Arctique Kites

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A R C T I Q U E S

K I T E S


Rédaction - julien Ondedieu Photo - julien Ondedieu Développement - Ludovic Drocourt Relecture - Elodie Roy

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Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui rac-


Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui rac-


L’aventure


L’idée d’une aventure sur la neige tirés par des kites et en autonomie complète nous est venue sur les bancs de l’université. Nos affaires sont prêtes. Je le connais par cœur cet endroit, j‘ai observé les cartes pendant des heures et des heures. Entre le village de Kilpisjarvi et le mont Halti s’étire un immense plateau bosselé de montagnes entre lesquelles coule une rivière. il n’y a rien d’autre. C’est un grand désert blanc. Un désert Arctique. Le bus ralentit, il nous dépose au pied du bureau d’information du parc, nous nous équipons. Lentement le drapeau qui flote sur le toit s’éloigne derrière nous, plus bas, et nous montons. Nos peaux de phoque accrochent la neige complètement poudreuse, et ses cristaux brillent partout. Dans la pente douce il y a des arbustes autour de nous. Ce sont les derniers que nous verrons jusqu’à la rivière de Meekonjarvi, dans quelques jours. Elle doit être gelée comme Saanajarvi, le premier lac que nous traversons.


Dessus la neige est sèche, ça me rassure. Nous posons notre bivouac de l’autre coté. La tente est montée et Alex creuse une tranchée autour pour piéger le froid. La neige fond dans la petite casserole chauffée par le bruleur ouvert à fond. Dans cette immensité glacée c’est le seul moyen d’avoir de l’eau liquide, c’est long. Nous nous glissons dans nos duvets pour dîner au chaud. Le ciel prend des teintes pastelles et tout est silencieux, Un peu comme si nous étions seuls au monde. Et la lumière décline à peine, il est vingt-deux heures pourtant et nous ne sommes qu’en avril. Alex s’endort et moi je voyage déjà sur les pentes des prochains jours, trop excité pour m’assoupir. Dans la tente il fait quinze degrés sous zéro, et à l’extérieur la température est plus basse de dix degrés.




C’est dure de sortir des duvets tant le froids est saisissant. Nous levons le camp. Le soleil brille mais il n’y a pas de vent. Les pulkas glissent dans les traces de nos skis derrière nous et nous avançons paisiblement. Un instant le vent se lève et je sors l’anémomètre. Rapidement il faiblit. Nous tirons les pulkas appuyés sur nos bâtons. On atteint la cabane de Saarijarvi en milieu d’après-midi. Il n’y a personne. J’allume un feu dans le minuscule poêle qui occupe un recoin de la pièce. Les affaires sont suspendues au dessus pour sécher, elle s’imprègnent de l’agréable odeur de bois qui s’installe dans notre petit abri. Ce soir nous passerons une nuit au chaud, sur les planches aménagées en dortoir confortable. Il y a une brise légère dehors, Alex sort sa voile et moi mon appareil photo. Quelques clichés plus tard, refroidis, nous rentrons nous mettre au chaud et nous dînons. Nous nous endormons les sacs de couchage grands ouverts tant il fait bon.





A notre réveil le soleil brille illuminant le ciel d’un bleu intense, mais il n’y a pas de vent. Nous quittons Saarijarvi à un bon rythme. Notre route s’élève en pente douce sur huit kilomètres en direction du nord-est. Autour de nous, au loin, de chaque côté de la trace, des centaines de rennes retournent la neige à la recherche de quelques brins d’herbe gelée, brulée par les flocons. Moi je n’en ai jamais vu plus de dix en même temps. Un jeune traverse devant nous à toute vitesse, complètement effrayé. Nous nous continuons. Nous arrivons au col. La vue derrière nous est magnifique et au loin, devant, on aperçoit la petite cabane de Kuonjarjoki. Nous déjeunons avant de reprendre la route.


Il y a une légère brise, l’anémomètre indique huit nœuds, comme j’ai eu en Alaska. Alex prend les pulkas. Avec ma speed trois de quinze mètres j’avance. Mais la dix-neuf d’Alex ne suffit pas à le tirer lui et les soixante kilos de son chargement. Nous faisons plusieurs essais et en essayant d’autres itinéraires nous multiplions les erreurs stratégiques. L’après-midi passe et, déçus, nous rangeons les ailes pour faire demitour. La soirée passe rapidement et le soleil décline. Vers vingt-deux heures nous nous couchons, et les rayons de lumière disparaissent sous les montagnes qui s’élèvent derrière la cabane.



Le lendemain nous badigeonnons nos visages de crème solaire, il fait chaud aujourd’hui. On engloutit les douze kilomètres à presque cinq kilomètres heure de moyenne pour rattraper le retard accumulé les jours passés. Nous sommes seuls à la cabane de Meekonjarvi, l’endroit est magnifique. L’absence de vent les jours passés nous contraint à changer nos plans. A partir de demain, nous rebrousserons chemin. Dans la cabanne Alex s’allonge au soleil et s’assoupit. Je fais monter la température de la cabane pour prendre une douche, ou plutôt un sauna, j’en profite pour faire ma lessive. Quatre randonneurs allemands nous rejoignent. Nous passons l’après-midi à discuter, échangeant une tasse de thé contre quelques bonbons. Deux polonais arrivent. A tour de rôle, chacun donne son avis sur l’endroit qu’il souhaiterait faire découvrir, le nord de l’Europe est un paradis sauvage. Je retiens l’idée d’un nouveau départ au parc du Sarek un jour. Je leur parle de ma première aventure boréale, dans le nord-est de la Finlande. Alex leur dit combien il est touché par cet endroit, par ce mode de déplacement, d’aventure « Ta maison sur le dos! Tu vas où tu veux, pour t’arrêter ou bon te semble, complètement libre ». Je sors prendre quelques photos et je m’aperçois que le vent s’est levé, je cours à l’intérieur prévenir Alex qui n’en revient pas « T’es sérieux ? Tu rigoles ? » Il court dehors ! En quelques minutes il est sous sa voile et glisse à toute vitesse entre les arbustes. Je m’équipe et nous partons à travers la montagne vers le sud-ouest. Derrière nous, en traversant les gros nuages qui glissent sur la montagne, la lumière prend des teintes roses-oranges et le gris est pâle. Nous filons sur la neige. Espérons que les conditions seront les mêmes demain.


Au matin le vent souffle toujours, moins irrégulier que cette nuit où de temps à autre les rafales faisaient rugir le conduit de cheminé. Nous nous équipons et nous partons. J’utilise ma dix mètres, Alex monte avec sa douze mètres. Tout se passe exactement comme nous l’espérions, nous montons à la force de la voile, le col n’est plus qu’à quelques dizaines de mètres. Le vent faiblit alors nous sortons les Speed, majestueuses, et nous partons à toute vitesse vers l’ouest. Elles vibrent dans le vent produisant un son grave et constant. Tout est blanc ou bleu, intensément lumineux. Nous filons. Les dix kilomètres qui séparent le col de la cabane de Kuonjarjoki sont engloutis en moins de trente minutes, en un seul bord. La voile est toujours à droite, calée en bord de fenêtre, survolant la neige à quelques centimètres.





Mes jambes tremblent par moment comme épuisées. Nous sommes à la cabane où nous mangeons une double ration et une soupe pour faire le plein avant de repartir. Toujours avec les plus grandes voiles car le vent s’est encore calmé. Nous descendons plus au sud et tirons des bords entre le sommet de Jollanoavi et le creux du plateau. La montée est avalée à mesure des à-coups agréables de la voile. Le vent faiblit encore, nous tirons un grand bord dans une descente incroyablement longue, glissant dans la poudreuse, sans bruit, le paysage étalant sa beauté tout autour de nous dans la lumière adoucie du soleil déclinant. A nouveau, le vent s’essouffle. Je décide de continuer à ski, pour avoir le temps de savourer ce moment. Alex poursuit à la voile. Je multiplie les pauses, m’allongeant dans le traîneau, les jambes croisées sur son rebord. Nous nous installons paisiblement dans la cabane. Nous n’en revenons pas de cette journée, de ce bord interminable et paradisiaque ce matin. De la vue magnifique depuis les sommets dans l’après-midi. Des slaloms tranquilles entre les rochers écrasés sur le sol par endroits, regroupés. Et de cette descente dans la poudreuse embrassant ce paysage majestueux. Nous sommes enivrés! Nous mangeons un couscous au poulet ce soir. Parmi nos plats déshydratés, c’est un des meilleurs. Je m’endors le premier. Alex ne tarde pas à me suivre.





En ouvrant les yeux le matin le soleil colore déjà le ciel d’un bleu lumineux. L’immense troupeau de rennes est redescendu dans la plaine à quelques centaines de mètres de la cabane. Nous l’observons par les minces vitres pleines de givre de notre petit abri. Pas de signe du vent. Nous sommes si bien. Nous restons silencieux, allongés. Je prends quelques photos, Alex lit. Puis le vent se lève et nous repartons, excités par ce qui nous attend.



Le vent nous monte aux sommets. Cap au sud-ouest aujourd’hui, alors nous tirons des bords entre les crêtes et le lac en contrebas. La vue est particulièrement belle. Les sommets au loin déchirent l’horizon.


Les nuages tentent un assaut, engloutissant une partie du massif. Nous nous sommes sous le soleil. Toujours. Seuls au milieu de ces pentes magnifiques, vierges.





Le vent se calme. Nous installons notre bivouac sur une plateforme dans les pentes en dessous de Muurivaara, juste sur la frontière. L’endroit est magnifique. Alex monte un rempart de neige qui s’élève à près de un mètre, et derrière lequel s’enfoncent les ancrages solidement fixés. Parce que le vent peut souffler fort ici. Particulièrement dans ce goulot formé par les deux montagnes qui nous entourent, où il n’y a pas d’obstacle. La neige fond dans la popote posée sur le réchaud, ce soir nous mangeons une fondue savoyarde ! Déshydratée pour le moment, mais bientôt les croutons baigneront dans le fromage fondu, ou presque fondu. Pas tout à fait savoyarde non plus cette fondue. Et nous nous délectons, emmitouflés dans nos duvets. Sous le couché du soleil et seuls au monde. Alex s’endort rapidement, heureux. Je peine à trouver le sommeil, comme pour profiter de chaque instant. Je suis si bien.




Le givre s’est amassé sur les parois de la tente ce matin. Tout est gelé à part nos vêtements et un thermos restés au chaud dans nos duvets. Les affaires sont compactées dans les pulkas et nous partons vers l’ouest. Nous passons sur le versant de l’autre montagne en suivant la courbe de niveau vers le sud-ouest. Il fait vraiment froid aujourd’hui alors à la pause déjeuner nous mangeons bien chaud pour ne pas geler. Les nuages s’amassent au loin. Les


bruits des motoneiges réapparaissent, le village est à quelque kilomètres. J’accélère, En moins d’une heure nous avons traversés le lac, descendu la montagne et nous sommes la route qui traverse Kilpisjarvi, en direction du buffet à volonté du village. Sept assiettes bien rempli plus tard, nous regagnons la foret d’où nous venons, l’estomac balloté par le relief accidenté de la piste pour motoneige que nous empruntons.


Nous dormons à la belle étoile. Alex en rêvait. En sandwich entre deux ailes, au chaud dans nos duvets. La lune éclaire les arbres, les montagnes, les rochers couverts de neige. Et nous, au milieu de ce monde engourdit par le froid. Il est vingt-trois heures, et il fait dix sept degrés Celsius sous zéro. Je ferme les yeux. A une heure du matin, le ciel s’irise au dessus de nous. Je réveille Alex. C’est une petite aurore boréale qui danse discrètement entre les nuages clairs, avant d’être cachée par l’un d’eux. Il neige à peine. Nous nous rendormons, abrités sous nos ailes. J’ouvre l’œil vers dix heures, en même temps qu’Alex. C’était une grasse matinée aujourd’hui. Et elle n’est pas terminée, nous restons une heure dans nos duvets à discuter du surréalisme de cette nuit passée sur un mètre de poudreuse, en équilibre sur nos matelas. Dans la continuité exacte de notre petite aventure. Incroyable pour nous. Aujourd’hui le vent souffle très fort comme pour nous narguer. Vers onze heures trente, nous repartons au buffet, comme pour combler les quelques espaces libres de notre estomac, au cas où nous devrions repartir pour la même aventure. On s’arrête à cinq as-


siettes ce midi ! Le bus arrive, et nous nous installons, seuls, au fond du carrosse confortable qui dans huit heures nous déposera à Rovaniemi, cinq cents kilomètres plus au sud. On dort, on regarde le paysage et on dort à nouveau, sans voir le temps passer. Ce soir on fêtera notre aventure ! Avec Mathieu, le copain qui nous héberge, et les autres, sur le campus Erasmus de la ville. Demain déjà, nos affaires seront empaquetées pour le retour. C’était vraiment chouette tout ça.


Julien


Alex


curiositĂŠs

Questions to Mr. Noel D. Broadbent Questions to Mr. Noel D. Broadbent


Questions to Mr. Noel D. Broadbent Questions to Mr. Noel D. Broadbent


A vous de jouer

Généralités: Kilpisjarvi est le point de départ de notre randonnée. Ce petit village est desservi toute l’année par un bus qui fait la liaison tous les jours depuis Rovaniemi, Kaajani et Tromso où vous pouvez atterrir en hiver et au printemps (vols Finnair, Blue1, SAS, Norwegian…). Pas besoin de visa pour les Européens en Finlande ou en Norvège. A Kilpisjarvi il y a un petit supermarché et un magasin de sport où vous pourrez faire vos provisions, acheter du gaz ou de l’essence pour votre réchaud.

La météo: Nous sommes partis début avril. La nuit il faisait autour de vingt degrés Celsius en dessous de zéro. La journée la température remontait autour de moins dix, parfois zéro. Nous avons eu du beau temps tous les jours avec quelques ondées de temps à autre. Le ciel a pour réputation d’être plutôt nuageux. Le vent peut varier très vite en force et en direction.


Les spots de kite: Une fois arrivé au lac de Saanajarvi vous êtes sur le spot. Si le vent est favorable le terrain vous permet d’aller à la voile trente kilomètre plus loin, jusqu’à Meekonjarvi. Entre ces deux points il existe une infinité de solutions.

Attention: Aux rivières cachés par la neige et aux lacs parfois peu gelés. Par endroits le vent fait affleurer les rocher sous une très mince couche de neige. Les pentes sont faibles mais il y avait des plaques à vent en avril. Le téléphone ne capte que sur certains sommets. Pour la lecture des cartes Jarvi veut dire lac, joki c’est une rivière, koski désigne un rapide (tout ça sous la neige bien sûr).


S’équipeR up r code s s ur

e u r co code coeuu ps d

ps de cououps c co u

de co ps coupeu r e coe

Polaire trollveggen (Norrona): Son col très montant, sa matière épaisse, douce et légère ainsi que les passant pour les pousse à chaque poignet vous tiendront bien au chaud grace au Polartec Thermalpro choisi pour ses qualités thermique et sa respirabilité. Tout ça pour seulement 470g selon Norrona (373g sur ma balance).

SPEED 3 (Flysurfer): Elle vole tôt, la version Deluxe sait se faire oulier quand elle est dans le sac car elle n’est vraiment pas lourde (moins de trois kilos pour ses quinze mètres). Et elle est suffisament stable pour utiliser les deux mains pour faire autres chose de temps en temps.


Photo de l’ensemble du materiel à insérer ici.



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