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Électricité
De quoi parle-t-on?
Swissgrid est la société nationale propriétaire des infrastructures de transport d’électricité, dont elle assure la maintenance et l’exploitation. Son CEO, le Fribourgeois
Yves Zumwald, fait le point sur un marché rendu incertain par les bisbilles avec l’Europe et la sortie du nucléaire.
Yves Zumwald, partagez-vous les craintes du Conseil fédéral qui fait état d’une possible pénurie d’électricité à venir? Oui. Du côté suisse comme du côté européen, la volonté de décarboner la production d’électricité a conduit à la décision d’arrêter de manière planifiée les centrales nucléaires, à charbon ou même à gaz. Et de remplacer ces productions qui injectent de l’énergie dans le réseau de manière stable, par des sources de production d’énergies renouvelables plus volatiles. À regarder la vitesse à laquelle se déploient ces énergies renouvelables dans le réseau, en particulier en Suisse, nous estimons à Swissgrid que c’est trop lent. D’autre part, en sortant du nucléaire avant d’avoir réussi à produire nos propres sources d’énergie par nos propres moyens, on risque d’avoir un écart entre ce dont on a besoin et ce que l’on est capable de produire.
Vous vous plaignez aussi régulièrement de l’absence d’accord sur l’électricité avec l’Union européenne… C’est l’autre motif de crainte. Cette absence d’accord fait courir le risque que les pays européens priorisent leurs besoins. Nous commençons d’ailleurs à avoir des difficultés pour disposer de cette énergie en Europe. Actuellement, l’Europe essaie de nous exclure petit à petit, et je dirais même de manière assez drastique, de tous les projets auxquels nous
Croisière en yacht – les perles de la Dalmatie
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Voyage en avion
Notre yacht de luxe flamboyant – le MY Solaris
Le MY Solaris est l’un des plus beaux et des plus confortables yachts qui sillonnent le magnifique littoral de la Dalmatie. En exclusivité pour nos clients, nous avons affrété tout le yacht et notre capitaine Ante se réjouit de vous accueillir personnellement à bord. Construit en 2018 avec un grand souci du détail, le navire ne dispose que de 19 cabines, toutes avec climatisation à réglage individuel, ciel étoilé, TV à écran plat, wifi, coffre-fort, petit bureau, sèche-cheveux et douche/WC. Le vaste pont-terrasse offre une vue époustouflante sur l’archipel. Tous les jours, des mets délicats sont servis au salon/restaurant climatisé que l’on peut aussi ouvrir.
Embarquez à bord du MY Solaris, l’un des plus beaux yachts de la côte dalmate, pour une croisière féerique à travers l’archipel. Quatre îles, toutes plus belles les unes que les autres, Mijet, Hvar, Brac et Korčula, figurent au programme. Dans la journée, nous jetons l’ancre dans des criques romantiques, nous baignons dans les eaux turquoise, profitons du pont-terrasse et dégustons les mets délicieux préparés par notre sympathique équipage. Et le soir, nous allons flâner dans de magnifiques villes portuaires et nous faisons plaisir dans de beaux restaurants.
Dubrovnik
Archipel des Élaphites
Split
Split
Brač
Bol
Hvar
Jelsa
Korčula
mer Adriatique Korčula
Pomena Mljet Slano
Elafiten Dubrovnik
Votre programme de voyage
1er jour – Vol pour Dubrovnik & embarquement
À midi, vol de ligne à destination de Dubrovnik. Transfert en bus au port où nous attend le magnifique MY Solaris. Accueil et repas du soir à bord.
2e jour – Dubrovnik
Dubrovnik, la célèbre «Perle de l’Adriatique», nous attend aujourd’hui, avec une inoubliable visite guidée de la ravissante vieille ville*. Profitez ensuite de votre temps libre pour une découverte à votre guise. Repas de midi à bord. Quartier libre pour la soirée – l’occasion de dîner dans l’un des restaurants typiques de Dubrovnik.
3e jour – Dubrovnik – Mljet
Après le petit déjeuner, cap sur l’île de Mljet. Après une baignade et le repas de midi à bord, nous arrivons à Pomena. Au cours de notre belle excursion*, vous pouvez vous baigner dans les fameux lacs d’eau salée. La soirée est libre pour un repas du soir typique à Pomena.
4e jour – Mljet – Hvar
Longeant la péninsule de Pelješac et l’île de Korčula, nous atteignons l’île d’Hvar, connue pour ses magnifiques champs de lavande. Notre destination est le petit village paisible de Jelsa, au nord de l’île, où nous jetons l’ancre après un arrêt baignade. Repas du soir libre, nuit à bord.
5e jour – Mljet – Brac – Split
Nous mettons le cap vers Bol, sur l’île de Brac. On y trouve l’une des plus belles plages de sable fin de tout le pourtour méditerranéen – «Zlatni Rat» (La Corne d’or). Nous admirons ce phénomène naturel et ferons une pause baignade dans des eaux plus calmes avant de poursuivre vers Split. Après une passionnante visite guidée de la ville*, vous avez tout le reste de la soirée pour flâner dans la capitale de la Dalmatie.
6e jour – Split – Korčula
Après le repas de midi à bord, nous arrivons à Korčula, l’une des îles les plus vertes de l’Adriatique. La vieille ville de Korčula est aussi l’une des plus belles de la Dalmatie et son apparence fortifiée lui vaut aussi le surnom de «Petite Dubrovnik». Soirée libre dans cette charmante ville, profitez-en aussi pour savourer un bon repas du soir dans un restaurant typique.
7e jour – Korčula – Îles Elaphites
Nous naviguons à travers l’archipel des Élaphites, composé de treize îles, puis rejoignons Dubrovnik. Au programme de la soirée, le traditionnel dîner du capitaine.
8e jour – Dubrovnik
Après le débarquement, il reste encore un peu de temps pour une dernière balade dans le Vieux Dubrovnik, avant que le bus nous ramène à l’aéroport. De là, nous prenons notre vol pour rentrer en Suisse.
*Excursions incluses
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Organisation: Holiday Partner, 8852 Altendorf Circuit de 8 jours, en demi-pension, dès Fr. 1699.-
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Genève-Dubrovnik / Dubrovnik-Genève ✓ Toutes les taxes, frais et supplément ✓ Fahrt im komfortablen Extrabus carburant ✓ 2 Übernachtungen im 4 Sterne Hotel ✓ Transfert aéroport-port de Dubrovnik / in Montecatini Terme port de Dubrovnik ✓ 5 Übernachtungen im 4 Sterne Hotel ✓ 7 nuits à bord du MY Solaris dans la auf der Sorrentinischen Halbinsel catégorie de cabine choisie ✓ 7 x Frühstücksbuffet im Hotel✓ 7 x petit déjeuner à bord ✓ 7 x Nachtessen im Hotel✓ 6 x repas de midi à bord ✓ 1 x Mittagessen in einer typischen ✓ 1 x repas du soir le premier jour ✓ Cantina in Frascati 1 x dîner du capitaine le dernier soir ✓ 1 x Mittagessen auf einem Weingut beim Ätna inkl. Bruschetta, Pastage✓ Croisière à bord du MY Solaris selon le programme ✓ richt, Dessert und Wein Excursion sur les lacs d’eau salée du parc national de Mljet ✓ 1 x Pizzamittagessen in Neapel inkl. 1/4l Wein & 1/2l Wasser✓ Visites guidées de Dubrovnik & Split ✓ Besichtigung von Pompeji inkl. Eintritt ✓ Toutes les taxes de séjour et portuaires ✓ & Führung Assistance de notre propre guide suisse pendant tout le voyage ✓ Tagesausflug zur Insel Capri, inkl. Schiffüberfahrt, Minibus auf Capri & Choisissez votre date de voyage
Rundgang ✓ Eintritt Augustus Gärten Insel Capri ✓ Fantastischer Tagesausflug Amalfiküste ✓ 1 x 1 Eis oder Espresso in Amalfi ✓ Interessante Stadtführung in Neapel ✓ Eigene Schweizer Reiseleitung auf der ganzen Reise Prix par personne occ. 2 ou
3 pers. / Cabines Prix catalogue en Fr.
18 au 25 juin 2022 6 au 13 août 2022 20 au 27 août 2022
Nos prix pour réservation anticipée Prix résa anticipée en Fr.
Cabine 2 lits / Pont inférieur Cabine 3 lits / Pont principal Cabine 2 lits / Pont principal 2699.2199.2999.-
2099.1699.2399.-
Supplément pour cabine double à usage individuel sur demande
Non inclus/en option: Frais de réservation: Fr. 20.– par personne (supprimés pour les réservations en ligne) Pourboires usuels à bord
avons participé, en particulier la mise en place de plateformes pour le marché d’ajustement européen. Pourtant, cela fait des années que l’on vit sans cet accord, non? Je ne dirais pas ça. La Commission européenne avait toujours l’espoir que cet accord se conclurait. Donc elle n’a pas freiné Swissgrid dans son évolution, elle nous a laissés participer à plusieurs projets parce qu’il y avait toujours l’espoir qu’un jour ce contrat se finaliserait. Depuis la décision du Conseil fédéral de ne pas le signer, la plupart des portes qui étaient ouvertes se referment maintenant. Or, il faut savoir que la Suisse est encore connectée avec les réseaux voisins par 41 lignes. On est donc très bien intégrés dans le marché européen. Avec quelles conséquences? La volonté de l’Europe est de nous faire sortir de ces plateformes de l’énergie de réglage qui sont commerciales, mais concernent aussi la sécurité sur le réseau. Le risque principal, c’est donc que l’on n’ait plus voix au chapitre, que l’on doive acheter l’énergie de réglage sur notre propre marché. On va se retrouver avec moins d’offres sur le marché suisse, sans les offres des producteurs européens qui ont plusieurs technologies différentes, des produits différents et donc des prix différents. Alors que la Suisse reste sur l’hydraulique. Or, quand vous perdez des compétiteurs, automatiquement les prix augmentent. Comment Swissgrid s’adaptet-elle à l’émergence des énergies renouvelables? Pour nous, ces énergies ne sont pas problématiques, mais elles représentent tout de même un gros challenge. Il faut à cet égard ne pas regarder que la Suisse. Il existe en effet 43 compagnies comme Swissgrid qui exploitent le réseau européen dans 35 pays. Ces 43 compagnies doivent établir ensemble les mêmes règles, pour que ce réseau européen puisse être exploité de manière fiable et stable. Or, nous entrons dans une transformation historique du système électrique. C’est-à-dire? Les centrales de production ont été construites dans les endroits de la consommation. Dans le sud de l’Allemagne par exemple, il y avait des centrales à charbon et des centrales nucléaires qui alimentaient directement la consommation dans cette région. La sortie décidée du nucléaire, puis progressivement du charbon, a pour conséquence qu’à la place de ces grosses unités décentralisées, la production devient extrêmement centralisée, avec par exemple de l’éolien dans la mer du Nord. Ce qui signifie beaucoup plus de transit sur le réseau parce qu’on doit transporter l’énergie de la mer du Nord jusque dans le sud de l’Allemagne, voire en Suisse. Tandis que le solaire est produit en grande majorité dans les pays du sud et acheminé vers le nord. Voilà pour la macroéconomie. D’un point de vue microéconomique, la situation est un peu différente.
De quelle manière? Une partie de cette production est décentralisée du réseau à très haute tension vers les clients finaux. Par exemple, le photovoltaïque que vous construisez sur votre toit ou l’éolienne sur le terrain d’un paysan. Ces productions renouvelables injectent de l’énergie, mais de manière beaucoup plus volatile qu’une centrale nucléaire connectée au réseau. Notre challenge, d’une part, c’est d’avoir des capacités suffisantes pour effectuer ces grands transits entre les grands centres de production et les grands centres de consommation, donc de construire les infrastructures idoines, et d’autre part de gérer cette volatilité des énergies renouvelables. Par du stockage d’énergie pendant quelques heures et restitution de cette énergie assez rapidement sur le réseau. Soit sur des batteries, soit par des centrales de pompageturbinage quand vous avez un peu moins de solaire ou d’éolien.
Des voix s’élèvent dans l’économie pour demander de revenir sur la sortie du nucléaire. Y croyez-vous? Pour nous, ce qui est important, c’est qu’il y ait la quantité suffisante d’énergie dans le système pour que l’équilibre soit atteint. Après, de quelle manière cette énergie sera produite, c’est une décision politique. Je reste convaincu que si l’on arrive à accélérer de manière assez fondamentale la construction des énergies renouvelables en Suisse, on devrait parvenir à faire cette transition. Mais l’on voit qu’il y a beaucoup d’oppositions pour nos projets de lignes et également pour les centrales éoliennes. Et le solaire n’est pas toujours facile à installer, avec des bâtiments parfois protégés. Quel est l’état actuel du réseau électrique? Prévoit-on la construction de nouvelles lignes? Le réseau électrique dans sa grande majorité a été construit dans les années 1960, 1970 et 1980, les années où les grands entrepreneurs ont construit les grands barrages qu’il a fallu intégrer, ainsi que les centrales nucléaires, dans un réseau européen. Certaines infrastructures ont aujourd’hui 60 ans et ont donc besoin d’être renouvelées. En parallèle, nous construisons aussi de nouvelles infrastructures, comme c’est le cas en Valais avec la ligne Chamoson–Chippis, qui permet d’évacuer la capacité de CleusonDixence et de la centrale de pompage turbinage de Nant de Drance. C’est une infrastructure évidemment imposante, mais en construisant 27 km de nouvelles lignes, on est arrivé à démonter 90 km de lignes construites dans les années 1960, à les enlever complète
Bio express
1967 Naissance à Fribourg. Formation d’ingénieur électricien.
1993 Entre chez Énergie Ouest Suisse (EOS).
2002 Responsable de l’utilisation et de l’accès au réseau chez EOS Holding.
2005 Prend la direction du service Infrastructures d’EOS réseau.
2009 Membre de la direction du groupe Romande Énergie dont il dirige le secteur Distribution.
2014 Membre de la direction de Swissgrid.
2016 Nommé CEO par le Conseil Swissgrid SA.
ment du paysage. On soulage la vallée d’un certain nombre d’infrastructures et en contrepartie on occupe le coteau avec de nouvelles infrastructures.
Comment gérez-vous les oppositions? La procédure est réglée par l’Office fédéral de l’énergie (OFEN) et commence par un plan sectoriel qui dessine entre un point A et un point B les différents emplacements potentiels, en tenant compte des contraintes comme des sites protégés ou la traversée de villes ou de villages. Le Conseil fédéral décide ensuite quel sera le corridor optimal et quelle sera la technologie utilisée: ligne aérienne ou ligne souterraine. Ensuite, on entre dans le projet lui-même, on décide où sont les pylônes et cela est mis à l’enquête au niveau des cantons et des communes. Il y a alors possibilité de faire opposition, par exemple sur l’emplacement des pylônes, mais pas sur la technologie choisie. Nous nous assurons que nos lignes soient construites à distance respectable des habitations et soient conformes aux normes en vigueur. Pourtant, elles sont loin de faire l’unanimité… On peut trouver ça beau ou pas, mais une ligne à très haute tension, c’est surtout une infrastructure qui reste nécessaire pour la Suisse. Et puis, nous parvenons parfois à profiter de certains projets. Le percement du deuxième tube au Gothard nous permettra de construire juste sous l’autoroute une galerie où passera la ligne du Gothard, qui était jusqu’ici aérienne et passait par-dessus la montagne. Pourquoi n’y a-t-il pas davantage de lignes souterraines? Pour le transport de l’électricité, la technologie souterraine apporte quand même des complications. Le mieux est d’avoir un mix entre la technologie des câbles souterrains et les lignes à haute tension, mettre un câble là où on doit vraiment, et passer en ligne aérienne là où l’on peut. Mais il faut savoir que le souterrain est beaucoup plus cher. On peut aussi douter que ce soit réellement plus écologique. Avec une mise en câbles sous terre, vous allez chauffer le terrain, et ce sont des infrastructures imposantes, de la largeur d’une autoroute. En Europe et en Suisse, les lignes aériennes représentent d’ailleurs 95% du réseau à très haute tension. MM
L’éolien représente un gros challenge: celui de réussir à gérer la volatilité de cette énergie renouvelable.
«On peut douter que les lignes souterraines soient réellement plus écologiques»
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Délicieuses alternatives végétales
Avec les bons ingrédients, il est facile de réaliser des alternatives végétaliennes aux sauces classiques. Nous en présentons ici deux: la sauce béchamel et la sauce de rôti.
Béchamel végane
Ingrédients pour 4 personnes 3 cs de Vegan bloc (alternative au beurre) 25 g de farine fleur 2,5 dl de drink à l’avoine Barista 2,5 dl de crème de soja à fouetter 2 cc de bouillon de légumes granulé végane 1 gousse d’ail 1 pincée de noix de muscade moulue
CONSEIL Dans la recette ci-contre, selon la disponibilité saisonnale, utiliser des brocolis frais ou surgelés. Le choufleur, les épinards ou le chou kale conviennent aussi.
20%*
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Préparation Faire fondre le Vegan bloc à feu moyen, ajouter la farine et étuver en remuant constamment jusqu’à obtention d’un roux clair et mousseux. Mouiller avec le drink à l’avoine et la crème de soja, puis incorporer le bouillon et faire mijoter 5 min sans cesser de remuer. Y presser l’ail, ramener brièvement à ébullition et assaisonner de muscade.
Entre dans la préparation du gratin de gnocchi et de brocoli végane Recette sur migusto.ch
CONSEIL Le substitut de lait doit être froid lors du mélange avec le roux. C’est la seule façon de lier la sauce. 4 5
1 Gnocchi Plant-Based V-Love, 550 g Fr. 2.35 au lieu de 2.95 2 The Grated Plant-Based V-Love, 200 g Fr. 3.90 au lieu de 4.90 3 Vegan bloc Plant-Based V-Love, 250 g Fr. 3.15 au lieu de 3.95 4 Drink Barista à l’avoine Bio Plant-Based V-Love, 1 l Fr. 2.35 au lieu de 2.95 5 Cuisine Plant-Based V-Love, 500 ml Fr. 2.20 au lieu de 2.80 *20 % de rabais sur tous les produits V-Love, jusqu’au 17 janvier.
Notre variante de sauce de rôti contient des cèpes, du bouillon, un peu de concentré de tomates et du vinaigre balsamique. Ces bombes de saveurs rendent notre sauce végétalienne aussi riche en goût que la recette originale.
Sauce aux bolets végane
Ingrédients pour 4 personnes 20 g de bolets séchés 2 dl d’eau chaude 1 oignon, p. ex. rouge 3 cs de Vegan bloc (alternative au beurre) 25 g de farine 2 cs de concentré de tomates 2,5 dl de bouillon de légumes végane 1 grosse gousse d’ail ½ bouquet de fines herbes, p. ex. thym, romarin, origan 1 cs de vinaigre balsamique invecchiato végane 3 cs de sauce soja poivre paprika fumé en poudre
Préparation Faire tremper les bolets 10 min dans l’eau chaude et hacher finement l’oignon. Faire fondre le Vegan bloc à feu moyen, ajouter la farine et étuver en remuant constamment jusqu’à obtention d’un roux doré et mousseux. Incorporer l’oignon et le concentré de tomates puis mouiller avec le bouillon. Ajouter l’eau de trempage des bolets en la filtrant à travers une passoire fine et bien remuer – utiliser un mixeur plongeur pour défaire les éventuels grumeaux. Couper les bolets en petits morceaux, les incorporer, faire mijoter le tout env. 10 min puis y presser l’ail. Hacher finement les herbes aromatiques et les ajouter à la sauce avec le vinaigre balsamique. Relever de sauce soja, de poivre et de paprika.
Entre dans la préparation des boulettes de hachis végane avec sauce aux bolets Recettes sur migusto.ch
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1 Hachis Plant-Based V-Love, 300g Fr.4.40 au lieu de 5.50 2 Fettuccine Plant-Based V-Love, 300g Fr.2.35 au lieu de 2.95
CONSEIL La sauce aux cèpes s’accorde aussi avec une purée de pommes de terre ou une saucisse à rôtir végane.
Soupe de nouilles asiatique au tofu
Ingrédients pour 4 personnes 2 gousses d’ail 15 g de gingembre 5 cs de sauce soja 230 g de tofu, p. ex. du tofu fumé 300 g de pak-choï 1 grosse carotte 250 g de ramen (nouilles japonaises) sel 1 l de bouillon de légumes 2 cs d’huile de colza HOLL 80 g de pousses de haricot mungo ½ bouquet de coriandre
1. Hacher l’ail, couper le gingembre en fines lanières. Mélanger le tout avec la sauce soja, couper le tofu en dés et l’ajouter. Laisser mariner env. 10 min. 2. Entre-temps, couper les tiges de pak-choï en lanières (laisser les plus petites entières), en les séparant des feuilles. Couper la carotte en fines lanières. Cuire les nouilles dans de l’eau salée pendant 2 min, les égoutter et les rincer à l’eau froide. Porter le bouillon à ébullition. 3. Retirer le tofu de la marinade puis le saisir env. 3 min dans une grande poêle avec l’huile. Ajouter les tiges de pak-choï et la carotte, verser la marinade et poursuivre la cuisson 2 min. Ajouter les feuilles de pak-choï, mouiller avec un peu de bouillon, puis porter brièvement à ébullition. Répartir les légumes et le tofu dans des bols, dresser les nouilles et les pousses de haricot mungo dessus. Verser le reste du bouillon chaud. Effeuiller la coriandre par-dessus et servir.
CONSEIL Préparez vos repas en avance pour gagner du temps durant la semaine. Découvrez-en plus sur ce thème sur migros-impuls.ch/ meal-prep-fr
Chili au poulet
Les tomates et les haricots en conserve constituent d’excellents ingrédients pour un repas rapide.
Toutes les recettes se trouvent sur migusto.ch
La balade du crime
La Riviera sert de décor à un polar 100% vaudois.
L’occasion de découvrir la vieille ville de Montreux et d’affronter le sentier du Télégraphe avec, au bout de l’effort, un thé gourmand à Glion.
Texte: Catherine Hurschler Photos: Olivier Vogelsang A vec le polar Malatraix*, Emmanuelle Robert signe une histoire captivante qui se déroule dans le petit monde du trail, dans les Préalpes vaudoises avec quelques incursions en terres fribourgeoises et valaisannes. L’ancienne journaliste, née à La Chaux-de-Fonds et désormais active dans la communication, met surtout en valeur des endroits moins connus de Montreux (VD). Ainsi, la vieille ville prend sa revanche sur le bord du lac, aimant à touristes depuis toujours. C’est dans le quartier des Planches, juste un peu en dessus de la gare, que l’auteur fait vivre certains de ses personnages. Alors, bien sûr, ils sont complètement fictifs, mais ils évoluent dans un décor réel qui vaut la peine d’être redécouvert.
À la verticale Pour cette «balade du crime», préparez vos meilleures chaussures de marche et embarquez un peu de volonté dans votre sac à dos. Notre point de départ, c’est la Maison Visinand, à la rue du Pont 32, une bâtisse imposante du XVIe siècle classée monument historique. Aujourd’hui, c’est un centre culturel qui accueille des expositions et diverses activités créatives. On continue sur les pavés de la vieille ville en direction du Café du Grütli, reconnaissable à sa devanture jaune, comme décrit dans le polar. Sol, la commandante de police qui enquête sur les décès suspects qui surviennent à la chaîne dans Malatraix, est voisine de ce café, à l’ambiance familiale. On s’attend presque à la voir surgir sur son balcon, cigarette à la main.
Direction maintenant le temple Saint-Vincent, bâti au XVe siècle. Son esplanade offre une vue splendide sur la ville et, à l’intérieur, le silence résonne comme un encouragement
Glion et sa vue imprenable sur Montreux et le lac Léman.
pour la suite. Car côté route, c’est le début du sentier du Télégraphe, avec ses 1055 marches jusqu’à Glion. Déclenchement du chronomètre, mais pas pour suivre le rythme d’un personnage qui a choisi ce chemin pour courir à travers la nature. Avant que les choses ne tournent mal pour lui, au détour d’une mauvaise rencontre. Ce jour-là, on croise des promeneurs et des sportifs à l’entraînement, et on découvre que ce tracé vertical, taillé dans la forêt pour faire passer la ligne du télégraphe de l’Hôtel Righi Vaudois avant 1895, était également un terrain de fitness pour l’impératrice Sissi, jusqu’en 1898. Faisait-elle mieux que nos trente-sept minutes? Un coureur essoufflé fait le bilan de sa montée, en douze minutes. «Quand je suis en forme, j’arrive à la faire en sept minutes», nous confie-t-il. On le laisse à ses records pour profiter de la nature et cette vue inédite qui nous permet de voir l’autoroute de haut.
L’heure du thé Dans Malatraix, personne n’arrive jamais au sommet de ce sentier, mais
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2 3 1 Le Café du Grütli, dans la vieille ville de Montreux: un établissement à l’ambiance familiale.
2 Le temple SaintVincent, bâti au XVe siècle.
3 L’Hôtel Victoria, un cocon de luxe à l’ambiance feutrée.
évidemment il est hors de question de faire demi-tour. L’objectif, c’est un thé gourmand à l’Hôtel Victoria, pour un coup d’œil imprenable sur la Riviera et le lac Léman. Dès 1870, connu alors sous le nom d’Hôtel du Midi, l’établissement accueille surtout des randonneurs, mais il se transforme très vite en un cocon de luxe pour une clientèle aisée. Encore aujourd’hui, il y règne une ambiance feutrée, douce et réconfortante pour se remettre des efforts fournis sur le sentier du Télégraphe.
Pour redescendre sur Montreux en toute sécurité, surtout si les conditions météo sont humides, le meilleur moyen reste de prendre le petit train à crémaillère qui part de Glion. De retour dans le quartier des Planches, on en profite pour faire un tour dans les commerces locaux, notamment Chez Nanie, une épicerie bio mentionnée dans Malatraix pour la qualité de ses produits. «Vous me l’apprenez, je n’ai pas encore eu le temps de lire, c’est mon projet pour mes congés de fin de d’année», nous confie la patronne. MM
* À lire: «Malatraix», Emmanuelle Robert, Éd. Slatkine, octobre 2021.
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Départ: la Maison Visinand, à Montreux (VD).
Distance: 6 km.
Durée: environ 1 h 20.
Dénivelé: 200 mètres positif.
Difficulté: il s’agit d’un sentier de montagne, inadapté aux enfants trop petits ou aux poussettes.
Se restaurer: Hôtel Victoria, route de Caux 16, 1823 Glion.
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