JAZZ A TOURS
8, rue Jules Simon - 37000 TOURS Tel : 02 47 66 55 97 Email : contact@jazzatours.com Site internet : www.jazzatours.com
Revue de presse 2017 / 2018
La Nouvelle République Indre-et-Loire 18 juillet 2017
La Nouvelle République 14 septembre 2017
La Nouvelle République 20 septembre 2017
37 degrés 21 septembre 2017
Extrait :
Le Petit faucheux, 30 ans de jazz La salle tourangelle Le Petit Faucheux s’apprête à fêter un anniversaire particulier. Non pas celui de sa naissance, mais celui de l’arrivée du jazz dans sa programmation. C’était il y a trente ans, un acte de naissance qui a donné suite à une belle histoire et une reconnaissance qui n’est plus à faire.
Un président heureux de voir « la dynamique exceptionnelle autour du jazz à Tours ». Oui car si Le Petit Faucheux est une belle vitrine, la belle réussite de celle-ci est aussi due à la richesse de la sphère jazz en Touraine. « La région est une véritable terre de jazz, avec beaucoup d’acteurs comme le collectif Jazz Région Centre, des évènements importants comme Jazz en Touraine. Il y a également une chaire de jazz à la fac de musicologie, il n’en existe que trois en France et l’école Jazz à Tours » expliquait ainsi dans une précédente entrevue Françoise Dupas, la directrice de la salle. Une dynamique qui se poursuit avec les années avec de nouveaux collectifs qui émergent à l’instar du Capsul Collectif. Et tous ces acteurs travaillent ensemble et créent une émulation autour de cette musique parfois injustement jugée comme élitiste.
Article complet à lire en suivant le lien suivant : https://www.37degres-mag.fr/culture/le-petit-faucheux-30-ans-de-jazz-cela-se-fete
Magazine Centr’ifuge N°16 Octobre / Novembre 2017
Charente Libre 27 octobre 2017
Extrait :
Autour d’Alice Grolleron, le groupe angoumoisin Des Airs de rien termine sa résidence à la Ferme Saint-Michel à Confolens. Avant son concert ce soir avec trois nouvelles chansons. Elle joue avec les mots comme Neymar Jr avec un ballon de foot: avec une déconcertante facilité. Des mots qu’elle enchaîne et qui sous sa voix aux multiples facettes deviennent poésie. Alice Grolleron est l’incontestable pivot du groupe angoumoisin Des airs de rien, en résidence à la Ferme Saint-Michel à Confolens. «On est venu ici à l’invitation de l’Amac, l’Association de musique et d’animation culturelle. Parce que si nous avons enregistré notre premier dans les studios de La Nef à Angoulême [lire par ailleurs, NDLR], ici à Confolens on peut travailler notre prestation scénique dans un cadre sympa. En plus, l’acoustique est nickel. On adore», souligne la jeune femme. Dont le groupe était déjà venu en Charente limousine au mois de mai pour la fête de l’Amac. «Alice? C’est une poétesse née. Tout tourne autour d’elle», insiste Mathieu Dethoor, le violoniste et flûtiste du quatuor qui propose vendredi soir une répétition publique de sortie de résidence. «Je joue avec les sonorités de la langue française depuis toute petite, raconte cette ancienne élève du Lisa, le Lycée de l’image et du son d’Angoulême. J’ai commencé à écrire à l’âge de 6 ou 7 ans. Des chansons pour ma famille que j’interprétais a cappella comme des petits cadeaux que j’offrais.» Cours de piano puis de chant au conservatoire Gabriel-Fauré d’Angoulême, une année de cycle intensif dans l’école supérieure de musique jazz à Tours lui ont permis ensuite de s’immerger totalement dans l’univers de la chanson et de la musique. Un univers dans lequel baignent aujourd’hui les autres membres de Des Airs de rien. «Le plus d’Alice, c’est sa voix. Un véritable instrument de musique avec une diversité vocale qui va du lyrique au pop en passant par le jazzy. Elle sait s’en servir à merveille», souligne Guillaume Bodet, le guitariste et bassiste de la bande. Avec Mathieu Dethoor, Guillaume Bodet a rejoint le duo Alice Grolleron et le batteur Paul Seitz il y a un peu moins de trois ans. «Avec Alice, on se connaît depuis les années collège. On s’est rencontré par hasard lors d’une Fête de la musique dans les rues d’Angoulême. Je jouais avec mon groupe de l’époque, Alice chantait de son côté», se souvient tout sourire le batteur. Un sourire qui devient éclat de rire quand Alice reprend: «On voulait appeler notre duo De Nada [De rien en espagnol, NDLR], parce que ça nous plaisait. on trouvait à l’époque que ça sonnait bien!»
PROG ! Couverture Novembre 2017 - N°141
PROG ! Focus Prog Novembre 2017 - N°141
La Tribune de Tours N°390 Du 1er au 7 novembre 2017
La Nouvelle République Loir-et-Cher 5 novembre 2017
Ouest-France 7 novembre 2017
Extrait : Derrière Pottok on the Sofa se cachent Alice, Jeanne et Sarah Montembault. Les trois sœurs, filles d’un pianiste et d’une violoncelliste, viennent de sortir leur premier CD cinq titres, avec trois reprises et deux compositions. C’est dire si dans la famille, on connaît la chanson.
Résidence en vue en janvier
Il y a aussi tous les autres, qui croient en elles : Denis Maillard, pour le son, Antoine Guilmault, pour les visuels, et ceux qui ont participé à la souscription du CD. « Un vrai staff », sourit le papa. Les chansons ont été enregistrées dans le salon familial, à Carbay. C’est ici que les sœurs se retrouvent dès qu’elles le peuvent, pour composer et répéter.Jeanne et Alice sont en deuxième année à l’école de musiques actuelles, Jazz à Tours. Elles ont fait partie des dix élus, qui chaque année, peuvent bénéficier de la formation gratuite financée par la Région. Sarah, elle, est en dernière année au conservatoire d’Angers, où elle étudie le violon. « On ne se voit pas régulièrement, mais quand on se retrouve, on passe cinq à six heures à jouer. »Fin janvier, elles devraient avoir un peu plus de temps devant elles. « On aimerait faire une résidence au petit théâtre de Pouancé. » Pour continuer là où tout a commencé.
Magazine TMV N°272 Du 8 au 14 novembre 2017
O’Jazz 9 novembre 2017
La tribune de Tours N°391 Du 9 au 15 novembre 2017
Info-tours.fr 10 novembre 2017
La Nouvelle République Indre-et-Loire / Sortir Le 11 novembre 2017
Magazine TMV N°273 Du 15 au 21 novembre 2017
La Tribune de Tours N°392 Du 16 au 22 novembre 2017
Info-Tours.fr 18 novembre 2017
La Tribune de Tours N°400 Du 25 au 31 janvier 2018
Mowno.fr 26 janvier 2018
Article complet Ă retrouver sur : https://www.mowno.com/articles/interviews/yachtclub-ideal-sonique/
La Nouvelle République Agglo 30 janvier 2018
La Nouvelle République Indre-et-Loire / Sortir 1er février 2018
La Nouvelle République Agglo 6 février 2018
Info-Tours.fr 10 février 2018 TOURS
Nogus s'illustre au tremplin des 3 Orfèvres
3 groupes étaient en lice vendredi soir. Le club Les 3 Orfèvres accueillait hier la 3ème et dernière soirée du Tremplin qui permettra au gagnant de jouer sur la scène du festival La Chapelle au mois de septembre prochain. Le premier candidat Lyricaly, venu de Châteauroux avait bravé la météo difficile pour présenter un set de reggae ensoleillé et engagé. Il devait jouer initialement avec son groupe mais son batteur s'étant cassé le poignet deux jours plus tôt, il a malgré tout tenu à jouer mais accompagné d'un DJ. Ces conditions compliquées l'ont pénalisé malgré une belle énergie. Le deuxième groupe Nogus, issu de l'école Jazz à Tours était lui venu accompagné de ses fans qui ont soutenu leur prestation avec un bel enthousiasme. Ils proposent un son funk groove puissant et inspiré. La salle était en transe. Enfin, Ink a présenté ses compositions retraçant la vie d'un tueur en série. Ils lui ont donné chair à l'aide d'un rock intense et efficace. Après ces 3 prestations, il a fallu choisir. Les 4 jurés et le vote du public ont consacré Nogus dont le projet est le plus abouti. Le groupe se retrouvera le 9 mars prochain en lice contre Grande et Upseen. Claire Vinson
Ouest France Pays de la Loire / Ombrée d’Anjou 1er février 2018
Extrait : Alice, Jeanne et Sarah Montembault sont en résidence pendant une semaine au Petit théâtre, à Pouancé, commune d’Ombrée-d’Anjou (Maine-et-Loire). Les trois sœurs préparent un nouveau spectacle, à découvrir vendredi 2 mars 2018.
[...]
Nouveau répertoire et concert
Les trois sœurs sont en résidence cette semaine au Petit théâtre, à Pouancé. L’idée, « c’est de bosser », résume Sarah. Car si Alice et Jeanne sont en deuxième année de l’école Jazz à Tours, Sarah est en classe de terminale à Segré. Pendant ces vacances d’hiver, elles mêlent leurs idées et leurs savoirs. Elles travaillent un nouveau répertoire de chansons françaises, anglaises, espagnoles, créées ou arrangées. Avec la complicité de Denis Maillard, qui crée les lumières. « La résidence, c’est du confort ! » assurent les trois bosseuses. Elles présenteront vendredi soir le fruit de leur travail, au Petit théâtre.
La Nouvelle République Agglo 8 mars 2018
La Chronique Musique .com 15 mars 2018
Nøgus fait main basse sur le tremplin de Tours PAR GUILLAUME MARTIN‐DEGUÉRET PUBLIÉ LE 15 MARS 2018
Le quatuor tourangeau remporte le tremplin au cours d’une soirée portée par trois formations talentueuses qui ont enchantées la salle des Trois Orfèvres.
Extrait :
On peut facilement s’imaginer les maux de tête qu’a dû subir le jury avant de délibérer. En effet,tout leleplateau présenté ce soir-là dans le café-concert du vieux Toursunétait « Malgré talent présent sur la scène des Trois Orfèvres ce vendredi, il fallait bien choisir vain-d’une queur. Avec sa musique groovy, à mi-cheminLe entrepublic funk et ne rock, le quatuor Nøgus a présenté un live et s’est qualité certaine et très homogène. s’y est d’ailleurs pas trompé carré renvoyant un très belle énergie au public avecles uneforces maîtrise montantes de la scène parfaitement doséelocale. qui a Salle déplacé en nombre pour venir écouter de la scène sans aucun doute séduit le jury et entériné sa décision. On valide ce choix sans hésiter, non sans oublier bondée, ambiance : tous auOrléanais vert pour une Très soirée de noter lesbonne très belles performances dules duovoyants Grande etétaient du quintet Upseen. belleréussie. cuvée 2018 du tremplin de Tours.
Malgré tout le talent présent sur la scène des Trois Orfèvres ce vendredi, il fallait bien Rencontreun avec Théodore, guitariste pour une petite interview express, juste l’annonce choisir vainqueur. Avec de saNøgus, musique groovy, à mi-chemin entreaprès funk et rock, le de leur victoire et au milieu de la cacophonie ambiante. quatuor Nøgus a présenté un live carré renvoyant un très belle énergie au public avec une de laà scène parfaitement dosée C’est maîtrise quoi ta réaction chaud, juste après le concert ? qui a sans aucun doute séduit le jury et entériné sa décision. On valide ce choix sans hésiter, non sans oublier de noter les très On était un peu stressé au début mais sur scène ça s’est très bien passé. Vu que Upssen, le groupe qui belles performances du duo Grande et du quintet Orléanais Upseen. Très belle cuvée passait avant nous, avait l’air super calé musicalement parlant, on s’est dit qu’on allait donner plus 2018 du tremplin d’énergie pour rentrer de dansTours. notre créneau. Comment a commencé le projet guitariste ? Rencontre avec Théodore, de Nøgus, pour une petite interview express, juste après l’annonce de leur victoire et au milieu de la cacophonie ambiante. On était tous à « Jazz à Tours » plus ou moins en même temps. On avait déjà un petit projet acoustique et on s’est dit que ça manquait un peu de corps. On a voulu ajouter une section rythmique basse/batte rie, donc Gautier et Paul sont arrivés et c’est parti comme ça. C’était il y a deux ans. »
Chronique complète au lien suivant : https://lachroniquemusique.com/2018/03/15/nogus-faitmain-basse-sur-le-tremplin-de-tours-itw/
La Nouvelle République Agglo 8 mars 2018
Le jazz des Sassy Swingers chasse le blues à Nantes
Extrait : La chanteuse Sandrine Arnaud a eu la révélation au bord du Mississippi et fondé à Nantes le sextet Sassy Swingers. Leur réjouissant premier CD vient de sortir. Elle hésite un peu. Puis balance : « Oui, j’ai grandi avec Michèle Torr et Frédéric François… J’aurais préféré Billie Holiday ou Led Zeppelin. » N’empêche que c’est sûrement la variété que ses parents écoutaient dans le pavillon du Bignon, qui a décidé de la vie de Sandrine Arnaud. À 18 ans, sa première audition réussie, la demoiselle chante dans les bals : « Mes parents m’emmenaient et se levaient au milieu de la nuit pour venir me chercher. » Elle se forme à l’école Jazz à Tours, afin « d’apprendre les rudiments de la musique ». Vocaliste dans plusieurs formations nantaises pop ou jazz, et comédienne, elle cherche encore sa « vraie voix ».
« La révélation »
Encouragée par plusieurs musiciens, la Nantaise s’envole alors pour la Nouvelle Orléans, en Louisiane, ville mythique et berceau du jazz. Sandrine Arnaud part seule, cinq semaines, au printemps 2014, en plein MardiGras, où la foule danse jour et nuit au rythme des fanfares. C’est « la révélation ». « Ce blues parlait à des parties de moi, c’était beaucoup moins propret que ce que je faisais, se souvient la Nantaise. En France, on est très cérébraux par rapport à la musique. Là-bas, ils ont la technique et les tripes, ils chantent jusqu’au bout des doigts de pied ! Ils composent avec ce qu’ils sont sur le moment. » Dans la rue et dans les bars, la pétillante rousse aux yeux clairs s’enivre des notes swing des brass bands et des hymnes qui racontent l’amour et le labeur. « Pour cinq dollars l’entrée »,elle a « vu des monstres du jazz ! » L’expérience la « transcende » . Sur les rives du Mississippi, elle a trouvé « son cœur » dans le jazz traditionnel porté par Louis Armstrong ou Kid Ory. Six mois plus tard, elle monte The Sassy Swingers. Un quatuor New Orleans reprenant des standards du genre et qui réunit un banjo, un sousaphone et un washboard, cette planche à laver détournée que l’on frotte. Depuis, elle donne toute son « énergie » au groupe, devenu sextet, qui propose ses propres compositions. À écouter sur leur premier album Music from New Orléans , qui convoque la chanteuse Bessie Smith, la musique créole et le blues.
Info-Tours.fr 27 mars 2018 TOURS
En visite à Jazz à Tours, François Bonneau vient encourager la formation artistique professionnelle
Jazz à Tours accueille chaque année plus de 130 élèves en formation professionnelle. Si Tours regorge d'autant de musiciens, la formation artistique n'y est pas pour rien, grâce notamment aux écoles de musiques et au conservatoire bien sûr mais aussi aux écoles spécialisées comme Tous en Scène ou encore Jazz à Tours. Cette dernière, forte de plus de trente années d’expérience, connaît une réputation qui dépasse largement le cadre de bords de Loire et est réputée notamment pour la qualité de sa formation professionnalisante. Ecole associative privée pour musiciens amateurs et en formation professionnelle, Jazz à Tours est axée sur le jazz mais aussi sur les musiques actuelles amplifiées. L'école accueille ainsi cette année 180 élèves amateurs et 130 en formation professionnelle. Une véritable pépinière pour artistes en devenir, formés ici à la pratique musicale mais aussi aux autres facettes du métier à travers des cours sur l’auto-production, des stages sur l’environnement socio-économique ou sur la communication et la méthodologie de projet. En lien avec l'environnement socio-professionnel du territoire (Jazz à Tours organise une soixantaine de concerts par an correspondant à 200 cachets artistiques), l'école tient ainsi à montrer à ses élèves la réalité de leur futur quotidien. Le parcours MIMA (musiciens interprètes musiques amplifiées), une formation de deux ans avec un diplôme délivré par la FNEIJMA (fédération nationale des écoles d’influence jazz et musiques actuelles) en est l'illustration parfaite. Ce parcours dont l'un des objectifs est de structurer un projet musical professionnel accueille 20 élèves dans le pôle Jazz et 10 dans le pôle Musiques Actuelles Amplifiées. Un parcours dont le coût pédagogique est entièrement financé par la Région Centre-Val de Loire qui y consacre 144 000 euros par an. C'est au titre de ce soutien que François Bonneau, le président de la région Centre-Val de Loire est venu visiter l'école vendredi dernier. Une visite pendant laquelle il a pu échanger avec le personnel mais aussi des élèves. Conscient de l'importance de la culture dans l'image de la région mais aussi ses liens avec l'économie régionale, François Bonneau a notamment réaffirmé l'importance de la formation professionnelle tout en louant le travail réalisé par l'équipe de Jazz à Tours depuis trois décennies.
PROG ! Focus Prog Mai 2018 - N°147
FOCUS PROG! JAZZ A TOURS
«l’école actuelle de musiques»
Depuis plus de 35 ans, Jazz à Tours accompagne les musiciens amateurs comme les futurs professionnels dans l’apprentissage et la pratique de leur passion, ainsi que dans leur insertion professionnelle
L’ÉCOLE L’école accueille plus de 350 musiciens chaque année. Certains viennent pour leur cours hebdomadaire de batterie, pour jouer avec d’autres musiciens dans un atelier de pratique collective, ou pour répéter avec leur groupe personnel. D’autres se destinent au métier de musicien et suivent une formation jazz ou une formation Musiques Actuelles Amplifiées (MAA). Tout ce beau monde fait de Jazz à Tours une véritable pépinière : ça se croise, ça répète et ça joue !
LA SCÈNE Jazz à Tours a très vite intégré la scène au sein de son enseignement musical. Un partenariat étroit entre l’école et différents lieux de diffusion de la région assure un lien fort entre formation et diffusion et permet aux musiciens d’évoluer dans des conditions professionnelles. Par an, l’association met en place et participe à plus de 50 manifestations et collabore avec le Petit faucheux, le Temps Machine, l’Espace Malraux, Terres du Son...
OPÉRATION «OPEN SCHOOL»
Du 5 au 8 juin : Tout Jazz à Tours en libre accès Pendant une semaine, Jazz à Tours ouvre ses portes aux amateurs comme aux futurs professionnels et leur permet d’assister aux cours des formations professionnelles et aux cours « amateurs » : ateliers de pratique collective (MAA, jazz, funk, tzigane, jazz vocal...), cours d’instrument (guitare, batterie, basse, violon, piano, chant, sax, trompette...), MAO (Ableton) ou théorie. Ces cours ont lieu entre le lundi 5 et le jeudi 8 juin, souvent en fin d’après-midi ou en soirée, pour plus d’infos, le détail des cours et les horaires, appelez Jazz à Tours au 02 47 66 55 97.
INSCRIPTIONS AUX COURS 2017-2018 À PARTIR DU 5 JUIN Plus d’infos sur www.jazzatours.com / facebook : jazzatours
La Nouvelle République Indre-et-Loire 4 mai 2018
La Nouvelle République Indre-et-Loire 24 mai 2018
37 Degrés Le Clip de la semaine 31 mai 2018
« 3 Tourelles FC » de danslamercedesnacrée
Extrait Chaque
vendredi nous plongeons nos mains de gourmands dans l’inépuisable réservevendredi de groupes tourangeaux talentueux et nous en extirpons un de clip rien touranque « Chaque nous plongeons nos mains de gourmands dans l’inépuisable réserve groupes geaux talentueux et nous semaine en extirpons un clip rien3que pour vous.FC Cette découvrez 3 Tourelles FC pour vous. Cette découvrez Tourelles desemaine danslamercedesnacrée.
de danslamercedesnacrée. »
[...] la sphère musicale tourangelle il y en a certains qui détonnent. Le 23 avril Dans dernier danslamercedesnacrée a encore frappé fort avec le clip du titre inédit 3 Tourelles FC. Influencée par « Sachez que silale publicité, clip de 3 Tourelles FCousemble irréprochable, il n’ est pourtant la version qu’aules jeux vidéo, les mangas l’imagerie associée au numérique, la pas vidéo est d’unefinale grande rait aimé publier le réalisateur. En effet, Nathan Almeras s’ e st fait voler son ordinateur alors qu’il travaillait modernité. Celle-ci nous plonge dans une succession de tableaux très léchés et graphiques. Avec ce clip encore sur le montage de la vidéo. Le clip confirme en ligne est donc qui se provisoire. étrange et élégant, danslamercedesnacree qu’il est une l’unversion des artistes lesvoulait plus excitants de la scène tourangelle, voire même de la scène rap française. Ici, les images mettent en valeur une musique novatrice et audacieuse. Comme on l’entendait lors de la carte blanchea du Radioautomobile Béton le 9 Tours mai dernier, résumer deHall danslamercedesnacrée Le tournage eu rappeur lieu sur lesur circuit Speedway à côtél’univers du Grand ou encore dans des « reviendrait à tomberàamoureux devant Furiousde8recoins ou à planter des légumes biosNathan derrière une traple parkings souterrains Tours Nord. « LaFast villeand est pleine bien stylés », affirme Almeras, réalisateur du clip. quand C’est sa deuxième collaboration avec danslamercedesnacrée, après le clip house ». Essayons même de dresser le portrait. de Flexcalibur Automobiles. À 21 ans, le jeune tourangeau est réalisateur et typographe. Il commence à travailler ses propres typographies à 15 ans et compte déjà à son palmarès des collaborations prestigieuses dans le monde du rap. La est longuede: ilOG y aRask un clip deLes Roméo Elvis mais sont aussitrès ceuxinfluencés danslamercedesnacree estliste accompagné à laincroyable production. instrumentaux de Josman, Slimka ou artistes Lefa & comme Lomepal… parKekra, le rap US, on pense à des Tyler The Creator, Kendrick Lamar ou encore Vince Staples. Là où beaucoup de productions hip-hop françaises jouent la carte du minimalisme trap, Og Rask incorSachez quemorceaux si le clip de Tourelles FC semble irréprochable, n’estvoix pourtant pas des la version finale pore à ses une3 dose de risque à la sauce américaine.ilDes triturées, beats changeants, des qu’aurait publier et le téméraires… réalisateur. EnFort effet, Almeras s’estilfait son professeur ordinateur alors qu’il harmoniesaimé grinçantes de Nathan sa culture musicale, est voler d’ailleurs à l’école Jazz à travaillait Tours. » encore sur le montage de la vidéo. Le clip en ligne est donc une version qui se voulait provisoire. Ici, les images mettent en valeur une musique novatrice et audacieuse. Comme on l’entendait lors de la carte blanche du rappeur sur Radio Béton le 9 mai dernier, résumer l’univers de danslamercedesnacrée « reviendrait à tomber amoureux devant Fast and Furious 8 ou à planter des légumes bios derrière une trap house ». Essayons quand même de dresser le portrait.
La Nouvelle République Indre-et-Loire 25 juin 2018