Dossier de presse kingkongtheorie2017

Page 1

Dossier de presse Little TTO - 25 janvier au 25 fĂŠvrier 2017


CONTACT PRESSE Joy Jouret
 Portable : 0032 (0)498 63 85 62
 Mail : joy@ttotheatre.be
 Site : www.ttotheatre.be

King Kong Théorie

D’après le best-seller de Virginie Despentes
 Sous le regard dramaturgique de Julie Nayer assistée par Lisa Cogniaux
 Avec Marie-Noëlle Hébrant, Maud Lefebvre, Delphine Ysaye
 Scénographie Pol Art
 Création sonore et vidéo Ludovic Romain
 Création lumières Félicien Van Kriekinge
 Production Théâtre de la Toison d’Or / Mazal asbl, Théâtre Jardin Passion et Revolver asbl, avec le soutien du Panach’Club


NOTE D’INTENTION DE L’AUTEUR 
 « J’écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne m’excuse de rien, je ne viens pas me plaindre. (...) J’écris donc d’ici, de chez les invendues, (...) aussi bien et dans la foulée que pour les hommes qui n’ont pas envie d’être protecteurs, ceux qui voudraient l’être mais ne savent pas s’y prendre, ceux qui ne savent pas se battre, ceux qui chialent volontiers, ceux qui ne sont pas ambitieux, ni compétitifs, ni bien membrés, ni agressifs (...) Parce que l’idéal de la femme blanche séduisante mais pas pute, travaillant mais sans trop réussir, (...) restant indéfiniment jeune sans se faire défigurer par les chirurgiens esthétiques, maman épanouie mais pas accaparée par les couches et les devoirs d’école, (...) cultivée mais moins qu’un homme, cette femme blanche heureuse qu’on nous brandit tout le temps sous le nez, (...) je crois bien qu’elle n’existe pas. » Virginie Despentes

L’AUTEUR

Virginie Despentes

est romancière et réalisatrice. Elle est également ponctuellement parolière, traductrice, chroniqueuse. Elle est l’un des symboles de la littérature « trash » française. Née en 1969, elle vit sa jeunesse dans un univers culturel punk-rock d’abord à Nancy puis à Lyon (son nom de plume lui vient d’ailleurs des pentes de la Croix-Rousse). Candidate libre au bac, elle a fait tous les métiers : femme de ménage à Longwy, prostituée par minitel, hôtesse dans un salon de massage à Lyon, pigiste pour des journaux rock et porno, vendeuse au rayon librairie du Virgin Megastore à Paris. Sa chance tourne avec la publication de ses deux romans : Baise-moi (1993, Florent Massot) vendu à plus de 40 000 exemplaires puis adapté au cinéma par elle-même et Coralie Trinh Thi en 2000 (film très controversé et retiré des salles quelques jours après sa sortie), et Les Chiennes savantes (1995). Elle est traduite en plus de dix langues. Son roman Les jolies choses (1998) adapté au cinéma par Gilles Paquet-Brenner, reçoit le Prix de Flore. Bye Bye Blondie parait en 2004, elle l’adapte et le réalise pour le cinéma avec Béatrice Dalle et Emmanuelle Béart en 2012. C’est en 2006 qu’elle publie l’essai autobiographique : King Kong Théorie. Il sera suivi notamment en 2010 par le roman Apocalypse bébé (Grasset), qui reçoit le Prix Renaudot, et en 2015 par les tomes 1 et 2 de la fresque sociale et rock’n roll Vernon Subutex, prix Landerneau. Le 5 juin 2015, elle devient membre du jury du prix Femina, décidément consacrée comme « auteure », ce dont elle semble la première étonnée.


LE TEXTE 
 King Kong Théorie est un essai autobiographique de Virginie Despentes (entre autres auteur et réalisatrice de Baise-moi, Bye Bye Blondie, Vernon Subutex...) Elle dresse un portrait de la manière dont le féminin se construit par rapport au masculin, et de leur relation au pouvoir : quelle est la place assignée à chacun dans la société ? La condition de la femme (et de l’être humain) a-t-elle évolué depuis la révolution sexuelle des années 70 ? Si la réponse est oui, il reste néanmoins du chemin à parcourir et c’est de cela dont il est question. Un manifeste pour un nouveau féminisme où il ne s’agit pas de comparer les petits avantages des uns aux petits acquis des autres mais bien de « tout foutre en l’air ». « L E FÉMINISME EST UNE AVENTURE COLLECTIVE, POUR LES FEMMES, POUR LES HOMMES , ET POUR LES AUTRES . U NE RÉVOLUTION, BIEN EN MARCHE. UNE VISION DU MONDE, UN CHOIX. » King Kong est une référence à la créature imaginée par Peter Jackson en 2005 et fonctionne ici comme la métaphore d’une puissance fondamentale que chaque individu a en lui. Mais le monde moderne refuse catégoriquement, particulièrement chez les femmes, ce « quelque chose » au-delà de la femelle et du mâle, « ce qui en elle est hirsute, puissant, ce qui en elle rit en se frappant la poitrine (...) cette force qu’on n’a voulu ni apprivoiser, ni respecter, ni laisser là où elle était, est trop grande pour la ville qu’elle écrabouille rien qu’en marchant. Avec une grande tranquillité ». King Kong Théorie est un texte puissant, intelligent, certes cru mais drôle aussi par l’ironie qui flirte avec un humour rock’n roll, voire punk. L’auteur mélange ici réflexion et vécu : elle interroge l’évolution des droits de la femme, de sa sexualité, de son rapport au corps à travers sa propre expérience de vie et des sujets aussi tabous que le viol dont on se relève, la prostitution choisie et la pornographie assumée. Paru il y a près de dix ans, King Kong Théorie dresse un constat « uppercut » sur la société et les rapports hommes/femmes.


NOTE D’INTENTION DES COMÉDIENNES 
 Aujourd’hui, nous n’avons plus le choix. Plus exactement, nous n’avons d’autre choix que de porter sur scène ce texte. King Kong Théorie est une évidence. Il est notre évidence. C’est pour cela que nous voudrions transmettre les mots de Virginie Despentes en les incarnant, à trois voix, trois corps, trois femmes, afin d’exposer le débat politique qui se joue à travers les rapports humains et la place accordée aux femmes aujourd’hui. Comme il est dit dans cet essai, l’enjeu est de taille : lorsqu’il s’agit de comprendre les mécaniques d’infériorisation des femmes, il s’agit surtout de comprendre les mécaniques de contrôle de toute la population. Nous ne savons pas où nous mènera/mènerait cet inconnu qu’est « la révolution des genres » mais si nous restons passifs et immobiles par contre, nous savons très bien où l’on va, nous régressons vers une société de moins en moins libre et de plus en plus soumise, fliquée. Une révolution « féministe » est forcément une révolution sociale qui bénéficie à tous. Dix années se sont passées depuis sa première édition, et pourtant c’est seulement aujourd’hui qu’il s’offre à nous. Au hasard d’une lecture. Est-ce véritablement un hasard ? Cet essai arrive à un moment essentiel dans nos vies, tout simplement le bon. En effet, nous sommes trois femmes de l’âge de Virginie Despentes lors de l’écriture de ce texte. Malgré nos différences, ce texte a fait écho en nous de manière brutale. King Kong Théorie est un essai essentiel parce qu’il y a un avant et un après sa lecture. Un changement, une prise de conscience. Paru en 2006, les mots résonnent toujours 10 ans plus tard, avec force, rage et intelligence dans le cœur, le corps et l’esprit de celui qui s’y plonge. Les idées percutent. Un changement s’est opéré. C’est le début d’une route que nous voulons prendre, que nous devons prendre. Depuis cette lecture, nous parlons, nous réfléchissons, nous débattons. Mais surtout nous partageons. Nous avons offert le livre à d’autres personnes pour pouvoir en débattre de manière à nous améliorer, à réfléchir sur le monde qui nous entoure. De ces échanges riches est née l’idée de spectacle, afin que d’autres partagent, débattent, soient transformés... et afin de partager les questionnements que Virginie Despentes a distillés en nous. En effet nous voulons que ce texte soit entendu pour qu’il puisse faire réfléchir à la condition de la femme mais surtout de l’être humain en général. Si une révolution a bien eu lieu dans les années ‘70, qu’en est-il aujourd’hui ? Qu’est-ce que la féminité ? Qu’est-ce qu’être femme ou homme dans ce monde signifie ? Nous ne voulons plus être esclave de ce modèle de femme blanche et séduisante que l’on nous brandit tout le temps sous le nez. Féminin/masculin, quelles prisons se cachent sous ces termes ? Quelles obligations déguisées ? Quels rôles à tenir pour que l’Etat puisse œuvrer comme il l’entend ?


L’approche genrée est devenue très à la mode aujourd’hui : l’espace public, l’éducation, les loisirs, la santé et même l’agriculture sont abordés en prenant en compte les différences et la hiérarchisation entre la manière dont le féminin et le masculin sont perçus. Nous nous connaissons depuis de nombreuses années, nous avons déjà travaillé ensemble sur différents projets mais c’est la première fois que la création scénique d’un texte nous paraît aussi vitale. Dès les premières pages du livre, on a su que c’était de cette révolution de penser la société qu’on voulait parler aujourd’hui avec un maximum de personnes : hommes, femmes, jeunes, seniors, privilégiés ou laissés-pour-compte... Nous pensons que ce propos est d’extrême utilité publique dans le monde d’aujourd’hui ! La vision sur les rapports sociaux expliquée par Virginie Despentes nous a touchées, et cette simplicité de dire les choses nous a bouleversées : pourquoi nous n’avions jamais pensé à ce la avant? Pourquoi nous n’entendions jamais si bien ce genre de discours? Nous sommes trois femmes « plus King Kong que Kate Moss » et l’on sent vivre le gorille sous notre peau épilée, lissée, maquillée. Maud Lefebvre, Marie-Noëlle Hébrant, Delphine Ysaye.


LE SPECTACLE

Puisque notre volonté est d’être entendues, il n’y aura pas de personnage, pas de costumes multiples, juste trois personnalités, trois femmes s’adressant directement au public, dans le but affirmé de lancer le débat à l’issue de la représentation. La problématique envahira d’ailleurs le spectateur dès son arrivée avec une mini-exposition (mobile) de photos : images issues des magazines, de l’actualité, de la publicité, de l’art. Il y aura aussi des bibliothèques remplies de nos livres de références, des citations à coller sur les murs et une bande-son faite de chansons qui nous ont inspirées et rejoignent ou nuancent notre propos. Sur scène nous voulons un univers sonore brut et présent. La musique, omniprésente dans la vie de Virginie Despentes, se retrouvera ici, avec la même importance, pour toucher le public à un autre niveau que celui du raisonnement. Du rock, du punk, mais aussi de l’électro et des sons joueront ainsi avec l’émotion. La scénographie se veut légère. C’est une volonté car tout d’abord les mots et les idées doivent être au centre du propos. Nous misons sur la sobriété pour faire tourner le spectacle dans un maximum d’endroits où la culture doit avoir sa place, même si elle en est parfois absente ; les théâtres bien sûr mais aussi les maisons d’accueil, les prisons, les locaux d’associations diverses pour les droits de la femme... Partout où cette parole sera jugée nécessaire ! Nous souhaitons que l’essai de Virginie Despentes dépasse ici sa dimension littéraire pour prendre vie théâtralement dans ces trois corps de femmes. Nous voulons appuyer sur l’importance des corps et la manière dont la société les produit, normés et genrés. Pour ce faire, nous projetterons des images grâce à la technique du mapping vidéo directement sur les comédiennes. Des images qui illustrent le propos mais surtout qui le décalent, lui donnent une dimension artistique, provoquant à nouveau de l’émotion brute. Nous avons l’ambition que ce spectacle serve de détonateur pour libérer une parole féminine parfois difficile à entendre. Qu’il puisse susciter des questionnements auprès des femmes sur ce qu’est cette «féminité» aujourd’hui si valorisée et controversée à la fois. Qu’il permette également à des femmes opprimées, violées, emprisonnées d’exprimer leur vécu, leur point de vue, d’entrer en résonnance avec le propos. Qu’il parvienne à atteindre les hommes également coincés dans un carcan différent mais tout aussi réducteur. Car c’est notre souhait : que la claque que nous avons ressentie à la lecture de ce texte puisse se partager et se raconter directement avec les spectateurs.


DISTRIBUTION

Delphine Ysaye est diplômée de l’IAD

(section théâtre), son parcours professionnel est partagé entre le théâtre, le cinéma, la radio et la télévision. C’est en tant que chroniqueuse mais aussi présentatrice dans un grand nombre d’émissions aussi bien en radio qu’en télévision que l’on connaît sa voix et son visage. Ce parcours diversifié dans le monde des médias ne l’a pas tenue éloignée des planches pour autant. On a pu la retrouver au Théâtre de la Toison d’Or dans entre autres Les Monologues du Vagin d’Eve Ensler, Le grand Voyage de Marc Moulin, dans son one woman show Clash, BoomeranG, une pièce co-écrite avec Alexis Goslain, ou encore récemment dans Boeing Boeing. Elle a également joué aux Galeries dans le cadre de la tournée des châteaux dans Un petit jeu sans conséquence. Delphine fait partie de la compagnie du Panach’Club. À la recherche du sens de la vie perdu, L’illusion chronique, In bed with the Panach, Nothing sont quatre pièces auxquelles elle a participé sous la houlette d’Eric De Staercke. Au cinéma, vous avez pu la voir dans Miss Montigny de Miel Van Hogembemt, dans le long métrage de Pierre Paul Renders Comme tout le monde, ou encore dans Ça rend heureux de Joachim Lafosse. Elle a officié en tant que maitresse de cérémonie à la Ligue d’Improvisation Professionnelle belge.

Marie-Noëlle Hébrant

est diplômée de l’IAD et une grande adepte de la création collective que ce soit avec le Panach’Club ou le Théâtre Jardin Passion avec lequel elle crée notamment So Long... à bientôt ou Le magasin des suicides. Elle enchaîne des projets très variés, passant du monologue écrit à son intention (Il ne viendra plus personne de L. Flamant sous l’œil de Julie Nayer) au théâtre surréaliste de Véronique Dumont (Album ou Les Chevaliers, c’est une autre histoire) sans oublier les créations collectives dans lesquelles elle interprète de multiples personnages (L’Oiseau Bleu de Maeterlinck), les spectacles très libres dans le ton et la forme (Peep Show de L. Flamant, ensemble de monologues qui s’entrecroisent), le théâtre jeune public, utilisant la technique de la marionnette (Deux bras, deux jambes et moi de Laetitia Salsano avec le Théâtre des 4 Mains) et même le théâtre en plein air (Marie Tudor fut créé pour la Citadelle de Namur). Elle pratique l’improvisation théâtrale depuis plus de 15 ans avec les Namusettes du Théâtre Jardin Passion et à la Ligue d’Improvisation belge. Elle prête également sa voix pour des doublages de films, séries et dessins animés. Récemment, vous la voyiez dans Destin de F. Gardin, La Dispute de Marivaux mis en scène par Emmanuel Dekoninck, Dernier Coup de ciseaux de Paul Portner produit par le Théâtre de la Toison d’Or.


Maud Lefebvre

est diplômée de l’IAD. Depuis 2002, elle a rejoint l’équipe du théâtre des 4 Mains avec lesquels elle a créé plusieurs pièces à destination du jeune public (Bin’Bin’ joué plus de 600 fois, Les Gogmagog, Deux bras deux jambes et moi...). En 2003 elle cofonde le Panach’Club avec 12 autres doux-dingues ayant pour ambition d’écrire leurs propres spectacles à 26 mains, 13 cerveaux et demi et parfois l’un ou l’autre pied. Elle travaille ponctuellement avec l’équipe du Théâtre Jardin Passion, notamment pour la création steampunk de Marie Tudor de Victor Hugo, mis en scène par Marc Weiss. Elle pratique également l’improvisation théâtrale à travers différents spectacles explorant le rapport proche et direct au public (La foire aux impros avec le Théâtre Jardin Passion) ou encore la possibilité de créer toute une pièce continue (Zoom par exemple, une seule impro d’1h30 avec 5 comédiennes). Elle est membre de la ligue d’improvisation belge et a participé à divers marathons et festivals en Belgique et à l’étranger (Suisse, France, Québec). Elle donne également des ateliers théâtre à des jeunes (ateliers enfants au théâtre des 4 Mains), des moins jeunes (coach d’équipes d’impro amateurs de la FBIA) et des très jeunes (atelier d’éveil à l’imaginaire et aux histoires pour les crèches).

Julie Nayer fait l’IAD après un premier prix de déclamation au Conservatoire de Bruxelles. En marge de l’école, elle suit des stages et des cours de danse contemporaine et indienne, de technique Alexander, de piano et de chant. Elle enchaîne créations et tournées comme comédienne dans des spectacles adultes (Peep Show, mise en scène de Cédric Eekhout et premier texte théâtral de Ludovic Flamant, Le Catéchisme de l’acteur spectacle brut, carte blanche à Alain Cofino Gomez au Théâtre de la Balsamine) et aussi de théâtre jeune public avec le Théâtre Isocèle, le Théâtre de Galafronie et la Compagnie de L’Anneau. En 2010, elle cofonde la Compagnie théâtrale SIBA, avec Mohamed Bari. Elle collabore sur tous les projets de celle-ci (Gros Poucet, Le prince d’Arabie, Je voulais devenir kamikaze... Moi danseuse du ventre) tant à la production, diffusion, collaboration artistique que comme comédienne. En parallèle à son parcours de comédienne, elle peaufine ses expériences théâtrales comme regard extérieur ou simple présence muette sur différents projets et assistanats à la mise en scène. En 2006, elle met en chantier le texte de Ludovic Flamant Il ne viendra plus personne au Théâtre de L’L pour l’ouverture du Festival Enfin Seul, avec Marie-Noëlle Hébrant.

Lisa Cogniaux a fait des études de piano classique avant de bifurquer vers le théâtre, en s’inscrivant au master en arts du spectacle vivant à l’ULB. Diplômée en 2015, son mémoire portait sur la post-pornographie et le féminisme queer. Passionnée par les féminismes et leurs liens avec les théories de la performance et de la représentation, elle rejoint le projet King Kong Théorie parce que porter les paroles de Virginie Despentes à la scène lui semble essentiel.

Félicien Van Kriekinge

Après être passé dans différents grands théâtres de la Fédération Wallonie Bruxelles, Félicien devient directeur technique


au Théâtre des Galeries en 2003. Cette saison, il crée la lumière dans Destin de F. Gadin, Misère de Laurent Beumier, Exit de Fausto Paradivino et Potiche de Barillet et Grédy.

Ludovic Romain

compose des musiques pour le théâtre depuis presque 20 ans. Il a notamment créé l’habillage sonore et la musique de l’adaptation du Rêve d’un homme ridicule par la compagnie Eudaïmon : tout le décor physique possible était remplacé par un décor sonore. Il collabore également très régulièrement avec Ariane Buhbinder et la compagnie de théâtre jeune public L’Anneau. Dernièrement il a participé au projet Les Villes Tentaculaires du théâtre de l’Ancre (Prix de la critique pour la meilleure création artistique et technique 2014). L’enjeu était de mélanger sa musique (d’influence électro, industrielle) avec un quatuor à cordes pour soutenir le texte visionnaire d’Emile Verhaeren. Sound designer, Ludovic Romain est également musicien, compositeur et arrangeur pour différents projets musicaux.

CONTACTS

Presse 
 Joy Jouret +32 (0) 498 63 85 62 !

!

presse@ttotheatre.be

Production 
 Théâtre de la Toison d’Or (Mazal asbl)
 Galeries de la Toison d’Or 396-398 1050 Ixelles (Belgique) !

!

www.ttotheatre.be



Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.