Médecine

La vie suspendue à un cathéter

Les maladies rénales sont en augmentation, entraînant de plus en plus de dialyses, faute de greffes disponibles. Pour augmenter le confort des patients, les hôpitaux proposent notamment la dialyse à domicile.

Texte: Patricia Brambilla Photos: Christophe Chammartin

Ils passent près de douze heures par semaine dans un centre de dialyse. Une fistule dans le bras, qui les relie à une machine, pour un débit de 350 ml de sang par minute. Leur gage pour rester en vie. Pour les patients dont les reins ne fonctionnent plus suffisamment, c’est-à-dire à moins de 15%, la dialyse s’impose. En attendant la greffe. L’insuffisance rénale fait partie de ces maladies du vieillissement, mais pas seulement. Elle concerne aussi les plus jeunes, conséquence du diabète, entre autres. «Les cas de diabète lié à l’obésité ont doublé, voire triplé au cours des quinze dernières années. Or, le diabète détériore les reins», confirme Menno Pruijm, médecin au service de néphrologie du CHUV.

Pour augmenter le confort des patients, la plupart des hôpitaux, dont le CHUV à Lausanne, proposent toute une série d’innovations. Nouveaux créneaux horaires, comme les séances du soir plus adaptées à une vie professionnelle active, mais aussi activités à faire pendant le traitement.

Alléger le quotidien Le vélo couché en est une – le CHUV vient d’en installer quatre – que le patient peut pratiquer pendant l’hémodialyse et qui a le mérite de lutter contre les facteurs de risques cardiovasculaires. D’autres traitements sont proposés, comme la dialyse péritonéale, qui peut désormais se faire à la maison. Autant d’aménagements qui essaient d’alléger des quotidiens fragiles et compliqués, trop souvent suspendus à un cathéter.

Une dialyse péritonéale à domicile nécessite jusqu’à 300 kilos de matériel, dont des tubes et des poches de dialysat.

Mohammed El Yousfi a opté pour la dialyse péritonéale, qui peut se faire à domicile.

Mohammed El Yousfi mène une vie presque normale, à l’exception des voyages.

«Je me suis habitué à ma machine»

Mohammed El Yousfi, 32 ans, cuisinier

«Il y a une année, lors d’un check-up, on a découvert que mes reins ne fonctionnaient qu’à 15%. Moi, je n’avais aucun symptôme, à part un peu d’hypertension et des maux de tête. Ça a été un choc, je n’arrivais pas à y croire», raconte Mohammed El Yousfi. La biopsie révèle alors une néphropathie à IgA, une maladie qui nécessite une dialyse. Mais le mot fait peur au jeune homme. «Je ne voulais pas en entendre parler, je pensais que ma vie était finie.» C’est grâce à son épouse Krisztin, qui lui apporte un soutien inconditionnel, que la situation se dénoue et que Mohammed accepte finalement le traitement. Il opte, après quelques mois d’hémodialyse, pour la solution à domicile, qui leur permet d’avoir quand même une vie sociale. «J’ai suivi une formation et maintenant je me suis habitué à ma machine. Je dois me brancher tous les soirs pour huit heures de dialyse péritonéale, que je fais en dormant. Je me réveille tôt, mais en forme», dit celui qui continue de travailler à plein temps, «parce qu’il faut bouger pour oublier la maladie». Quelque 300 kilos de matériel, poches de dialysat, tubes, pansements, sont livrés chaque mois à leur domicile… Une pièce entière de leur appartement est consacrée au traitement. «C’était la chambre prévue pour le bébé, mais ce sera pour plus tard», soupire Krisztin. Le couple, fraîchement marié, semble encore plus soudé par l’épreuve. Le regard complice n’est jamais loin, ni le courage partagé qui les pousse vers l’espoir du mieux. Ce téléphone qui sonnera un jour, pour l’annonce de la greffe. «On lâchera tout, on aura quatre heures pour venir au CHUV.» En attendant, ils mènent une vie presque normale, à l’exception des voyages. «On ne peut pas partir en vacances, alors on vient passer la journée à Lausanne beach! On préfère se priver quelques années et après, on fera péter le budget, on aura dix ans de vie à 200%, avant une autre greffe sans doute», disent-ils en chœur.

Trentin & Bernina Express

La vallée du soleil combinée à la fameuse transversale alpine

Féerique Lago di Tenno

Le légendaire Bernina Express

Le Lago Toblino et son château sur l’eau

St-Moritz

Bernina

Express

Tirano Val di Sole Nonstalbahn

Male Lago di Toblino Trente

Lago di Tenno Drena

Lac de Garde Au printemps ou en automne, partez avec car-tours pour un merveilleux week-end dans le Trentin-Haut-Adige, une belle région alpine particulièrement ensoleillée où nous ferons le plein de ravissants paysages, de balades romantiques au rythme des petits trains et de savoureux repas, avant de rentrer par la plus belle ligne de chemin de fer du monde!

Votre programme de voyage

1er jour, vendredi – Trajet jusque dans la région du Trentin

Trajet en car spécial tout confort jusque dans le Val di Sole, au coeur de la région du Trentin, où nous sommes attendus à l’hôtel pour le repas du soir.

2e jour, samedi – Train à voie étroite jusqu’à Trente

Juste après le petit-déjeuner, embarquement dans le train régional «Nonstalbahn» reliant Malè à Trente. Installez-vous confortablement et profitez de la superbe vue sur les jolis villages et les vallées des Dolomites de Brenta. Lors d’un grand tour de ville, découvrez ensuite tout ce qui fait de Trente une des plus belles villes des Alpes. Temps libre à disposition sur place, avant de reprendre le car pour rentrer à l’hôtel, où un savoureux repas du soir aux chandelles et en musique nous attend.

3e jour, dimanche – Lacs du Trentin, châteaux & vins

Les paysages du Trentin-Haut-Adige sont très singuliers. Nulle part ailleurs en Europe vous ne trouverez une telle symbiose entre les paysages de montagne et l’ambiance méditerranéenne. C’est ce que nous vous dévoilons lors d’une belle excursion d’un jour qui débute par le féerique petit Lago di Tenno. Avec sa couleur turquoise, c’est un morceau de Caraïbes au coeur des montagnes. Autre sujet tout aussi photogénique, le château du Lago di Toblino, bâti sur l’eau. De nombreuses légendes d’amours cachées entourent cette imposante forteresse. Puissant et imprenable, le château de Drena se dresse lui sur un promontoire rocheux dominant la vallée de la Sarca - un spectacle à couper le souffle! En fin de journée, visite d’une cave typique où nous découvrons le savoir-faire trentin en matière de viticulture et nous laissons convaincre, lors d’une dégustation, de la qualité de ces nobles crus. Repas du soir à l’hôtel.

4e jour, lundi – Parcours du légendaire Bernina Express & retour

Après le petit-déjeuner, nous rejoignons Tirano, point de départ du grand temps fort de notre circuit: le parcours jusqu’à St-Moritz à bord du fameux Bernina Express, sur une des plus belles et des plus hautes voies ferrées de la planète! Avec ses innombrables ponts et tunnels, ses boucles hélicoïdales et ses viaducs vertigineux, la ligne de la Bernina a vraiment de quoi impressionner les voyageurs qui l’empruntent. A bord de votre confortable voiture panoramique, vous profitez d’un coup d’oeil fantastique sur les sommets, les glaciers et des paysages pittoresques à souhait! A St-Moritz, le car prend le relais pour vous ramener à bon port.

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«Nonstalbahn», de Malè à Trente ✓ Visite guidée de Trente ✓ Excursion d’une journée «Lacs du Trentin, châteaux & vins» ✓ Visite d’une cave, avec dégustation ✓ Trajet Tirano-St-Moritz à bord d’une voiture panoramique 2e classe du Bernina Express ✓ Assistance de notre propre guide suisse pendant tout le voyage

Choisissez votre date de voyage

10 au 13 juin 2022 23 au 26 septembre 2022 14 au 17 octobre 2022

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Non inclus/en option: Supplément chambre individuelle: Fr. 80.Supplément saisonnier juin & sept.: Fr. 40.- Réductions (pour la partie CH) du Bernina Express: abt demi-tarif: Fr. 10.- / abt général: Fr. 20.Frais de réservation: Fr. 20.- par personne (supprimés pour les réservations en ligne)

Choisissez votre lieu de départ:

Genève, Lausanne, Yverdon, Bienne, Martigny, Montreux, Fribourg, Neuchâtel

«J’en profite pour regarder des films»

Pierre-Jean Dizerens, 67 ans, retraité de l’administration générale de l’armée

Il arrive sur son trente et un, blazer bleu marine à boutons dorés et cravate aux couleurs tropicales. Atteint d’une insuffisance rénale sévère, Pierre-Jean Dizerens vient depuis 2018, avec le sourire, au centre de dialyse du CHUV. «Pas question de me soigner à la maison, je n’ai pas le courage de me piquer et ma femme non plus! Je préfère l’hémodialyse, trois fois trois heures par semaine pour rester maître de mon temps de vie. Et j’aime mieux venir en soirée. Avant je faisais les séances le matin, mais ça me foutait mes journées en l’air», dit-il tout de go. Il connaît les lieux comme sa poche, plaisante avec le personnel infirmier, qui l’accueille comme un invité. Passer trois heures allongé ne semble pas le déranger, il a tout prévu: «Je prends mon ordinateur et je profite de regarder des films qui n’intéressent pas mon épouse. J’aime les films de guerre, historiques ou parfois des comédies.» Mais ce soir, ce sera cours d’anglais «pour faire travailler les neurones».

PierreJean Dizerens a de l’énergie et de l’humour à revendre, un moral d’acier. Il gère

Pierre-Jean Dizerens préfère se déplacer à l’hôpital pour faire sa dialyse.

sa vie comme un bataillon discipliné, tient sa valise prête pour une proche transplantation. «Je suis groupe A, j’ai de bonnes chances pour cette année.» Ce qui lui manque le plus? Les croisières. Il sait déjà ce qu’il veut s’offrir pour ses 70 ans, après la greffe, quand il n’aura plus de fil à la patte: un tour du monde en paquebot. «On partira pour quatre mois, c’est la longueur d’une école de recrues!», dit-il en rigolant.

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«On encourage la dialyse à domicile»

Menno Pruijm, médecin au service de néphrologie du CHUV à Lausanne, parle des avancées de la science dans le traitement des maladies rénales.

Menno Pruijm, quelle est la situation en matière de dialyse? Les cas de dialyse augmentent de 2 à 3% chaque année, ce qui représente environ 5000 personnes dialysées en Suisse, dont 80 patients au CHUV. Une situation qui s’explique par le vieillissement de la population, mais aussi par l’augmentation du diabète, de l’hypertension, de l’obésité et des maladies autoimmunes. À plus long terme, on verra aussi les effets du Covid, lequel entraîne parfois une insuffisance rénale. Environ 10% de la population est touchée par une maladie rénale chronique, souvent silencieuse, mais qui peut provoquer des complications cardiovasculaires.

Mais la dialyse, c’est en attendant une transplantation, non? Le traitement de choix, quand les reins fonctionnent à moins de 1015%, est la transplantation. En Suisse, nous n’en faisons que 250 à 300 par an. D’où une liste d’attente qui peut être de deux à cinq ans. Comment se passe le traitement?

«La liste d’attente pour une transplantation peut être de deux à cinq ans»

Menno Pruijm, médecin au service de néphrologie du CHUV Généralement, le patient vient faire une hémodialyse au centre, trois fois par semaine. Le traitement d’épuration du sang dure environ quatre heures. C’est assez contraignant. C’est pourquoi nous venons d’ouvrir, en plus du matin et de l’aprèsmidi, un créneau horaire le soir, notamment pour les patients plus jeunes, qui travaillent la journée. Ils peuvent venir de 18 h à 22 h, trois soirs par semaine. Quels autres aménagements proposez-vous? Il y a une dialyse, appelée péritonéale, qui peut se faire à la maison. Grâce à un cathéter, le patient fait cette dialyse par le péritoine, membrane intelligente et poreuse qui entoure la cavité abdominale. Il apprend à introduire plusieurs fois par jour le dialysat, une solution chaude de sucre et de sel, et à faire la vidange. Il existe même une machine qui peut se placer à côté du lit, et qui permet de faire la dialyse de manière automatisée pendant la nuit. Pour l’instant, seuls 5 à 10% des patients choisissent la dialyse péritonéale à domicile. La plupart, surtout les personnes âgées, préfèrent venir au centre, où elles se sentent davantage en sécurité. Elles préfèrent laisser leur maladie à l’hôpital et n’ont pas envie de transformer leur chambre en salle de soins.

Quelles nouveautés à l’horizon? En hémodialyse, les générateurs évoluent beaucoup, deviennent de plus en plus petits et peuvent même être installés chez soi. Il suffit d’un minisystème de traitement d’eau à domicile. Depuis quelques années, on encourage les gens, surtout les patients jeunes, à le faire. Mais seule une minorité de patients choisissent cette option, qui démarre doucement en France. En Suisse, la question des remboursements de l’assurance est encore en discussion. En attendant l’éternel rêve du rein artificiel, à partir de cellules souches, on améliore les traitements préventifs, qui permettent d’éviter la dialyse. MM

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Trois pains sous la loupe

Le Nutri-Score permet de comparer en un coup d’œil les valeurs nutritionnelles de produits similaires. Il facilite ainsi les achats pour une alimentation équilibrée. Mais de quoi s’agit-il et quel pain obtient la meilleure note, A?

B

La couronne soleil à base de farine claire est enrichie avec des graines et des flocons de céréales et obtient de ce fait la note B.

Couronne soleil Migros-bio, 360 g Fr. 3.40

A

Le pain complet a la teneur en fibres la plus élevée et mérite donc un A vert.

Pain de campagne complet IP-Suisse, 400 g Fr. 3.20

C

La tresse à base de farine claire, de lait et de beurre est un plaisir à réserver aux dimanches et affiche un C jaune. Tresse au beurre IP-Suisse, 500 g Fr. 3.55 730 produits de marques propres Migros arborent déjà le Nutri-Score. Migros s’est fixé pour objectif d’étiqueter l’ensemble de ses 10000 articles de marques propres d’ici 2025. Un A vert indique que le produit présente des valeurs nutritionnelles excellentes. En revanche, un E rouge indique des valeurs nutritionnelles moins favorables et doit être consommé avec modération. Pour plus d’informations sur le NutriScore, scannez ce QR code pour visionner la vidéo

explicative.

Menthe

Cultiver ses Thym propres herbes

Pour réussir sa jardinière de plantes aromatiques, il faut recréer au mieux le biotope naturel de chaque végétal. Et composer les bons mariages. Alain Huys, responsable garden de Migros Crissier (VD), nous livre ses astuces.

Texte: Patricia Brambilla Photos: Mathieu Rod

À chacun sa jardinière

Il existe des bacs de toutes les formes. Ronds, rectangulaires ou carrés, tous feront l’affaire. En revanche, les jardinières surélevées à hauteur de taille ont l’avantage de faciliter le travail, en ménageant le dos. Dernière tendance: la jardinière en bois de pin avec la ruche pour les abeilles sauvages intégrée juste sous le bac. L’emplacement idéal pour les insectes pollinisateurs, qui pourront d’un coup d’aile rejoindre les aromatiques!

Astuce: sauge officinale, thym serpolet et origan à feuilles de velours attirent particulièrement les butineurs.

Basilic Romarin

Laurier

Terreau tout bio

Un mélange de terreau universel bio, sans tourbe, convient parfaitement aux herbes aromatiques. L’important est de bien l’aérer, de le rendre le plus léger et malléable possible, en le brassant, avant de l’installer dans la jardinière jusqu’à mi-hauteur. Penser à mettre un voile d’argile au fond du bac ou, s’il y a des trous d’écoulement, à poser un éclat de tuile ou un caillou pour freiner la sortie de l’eau.

Astuce: pour bien conserver les herbes en version séchée, introduire quelques grains de sel et un grain de riz dans le bocal. Cela évite l’humidité et l’altération des arômes.

Les coriaces

Avant les Saints de glace (mimai), mieux vaut miser sur les petites coriaces, qui supportent encore les possibles baisses de température nocturnes. Thym citron, herbe à curry, origan à oreilles d’ours, sarriette, romarin, sauge officinale sont de parfaits candidats pour la première plantation de l’année. Ces vivaces se plaisent dans la garrigue, en terrain sec et bien drainé. Un biotope que l’on peut recréer chez soi en ajoutant quelques pierres façon rocaille. Double fonction: celles-ci réchauffent le sol plus facilement et restituent la chaleur pendant la nuit.

Astuce: au moment de la récolte, ne jamais couper les tiges à ras, mais laisser deux centimètres afin de favoriser la repousse.

Alain Huys, responsable garden de Migros Crissier (VD).

Les fragiles

Mais mieux vaut attendre 18 °C minimum pour planter la menthe et le basilic. Et surtout, mieux vaut les séparer du reste de la troupe. Ces deux spécimens très odorants ne s’entendent pas avec tout le monde: la première est vite envahissante et le second est plutôt délicat de la feuille. L’idéal est de leur donner la totale exclusivité, d’autant que tous deux se déclinent en de nombreuses variétés. Plantes de sousbois humide, les menthes marocaine, poivrée, citron, orange, ananas se plairont donc à moitié à l’ombre. Quant aux basilics, commun, thaï, grec ou rouge, ils détestent les courants d’air et le soleil direct. Autant les rassembler dans un coin chaud, humide et bien abrité.

Astuce: planter persil et basilic à l’ombre des tomates, qui les protègent de l’agressivité des rayons et atténuent l’évaporation.

L’art du rempotage

C’est la phase délicate, le rempotage est un art en soi! Pas question de sortir la plante de son pot en plastique et de la poser telle quelle dans la jardinière. «On profite d’enlever les pousses sèches et surtout on dénude un peu les racines pour enlever le surplus. Cela permet à la plante de refaire un nouveau système racinaire, c’est comme une nouvelle coupe de cheveux», rigole Alain Huys. «Penser aussi à mettre les plantes retombantes, genre coriandre ou origan, plutôt sur les côtés», conseille-t-il.

Astuce: ne pas trop serrer les spécimens. Mieux vaut laisser environ vingt centimètres entre les plants pour éviter la surpopulation racinaire.

Le dosage de l’arrosage

Sitôt les aromatiques installées, on arrose délicatement la base de la plante au pommeau pour un effet douche. Pour éviter un arrosage trop abondant, Alain Huys a sa botte secrète: il remplit un autre pot de terre, l’arrose généreusement et mélange ensuite cette terre détrempée à une bonne poignée de terreau sec. Après avoir travaillé le tout comme de la pâte à modeler, il vient déposer cette terre bien humidifiée autour des plantons.

Astuce: inutile d’arroser chaque jour les jeunes plants. Une petite douche tous les trois jours suffit. MM