourgeoise est un vrai plaisir. Nduncan robertsâ Ojulien becker
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aurent Daubach does as much as he can by bike. âI find the streets here quite easy to ride, not at all dangerous or difficult as some people claim.â But Laurent doesnât just commute by bike, he also has different bikes for different occasions â for sport, shopping, and even for playing bike polo. He even uses the cityâs velâoh! bikes for short distances when visiting clients. âBicycles have been a long standing passion,â he explains. Luxembourg could have more bicycle users, but Laurent understands that many commuters come from outside the city, even from across the borders, so cycling is not really an option for them. But he does not subscribe to the view that people in Luxembourg with their luxury cars still see cycling as a poor manâs mode of transport. âPeople who cycle realise what a true luxury it is,â he says. Q
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âPeople who cycle realise what a true luxury it is.â «âLes gens qui font du vĂ©lo se rendent compte que câest un vrai luxe.â» Laurent Daubach
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aurent Daubach se dĂ©place en vĂ©lo chaque fois quâil le peut. «âJe trouve les rues de la capitale faciles Ă parcourir en vĂ©lo et pas du tout dan gereuses ou difficiles, comme certains le prĂ©tendent.â» Mais Laurent ne se contente pas dâaller au travail en vĂ©loâ: il en possĂšde plusieurs pour diffĂ©rentes occasions â pour faire du sport, faire ses courses et mĂȘme jouer au polo-vĂ©lo. Il se sert aussi des «âvelâohâ» de la ville pour de courts trajets lorsquâil doit rencontrer des clients. «âLe vĂ©lo est une passion depuis longtempsâ», explique-t-il. La ville de Luxembourg pourrait compter davantage dâutilisateurs de vĂ©los, mais Laurent sait que de nombreux navetteurs viennent de lâextĂ©rieur de la capitale, et parfois mĂȘme de pays frontaliers, donc le vĂ©lo ne reprĂ©sente pas vraiment une option pour eux. Mais il ne partage pas lâopinion selon laquelle les rĂ©sidents luxembourgeois, avec leurs voitures de luxe, considĂšrent encore le vĂ©lo comme le moyen de transport du pauvre. «âLes gens qui font du vĂ©lo se rendent compte que câest un vrai luxeâ», dit-il. Q
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