L’H E B D O G R AT U I T DE S S PE C TAC L E S S PÉ C I A L F E S T I VA L S
CINÉMA 20
MUSIQUE 26
À GENOUX LES GARS
FÊTE DE LA MUSIQUE
La langue bien pendue
Notre sélection
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RESTAURANT 27
LISBOA Lisbonne sur la Presqu'île
Du mardi au vendredi : 12h → 19h
LE PETIT BULLETIN
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Nouveau Une grande librairie de cinéma à Lyon !
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Ouverture mardi 26 juin à 22h avec Priscilla, folle du désert !
2o ans
fêtes escales
13, 14, 15 juillet 2018 PARC DUPIC À LA UNE
TOUT LE PROGRAMME POUR SE PRÉPARER À LA SAISON DES FESTIVALS
Chico Trujillo Raina Raï Orchestre Poly-Rythmo de Cotonou Chœurs de l'Opéra de Lyon BKO Imarhan Electric Mamba Sonido del Monte Cumbia y Cardon SopaLoca
ÉDITO PAR SÉBASTIEN BROQUET
tagnes russes, d’engueulades, de défaites, de négociations, de compromis, de recherches et de lieux et d’artistes, qu’il a fallu... construire et élaborer. C’est un challenge permanent, l’organisation d’un festival, un jeu d’équilibriste qui parfois entraîne la chute, trop peu souvent racontée. C’est ce qui arriva à Karakos, Bizot et Kouchner, à Biot, en août 1970 : la catastrophe, décrite par le boss d’Actuel dans le numéro de septembre 1989. À relire absolument, surtout si vous pensez que les rockeurs sont cools !
w w w.p e t i t -b u l l e t i n . f r/ lyo n
C’est encore ce qui fouetta Gonzaï cette année, qui le raconte à son tour sur son site : mille espoirs placés en Pyramid, festival qui devait se dérouler à la Grande Motte le week-end dernier, où devaient jouer Acid Arab et Christophe... Annulé par de multiples petites fautes entraînant des préventes catastrophiques : 39 à deux mois de l’événement... Quand vous danserez, quand vous pogoterez : ayez une pensée pour les organisateurs. Qu’ils soient heureux à leur tour.
© Morgan Castillo
et été, je ne rentre pas chez moi. De tente Quechua en belle étoile, de vieux bahut de free parteux en banquette arrière de Chrysler rose, j’erre de festival en festival : transhumance culturelle. Je suis un festivalier heureux ! Insouciant, critique, parfois un peu mouton de Panurge, prêt à subir la boue et les files d’attente interminables pour siroter une bière. Mais pour arriver jusqu’au stand cashless, j’oublie souvent qu’il a fallu des mois de labeur, d’incertitudes, de mon-
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