| chroniques bordelaises
Voir Venise et l’aimer
Simulation exposition « Venise, la Sérénissime » © Culturespaces / Cutback
Diachronie. Au Bassin des Lumières, une première exposition nous mène à la rencontre d’une des cités les plus admirées au monde : Venise. Une seconde nous présente les œuvres superbes du peintre espagnol Joaquin Sorolla.
D
ans leur clair obscur, ces lieux nous rappellent toujours leur ancien destin de guerre. Puis la musique et les premières images immersives nous apparaissent. Le temps n’existe plus. Les arts infinis de la musique et de la peinture, de l’architecture et de nos rêves sont là devant nous. Ils parlent comme Violence
et Passion, en une beauté sublime de tout ce qui est beau et tragique, c’est Guerre et Paix, version Italie, version Espagne. Musiques mesurées et joyeuses de l’infini, vives, aiguës, annonce du Saint Sépulcre, de la nuit noire de nos sensations, de nos souvenirs qui vont se trouver engloutis sous les flots.
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