1 minute read

PRIX GONCOURT CHOIX DE LA TUNISIE CULTURE

La septième édition du Prix Goncourt : Choix de la Tunisie s’est déroulée le dimanche 19 mars, en présence de 300 élèves venant des 24 gouvernorats. Et parmi eux, se trouvaient les élèves de Pierre Mendès France. Depuis 2015, à l’occasion de la visite inaugurale de Bernard Pivot à l’Institut français de Tunisie, le prix littéraire “Le Choix Goncourt de la Tunisie” est devenu un événement reconnu et incontournable en Tunisie. Cette année, la cérémonie fut présidée par Monsieur Saber MANSOURI et animée par Madame Lamia CHAHED, en présence de Madame Camille LAURENS de l'Académie Goncourt.

Encadrés par Madame HADDAD, Madame MAILLARD et Madame WIERRE, des élèves volontaires de seconde, première, et terminale se sont engagés à lire les 4 ouvrages en lice pendant le mois de février. Ils se sont donnés rendez- vous à plusieurs reprises pour échanger et dialoguer autour de leurs lectures, ainsi que débattre afin d’élire un ouvrage qui sera défendu par l’équipe à l’oral avant les votes officiels.

Advertisement

Entre Vivre Vite de Brigitte GIROUD, Une Somme Humaine de Mackenzy ORCEL, et Le Mage Du Kremlin de Giuliano DA EMPOLI, c’est Les Presques Soeurs de Cloé KORMAN qui fut choisi après vif débat. Le roman, qui raconte l’histoire de 6 petites filles juives dans la France de Vichy, a su toucher la sensibilité des élèves de PMF.

Le jour J, chaque lycée a défendu l’un des quatres livres, durant une prestation orale sur la scène de l’IFT. Nour BEN GAMRA, Selim JEBBARI, Macha BOUSQUET, Tesnime MANOUBI et Selim BEN ABDALLAH ont fait l’éloge du roman de Cloé KORMAN avec éloquence. Les élèves ont également pu rencontrer et poser leurs questions à deux auteurs présents par visioconférence : Brigitte GIRAUD et Makenzy ORCEL. C’est finalement le roman de Brigitte GIRAUD, Vivre Vite qui, à l’issue des votes, s’est vu décerné le Prix Goncourt Choix de la Tunisie.

Participer au choix de ce prix prestigieux a permis aux élèves d’aiguiser leurs talents de critiques littéraires et de se réunir autour d’un intérêt commun : la littérature francophone.

This article is from: