TSL#3 Oct/Nov 2010

OCT

NOV

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My LONDON

by Henri

Leconte

" Londres

nos adresses de rêve

" Week-end

mes 48h au pays des gunners

" Événement

concerto pour légendes du tennis

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Sommaire OCT

05 | 06 | 10 | 20 | 26 | 30 | 38 | 42 | 46 | 50 |

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2010

Edito Radio Londres MyLondon by... " Henri Leconte Next " Concerto pour légendes du tennis Inside " Chelsea " Les yeux dans les “Blues” Inside " Arsenal " Un week-end haut de “game” Inside " Fulham " Une ambition et une âme Architecture " 7 merveilles de Londres Reportage " Les jeux sont (presque) ouverts !

TSL l’agence

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Dépôt légal à parution Tirage : 10 000 ex.

Directeur de la publication | " Jean-Charles Berton | Rédacteur en chef | " Mathieu Le Maux Direction artistique | " Johan Debit, Brand Brothers (www.brandbrothers.fr) | Interviewer | " Darren Tulett Contributeurs | " Barbara Jamison (Visit London), Julien Varlet (www.julienvarlet.fr)| Impression | Neuville Impression (71 Digoin, www.neuville-impressions.fr) | Crédits photos | Giulia Panattoni (illustration My London by, www.giuliapanattoni.com) Visit London (illustrations article Visit London) REMERCIEMENTS A tous ceux qui nous font confiance en s'associant au projet et plus particulièrement nos : Annonceurs, qui font vivre le magazine et permettent sa gratuité pour nos lecteurs Distributeurs, en mettant à disposition un réseau bien réparti dans les principaux arrondissements de Paris Et au team qui s'est construit autour du projet pour aboutir à la création du magazine, sans oublier... mpc

TSL est une édition as&m | 11 rue Labie | 75017 Paris | T +33 (0)1 73 75 57 58 | F +33 (0)1 45 72 33 64 Contact | contact@totallysportsinlondon.com Rédaction | redaction@totallysportsinlondon.com Publicité | pub@totallysportsinlondon.com Partenariat | partenariat@totallysportsinlondon.com Version PDF disponible sur www.totallysportsinlondon.com |

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L’APPEL DE LONDRES

L

e 15 avril 1966, le magazine américain « Time » inventait le “Swinging London”, décrivant ainsi la frénésie qui s'emparait alors de la Grande-Bretagne.

Mode, musique, clubs, culture… la capitale britannique devenait celle de la jeunesse et des plaisirs.

Depuis, ce laboratoire de tendances à ciel ouvert n'a jamais cessé de bouger, de créer, d'inventer… Dans tous les registres. Et notamment en sport. Ce sens de l'ébullition permanente est justement à l'origine de cette nouvelle version de « TotallySportsinLondon ».

Inspirés par le “swing” des deux premiers numéros, nous avons créé de nouveaux rendez-vous pour vous faire découvrir au mieux la passion de « TSL » pour cette ville. Et pourquoi pas, au passage, vous convaincre de nous y accompagner…

“Radio Londres” se fera ainsi l'écho des news trouvant résonances de part et d'autre de la Manche mais aussi de vos remarques et courriers, que l'on espère évidemment nombreux. “Next” vous présentera - souvent avant tout le monde - les plus beaux événements sportifs à venir. “Inside” vous entraînera au cœur des trois clubs londoniens de l'univers « TSL ».

Toujours plus attentifs à sa vivacité et à ses richesses culturelles et sportives, nous vous ferons aussi découvrir les lieux, les événements et les personnalités qui animent déjà, à dix-huit mois des Jeux olympiques, la future capitale mondiale du sport. Nos virées londoniennes seront également l'occasion de vous faire profiter de nos bonnes adresses.

Et de ce “swing” que l'on aime tant.

Mathieu Le Maux - Rédacteur en chef

* le sport et bien plus encore

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RadioLondres Londres

Le roi de la basket UK arrive en France !

mode

" Echos, news, insolites... Retrouvez chaque mois le meilleur de l’actu sport & lifestyle en direct de Londres

Une boîte de nuit sous Stamford Bridge ! chelsea

C'est une véritable institution du sportswear qui posera prochainement le pied sur le sol français. JD Sports, marque de référence comptant plus de 350 magasins au Royaume-Uni depuis près de 30 ans, ouvrira fin novembre, place Rihour, à Lille. Puis à Évry et Lyon d'ici à Noël. Ses collaborations et ses exclusivités avec les grandes marques (Adidas, Nike, New Balance, Lacoste, Fred Perry…) ont fait sa renommée dans toute l'Europe. Un nouveau pont entre la France et l'Angleterre salué par la rédaction ! www.jdsports.fr

Le foot anglais web / télé est aussi sur “Match of ze web” Chaque lundi, Darren Tulett, mister foot anglais de Canal +, anime « Match of ze web » sur le site de la chaîne cryptée depuis la rentrée. Directement inspirée de sa séquence culte « Match of ze day » - présentation du match phare du championnat de Premier League, le samedi après-midi – cette « web émission » est une version étoffée du blog déjà tenu par l'animateur. « Cette revue de presse des journaux anglais réalisée à côté de la machine à café devient une vraie petite séquence en plateau avec les buts, les moments forts du week-end et les questions des internautes », détaille l'interviewer vedette de TSL. Sans oublier ses clins d'œil et ses anecdotes persos… Bref, tout ce qu'on aime ! www.canalplus.fr, RUBRIQUE « MATCH OF ZE WEB »

La passe de 6 ?

Les supporters de Chelsea sont régulièrement à la fête depuis le début de saison.

Et certains fans des Blues pourront bientôt y poursuivre la “party” après chaque match puisque le président Roman Abramovitch fait actuellement construire une boîte de nuit… sous le stade de Stamford Bridge. Il ressuscitera ainsi le Purple, club fermé il y a trois ans au même endroit. Rappelons que le stade, véritable ville dans la ville, possède déjà deux hôtels, quatre bars/restaurants, deux boutiques officielles, un spa, 21 salles de réunion. Ah oui, et un terrain de foot, aussi...

how

much

?

Des chiffres à retenir... ou pas

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C'est le nombre d'années qu'Arsène Wenger a passé à la tête d'Arsenal.

Un total qu'il portera à 17 s'il va au bout de son contrat prolongé jusqu'en 2014 cet été.

6

C’est le nombre de matches nuls réalisés par Fulham après sept journées de championnat !

Le club de Mohamed Al-Fayed restait le seul invaincu (à cette date) avec Manchester United.

Les Londoniens de Queens Park Rangers sont en tête de la L2 anglaise. Si le club cher au rocker Pete Doherty monte en fin de saison, Londres comptera alors six représentants en Premier League.

Soit un peu moins du tiers des clubs du championnat...

i beg your pardon

?

" Chelsea, drôle de destin

« Saviez-vous que le club de Chelsea était né grâce à…

Fulham ? L'histoire est amusante. En 1904, l'homme d'affaires et investisseur écossais Gus Mears rachète l'enceinte sportive de Stamford Bridge, située dans le district de Fulham. Ce stade avait été construit en 1877 pour accueillir des compétitions d'athlétisme mais lui voit plus grand et souhaite y installer un club de football. Il propose alors à Henry Norris, président de Fulham, de s'y installer, pour le moderniser, voir plus grand. Mais celui-ci décline l'offre. Gus Mears décide donc de créer son propre club… le Chelsea Football Club. Les supporters des Blues peuvent donc remercier ce coup de pouce du destin.

Et celui de Sir Norris. »

" James Perch, drôle de star

« Le jeune James Perch se souviendra sans doute plus que tout autre joueur de ses débuts en Premier League avec Newcastle. À 25 ans, l'ancien défenseur de Nottingham Forrest a vécu un début de saison cauchemardesque puisqu'il a écopé de cinq cartons jaunes lors des cinq premières journées de championnat !

Un record en Premier League.

Mais les mésaventures de Mister Perch ne s'arrêtent pas là. Suspendu en League Cup, il fait son retour, évidemment très observé, lors de la 6e journée face à Stoke City.

James ne prend aucun carton.

Mais il fait quasiment pire en marquant contre son camp, offrant ainsi la victoire à Stoke ! C'est cruel de se moquer ainsi, mais il nous a tendu… la perche non ?

Humour anglais. Bye bye les amis ! »

« Ma fonction m'interdit souvent de prendre position. Mais je dois bien avouer que je suis un grand fan d'Arsenal. » Sir Peter Westmacott, l'ambassadeur de Grande-Bretagne en France, le 16 septembre (lire aussi p.48)

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RadioLondres Londres

TSL LES A CROISÉS Chelsea, mardi 28 septembre. À quelques heures du coup d'envoi du match entre Chelsea et l'Olympique de Marseille, le commentateur de TF1 Christian Jeanpierre et le consultant vedette Bixente Lizarazu arrivent à Stamford Bridge et croisent des grappes de supporters marseillais. S'en suit une mini émeute autour du champion du monde 98 (et ex Marseillais) qui s'est prêté avec plaisir à une longue séance photo avec les supporters phocéens.

Laissant le journaliste à son triste sort et à sa solitude, visiblement piqué par la situation.

Le même jour, aux abords de Stamford Bridge.

Avez-vous reconnu cette femme blonde semblant un peu perdue au milieu des supporters marseillais ? Il s'agit de Margarita Louis-Dreyfus, femme de feu Robert Louis-Dreyfus, président de l'OM décédé en juillet 2009. Celle que l'on dit très attentive aux résultats des hommes de Didier Deschamps aurait tout de même mérité un peu plus d'intérêt de la part des supporters phocéens. Espérons que les Marseillais seront plus attentifs lors du prochain déplacement des Olympiens en Ligue des champions, le 3 novembre prochain, à Zilina, en Slovaquie.

LE COIN DES LECTEURS Cher TSL, J'ai découvert votre magazine par hasard, dans un pub, pendant la Coupe du monde. Et je dois bien avouer que sa lecture a quelque peu égayé mes soirées durant les pathétiques performances de la bande à Raymond Domenech. De vrais moments de complicité entre Darren Tulett et Claude Makélélé, des infos, des découvertes et surtout « the » bon plan pour vivre un jour l'un de mes rêves : assister à un match de Premier League ! Alors à bientôt peut-être et en attendant, bravo et longue vie à “TSL” !

Baptiste, par e-mail

Ce (très) jeune lecteur a l'air totalement absorbé par la lecture de “TSL”. Prouvant que le foot anglais, il n'y a pas d'âge pour en manger ! " POUR NOUS ÉCRIRE : contact@totallysportsinlondon.com

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Darren Tulett : Te souviens-tu de ta première fois à Londres ?

Henri Leconte : Ma première fois ?

Je devais avoir 12 ans, c'était à l'occasion du voyage scolaire qu'on a tous fait, comme récemment ma fille de 14 ans. Comme tout le monde, on a vu Big Ben et les grands classiques. Mais mon vrai souvenir reste la visite du British Museum. Magnifique ! Ensuite, c'est surtout grâce au tennis que j'ai découvert Londres, en disputant notamment Wimbledon à partir des juniors.

DT : Quel âge as-tu à ce moment-là ?

HL : J'ai 15 ou 16 ans et c'est vraiment très impressionnant !

Wimbledon, le temple du tennis, le gazon, tout l'environnement.

Ce n'était d'ailleurs pas le gazon d'aujourd'hui ! Le jeu allait à 10 000 à l'heure. Vraiment impressionnant.

J'ai d'ailleurs toujours eu une relation particulière avec l'Angleterre et les Anglais.

Henri Leconte

“À LONDRES, TU AS TOUJOURS DES SURPRISES”

C

'est dans son costume noir de président du Levallois Sporting Club Tennis qu'Henri Leconte nous reçoit en ce mardi après-midi. Derrière la tenue sombre de nouveau businessman, Riton le joueur-chambreur ne tarde pas à refaire surface. Ses souvenirs de tennisman jouisseur de la vie non plus. Retour sur une vie, une carrière, qui ont souvent trouvé un écho bien plus fort outre-Manche qu'auprès du public français. Mais c'est bien connu, nul n'est prophète en son pays. Pas même le gaucher le plus fantasque du tennis hexagonal.

Interview Darren Tulett | Photos Giulia Panattoni

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DT : Au point d'y retourner de temps en temps ?

HL : Oui. Et souvent même.

J'ai énormément de plaisir à retourner là-bas. C'est un pays, une ville, qui évoluent en permanence.

Tous les six mois ça change. Les quartiers, les hôtels, tout paraît en mouvement. Même si le climat est catastrophique (rires), j'adore cette joie de vivre. Londres est une référence dans bon nombre de domaines, tels que la mode, la musique, la culture. La façon dont tu t'habilles a toujours de l'importance pour un Anglais. En même temps, le côté excentrique peut s'opposer à un grand classicisme toujours présent, sans déranger personne.

Cette mixité acceptée de tous nourrit le quotidien des Londoniens.

Ma femme va régulièrement faire un tour à Topshop. C'est inimaginable.

Tu peux passer des heures et des heures sans te lasser, tant il y a à voir et à découvrir.

DT : Tu es donc un amoureux de Londres ?

HL : Aller à Londres est toujours un

plaisir, surtout si tu maîtrises la langue. C'est un peu comme dans « Harry Potter » ! Tu as toujours des surprises, un endroit que tu découvres, qui te surprend.

DT : Quand tu étais joueur, j'imagine que tu n'avais pas forcément le temps de découvrir tout ce que tu décris. Tu as donc dû attendre ta fin de carrière ?

HL : Quand j'étais sur le circuit, c'était hôtel, Wimbledon, hôtel ! À présent que j'évolue sur le circuit senior, c'est différent. Un peu comme au golf. On joue tranquillement, mais on profite aussi davantage des restaurants, des pubs. Avec les potes du circuit, on se marre bien.

DT : À partir de quand as-tu pu réellement apprécier Londres ?

HL : Même en plein activité, quand tes performances sont bonnes, tu peux commencer à t'accorder des sorties, le jour de récupération par exemple. C'est comme ça que les bonnes années, j'ai pu commencer à découvrir la ville.

Courir dans Hyde Park par exemple, me balader dans certains quartiers autour de l'hôtel.

DT : Où logeais-tu à cette époque ?

HL : Je descendais souvent au Sheraton Park Tower, à Knightsbridge (au cœur de Londres, dans le district de la Cité de Westminster, ndlr). Mais j'ai aussi habité à Londres durant trois ans, dans les années 80. Grâce à Ion Tiriac, j'avais acheté un appartement à Pont Street. J'avais même pris mes habitudes dans ce quartier très agréable. Ma table était souvent réservée au San Lorenzo, où l'on pouvait croiser Lady Di et d'autres célébrités du moment. Je fréquentais également le Carpaccio.

DT : Comme bon nombre de nos lecteurs, je pense, j'ignorais que tu avais vécu à Londres. Quels souvenirs gardes-tu de cette période ?

HL : J'ai toujours adoré Londres. " oct/nov 2010 | 03

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Je regrette même parfois d'avoir revendu mon appartement ! Mais ça ne m'empêche pas d'y retourner souvent. À présent, je descends au Blakes Hotel, situé à Roland Gardens, entre Old Brompton et Fulham Road. C'est vraiment un établissement dans lequel je me sens bien. Il est géré par une femme au style disons… très anglais.

Maquillage et coiffure détonants (rires) ! Je suis très ami avec Eddy Jordan (propriétaire d'une écurie de F1 de 1991 à 2005, ndlr) et j'ai eu l'occasion d'être accueilli à de nombreuses reprises dans son superbe appartement. Nous avons vécu des moments extraordinaires, dont le plus marquant reste mon retour après un match à Wimbledon où je découvre Bono, Sting et Eddy à la batterie (rires). Tu te demandes l'espace d'un instant si tu rêves ou si tu es bien en plein tournoi de Wimbledon. C'est aussi pour ça que j'aime cette ville et les gens que tu peux y rencontrer. En opposition à Paris, où tu dois obligatoirement faire partie du même monde pour rencontrer certaines personnes,

“J’ai joué au tennis avec le Prince Andrew, t’imagines ?”

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DT: Tu as vécu des trucs extraordinaires ! Quel est ton meilleur souvenir extrasportif à Wimbledon ?

HL : Avec Mansour Bahrami, nous avons été invités dans la loge royale. C'est là que tu constates que ce tournoi du Grand Chelem est vraiment différent. Être présent dans la loge, avec le protocole, les traditions, c'est absolument incomparable, même à la plus prestigieuse des tribunes présidentielles d'un autre tournoi majeur.

Londres autorise et facilite le mélange, la mixité sociale.

En France, les étiquettes existent et il est assez difficile de passer d'un milieu à un autre.

DT : Il est vrai que le sport joue un rôle plus important en Angleterre et reste donc considéré comme un secteur positif et reconnu. Tu nous disais avoir eu la chance de croiser Lady Di. Était-ce justement à l'occasion d'un événement sportif ?

HL : J'ai eu le privilège de participer à un événement caritatif organisé au profit de sa fondation. Il existe d'ailleurs une photo où je me trouve à ses côtés et, pour l'occasion, j'avais agrémenté mon polo Lacoste blanc d'un joli bow-tie (nœud papillon, ndlr) en clin d'œil à la princesse. J'ai d'ailleurs joué dans cette tenue. Bon, j'ai fait beaucoup de conneries, c'est vrai (rires)…

Plus sérieusement, je suis ravi d'avoir eu la chance de la rencontrer. Tout comme le Prince Andrew, avec qui j'ai participé à une autre opération extraordinaire. En présence de la magnifique actrice Elizabeth Hurley, qui était alors la compagne de Hugh Grant, j'ai joué au tennis à Buckingham Palace avec le Prince Andrew ! Tu imagines ? La monarchie à Londres, c'est un peu comme Monaco pour moi. Je suis très respectueux et admiratif.

DT : As-tu l'impression que les Anglais ont une image de toi différente de celle qu'a le public français ?

HL : Oui, clairement ! J'ai une cote de sympathie en Angleterre qui est extraordinaire ! En France, je suis « populaire », en Angleterre je suis le « charming ». Je m'explique car cela fait suite à une anecdote sympa à Wimbledon. Lors d'un match, j'ai délicatement pris un papillon au bout de ma raquette, alors qu'il volait sur le court, pour le déposer

à l'abri. Ce jour là, je suis devenu le Maurice Chevalier du tennis et j'ai conservé une relation particulière avec le public anglais.

Mon jeu, un peu artistique, a toujours été apprécié des amateurs, en raison de mes prises de risque aussi. Je communiquais beaucoup avec ce public, qui me le rend encore bien.

DT : Les Anglais aiment les personnalités un peu fortes et les gens fantasques, dont tu fais partie. Il y a certains Français comme ça, devenus des icônes même parfois. As-tu quelques anecdotes à nous rappeler ?

HL : Dans un autre registre, Éric Cantona a laissé une telle empreinte en Angleterre. Dans sa grande période, après une exhibition à Manchester, j'ai eu la chance de me retrouver à Old Tafford. J'arrive au stade et je rencontre Sir Alex Ferguson et le président du club, Martin Edwards. C'était en 1999, année où le club avait fait le triplé (Championnat, Cup et Champion's League, ndlr). "

“Mon souvenir le plus marquant à Londres reste mon retour après un match à Wimbledon

où je découvre Bono, Sting et Eddy Jordan à la batterie dans son appartement”

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Et j'ai eu droit à ma photo avec les trois trophées ! Quand tu te retrouves au milieu du terrain, avec Sir Alex, c'est une émotion indescriptible, qui me donne encore quelques frissons.

DT : C'est tout le contraste de nous autres les Anglais. Nous sommes à la fois très réservés et parfois un peu fous aussi. Ce qui nous permet d'apprécier le fameux « French Flair ». Nous avons aimé Cantona, nous aimons le rugby français et les Anglais continuent de t'aimer. C'est plutôt gratifiant non ?

HL : Oui c'est forcément très appréciable et valorisant. Comme je le disais, vous osez aller toujours plus loin, dans la mode, la culture, la musique… Mais dans le sport, vous êtes très disciplinés, méthodiques. Et dès que l'organisation n'est plus classique, vous êtes en difficulté. Le golf, le cricket, le rugby, le football font partie de votre culture. Le tennis non. Pourtant, vous avez le plus grand tournoi au monde ! Dans les clubs, il n'y a pas d'engouement comparable à ce que nous connaissons en France. Ici, à Levallois, nous avons 2900 licenciés par exemple, ce qui nous situe à la seconde place en France.

Tu ne trouveras pas d'équivalence en Angleterre. Le tennis est devenu populaire en France, mais pas forcément outre-Manche.

“C'est un pays, une ville, qui évoluent en permanence. Tous les six mois ça change. tout paraît en mouvement” 14 |

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DT : Comment analyses-tu la différence entre nos deux pays au niveau de sports plus populaires, comme le foot justement ?

HL : Vous êtes les rois du marketing ! Et pour le foot, les Anglais ont démontré qu'ils avaient tout compris. En combattant le hooliganisme d'abord, puis en développant une stratégie qui a largement porté ses fruits dans et en dehors du Royaume-Uni. Tu peux voyager dans n'importe quel pays au monde, tu pourras toujours regarder un match de Premier League ! Aller au stade en famille, c'est un tel plaisir, que nous avons tendance à l'oublier chez nous.

J'ai eu la joie d'emmener mon fils assister à un derby Fulham-Chelsea et c'était génial ! Après un passage obligé au pub, nous étions installés en tribune, au milieu de la foule, avec Eddy Jordan justement. Le stade est totalement intégré au quartier, à la rue même. À tel point que tu pénètres dans la tribune, accèdes au bord de pelouse en quelques mètres, sans presque te rendre compte que tu es déjà dans le stade. C'est dingue. Craven Cottage est un peu vétuste, tu es un peu serré avec les voisins de tribune, mais l'ambiance est fantastique. Il y a des règles claires, connues et respectées de tous, qui permettent de suivre le match en parfaite sécurité (lire aussi p.38).

DT : Quand tu retournes à Londres, quelles sont tes endroits préférés ?

HL : Comme je te disais, j'ai mes petites habitudes au Blakes Hotel.

Pour les restaurants, j'aime aller au Zuma ou à l'Automat. Je reste fidèle à mes adresses (voir p.19).

DT : Tu es plutôt train ou avion pour franchir la Manche ?

HL : Je préfère l'Eurostar, plus pratique et rapide. La nouvelle gare de St Pancras est magnifique mais un peu plus éloignée du centre que Waterloo. Il m'arrive également de prendre l'avion, en privilégiant un vol entre Paris et London City. Ça, j'aime bien ! L'aéroport de la City est petit, donc moins contraignant pour l'attente, l'enregistrement et les contrôles, que Heathrow par exemple. Et sa proximité avec le centre de Londres est un énorme avantage. J'ai un peu tout essayé pour me rendre à Londres, puisqu'avant j'allais même en voiture ! J'adorais prendre l'hovercraft (aéroglisseur, ndlr).

J'ai testé le tunnel. Comme je partais cinq semaines consécutives, je trouvais la voiture plus adaptée pour accomplir ce périple entre les différents tournois de Londres et Manchester. J'aimais bien rouler en Angleterre, d'autant que vos trains ne sont pas encore à la hauteur de notre TGV ! Ca m'a " oct/nov 2010 | 03

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permis de découvrir le pays, ou certaines villes, comme Bristol.

J'ai joué sur une surface qui était plus de l'herbe à vache que du gazon, mais qui te donnait un avantage certain en arrivant à Wimbledon (rires) !

Le tennis se disputera évidemment dans le temple de Wimbledon. À l'image de la couverture du Centre Court, vous avez su combler votre retard pour même prendre de l'avance sur les autres. Un constat que l'on peut faire dans beaucoup de sports. Au moment où nous envisageons de refaire nos stades de foot en France, une ville comme Londres en compte déjà une demidouzaine, dont les plus modernes au monde. Il ne sera pas évident de vous rattraper dans ce domaine !

Mais c'est un constat que l'on peut faire chez nos voisins européens, comme l'Allemagne, où il y a également des stades de haut niveau. Des arènes où le spectateur est au centre de toutes les préoccupations. Nous conservons des méthodes anciennes et travaillons parfois un peu trop à l'ancienne.

DT : Tu as disputé une demi-finale à Wimbledon, en 1986. À t'écouter, on peut aisément imaginer que ça reste un très grand souvenir ?

HL : Effectivement, d'autant que je sors en quart en 1985, déjà contre Becker, un Allemand vaguement connu, qui avait décidé de m'empêcher d'aller plus loin dans ce tournoi ! Le gazon de l'époque était vraiment différent et tellement plus rapide. C'était à peine retournable, tellement les rebonds étaient inexistants ou presque.

Aujourd'hui, tu as le temps de préparer ton geste. Ça n'a vraiment rien à voir. La surface est même plus lente que la terre battue.

DT : Il est vrai qu'en Angleterre nous pensons aux supporters et notamment aux familles. La programmation des rencontres est un paramètre important. Qu'en penses-tu ?

HL : Vous jouez l'après-midi et à des moments où le public est disponible, comme les jours fériés, ou le 24 décembre. En France, aller au stade en plein hiver pour un match à 20h, c'est courageux. Sans parler de la dangerosité de certains déplacements pour les supporters qui veulent suivre leur équipe !

DT : Ne sommes-nous pas en train de perdre quelque chose alors ?

HL : Je pense que le jeu a été ralenti pour le spectacle, le rendu à la télé, la durée du jeu. Sans vouloir jouer le nostalgique, je considère que nous manquons d'un bon jeu de service-volée. Votre dernier joueur authentique, c'est Tim Henman. À présent, plus personne ne monte au filet, pas même Roger qui reste au fond du court à Wimbledon.

En dehors de l'aspect technique, il faut reconnaître que les travaux de modernisation et d'embellissement du Central ont su préserver l'esprit des lieux.

DT : Londres reste un endroit unique pour les amateurs de sport.

Quelle est ton analyse sur ce point ?

HL : Vous avez un respect des coutumes, une connaissance et une culture qui expliquent cela. Les JO de 2012 vont être fabuleux ! La ville va vraiment devenir le poumon du monde sportif à ce moment-là.

Avec tous les stades existants, les infrastructures à venir, toutes plus modernes les unes que les autres, ce sera forcément magique à vivre.

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“Le Royal Albert Hall de Londres est l'endroit le plus magique et incroyable où je n'ai jamais joué.

Imagines toi taper la balle dans un opéra !”

DT : Tu parlais de ta carrière comme d'un lointain souvenir, mais le public a tout de même l'occasion de te voir encore raquette à la main. Peux-tu nous dire deux mots de ta présence au Royal Albert Hall de Londres à l'automne prochain ?

HL : Là, il faut que tu viennes !

C'est l'endroit le plus magique et incroyable où je n'ai jamais joué.

Imagines toi taper la balle dans un opéra ! Un peu comme si nous organisions un tournoi à l'opéra Garnier, à Paris. Acoustiquement parlant, c'est formidable. Le public vient en smoking, et quand tu joues, tu entends péter les bouchons de " oct/nov 2010 | 03

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champagne ! Il n'y a que vous les Anglais pour penser à organiser un tournoi comme ça (rires) ! Le Aegon Masters Tennis est un vrai succès.

Le public répond présent, l'ambiance est absolument incroyable et le cadre indescriptible. Le soir, avec l'éclairage, tu crois rêver parfois.

Il faut assister au moins une fois dans sa vie à cet événement. J'ai le privilège de pouvoir le faire en tant que joueur, mais même dans le public, tu vis un moment unique.

DT : Pour quelle raison penses-tu que le public londonien est si nombreux à venir suivre cette étape du circuit senior ?

HL : Les Anglais sont un peu plus nostalgiques, mais surtout ils ont la mémoire des exploits, des carrières de certains sportifs et conservent un respect pour ce qui a été accompli. Il y a une charte, un code, comme le maintien de la tradition du blanc à Wimbledon. Certains n'aiment pas ce côté strict, mais moi j'apprécie. C'est hyper important.

Dans mon nouveau rôle de président de club, je m'attache d'ailleurs à instaurer et faire respecter ce type de règles.

Il faut redonner un cadre aux gamins notamment.

DT : J'ai eu l'occasion d'échanger sur ce point avec David Ginola, qui reste connu en France pour son fameux geste lors de FranceBulgarie, mais dont on a oublié tout le reste de la carrière. Alors qu'à Tottenham ou Newcastle, il reste une légende malgré un passage plus bref que dans d'autres clubs français. As-tu déjà eu ce genre de sentiment ?

HL : J'ai connu quasiment la même chose. On me dit souvent : « Ah oui, t'as joué une finale à Roland Garros, mais t'as perdu contre Wilander ! » Heureusement pour moi, j'ai gagné la Coupe Davis en 1991 ! Mais avant cet exploit, j'étais une sorte de « loser ». C'est une mentalité totalement différente. Ginola et Cantona restent de très grands noms en Angleterre. Thierry Henry aurait pu s'inscrire dans cette lignée 18 |

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“Londres, c'est un peu comme dans Harry Potter !

Tu as toujours des surprises, un endroit que tu découvres, qui te surprend” légendaire en poursuivant et achevant sa carrière à Arsenal.

Il était LA star. Regarde la longévité d'un Ryan Giggs ! C'est ce genre de joueur et d'histoire que les Anglais aiment.

DT : Je venais d'arriver en France et me souviens très bien de votre exploit en Coupe Davis, en 1991.

Pourtant neutre à l'époque, j'ai vibré devant votre exploit face à Sampras, Agassi et la meilleure paire mondiale de double de l'époque. Vingt ans plus tard, quel regard portes-tu sur cet exploit ?

HL : Nous avions une image de « chicken » à l'époque pour les Anglais ou les Américains.

Tu vois, le cliché du français sympa, marrant, mais qui ne gagne jamais rien nulle part. Et quelque part, nous avons ouvert la voie, puisqu'après cet exploit, et les complexes envolés, le handball est devenu champion du monde, puis le foot et à nouveau le handball, etc.

" La bio Henri Leconte, alias « Riton », 47 ans.

Joueur de tennis professionnel de 1980 à 1996.

9 titres en simples / 10 en double (dont Roland Garros en 1984, avec Yannick Noah)

Finaliste de Roland Garros en 1988

Vainqueur de la Coupe Davis en 1991

Meilleur classement ATP : 5 e

Les bonnes adresses d’Henri Leconte " Le Blakes Hotel

Blakes Hotel London, 33 Roland Gardens, London SW7 3PF Tel. +44 (0)20 7370 6701 - www.blakeshotels.com

Cet hôtel au décor cosy, boisé et rustique chic est le point de chute de nombreuses stars de cinéma, de musiciens et de designers mode. Il est aussi connu sous le nom de « Couture Hotel ».

" Le Zuma

5 Raphael Street, Knightsbridge, London SW7 1DL Tel. +44 (0)20 7584 1010 - www.zumarestaurant.com Le Zuma est un izakaya de luxe. Un quoi ? Un izakaya, l'équivalent japonais du pub en Angleterre et du bar à tapas en Espagne, reconnaissable à ses lanternes rouges à l'entrée.

" L’Automat

33 Dover Street, Mayfair London W1S 4NF Tel. +44 (0)20 7499 3033 - www.automat-london.com L'Automat, une brasserie américaine au style éminemment new-yorkais. Les people et happy few londoniens y sont légion.

DT : Henri, il me reste à te dire un immense merci pour cet entretien vivant et illustré de tant de grands souvenirs ! Sache que TSL sera présent au Royal Albert Hall pour te revoir sur le court et, j'ai bien noté, faire péter le champagne (rires) !

HL : C'est noté, Sir Darren. Tout le plaisir fut pour moi de vous recevoir ici, dans les installations du Levallois Sporting Club Tennis.

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concerto pour légendes du tennis

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es héros ne meurent jamais. Ils s'appellent Henri, Goran, ou Mansour. Ils ont joué au tennis à une époque où leur principal plaisir était d'en donner aux autres. Quiconque a admiré ces hommes-là verrait d'un bon œil un revival de leur tennis flamboyant. Du 30 novembre au 5 décembre, ces tennismen de légende raviveront vos souvenirs au Royal Albert Hall. C'est un opéra, oui. Et non, vous ne rêvez pas...

Interview Jean-Charles Berton TSL : Tony Davison, vous représentez IMG UK qui organise les Masters Aegon de Tennis de Londres. Pouvez-vous nous présenter ce fantastique événement ?

Tony Davison : Les Masters de Tennis Aegon représentent un événement vraiment unique à Londres et dans la saison de l'ATP Champions Tour. Organisés en Décembre, ce tournoi offre la possibilité aux spectateurs et aux VIPs de voir ou revoir les légendes du tennis exprimer leur talent sur le court. Les matches en simple se disputent en un set sec, ce qui permet de ne jamais être en reste de rebondissements ou dénouements dramatiques, puisque les joueurs peuvent prouver qu'ils ont encore de beaux restes. Les rencontres de doubles sont certes un peu plus détendues, mais elles offrent également leur lot de spectacle et d'intensité.

TSL : Ces Masters Aegon se déroulent dans un lieu absolument magique. Le Royal Albert Hall est l'un des bâtiments les plus prestigieux de Londres, dans lequel il paraît impensable de pouvoir… jouer au tennis ! Les joueurs apprécient certainement de pouvoir évoluer dans un tel environnement ?

TD : La plupart des joueurs qui ont eu l'occasion de jouer ici, veulent absolument revenir au Royal Albert Hall. C'est un site très spectaculaire, chargé d'histoire et qui permet au public d'être vraiment très proche du jeu. Tim Henman lui-même affirme qu'il ne pouvait espérer " 20 |

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plus bel endroit que le Royal Albert Hall, pour revenir à la compétition de tennis. Et je suis certain que les supporters de Henman sont très excités à l'idée de le voir rejouer, a fortiori dans un tel écrin.

TSL : Henri Leconte nous confiait qu'il était encore très connu et apprécié au Royaume Uni et plus particulièrement à Londres. Que pouvez-vous nous dire de la participation du français à ces Masters ?

TD : C'est une grande joie que de pouvoir compter sur la nouvelle participation d'Henri Leconte à ces Masters Aegon. Il y a déjà participé à de multiples reprises et demeure une vraie star ici dans les matches de doubles. Il sait divertir le public et les supporters britanniques l'adorent !

TSL : Henri retrouve de vieilles connaissances, comme son ami Mansour Bahrami. Quelles seront

Mansour Bahrami (

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les autres têtes d'affiche cette année?

TD : Retrouver Henri Leconte associé à Mansour Bahrami est merveilleux pour nous et reste une excellente nouvelle pour les amateurs de spectacle. Pat Rafter revient également pour défendre son titre acquis l'an passé et il sera accompagné de ses compatriotes Pat Cash et Mark Philippoussis. Tim effectue donc son grand retour à la compétition et il planera un certain parfum de revanche face à son rival de toujours, Goran Ivanisevic, contre lequel il pourrait bien jouer un remake de la demie-finale de Wimbledon, perdue en 2001 !

TSL : Quelles offres d'hospitalité et de relations publiques proposez-vous durant ce prestigieux tournoi ?

TD : Nous proposons des packages d'hospitalité très haut de gamme, en deux sessions (après-midi et soirée) durant lesquelles les invités peuvent

apprécier la qualité du jeu depuis leur confortable loge privative.

Cette formule comprend un apéritif au champagne et un dîner raffiné au Champions Club. Un emplacement qui offre une vue panoramique imprenable sur l'ensemble du court.

Cet événement est tout simplement impressionnant, pour chaque VIP, qui vit ici une soirée magique, juste avant la période des fêtes !

TSL : Pouvons-nous avoir une idée plus précise du programme et des tarifs proposés?

TD : Nos packages d'hospitalité en Loge sont commercialisés à partir de £299 par personne, pour des espaces privatifs de 8 ou 12 invités.

TSL : Quel message souhaitezvous adresser aux fans français qui s'interrogeraient sur l'opportunité de venir assister à un tél événement?

TD : Nous serions heureux de pouvoir accueillir des fans de tennis

en provenance de France, au sein du somptueux Royal Albert Hall. Et nous sommes bien certains qu'Henri serait également ravi de pouvoir compter sur des supporters au sein du public. Nous espérons donc voir vos lecteurs nombreux à Londres, d'ici quelques semaines…

TSL : Merci beaucoup Tony d'avoir choisi TSL pour promouvoir les Masters Aegon, auxquels nous souhaitons le meilleur succès. Nul doute que grâce à vous, nos lecteurs en ont appris un peu plus sur ce qui représente un événement sportif hors du commun, ou la manière de le vivre dans des conditions idéales.

RENSEIGNEMENTS & RÉSERVATIONS contact@totallysportsinlondon.com +33 (0)1 73 75 57 58

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' Henri Leconte

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Chelsea, Arsenal, Fulham : TSL vous invite au coeur de ces trois clubs londoniens

Un week-end

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les “blues”

Une ambition et une âme

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otallySportsInLondon a rencontré Cédric Messina, directeur général de DM Sport.

Cette société basée à Nice, très impliquée dans le business qui touche au football azuréen* (LIRE PAGE SUIVANTE), développe et fidélise son réseau de partenaires, grâce à des opérations originales de relations publiques.

Parmi les plus prisées, les soirées du côté de Stamford Bridge réservent toujours leur lot de (bonnes) surprises.

TSL: DM Sport propose régulièrement à ses clients de vivre les grands moments de sport. Pouvez-vous nous donner quelques exemples d'opérations marquantes ?

Cédric Messina : Nous avons lancé des opérations d'incentive, il y a déjà 5 ans. Par un concours de circonstances, il fut décidé d'investir dans une loge à Tottenham. Au départ, pour remercier nos meilleurs clients.

Puis, nous avons ciblé notre offre sur des derbies avec le fabuleux Milan-Inter. Pour éviter de rentrer de plain-pied dans un secteur hautement concurrentiel, nous

CHELSEA LES YEUX DANS LES “BLUES”

avons ensuite privilégié des offres bien ciblées : affiches européennes, derbies notamment, tout en évitant de communiquer pour ne pas être débordés par la demande.

TSL: Le foot anglais et, plus particulièrement londonien, n'a pas de secret pour vous. Que retenez-vous des saisons vécues dans votre loge à White Hart Lane?

CM : Un monde différent tout simplement. C'est une des raisons du décalage avec le foot français.

Les conditions, l'accueil, l'habillage du produit n'ont pas d'équivalent...

TSL: Du Nord à l'Ouest, des Spurs au Blues, vous avez décidé de concentrer vos opérations à Chelsea FC. Que pensez-vous de Stamford Bridge?

CM : Là encore, les rencontres font la différence. La situation de Tottenham, alors en pleine déconfiture sportive et menacé de descente, nous a conduits à élever le niveau de l'offre. Une première collaboration sur Chelsea avec TotallySportsInLondon fut déterminante. Elle l'est encore.

Ce qui nous enlève toute pression avant chaque évènement. u

Stamford Bridge, l’enceinte de Chelsea FC, offre des prestations d’hospitalité exceptionnelles

Des buts, de stars, une ambiance et des services de très haut niveau. En plus d'être l'une des plus belles équipes du continent, le Chelsea Football Club est aussi un hôte exceptionnel.

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TSL: Les prestations d'hospitalité proposées par Chelsea vous semblent-elles cohérentes avec l'attente de vos invités?

CM : Les prestations sont assez exceptionnelles. Si l'on y ajoute la qualité du spectacle sur le terrain, il y a peu de chance d'être déçu. Vous redoutez toujours l'organisation d'un évènement.

Dernièrement, pris sur un dossier important, je n'ai pu accompagner mes clients sur la rencontre Chelsea-Marseille. A 21h, le téléphone sonne. Je crains l'incident. La complication de dernière minute. Ils tenaient simplement à me signaler leur étonnement devant la qualité de la prestation. Une première !

TSL: Pour conclure, quel conseil donneriez-vous à ceux qui hésitent encore à venir goûter au plaisir du football anglais?

CM : Le football anglais n'est pas le meilleur championnat pour rien.

Au-delà du cliché, ce qui me marque, c'est cette culture présente dans la vie du club. Il y a une identité propre, une atmosphère que vous ne retrouvez nulle part ailleurs. Baigné par le modèle ultra et la culture latine de nos origines italiennes, nous avons découvert un autre monde. Un fan de foot ne peut tout simplement pas passer à côté de ça !

RENSEIGNEMENTS & RÉSERVATIONS contact@totallysportsinlondon.com +33 (0)1 73 75 57 58

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$ ( TSL, votre sésame pour le monde des Blues !

# Posez avec les stars de Chelsea !

$ Une loge de Stamford Bridge

u DM Sport Gestion et édition de tous les supports de communication de l'OGC Nice u au travers de OGC Nice Medias (web, web TV, print, supports marketing) u Propriétaire et éditeur du site actufoot06.com u Créateur et éditeur du logiciel mycoach CONTACT DM Sport 5, rue Antoine Gautier 06000 Nice contact@dmsport.fr ou cedric.messina@actufoot.com TÉL +33 (0)4 93 16 81 24

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endez-vous gare du Nord, samedi matin, à l'étage Eurostar.

Direction Londres, et plus particulièrement l'Emirates Stadium, construit en 2006 au nord de la capitale, pour vivre Arsenal/Blackpool, match de la 2e journée de la Barclays Premier League. Ce matin-là, le cœur bat la chamade. Habitué à l'ambiance détestable du Parc des Princes et à la torpeur du Stade de France, le fan de foot voit en cet exil footballistique l'occasion de retrouver le frisson de la « première fois ». C'était dans un petit stade de province pour certains, une antre du foot français pour d'autres, une grande joie d'enfance pour tous.

Ce samedi, on nous a promis un « trip » d'un genre nouveau. Comme une renaissance...

12h30 Londres, Saint-Pancras

UN WEEK-END HAUT DE “GAME” Le 21 août dernier, TSL et l'agence E-motions Sport Voyage, voyagiste agréé du Arsenal FC en France, scellaient leur partenariat lors d'un week-end à Londres. Au programme : Arsenal/Blackpool, la magie de l'Emirates Stadium, un hôtel cossu, le meilleur restaurant japonais de la ville et une visite express digne d'un vrai sportif.

Après deux heures d'Eurostar à finir une nuit agitée comme à la veille d'un examen ou à parcourir la presse du matin (et le dernier numéro de TSL, of course), l'équipe de E-motions (lire encadré) nous accueille dans le hall Barlow, monument historique de l'ère victorienne qui a lui seul vaut le déplacement. Trente minutes plus tard, nous voici dans le trafic du district d'Islington, au nord de Londres. Le long d'Holloway Road, les nuées de supporters en maillot rouge et blanc agglutinés aux abords des pubs alentours nous laissent deviner que le Graal est proche.

13h15 Nord de Londres, Hornsey Road En bas de cette rue résidentielle se dresse l'Emirates Stadium, à une centaine de mètres d'Highbury,

ancien théâtre des exploits gunners.

Au premier coup d'œil, on a d'abord du mal à visualiser les chiffres caractéristiques de ce stade : avec 60 355 places, l'antre des hommes d'Arsène Wenger est le troisième plus grand stade de Londres (après les temples Wembley et Twickenham). Mais là où d'autres stades à capacité égale font bloc et donc tâche dans le paysage, l'aménagement des abords du stade et l'architecture de l'Emirates le font « glisser » dans le décor de ce quartier populaire. Sur le fronton haut du stade, les immenses gravures des légendes du club – on distingue entre tous David Seaman, gardien de but à moustache et catogan des années 90 – donnent un cachet historique à ce stade ultra moderne. En contrebas, la boutique du club écoule les maillots des nouvelles recrues (le Français Laurent Koscielny, l'ex Bordelais Marouane Chamack) et des stars incontournables (Fabregas, Arschavine, Walcott).

13h40 Emirates Stadium, salon VIP

À près d'une heure du « kick off » (« coup d'envoi »), les salons VIP offrent un spectacle d'un contraste saisissant. Nappes blanches, tables rondes, buffets garnis, service haut de gamme… Bref, un avant match « de luxe » digne de ce nom. Mais là où cravates sinistres et ton feutré sont d'ordinaire de rigueur, les convives arborent ici fièrement les couleurs de leur club. Maillots, écharpes, jeans et baskets ! Voilà à quoi ressemble la réception de l'ambassadeur gunner ! Résonne alors la fameuse phrase de Fabien Barthez exhortant le public des loges du Stade de France à tomber le costard et les manières pour venir en jean en chantant La Marseillaise à tue-tête. Ici, Fabulous Fab serait ravi. u

Par Mathieu Le Maux

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18h00 Quartier de Mayfair, Hôtel The Metropolitan

Theo Walcott

14h55 Emirates Stadium, dans les tribunes Calé dans un siège large et rembourré, on profite des quelques minutes précédant le coup d'envoi pour observer le ballet des supporters s'installant à leur place à la toute dernière minute. « Les Anglais, ils se foutent de voir les joueurs à l'échauffement. Ils préfèrent rester un maximum ensemble avant, à boire des bières pour la plupart et venir pile pour le coup d'envoi », nous affranchit un habitué des lieux. Beaucoup semblent s'étonner qu'on les observe. À croire que ces supporters ne se rendent pas compte qu'ils font eux même partie du folklore…

Les premières minutes de ce match déséquilibré d'avance en laissent deviner l'issue - Arsenal l'emportera 6-0 face à un club découvrant l'élite du foot britannique. Mais au fil des minutes, c'est dans les tribunes que se déporte l'intérêt de cette rencontre. En contre bas, les supporters de Blackpool ont compris depuis longtemps que ce match serait une longue galère de 90 minutes. Pas désabusés pour autant, ils remportent allègrement le match des kops en chantant un « Don't wanna go home » plein d'auto dérision (1) durant toute la seconde mi-temps.

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C'est dans un hôtel 4 étoiles au design sobre, chic et épuré que se poursuit ce week-end londonien.

Une douche et un cocktail maison servis dans la chambre plus tard, dîner au Nobu, restaurant « fusion » des plus réputés. « Le Nobu ? Ouah, vous allez adorer ! C'est le meilleur japonais de Londres. A place to be ! », nous a indiqué Nicolas, responsable commercial dans l'hôtellerie à Londres, un peu plus tôt à l'Emirates.

20h30 Quartier de Mayfair, restaurant Nobu Le Nobu London, situé au premier étage du Metropolitan, est l'un des nombreux restaurants du chef japonais Nobu Matsuhisa. Il a ouvert son premier établissement à l'âge de 24 ans, au Pérou. « Nobu est un restaurant au décor minimaliste réputé pour sa cuisine fusion japonaise aux influences sudaméricaines », précisent les guides touristiques. Dans l'assiette, cette cuisine “worlfood” est un ping-pong de saveurs inattendues. La ballade digestive dans Soho nous fait voir la légendaire animation d'un quartier multi-tendances et multi-culturel. u

# $ Le Club Level d’Arsenal : des salons VIP pour un avant-match “de luxe”

Les supporters de Blackpool chantent malgré la défaite. Chapeau !

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# $ Le Highbury Cabaret

# $ Le Director’s Club et le Dial Square Banqueting

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10h00 Dimanche Réception de l’hôtel

Arsenal

Le meilleur moyen de visiter une ville en peu de temps est sans aucun doute de le faire en courant.

Traversée de Green Park et St James Park, passage devant 10, Downing Street, bords de la Tamise, London Eye (grande roue), Big Ben et Westminster en point de mire puis Buckingham Palace. Près d'une heure de course à pied et le passage en revue des principaux monuments et panoramas du cœur de Londres ! Ou comment joindre l'utile à l'agréable…

Après un brunch copieux, direction Oxford Street et les grands classiques du shopping. Mais il est déjà 17h. Retour à Paris. Le chœur des supporters de Blackpool résonne dans le train. « Don't wanna go home ! This the best trip… »1.

u exemple de package type

u Le transport aller/retour en Eurostar au départ de Paris ou Lille à destination de Londres en 2nde classe u 1 nuit à l'hôtel Thistle Barbican 4**** avec petit déjeuner anglais inclus u Le pack hospitality Club Level qui comprend : " Le billet de match VIP, avec fauteuil réservé en Tribune Club Level " Un déjeuner (ou dîner) de 3 plats avant match (présentation en buffet) " Boissons et rafraîchissements (thé, bières, vins, café) servis au bar à la mi-temps " Le programme officiel du match

1

« Don't wanna go home, don't wanna go ho-hohome, this is the best trip i've ever been on » soit en substance « On ne veut pas rentrer, c'est le plus beau déplacement auquel j'ai jamais participé ».

" Un bon de réduction de £5 valable dans les boutiques du club Samir Nasri et Marouane Chamakh, la jeune garde des Gunners

u Un week-end sur mesure Arnaud Toussaint, d'E-motions Sport Voyage, détaille le contenu de ses « week-ends Arsenal » organisés en partenariat avec TSL. u En quoi consiste votre partenariat avec Arsenal ? Nous sommes aujourd'hui l'agent officiel exclusif d'Arsenal et à ce titre, nous bénéficions d'un quota de packages VIP pour la Barclays Premier League, la Champion's League et les coupes nationales. Nous pouvons ainsi gérer jusqu'à 40 personnes par match. u Décrivez-nous un des vos week-ends type ? Nous accueillons groupes d'amis, familles ou personnes seules ou en couple (que nous joignons à un groupe) en charge dès la montée dans l'Eurostar, à Lille ou à Paris. Il y a le match, bien sûr, mais nous offrons des alternatives pour tout le monde, pour tous les goûts : shopping à Chelsea ou Nothing Hill, « afternoon tea » haut de gamme, grandes expos, visites de Londres… Nos kits sont parfaitement modulables, c'est du week-end sur mesure. Il est même envisageable de faire l'aller-retour dans la journée. u Quel coût par personne ? À partir de 450-500€, vous avez le voyage en train, la place VIP (« Club Level » avec repas et boissons incluses) et la nuit d'hôtel. C'est notre entrée de gamme. Et puis notre bonne humeur, qui elle est gratuite ! (rires)

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u 30 octobre 2010 Arsenal FC / West Ham United 495€* u 6 novembre 2010 Arsenal FC / Newcastle FC 550€* * sous réserve de disponibilité au moment de la réservation

u Renseignements contact@totallysportsinlondon.com TÉL +33 (0)1 73 75 57 58

Agent officiel d’Arsenal FC en France

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e Fulham FC jouera-t-il bientôt dans la cour des grands ? Si le chemin est encore long pour envisager une place dans le Big Four, le club de Mohamed Al Fayed dispose de sérieux atouts pour venir jouer les trouble-fêtes parmi les gros bras de la Barclays Premier League. Finaliste malheureux de l'Europa League en fin de saison dernière (défaite face à l'Atletico Madrid) après un parcours aussi brillant que surprenant (élimination du Shakhtar Donetsk, tenant du titre, de la Juventus Turin, de Wolfsburg et d'Hambourg), le plus ancien club de foot professionnel de Londres réussit une belle entame de championnat à l'aube de sa dixième saison parmi l'élite (1 victoire, 6 matchs nul, zéro défaite – 10e après 7 journées). Oubliée la 12e place - conséquence naturelle de leur épopée européenne - au classement l'an dernier. Fulham regarde aujourd'hui vers la première partie du tableau.

LES NOUVELLES RECRUES

Avec l'arrivée de Mark Hughes, ancien manager de la sélection du Pays de Galles, de Blackburn et de Manchester City, à la tête de l'équipe, Fulham a enregistré les signatures de nouvelles recrues cet été. En défense, le Suisse et ancien Gunner Philippe Senderos, l'Algérien Rafik Halliche et le Mexicain Carlos Salcido – tous internationaux – viennent renforcer l'effectif. Devant, le bouillant attaquant belge Moussa Dembelé, auteur d'un bon début de saison (il a signé les 2 buts de l'unique victoire des Cottagers).

Autre renfort de poids, mais au rayon finances cette fois, l'entreprise de courtage FxPro, déjà présent dans le sport automobile et le football (Aston Villa), devient le premier sponsor du club pour les trois prochaines saisons. u

Des nouveaux talents ont rejoint Bobby Zamora et Simon Davies, deux valeurs sûres de Fulham FC

FULHAM : UNE AMBITION ET UNE ÂME Grandi par sa finale en Europa League la saison dernière, le Fulham FC nourrit de belles ambitions à l'orée de sa dixième saison en Premier League. Sans oublier les traces de son passé…

Par Mathieu Le Maux

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UN PASSÉ ET CRAVEN TRÈS PRÉSENT COTTAGE ?

# $ Craven Cottage : une enceinte sportive authentique et mythique qui mérite le détour !

« Fulham vit actuellement l'une des périodes les plus vastes de ses 131 ans d'existence », explique-t-on du côté de Craven Cottage. Sans pour autant partir la fleur au fusil ni oublier le passé du club : « Les supporters de tous les clubs font toujours preuve de beaucoup d'optimisme à chaque début de saison. Et Fulham ne fait pas exception. Mais Fulham restera toujours un club différent grâce à son héritage, son passé. Nous sommes le doyen des clubs de Londres (il fut créé en 1879, ndlr), des générations entières de supporters ont vécu ses hauts et ses bas. »

Recrues, sponsors et discours ne remplaceront toutefois jamais ce qui fait le charme et la « valeur ajoutée » du Fulham FC : son stade.

Antre historique de 25 000 places localisé dans la banlieue sud-ouest de Londres, Craven Cottage fait partie du cercle fermé des derniers temples « à l'ancienne » du foot « typically british ». Ses sièges en bois, sa tribune « mixte » où supporters des deux équipes se côtoient, la présence des vieilles gloires du club dans les salons du célèbre cottage… Fulham cultive son patrimoine. Et c'est tant mieux.

Ce joyau d'authenticité est à découvrir d'urgence. Foi de TSL.

“ Fulham restera t uj urs un club différent grâce à son héritage et son passé. ” RENSEIGNEMENTS & RÉSERVATIONS contact@totallysportsinlondon.com +33 (0)1 73 75 57 58

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7 merveilles de londres a capitale britannique possède l’un des plus beaux parcs d’infrastructures sportives au monde. Ces enceintes historiques et ces arènes ultramodernes, véritable lieu de vie ou centre d’affaires en plus de leur vocation sportive, seront les autres stars des JO de 2012.

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" Lord’s Cricket Ground Surnommé “La maison du cricket”, le Lord’s Cricket Ground est l’un des plus célèbres terrain de cricket au monde. Situé à St. John’s Wood, au cœur de Londres, ce temple historique du sport anglais est également, tout au long de l’année, un lieu consacré aux affaires, aux visites et aux séminaires professionnels.

C’est aussi une pépite architecturale mêlant les lignes du style victorien (milieu du XIXe siècle), comme le pavillon principal, et les courbes futuristes de son centre de presse (the Investec Media Centre).

L’architecture de ce site vaut à lui seul le coup d’oeil. Le Lord’s accueillera les épreuves de tir à l’arc durant les Jeux.

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" greenwich park Situé sur une colline donnant sur la Tamise, ce parc de 74 hectares datant de 1433 est habituellement un lieu consacré aux piqueniques, aux balades en famille ou à la sieste. Aux JO de 2012, Greenwich Park verra se disputer les épreuves d’équitation et de pentathlon moderne devant 23 000 personnes installées dans des tribunes spécifiquement montées pour l’occasion.

" 02 arena Situé à Greenwich Peninsula, l’ancien Millenium Dome renaît en juin 2007 sous le nom de O2 Arena. Connu comme la salle de concert, de sport et de divertissement la plus avancée technologiquement, the O2 Arena a accueilli plus de 150 événements dès la première année et peut accueillir jusqu’à 20 000 personnes. Ce temple de l’entertainment est également doté d’une petite salle de concert (indigo2) de 2 350 spectateurs, d’une galerie d’art (O2 bubble), d’un complexe cinema (onze salles), une ribambelle de bars et de restaurants sans oublier le Matter, nouvelle discothèque pouvant accueillir 2 500 personnes. Le tout à une vingtaine de minutes en métro du centre de Londres. Les épreuves de gymnastique et le tournoi de basket s’y dérouleront en 2012.

" the brit oval L’autre joyau du cricket britannique. Et un autre stade mythique. Proche de la station Oval Underground, au sud de la City, le Brit Oval est l’antre du Surrey County Cricket Club où se déroulent aussi de nombreux matchs internationaux. Ce stade de 1845 possède deux grandes salles de conférence et quinze espaces de réunion. De quoi tisser des liens professionnels dans un environnement unique.

" wembley Une légende du sport, le théâtre des plus beaux matchs de foot, une ambiance électrique. Un créateur de frissons et de vertiges (une arche de 133 mètres surplombe le stade). Une expérience unique. Wembley est tout cela à la fois. Ce stade de 90 000 personnes (assises) permet aussi l’organisation de banquets, galas, conférences et réunions. On y célèbre même des mariages !

Wembley sera avant tout l’une des pièces maîtresses de l’organisation des Jeux de 2012.

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" EXCEL Situé au bord du plan d’eau de Royal Victoria Dock, près du London City Airport, ExCel possède un espace de 90 000 m2 dédiés aux conférences, réunions et événements en tous genres ainsi que six hôtels et de nombreux bars et restaurants. Les travaux d’extension débutés l’an dernier s’étaleront sur l’équivalent de 14 terrains de footballs et feront le plus grand espace événementiel de la capitale.

En 2012, ce campus accueillera de nombreuses disciplines olympiques (boxe, judo, tennis de table, escrime).

" stamford bridge TSL ne le répètera jamais assez. Stamford Bridge, antre du Chelsea Football Club, est un lieu aussi magique qu’impressionnant. Hôtels, restaurants, salles de conférence, spa cinq étoiles… On oublierait presque que ce temple mythique, polyvalent et ultramoderne est d’abord un stade de foot…

} Sélection de sites sportifs réalisée en collaboration avec Visit London. Pour plus de détails rendez-vous sur www.visitlondon.com/business

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Alain Bertholom (Pdt FF de Lutte), Darren Tulett, # Michel de Fabiani (Pdt FBCCI) et Catherine Le Yaouanc (DG FBCCI)

Escrimeurs et lutteurs défendront la France aux JO de 2012 # & $

LES JEUX SONT (PRESQUE) OUVERTS !

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rôle de scène, ce jeudi 16 septembre, dans le jardin de l'ambassade de Grande Bretagne à Paris. Sous les yeux ébaubis des invités du cocktail de rentrée de la Chambre de commerce et d'industrie francobritannique, deux escrimeuses multiplient parades et assauts. Quelques minutes plus tard, ce sont des lutteurs qui font l'étalage de leur puissance et de leur vivacité. Cette exhibition proposée par la TSL nous rappellent que l'ouverture des Jeux olympiques de Londres, c'est (presque) déjà demain.

} L’organisation sportive a été coordonnée par TSL pour la FBCCI et les services de l’Ambassade de Grande-Bretagne.

" Les prochains événements de la FBCCI

Masters de Bercy, du 8 au 14 novembre en association avec la FFT

Franco-British business awards 2010, mardi 23 novembre 2010 avec la French

Chamber of Commerce in London

TBC, mardi 23 novembre 2010, Cercle économique & forum des présidents

Par Mathieu Le Maux | Photos Giulia Panattoni

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“Ambassador’s briefing”, de 8h30 à 9h30 à l’Ambassade de Grande-Bretagne

information@francobritishchamber.com ou TÉL +33 (0)1 53 30 81 30

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TOTALLYSPORTSINLONDON : SPORTS & MUCH MORE* !

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n créant TotallySportsInLondon, j'ai souhaité aller au bout d'une double passion : le football et la ville de Londres. Après 5 années de réflexion (de voyages et de travail aussi), je suis fier de constater que la plateforme TSL est en place !

Une plateforme qui repose sur 3 axes :

Faire savoir, avec un magazine gratuit qui rassemble une équipe enthousiaste " et consciente de son potentiel (rédaction, direction artistique, photographe, partenariat…), Faire découvrir, via un site internet, véritable vitrine à bons plans londoniens, " qui propose une sélection de partenaires indispensables à un séjour réussi (dès le mois prochain), Faire apprécier, grâce à des partenaires anglais, spécialistes de " l'organisation de séjours et experts de Londres (DMC**), qui gèrent et encadrent les séjours personnalisés de nos clients.

Football, tennis, rugby, marathon, JO 2012, week-end santé, etc. chacun trouvera le bon prétexte pour venir à Londres, découvrir la véritable approche du spectacle sportif !

Avec la confiance des plus grands clubs anglais (agence officielle de Chelsea depuis 3 ans, Fulham et Arsenal*** cette saison), celle de partenaires tels que Visit London, et la totale implication de Darren Tulett dans le projet TSL, notre concept présente sans aucun doute les meilleurs gages de sérieux et de qualité.

En famille, entre amis ou dans le cadre professionnel, confiez vos futurs projets à TSL, l'expert de Londres en France.

Jean-Charles Berton Directeur de la publication * TotallySportsInLondon : le sport et bien plus encore ! ** DMC = destination management company (agence réceptive) *** en partenariat avec Emotions Sports Voyages

RENSEIGNEMENTS & RÉSERVATIONS Darenn Tulett, parrain de TSL et Jean-Charles Berton, fondateur de TotallySportsInLondon

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