Revue de presse fevrier 18

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REVUE DE PRESSE LOUVIGNY Février 2018

Air de fête a présenté son agenda 2018 Publié le 12/02/2018 / Ouest France Lors de son assemblée générale, qui s’est tenue vendredi, l’association Air de fête, dont l’objectif est de proposer des moments festifs dans la commune, a présenté les différents événements qui jalonneront l’année, dont samedi 24 mars, à 15 h, un carnaval sur le thème du cirque avec la participation du cirque Borsberg (spectacle de clôture) ; du 26 au 29 mars, une exposition sur le cirque à la salle des fêtes ; dimanche 3 juin, un vide-greniers organisé par le comité de jumelages ; samedi 1er et dimanche 2 septembre, la fête communale de la Saint-Côme, le forum des associations, et les courses pédestres La Loupy (dimanche) ; samedi 1er et dimanche 2 décembre, le marché de Noël et les stands Téléthon ; et le samedi 8 décembre, le pôle sportif Téléthon.


23 fĂŠvrier / Ouest France


À Madagascar, « l’eau potable est une priorité ! »

Nicole Bars, présidente d’Amitié Madagascar Normandie. | Ouest-France

Publié le 26/02/2018 / Ouest france Créée avec cinq adhérents, Amitié Madagascar Normandie en compte aujourd’hui trente-huit qui s’investissent sur un programme de développement en eau potable et assainissement. Entretien Nicole Bars, présidente d’Amitié Madagascar Normandie. Pouvez-vous présenter l’association Amitié Madagascar Normandie ? Depuis sa création, en 2006, Amitié Madagascar Normandie (AMN) est à l’origine de quarante-quatre puits creusés sur le territoire de cinq communes rurales situées sur la côte est de Madagascar. Pour 2018, elle projette un programme de développement d’accès à l’eau potable ainsi que la mise en place d’un réseau d’assainissement dans la commune de Niarovana Caroline. En quoi la question de l’eau potable est-elle cruciale ? La question de l’eau ne se pose pas en termes de rareté sur cette partie de l’île. Ce qui pose problème, c’est sa salubrité. La plupart des habitants vont puiser l’eau dans des marigots insalubres. Cette eau est vecteur de transmission de nombreuses maladies infectieuses liées aux virus, bactéries et parasites qu’elle contient. Nombre de maladies qui pourraient être évitées par un bon système d’assainissement, ainsi qu’une éducation au lavage des mains. Mais pour cela il faut des structures. Or, sur les 41 villages qui composent la commune de Niarovana Caroline, 17 n’ont aucun ouvrage d’accès à l’eau potable. Comment prioriser les besoins ?


Un plan communal de développement en eau et assainissement a été élaboré sur place. Ce document donne une visibilité complète de la situation, et autorise une véritable programmation de travaux s’inscrivant dans une logique de développement, dans laquelle pourront s’impliquer les institutions publiques malgaches. Vingt puits réalisés par AMN, ainsi qu’un bloc sanitaire ont été recensés. Cela nous a permis de prioriser localement les besoins : 20 puits et 2 adductions gravitaires (captage et protection de source) d’eau potable sont donc envisagés. Sur la place du marché, un bloc sanitaire public, - équipé d’une pompe solaire - payant et géré par la commune, est prévu, ainsi qu’un autre bloc sanitaire près d’une école. Ces travaux seront réalisés par des entreprises locales compétentes. Et pour les financer ? Une subvention confirmée de 4 000 € de Caen-la-Mer, ainsi que la participation de l’Institution Saint-Pierre assure déjà la réalisation du bloc sanitaire sur le marché. Une opération internationale est en cours avec les clubs Rotary de Caen-Abbayes et de Deauville, le Reading anglais, le Sisli turc, ainsi qu’avec les clubs Vovonana et Tamatave malgaches. Appelé Global Grant, ce projet, dont AMN est partie prenante, permettra à chaque club de verser une somme abondée par son district respectif. La globalité sera regroupée à la fondation Rotary.


27 fĂŠvrier / Ouest France



Caen et Agglo 2 fĂŠvrier / Ouest France


6 fĂŠvrier / Ouest France


Caen. Les dernières tempêtes ont couché 80 peupliers Publié le 07/02/2018 / Ouest France

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Les opérations de dégagement de ces arbres tombés ont commencé ce mercredi 7 février 2018. | Ouest-France

Benoît LASCOUX. Plusieurs peupliers se sont couchés sur la voie verte entre Caen et Louvigny. C’est lié au passage des tempêtes successives fin 2017 et de ce début d’année. Ils sont dégagés par les agents du service espaces verts de Caen depuis ce mercredi 7 février 2018. La voie verte au départ de Caen, et plus largement le parc péri-urbain entre Caen, Louvigny et Bretteville-surOdon, gardent des stigmates des récentes inondations, et des tempêtes de décembre 2017 et janvier 2018. Sur la voie verte, huit hauts peupliers se sont couchés, sous les coups du vent. L’un barre même l’Orne dans toute sa largeur, devant l’ancien camping. Pour les marcheurs, coureurs et autres vététistes, il faut escalader les gros troncs, voire contourner les arbres dans la gadoue. À l’échelle du parc, les dégâts des tempêtes sont assez importants : « Près de 80 peupliers sur 1 536 ont été victimes de Eléanor », comptabilise la mairie. Les opérations de dégagement de ces arbres ont débuté ce mercredi 7 février 2018. Cinq agents du service espaces verts de Caen sont sur le pont.


Caen. La météo a eu raison des arbres près de l’Orne Publié le 07/02/2018 / ouest france

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Cet arbre, qui borde la voie verte près de Caen, s’est couché en travers de l’Orne. | Ouest-France

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Plusieurs arbres se sont couchés, sur la voie verte près de Caen. | Ouest-France


Plusieurs arbres se sont couchés, sur la voie verte près de Caen. | Ouest-France

agents du service espaces verts de la Ville de Caen ont commencé par dégager les peupliers qui s’étaient couchés sur la voie verte. | Ouest-France

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Plusieurs arbres se sont couchés, sur la voie verte près de Caen. | Ouest-France

opérations de dégagement de ces arbres tombés ont débuté mercredi 7 février 2018. | Ouest-France

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Les agents du service espaces verts de la Ville de Caen ont utilisé un tracteur pour dégager les branchages. | Ouest-France

Laurent NEVEU. Plusieurs peupliers se sont couchés sur la voie verte entre Caen et Louvigny, depuis début 2018. À l’échelle du grand parc qui s’étend jusqu’à Bretteville, ce sont près de 80 arbres en moins. Zone abîmée La voie verte au départ de Caen, et plus largement le parc périurbain entre Caen, Louvigny et Bretteville-surOdon, gardent des stigmates des récentes inondations, et des tempêtes de décembre et janvier. Il y a eu surtout Eleanor, le 3 janvier 2018, précédée de Bruno et Carmen, fin décembre 2017. Sans oublier les traces de Fionn, entre les 16 et 18 janvier 2018. Voie verte entravée Sur la voie verte, huit hauts peupliers, leurs racines trempant dans une terre spongieuse, se sont couchés, sous les coups du vent. L’un barre même l’Orne dans toute sa largeur, devant l’ancien camping. Pour les marcheurs, coureurs et autres vététistes, il faut escalader les gros troncs, voire contourner les arbres dans la gadoue. Troncs débités « Les arbres tombés vont être dégagés entre mercredi et la fin de semaine, indique la mairie caennaise. Les inondations successives de ces zones humides n’ont pas permis d’intervenir avant. »

80 peupliers tombés


À l’échelle du parc, les dégâts des tempêtes sont assez importants : « Ce sont près de 80 peupliers sur 1 536 qui ont été victimes de Eleanor  » , comptabilise la mairie.

Notre vidéo du début des opérations de dégagement des arbres Bois recyclé « Ces arbres vont être débités et orientés vers des filières de commercialisation (plaquette pour chaufferie bois, déroulage ou sciage en bois, emballage suivant la qualité, etc.), indique-t-on à l’hôtel de ville. Le remplacement de ces arbres est bien entendu prévu. » Les opérations de dégagement de ces arbres ont commencé mercredi 7 février 2018. Cinq agents du service espaces verts de la Ville de Caen sont sur le pont. Peupliers fatigués Beaucoup de peupliers, dans ce secteur, sont arrivés à maturité. Juste avant les Jeux équestres mondiaux, en 2014, il avait été envisagé d’en abattre, pour les remplacer. Mais la mesure n’avait pas été appliquée. La météo se sera chargée d’un premier élagage. Orne abaissée Côté crue, plus d’inquiétude, selon Patrick Ledoux, maire de Louvigny. « Nous sommes revenus à des niveaux d’eau assez classiques pour cette période. »

8 février / Ouest France


Entre Louvigny et la plaine de Caen, l’hiver en images Publié le 08/02/2018 / Ouest France

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Du côté de Louvigny, ce jeudi 8 jeudi 2018, pas de neige mais du verglas ! | Ouest-France

lever de soleil du côté de Louvigny, ce jeudi 8 février 2018. | Ouest-France

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Autre vue de ce lever du jour, jeudi 8 février 2018. | Ouest-France

verglas a laissé son empreinte, ce jeudi 8 février 2018. | Ouest-France

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Météo France annonce une journée un peu plus ensoleillée ce jeudi 8 février mais au réveil, il faisait froid ! | Ouest-France

côté de Louvigny, les cours d'eaux se retrouvent verglacés. | Ouest-France

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côté de Louvigny, les cours d'eaux se retrouvent verglacés. | Ouest-France

Paysage lunaire du côté de la plaine caennaise, ce jeudi 8 février 2018. | Ouest-France

Ouest-France.

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9 fĂŠvrier / Ouest France


10 fĂŠvrier / Ouest France


12 fĂŠvrier / Ouest France


12 fĂŠvrier / Ouest France


18 fĂŠvrier / Ouest France




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