Johnny Lak Portfolio

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Portfolio

Johnny

Compétences

Autocad

Sketchup

Rhinocéros 3D

Revit

Suite adobe

Indesign

Photoshop

Illustrator After Effects

Premiere pro

Rendus

V-ray

Lumion

SIG

ArcGIS

QGIS

Langues

français langue maternelle anglais avancé (toiec 855) mandarin intermédiaire

architecte DE en formation DSA projet urbain à l’ENSA Paris Belleville

22/06/1996

130 boulevard Masséna, 75013 Paris 06 51 85 09 77 johnny.lak.ngauv@gmail.com

Expérience

Février 2023 à juin 2024

16 mois

Avril 2024

Janvier 2024

Décembre 2023

Juillet 2023

Posto 29, Paris

Projets de logement collectifs, sociaux et de résidences en région francilienne phases faisabilité, concours et PC.

Travail et méthode collaborative en BIM Revit. Normes NF Habitat HQE, RE2020, incendie et accessibilité PMR.

Projets

ZAC de l’Aérostat à Trappes (78), lauréats concours 84 logements en accession et 38 logements locatifs intermédiaires sur une surface de 7 674m2

Résidence étudiante à Melun (77), faisabilité 120 chambres sur une surface de plancher de 2 500m2

Résidence sénior à Quincy-sous-Sénart (91), permis de construire

Projet d’extension de résidence sénior intégrant 21 nouveaux logements sur une surface de plancher de 1 150m2

ZAC du cluster des médias à Dugny (93), lauréats concours

Résidence multigénérationelle de 105 logements sur une surface de plancher de 8 000m2 avec socle actif comprenant crèche, commerce et espaces communs Lot B1 en collaboration avec Marie-Odile Foucras

Stages

Juillet à septembre 2021

2 mois

Juillet 2019

1 mois

Février 2019

1 mois

Formations

2024-2026

XLGD Architecture, Paris

Concours Amiter sur le thème du renouvellement urbain en secteur inondable. Réponse urbaine et architecturale face à la montée des eaux dans le quartier du Sablar à Dax en collaboration avec Ville Ouverte et Emma Blanc Paysage.

GA Architecture, Paris

26 logements sociaux à Coulommiers (77), concours et maison individuelle à Saint-Maur-des-Fossés (94), esquisse

Corinne Vezzoni & Associés, Paris

Notice architecturale de 138 logements collectifs à Hyères (83) Maquette de la gare de Rosny Bois Perrier (93) pour la biennale d’architecture à Versailles

ENSA Paris Belleville en cours

Diplôme de spécialisation et d'approfondissement en projet urbain sous la direction de Patrick Henry

2025 Université Chulalongkorn, Bangkok

Février-Mars

2020-2022

2 ans

2019-2020

6 mois

2017-2020

3 ans

Partenariat Universitaire

ENSA Paris Malaquais

Diplôme d’état en architecture

PFE Département Pratiques Architecturales, Situations et Stratégies sous la direction de Soline Nivet et Gricha Bourbouze

Technische Universität München, Munich

Échange Erasmus

École Spéciale d'Architecture

Licence d’architecture DESA mention internationale

1. Urgence climatique à Rattanakosin

Vers une démocratie climatique

Année : 2025 - DSA projet urbain

Enseignant : Cyril Ros et Mirabelle Croizier

Lieu : Bangkok, Thaïlande

Face à l’urgence climatique, quels scénarios utopiques pouvons nous imaginer pour provoquer une bifurcation écologique et garantir une protection équitable face aux risques climatiques ?

L’Île de Rattanakosin à Bangkok est une zone particulièrement vulnérable aux aléas climatiques, qui s’aggravent avec le réchauffement global. Inondations et canicules y deviennent de plus en plus fréquentes. Ce quartier historique, situé près du palais royal, est traversé par de nombreux canaux autrefois utilisés comme principaux axes de déplacement, et présente un tissu urbain diversifié, mêlant shophouses et maisons traditionnelles sur pilotis.

Face à l’intensification de ces risques climatiques, habitants vulnérables et pouvoirs locaux déploient diverses tactiques et stratégies opérationnelles, certaines adaptées, d’autres maladaptées.

C’est dans ce contexte que le projet s’appuie sur trois outils conceptuels (réseaux végétaux, corridors de vents et refuges climatiques) pour promouvoir une démocratie climatique, qui affirme que le droit à la protection contre les aléas climatiques est fondamental et équitable pour tous.

L’objectif est de concilier les tactiques locales, spontanées et ascendantes, avec les stratégies à long terme et à grande échelle.

Ces outils sont appliqués à trois situations urbaines spécifiques, choisies pour leurs caractéristiques géographiques, sociales ou infrastructurelles. Chaque situation met en avant un des concepts tout en intégrant les autres, afin de transformer ces idées en projets concrets, techniques, spatiaux, sociaux et temporels.

État présent

lumières
Scénario futur animé
Scénario futur animé

État présent

NUIT
Scénario futur animé

2. Boucle verte de la Marne

Résilience territoriale

Année : 2024 - DSA projet urbain

Enseignant : Patrick Henry et André Lortie

Lieu : boucles de la Marne de Lagny à Meaux (77)

Dans quelle mesure les anciens sites d’extraction peuvent-ils contribuer à l’adaptation aux impacts hydrauliques du changement climatique sur le territoire des trois boucles de la marne ?

Le projet consiste à mettre en place des stratégies pour exploiter le potentiel des anciens sites d’extraction pour permettre l’adaptation du territoire des trois boucles de la marne aux impacts hydrauliques du changement climatique. Déployant sur stratégie sur plusieurs sites, leurs interventions cherchent tout à la fois à améliorer la gestion de l’eau, restaurer les écosystèmes et susciter de nouveaux usages respectueux des environnements.

Un projet de mobilité ainsi que trois sites prioritaires ont été retenus sur le périmètre des trois boucles. En effet, la remise en valeur d’un réseau de mobilité verte existant servirait à la fois à un usage local quotidien mais aussi à un tourisme régional.

Exposé aux inondations, le premier site de Précysur-Marne est aujourd’hui fréquenté pour la pêche et les promenades. Des aménagements paysagers et équipements de loisirs adaptés sont proposés pour le rendre plus résilient et attractif.

Ensuite, le second site de Vignely présente un fort potentiel en raison de sa proximité avec une zone résidentielle. Les interventions garantiront un équilibre entre utilisation et préservation écologique.

Enfin, le site d’Isles-lès-Villenoy, vulnérable aux crues de la Marne est transformé en un espace résilient avec des zones de pâturages, des prairies et un parc humide. Ces interventions amélioreront la gestion de l’eau, restaureront les écosystèmes et introduiront de nouveaux usages adaptés.

Précy-sur-Marne
Vignely
Isles-lès-Villenoy
Trame verte
Trame bleue

cyclables tourisme

Mobilités cyclables quotidien

Mobilités

1.Zone tampon

2.Parc inondable

3.Activités de loisirs et mobiliers urbains

4.Observatoire

5.Zone boisé à conserver

6.Pâturage

7.Prairie humide

8.Cheminements piétons et cyclables

9.Séparation des zones agricoles avec haies

3. Jardin des-acclimatation

Renaissance d’un jardin oublié

Année : 2022 - master 2

Enseignants : Soline Nivet et Grichat

Bourbouze

Localisation : Bois de Vincennes

Aux confins du Bois de Vincennes, se trouve un lieu méconnu, rythmé par la nature, l’histoire et la recherche : le Jardin d’Agronomie Tropicale. Ce jardin raconte à travers ses édifices et son environnement l’épopée scientifique, politique et institutionnelle qui s’est déroulée dans la France et ses colonies du XXe siècle. Aujourd’hui, s’y établissent le CIRAD, des associations tournées vers les matériaux tropicaux et le commerce équitable. Cet ensemble est fédéré sous la bannière de la Cité du Développement Durable en pleine croissance.

Ce jardin particulier présente de nombreux vestiges d’une autre époque : des pavillons coloniaux aujourd’hui inexploités et abandonnés. En même temps, l’arrière-cour qui abrite le campus du CIRAD sous une canopée de pins noirs dégage une singulière atmosphère à travers un ensemble de cabanes fragmentés qui abritent salles de classes et de recherche. Le projet vise à accompagner la Cité du Développement Durable afin qu’elle puisse atteindre son objectif : devenir une vitrine du passé et de l’avenir en permettant aux citoyens de se saisir et se positionner en tant qu’acteurs des enjeux écologiques et climatiques. Pour ce faire, l’accès et les cheminements sont réorganisés afin de faciliter les déaplcements piétons. Deux interventions architecturales sont proposées : un séchoir à bois démontable et un pavillon réhabilité en auditorium.

espace de fabrication

espace de pause

espace couvert de stockage

Fabrique constructive Sechoir à bois

terrasse couverte tour signal auditorium

Pavillon du Maroc

Auditorium

Séchoir à bois maquette 1/50

4. La traque des espèces

Atlas

d'étude

des traces

Année : 2020-2022 - master

Enseignant encadrant : Soline Nivet

Mémoire de master

Depuis la préhistoire jusqu’à l’ère du numérique, la trace et sa lecture ne sont pas nouvelles mais elles répondent à des stratégies différentes. Étant une donnée permettant d’identifier un individu, des comportements et même de marquer un territoire; la connaissance des traces a toujours constitué un pouvoir important car elle permet de reconstituer et de prévoir des comportements. Elle est également un moyen de communication figurative et non verbale.

L’origine de ce mémoire trouve sa source dans l’observation des lignes de désir en ville, et de la manière dont celles-ci reflètent la différence existante entre l’aménagement urbain et l’expérience de l’utilisateur.

Grâce à la définition de la trace et de l’empreinte ainsi qu’à différents cas d’études croisés de manière intuitive, tels que les lignes de désir, les cybertrackers, ou encore la smart city; il apparaît clairement que la trace est un phénomène spatio-temporel que l’on peut associer à une culture et littérature spécifique.

Aujourd’hui, dans un monde où se pose la question de la démocratie, l’être humain est devenu incapable de chasser la trace mais sa position de citoyen lui impose de retrouver cette capacité sans quoi il se prive de sa liberté.

L’objectif de ce mémoire est de mettre en perspective la lecture des multiples traces, qu’elles soient animales, humaines ou numériques, à travers un « catalogue » de cas d’études.

aménagement cyclable à Rambouillet
ligne de désir d’un renard dans un jardin

Stockage Transitoire

LES FRICHES ET TERRAINS VACANTS

Reconsidération du déchet

FRICHES DÉCHET

n’est pas encore devenu un déchet ultime.

Mathieu Fernandez

Quantités sortantes de matières

Le secteur du BTP est le plus émissif en déchets et donc en matières

le cadre d’une économie circulaire. Sur les

Tri à sept flux

Le tri des matériaux sortants peut se faire en flux mélangés selon qu’il soit inerte, non inerte ou dangereux. Ce tri peut être réalisé de manière plus fine en triage monoflux également appelé à 7 flux à partir des catégories suivantes Matières inertes les fractions minérales (gravats, béton, brique, tuile, ardoise, céramiques…), le verre Matières non inertes les plastiques, le métal, le papier/carton, le bois, le plâtre Le tri monoflux est évidemment préférable puisqu’il permet de préserver au maximum la qualité des matières, de maximiser les quantités et types de matériaux récupérés et de ce fait leur valeur économique. L’un des principaux frein à la collecte en non-mélange est le temps supplémentaire lié au tri et le manque d’espace sur les chantiers pour installer plusieurs bennes pour les déchets. Ce tri permet pourtant de réduire les coûts liés à la mise en déchetterie des matériaux.

Manque d’exutoires fonciers

«NousavonsdestonnesdesdéchetsquisortentdeParisetsinousconsidéronsquetouscesdéchetspeuventêtrerécupéréspourdenouveaux chantiers,ilfautavanttoutpouvoirlesstocker.» Cédissia About, architecte voyer de la ville de Paris Dans son amorce d’une politique orientée vers l’économie circulaire, la ville de Paris est en pleine recherche de plateformes physiques de stockages éphémères pour les matériaux issus du BTP.

Le foncier est en effet une ressource rare surtout en région parisienne ce qui ne permet pas la conservation des matériaux issus du BTP. Ceuxci sont donc directement envoyés en décharges ou déchetteries mélangés ne permettant pas leur valorisation. Cette pénurie d’espaces de stockage fait aussi obstacle à la capacité des acteurs de la construction à s’approvisionner aux gisements de matériaux valorisés. S’il est paradoxal de constater la présence d’espaces non occupés là où le foncier est très demandé, ce temps de pause est nécessaire et fait partie de la dynamique du renouvellement urbain. Tout espace foncier observe un temps de vacance avant son exploitation. Cela en fait une source de réservoir inépuisable et pérenne. D’autre part, il existe des territoires vacants après une utilisation antérieure également nommées friches. Ces friches dont les causes peuvent être multiples constituent du foncier qui pourrait aussi être valorisé dans le cadre d’une économie territoriale notamment pour le stockage de matériaux.

Friches comme potentiels lieux de stockage

Le recensement des friches s’est beaucoup développé dans les secteurs anciennement industriels et portuaires. L’objectif est d’avoir une vision exhaustive du potentiel de renouvellement lié aux friches sur un territoire afin d’élaborer ensuite une stratégie de transformation des friches cherchant à répondre aux enjeux urbains du territoire. Plusieurs sources de données peuvent permettre de repérer les friches, mais elles ne remplacent pas la visite sur le terrain et le travail avec les élus locaux, plus à jour sur les transformations de leurs territoires.

• BASIAS Inventaire historique des sites industriels et activités de service constitué par le BRGM (bureau de recherche géologique et minière).

• BASOL Base de données constituée par la direction générale de la prévention et des risques du MEDDE. Elle recense les sites industriels abandonnés ou non susceptibles d’engendrer une pollution de l’environnement.

• Les fichiers fonciers Les fichiers fonciers (ou base de données MAJIC) qui sont issus des données fiscales locales sont également une source d’informations importantes. Elles sont exhaustives, identifient l’usage des bâtiments et la vacance des locaux.

• La photographie aérienne

Ce foncier en attente représente donc un réel potentiel de stockage qu’il faudrait valoriser, en encourageant les propriétaires à proposer leur terrain de manière passagère en préalable d’un futur aménagement pérenne, à la manière des projets d’urbanisme transitoire.

STOCKAGE MAPPING

Les matières non dangereuses non inertes ne présentent aucune caractéristique de «dangerosité» (non toxiques, non corrosifs, non explosifs…). Exemples emballages, bois, plastiques, métaux, quincaillerie, serrurerie, isolants, plâtre, produits mélangés issus de chantiers de réhabilitation, etc.

Familles de matériaux

Les matières inertes sont ne subissent aucune modification physique, chimique ou biologique importante lors de leur stockage. Elles ne se décomposent pas, ne brûlent pas et ne produisent aucune autre réaction physique ou chimique, ne sont pas biodégradables et ne détériorent pas les autres matières avec lesquelles elles entrent en contact. Exemples pierres naturelles, terre et matériaux de terrassement, céramique, bétons, tuiles, briques, parpaing, verre plat, etc.

Ressource foncière des friches

Les friches constituent un réservoir foncier important en France. Ces territoires en repos font partie d’un cycle naturel de territoires vacants et utilisés. En France, environ 2 500 friches industrielles sont par exemple recensés. Le réinvestissement de ces espaces délaissés, parfois situés aux cœurs de nos agglomérations, est un enjeu affirmé par le gouvernement, notamment au travers des évolutions législatives. L’origine du terme « friche » provient du monde agraire, où le terme désignait la terre non cultivée dans un cycle de jachère.

Elle relève de l’exercice du droit de propriété foncier et immobilier, mais aussi du droit de l’environnement.

Selon les territoires, leurs problématiques et leurs objectifs, il existe ainsi de multiples définitions de la friche.

Elle se définit cependant toujours par rapport aux mêmes critères la temporalité de la vacance (terrain ou bâtiment inoccupé), la superficie du terrainoude l’unité foncière, l’ancien usage, la présence de bâti ou non.

Si la notion de friches et celle de sols pollués peuvent se superposer, elles recouvrent des réalités différentes.

Les friches ne sont en effet pas toutes polluées un site peut être devenu une friche sans avoir nécessairement accueilli d’activité polluante, mais simplement parce que sa valeur foncière est très faible. À l’inverse les sols pollués ne sont pas tous à l’état de friche. Le nombre de friches est en augmentation depuis 1970 en France, d’après le rapport Lacaze (1985-86), il y avait en France en 1985 environ 20 000 ha de friches industrielles.

Localiser les chaînes logistiques

Notre proposition est d’utiliser les jeux de données offerts par le MOS (Mode d’Occupation des Sols) et cartofriche qui permettent une identification des activités ou inactivités territoriales. Cartofriche en phase bêta s’appuie sur les données du BASIAS, du BASOL ainsi que des réidentifications manuelles pour qualifier des friches industrielles. Bien que les données ne soient pas exhaustives, elles permettent d’illustrer le principe de croisement de données pour répondre à la problématique de la pénurie de stockage et d’avoir une vision d’ensemble sur la répartition de stockages potentiels à l’échelle du territoire de la petite couronne.

Selon la boucle lieu de collecte g lieu de stockage temporaire g lieu de montage, nous avons sélectionné depuis les données disponibles les postes d’intérêts potentiels (chantiers, carrières, terrains vacants, friches industrielles, etc). Un tel

CONCLUSIONS

d’observation

Les matières dangereuses sont issues de l’activité industrielle, représentent un risque pour la santé ou l’environnement et

les friches est un problème à leur identification. LE LIFTI (Laboratoire d’Initiatives Foncières et Territoriales) qui œuvre en faveur du renouvellement urbain et pour une réutilisation des espaces alimentant l’économie circulaire du foncier a pointé dans son étude « Recycler les friches » en 2017, la grande disparité de répartition d’observatoires locaux et d’inventaires nationaux. L’Île-de-France par exemple n’en compte aucun.

Risques sur la qualité du stockage L’inventaire des friche industrielles se base en partie sur les données du BASIAS et du BASOL qui identifient les activités industrielles et lieux susceptibles d’engendrer une pollution. Il existe donc un risque de pollution du sol sur certains terrains qui auront un impact législatif (proscription possible) et sur

du

du

Il conviendra donc d’établir en amont un diagnostic du matériau et de préciser s’il est habilité à être stocké dans un lieu spécifique. Si notre travail se concentre sur les friches et les terrains vacants comme lieux de stockage, elle pourrait se décliner sur de nombreux autres

Dialogue et sensibilisation entre

commun d’une économie circulaire, il est primordial que les acteurs privés majoritairement propriétaires de terrains travaillent avec les acteurs publics bien qu’ils ne partagent parfois pas les mêmes

de la part de celui qui le détient, à en faire usage or un lieu de stockage n’a vocation qu’à stocker un ‘’déchet ‘’ (et non pas un déchet ultime) sur une durée provisoire. À ce titre, la législation française n’impose pas de règlement particulier si le matériau (hors dangereux) est stocké sur une durée inférieure à 3 ans. Ce stockage responsable et contractuel devrait faire l’objet d’études préalables pour déterminer son impact environnemental mais il faudrait également garder une souplesse qui inciterait un propriétaire de terrain à le proposer en espace de stockage. Temporalité et rotation du stockage

Le stockage sur des chantiers ou terrains vacants nécessite de prévoir le moment où ils seront remis en état d’exploitation afin d’organiser le transfert et l’extensibilité de la durée du stockage sur un autre site. On imagine que ce travail prévisionnel serait réalisé par l’intermédiaire de planificateurs

chantier de démolition aura tendance à être un lieu de collecte alors qu’un chantier de construction neuve sera un lieu de montage là où tous les chantiers peuvent être des lieux de stockages temporaires. Ces identifications manuelles ne sont imaginables qu’avec une

tonnage global tonnage par type de chantier tonnage par type de matériaux

6. Paris Ville Hydraulique

Renouv'eau Energétique

Année : 2020

Enseignants : François Coulais et Ayda Alehashemi

Localisation : Île de France

En partenariat avec Eau de Paris, le développement vise à comprendre l’origine et le système d’approvisionnement d’une ressource simple : l’eau potable dans Paris et plus généralement dans le Grand Paris. En ayant conscience du lien qui existe entre l’eau et l’énergie, il est intéressant de comprendre comment les infrastructures d’adduction d’eau se répartissent logiquement au sein du territoire francilien.

Le développement s’intéresse ainsi à de multiples échelles en essayant d’analyser la consommation mais aussi les potentialités de gains énergétiques possibles liés à l’eau et ses 3 états : naturel, potable/traité et usé.

C’est à travers la superposition de ces multiples données qu’il est possible de comprendre le réseau de distribution, les différents acteurs et la relation indissociable entre l’eau et l’énergie. lignes de niveau et acheminement de l'eau

volumes d'eau consommés journaliers, Grand Paris
énergie consommée journalière, Grand Paris

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