PORTFOLIO_Julien Quinet_2025

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Portfolio Julien Quinet architecte

février 2025

Julien Quinet Architecte DE Assistant de projet/Chargé de projet diplômé de l’école d’architecture de Versailles julienquinet.arch@gmail.com +33 7 69 77 60 97

Omnes

Construction du Campus

En proue sur la place Marceau, à l’extrémité nord de la ZAC Charles, le futur campus, concentre sur une parcelle très contrainte sept programmes d'éducations distincts ainsi les fonctions qui y sont associées.

Le bâtiment signale son accès par une brèche opéré dans le volume, au niveau de l'avenue Leclerc. Sa façade est composite et constituée de trois matériaux. En base, sur toute sa hauteur, le rez de chaussée propose une matérialité minérale en pierre de taille ou en béton sablé.

Les étages courants, enveloppés par le dispositif de façade Saint Gobain sont enduits de terre stabilisée; enfin les deux étages en attique protégés de leurs larges casquettes sont recouverts d’un bardage bois, pré-vieilli.

Les différentes matérialités de façade répondent aux trois programmations principales de l’établissement : le socle minéral intègre ainsi l’accueil et le forum; le corps du bâtiment, les divers lieux d’enseignement; enfin la tête regroupe les entités constituant les espaces liés à la vie étudiante.

Maitrise d’ouvrage / Redman + Saint Gobain

Paysage / DDA

Structure / EVP

HQE / Le Sommer

Fluide / Solab

Acoustique /ABCDécibel

Économie / BMF

R+5 à R+6 Place du village

R+1 à R+4 Quartiers d’enseignements

RDC Accueil/Forum

1 Alignement des hauteurs d’attique à celles des abords existants

2 Creusement d’un parvis et matérialisation de l’entrée du campus

3 Aménagement de vastes terrasses aux étages supérieurs protégée du soleil

4 Épannelage pour les deux derniers niveaux du bâtiment

FAÇADE DEPUIS L’AVENUE DU GÉNÉRAL LECLERC

PLAN ÉTAGE COURANT / QUARTIERS D’ÉDUCATION

PLAN R+5 / PLACE DU VILLAGE

1 Plancher mixte bois-béton D-Dalle

2 Structure Poteau-poutre béton

3 Procédé façade Saint-Gobain

4 Menuiserie bois

5 Appui de fenêtre pierre

6 Persiennes bois

3

4

5 6

COUPE TRANSVERSALE

QUARTIERÉDUCATION

TERRASSE & JARDIN

QUARTIER ÉDUCATION

Escalier-amphithéâtre

Cloison acoustique feutre fixée sur rails

Maitrise d’ouvrage / Crédit Agricole Immobilier Paysage / DDA Construction de 128 logements & une

CONCOURS POUR CRÉDIT AGRICOLE IMMOBILIER

La route de la côte d’Amour est l’une des artères principales qui connectent le centre ville de Saint-Nazaire aux communes ouest avoisinantes. C'est un tissu urbain clairsemé, composé de quartiers pavillonnaires jonchés de petits commerces. Le secteur est aujourd'hui en pleine mutation et se densifie progressivement. Sur une parcelle auparavant occupé par un concessionnaire automobile, il a été proposé une résidence de 128 logements ainsi qu'une crèche de 300m2.

Le long de la route de la côte d'amour, deux premiers bâtiments se développent sur 3 étages et tiennent l'alignement. En fond de parcelle, deux autres atteignent les 7 étages offrant ainsi de nombreuse vues vers le parc boisé. Le projet a tenté de libérer le maximum de pleine terre et d'espaces végétalisés aussi, offre t-il un vaste jardin en cœur d’îlot.

HAUTEURS

Le projet s’étage sur deux niveaux de références: une strate basse à 11,40m (R+3/R+4) et une strate haute à 21,60m (R+7).

POROSITÉ

Des percées visuelles depuis la route de la côte d’Amour vers la zone boisée

ÉPANNELAGE

Un socle bâti R+3 surmonté de 3 niveaux d’ attiques en retrait et cerné de balcons filants

VÉGÉTATION

Le projet est bâti autour d’un vaste espace vert planté. Les toitures sont toutes végétalisées.

FAÇADE DEPUIS LA ROUTE DE LA CÔTE D'AMOUR

ORIENTATIONS

PROGRAMMES

Crèche

T2 ACCESSIBLE

T3 ACCESSIBLE

T3 EVOLUTIF

Le centre d’aide psychologique est un lieu d’assistance de proximité pour les personnes en détresse psychique. Il se constitue de trois services : le pôle d’hospitalisation à domicile, le pôle jeunes adultes, et enfin celui de l’accueil de liaison psychologique.

En plus de ces unités de soins, le centre abrite d’autres fonctions associées : une petite cafétéria, un espace d’activités manuelles, un plateau sportif, des bains ainsi qu’une batterie de chambres d’hôtes, où il est possible de prendre une retraite, le temps de quelques jours.

Si par le passé, les établissements analogues à celui-ci furent construit à l’écart des villes, ici, cette réconciliation avec l’urbain pose néanmoins la question du type de relation que le centre entretiendra avec son contexte.

Le projet exploite largement le concept de rempart, de carapace protectrice qui délimite un périmètre intérieur et constitue ainsi un écosystème autonome, préservé du reste de la ville. Le centre offre alors la possibilité de prendre ses distances par rapport à la société pour un temps, en intégrant une autre forme de société à plus petite échelle.

Si le rempart établit une rupture avec le reste du tissu urbain alentour, il est pour le centre un liant entre les différents programmes. Faisant à la fois office d’espace de transition que de connecteur.

Haut / Schémas conceptuelles et plan masse du centre d’accueil

Bas / Coupe longitudinale

Droite / Maquette au 1-200ème

Gauche / Coupe et détails de façade

(1.brique de terre cuite / 2. pavé de verre / 3. dalle de grès / 4. béton de site / 5. tomette de terre cuite / 6. plaque de zinc )

Droite / Plan de RDC et de R+1 du centre d’accueil et d’aide psychologique

palestinien comme matrice

Le vernaculaire

Un voyage d’étude en Palestine, dans la ville de Naplouse a fourni le cadre de ce projet. Fondée au Ier siècle par les romains, cette ville située sur la route entre Jérusalem et Damas fut façonnée par une myriade de cultures et d’époques. Si l’on devine toujours sur ses plans le quadrillage antique de ses rues, d’autres logiques urbaines s’y sont adjointes; le modèle du “Hosh“ par exemple, quartier résidentiel à la structure en arborescence, qui articule une collection de seuil d’intimité entre le public et le privé , en trouble la pureté géométrique originelle.

Le travail de documentation (I) puis de projet (II) ont été circonscrit au quartier al-Haballah, le quartier est du centre historique. Il y a un siècle encore, la rue de l’ancienne cour de justice ottomane* formalisait la limite de la ville. Au delà s’étendaient vergers et jardins qui disparurent avec l’expansion urbaine. À défaut d’une redéfinition du cadastre, d’immenses portions de ces terres furent prises au piège au sein de vastes îlots urbains; enclavées désormais elles constituent depuis des zones mortes dans la ville.

C’est sur l’un de ces territoires que le projet se développe. Avec son programme mixte qui réunit zone résidentielle et centre culturel, le nouveau quartier tente de se réapproprier ces morceaux de ville oubliées et les vestiges qui les parsèment.

* voir le plan page 25

(I) RELEVÉS DOCUMENTAIRES

Gauche / Plan du quartier al-Haballah dans le centre historique de Naplouse

(1. palais al-Nimer / 2. hosh al-Bisher / 3. rue de “l’ancienne cour de justice Ottomane“ / 4. îlot d’implantation du projet

Droite / Plan du Hosh al-Bisher relevé du RDC et du R+1

Bas / Coupe du Hosh al-Bisher

(II) DENSIFICATION D’UN

CŒUR D’ÎLOT

Gauche / Plan du quartier

Droite / Axonométrie du quartier et schémas de principes

Secteur du khan

1 accueil / accès à la bibliothèque et aux espaces de lecture

2 toilette

3 shrine (mausolée)

4 cuisine et stockage

5 salles de restauration

6 espace d’expositions temporaires

Secteur de l’hôpital des Croisés

1 jardin public

2 théâtre de plein-air

3 scène

4 accueil

5 coulisses

6 salle de danse

Secteur du palais Ottoman

1 grande typologie / entre 6 et 9 unités d’habitations

2 petite typologie / entre 4 et 6 unités d’habitations

3 atrium commun / grande typologie

4 cour en quart de cercle / espace public

5 diwan de quartier (salle de réception)

café et bibliothèque

ancien khan (caravane-sérail) vestige de l’hôpital des Croisés

théâtre et salle de danse hosh contemporain

ruines d’un hammam (bains turques) palais ottoman à l’abandon

Le contexte dans lequel s’est tenu ce studio ne pouvait manquer d’en métamorphoser le programme. La pandémie de coronavirus alors à ses prémisses avait pourtant déjà paralysé la vie étudiante. À défaut de pouvoir amorcer la programmation initiale du semestre, c’est d’abord vers un travail documentaire, celui de l’espace banal dont nous étions les captifs qu’il débuta. Par notre incarcération volontaire autant que par le dessin nous redécouvrions ainsi ce microcosme oublié par l’habitude (I).

Quelle place l’architecture pouvait-elle tenir au sein de cette crise ? Puisque de nouveaux “lieux“ étaient apparus, ils se proposaient ainsi comme nouveaux sujets qu’il était indispensable pour nous de saisir.

Deux pavillons prototypiques sont ici suggérés : l’un dédié à la réalisation de tests à la Covid (II), l’autre à l’isolement des personnes infectées (III). Dans ces deux situations le rapport au temps est une donnée cruciale. Il s’agit d’espace au sein desquels on patiente bien sûr, mais l’existence même de ces bâtiments semble s’inscrire dans une temporalité particulière : ils doivent sortir de terre immédiatement et deviendrons probablement obsolètes à court terme.

Le choix d’une architecture biodégradable tirant parti des ressources locales était une évidence. Le système constructif de la bauge (mélange de terre crue et de paille) y est notamment largement exploité.

(II) PAVILLON DE DÉPISTAGE

Gauche / Croquis conceptuels d’implantation et de détail

Droite / Mise en situation de l’espace d’attente du pavillon

Bas / Coupe constructive

(III) PAVILLON D’ISOLEMENT

Gauche / Mise en situation du pavillon d’isolement, côté chambre.

Droite / Croquis conceptuels d’implantation et de détail

Bas / Coupe constructive du pavillon

Droite / Plan du pavillon de dépistage

Gauche / Plan du pavillon d’isolement

Bas / frise narrative des dispositifs et des méthodes constructives

Learning from UberEats / le territoire en archipel des plateformes

Le contexte du confinement et ses répercussions sur la pratique de l’espace aussi bien domestique que publique a offert l’occasion d’une redéfinition de la notion d’architecture. Alors que certains lieux devenaient impraticables, d’autres opéraient leurs mutations. Dans ce contexte socio-spatial nouveau, les plateformes numériques devenaient une composante majeure de la société, se faisant interfaces de substitutions de lieux d’échanges qui ne pouvaient désormais plus se matérialiser. Si les plateformes ne sont pas apparu subitement, le confinement avait pour la première fois opérer la conversion brutale et généraliser des lieux d’interactions humaines palpables dans la sphère immatérielle du numérique. Le lieu programmé par l’architecte pour remplir une fonction social particulière était devenu une idée obsolète puisque que ces moments de société se passaient désormais de l’espace pour exister. Le périmètre d’étude a été restreint aux plateformes de livraisons de repas. Ces plateformes représentaient probablement les seuls modèles de réseaux d’échanges qui conserveraient un ancrage dans le monde matériel ( le transport de nourriture ne pouvant être converti en signal électrique). De plus, ces réseaux qui articulent une variété de lieux les uns aux autres, ainsi qu’une multiplicité d’acteurs offrait un territoire d’exploration fertile.

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(I) VINGT-ET-UN-CONTES / SÉRIE D’ILLUSTRATIONS MÉTAPHORIQUES DANS LE STYLE DES VILLES INVISIBLES (ITALO CALVINO) : TENTATIVE DE CAPTURE DES ÉVÉNEMENTS SPATIAUX GÉNÉRÉS PAR LES PLATEFORMES DE LIVRAISONS DE REPAS.

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Si l’on s’en tient à son empreinte sonore, [4] est semblable à une jungle. Partout, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, on y perçoit le même ramage entêtant. Ce tumulte si particulier est orchestré par une panoplie d’antennes couronnant les quelques sommets qui dominent la ville. Éventrant les nuages, elles émettent des signaux à destination de petits objets monolithiques que chaque habitant de [4] transporte avec lui en permanence. Lorsque le contact est établi, un son bien caractéristique émane du précieux monolithe venant ainsi prolonger l’interminable partition musicale de [4]. Mais cette ritournelle est loin d’être arbitraire : chaque timbre retentissant est une quête supplémentaire proposée aux membres de ce peuple de chasseurs-cueilleurs. Puisque le travail à [4], n’est ni fonction d’un calendrier, ni défini par des horaires fixes, ce système de télécommunication hautement sophistiqué avertit en temps réel les pisteurs de proies potentielles. Les quêtes sont alors librement acceptées ou refusées en fonction de la valeur estimé du butin et des objectifs personnels des chasseurs.

Le comportement des citoyens de [6] est contrôlé par un algorithme.

Les rues de attirent les paces domes tiques qu’elles finissent par absorber.

Un peuple de chasseur énigmatique sillonne les rues de [4].

[6] pourrait sembler presque banale. Ce serait pourtant faire abstraction de son appareil de contrôle gigantesque qui orchestre chaque détail de la vie de ses citoyens. Alors que le dispositif décide des déplacements individuels de chaque habitant en prenant soin de lui délivrer les cartes et les clés pour les réaliser, chaque habitant est également surveillé dans ses mouvements, et son comportement contrôler et sanctionner par l’appareil lui-même. Dans cette tâche, l’ordinateur s’appuie sur quelques intelligences humaines qui scrutent méticuleusement les actes et les déplacements de leurs concitoyens, les gratifiant d’une note et reportant la moindre maladresse que l’intelligence artificielle ne pourrait elle-même remarquer. Faisant la fierté des uns et la honte des autres ce chiffre en évolution permanente constitue une part essentielle de l’identité des citoyens de [6]. D’ailleurs, puisque tout le monde convoite la note maximale, toute conduite non-souhaitée par l’algorithme est inhibée par les administrés eux-mêmes. Le moindre impair pouvant causer le bannissement temporaire voire définitif de la ville ; on comprend pourquoi à [6], aucun poste de police n’a jamais vu le jour.

De nature peu casanière, dents de [11] passent de leurs journées dehors, de la ville, quelle que S’ils semblent avoir gressivement la douceur intérieures des bâtiments pour le plein air, ce sement vers le dehors à leur corps uniquement. des portions entières tique descendent des s’établir sur l’asphalte. salles à manger ou encore confondent avec places, parcs. Ainsi, ce que appelaient lieux publics de nos jours un terrain colonisation des espaces et privatifs qui s’immiscent les anfractuosités de toires municipaux et reconvertis à mesure sis par la population, miler l’essentielle de à [11]. Il semble tout habitants aient conservé tiges de leurs logements à l’intérieur de modestes qui bordent leurs existences ; ne s’agirait semble-t-il dortoirs.

de [11] les esdomesqu’elles par absorber.

casanière, les résipassent la majeure partie dehors, dans les rues que soit la saison. abandonné prodouceur des cellules bâtiments d’habitation mystérieux glisdehors ne se limite pas uniquement. Avec eux, entières d’espace domesdes immeubles pour l’asphalte. À [11], séjours, encore cuisines se places, squares et les anciens de [11] publics constituent terrain propice à la espaces individuels s’immiscent dans toutes de la ville. Ces terriet leurs composants, mesure qu’ils étaient saipopulation, ont fini par asside la vie domestique tout de même que ses conservé quelques veslogements passés, situés modestes constructions existences ; mais il semble-t-il que de simples

Il ne semble exister dans le dialecte parlé à [15], aucune nuance capable de distinguer ce qui relève de l’espace domestique de ce qui se caractérise comme l’espace de travail. Cette confusion entre vie privée et vie professionnelle se manifeste d’ailleurs parfaitement dans l’organisation spatiale de la ville ; les résidents de [15] travaillent généralement chez eux à moins qu’ils ne vivent sur leur lieu de travail… Ce regroupement des fonctions a semble-t-il empêché la polarisation ordinaire de la ville en secteurs d’activités, et se confondent plutôt les

uns avec les autres. Mais pour que le travail n’envahisse pas totalement le quotidien de ses habitants, le cumul des emplois avait été néanmoins proscrit. De ce point de vue, le secteur de la restauration tient une place particulière : puisque chacun possède une cuisine chez soi, devenir chef cuisinier en complément d’une activité plus officielle est une pratique tout à fait ordinaire. À [15], la mémoire du voyageur est bien souvent marquée par l’odeur si particulière de ses rues, au sein desquelles s’entremêlent les émanations de préparations en tout genre. 15 21

La ville de [15] se compose de lieux où s’entremêle

activité professionnelle et vie privée.

Les habitants de [21] s’étaient probablement jurés de rester unis quoiqu’il arrive. C’est en tout cas ce qui expliquerait la permanence de leurs rapports, bien qu’un différend - dont il est difficile de saisir l’origine - les conduisit à se scinder en deux groupes qui ne devaient désormais plus se croiser. À la suite de cette rupture, un plan de partage équitable de [21] avait été organisé : les îlots d’habitations étaient attribués à la première moitié de la population, tandis que la voie publique était concédée à la seconde. Cette redistribution particulière du territoire avait rendu les gens des rues responsables des gens des immeubles qui, reclus chez eux, ne pouvaient plus subvenir à leurs propres besoins. Puisque plus personne à [21] n’acceptait l’idée d’une confrontation directe avec un concitoyen de l’autre camp, mais que la nécessité des échanges persistait, des micro- territoires neutres qui officialisaient ces relations pacifiées fleurirent à [21]. Ces zones tampons s’installèrent dans ce qui servait autrefois de hall d’entrée, de parvis, de cage d’escalier ou bien de cabine d’ascenseur. L’adaptation de ces espaces à leur nouvelle attribution n’avait d’ailleurs nécessité que peu de moyens.

Des espaces interstitiels permettent au peuple de [21] de maintenir leurs relations

(II) TERRITORIALISATION D’UNE PLATEFORME DE LIVRAISON DE REPAS / MISE EN CONDITION RÉELLES PAR L’UTILISATION DE LA PLATEFORME UBEREATS EN TANT QUE LIVREUR.

GAUCHE/ LIEUX "D’ÉCHANGES" PROCESSUS PHOTOGRAMMÉTRIQUE

"D’ÉCHANGES" CAPTURÉS PAR PHOTOGRAMMÉTRIQUE IMPRIMÉS EN 3D

DROITE/ CARTOGRAPHIE DE L’ENSEMBLE DES TRAJETS RÉALISÉS (GRANDE CARTE) ; CARTOGRAPHIE DES LIEUX DE RÉCEPTION DES MISSIONS, DE SAISI DES COMMANDES ET DE LIVRAISON AUX CLIENTS (TRIPTYQUE).

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