James Luca
Stagiaire en architecture
Portfolio
Pinel 2 2 0 0 2 1 3 5
Stagiaire en architecture
Portfolio
Pinel 2 2 0 0 2 1 3 5
2022
-en cours
2018 -2021
2015 -2018
Doctorat
Sociologie
Maitrise
Science de l’architecture
Design de l’environnement Baccalauréat
Dessin et modélisation
Design graphique
2021
-en cours
Stagiaire en architecture
2016 -2018
2014 -2020
Université du Québec à Montréal (UQAM)
Université de Montréal
Université du Québec à Montréal (UQAM)
Rhino AutoCAD Revit Sketchup Illustrator InDesign Photoshop
Participer à la conception, à la production de dessins d’éxécution ainsi qu’à la surveillance de chantier sur des projets en milieu hospitalier; Collaborer à des discussions avec les usagers et élaborer des programmes fonctionnels et techniques
Assistant de recherche Auxiliaire d’enseignement
Carlo Carbone
Réjean Legault Carole Levesque
Professionnel des ventes
Élaboration de matériel pédagogique ; Conception et production de maquettes et prototypes.
Élaboration de matériel graphique pour la Biennale de Venise 2018.
Archivage d’artéfact de recherche ; Conception et production de mobilier d’exposition.
Atteindre les objectifs de ventes ; Établir et entretenir une clientèle.
Jodoin Lamarre Pratte architectes
Clients:
Hôpital Général Juif CHUM (Véolia)
CISSS de l’Outaouais
Halifax Infirmery (ElisDon)
Université du Québec à Montréal (UQAM)
Tiffany & Co.
James Luca PinelComité sur la relève
Représentant étudiant
Membre du comité Groupe de travail pour l’affichage du poste de direction
Participer à des discussions relatives aux enjeux spécifiques à la relève en architecture et établir des actions à prendre pour faire valoir
Représenter les intérêts étudiants dans l’élaboration de l’affichage de poste pour la recherche d’une nouvelle direction à l’École d’architecture
Représentant étudiant
Forum Canadien d’Architecture sur l’Éducation (CAFÉ)
Participer aux discussions sur l’avenir de l’architecture et de son enseignement ; Représenter les étudiants de l’UdeM au CAFÉ de Calgary.
Ordre des architectes du Québec (OAQ)
Université de Montréal
Université de Montréal Université de Calgary
Délégué aux affaires externes
Regroupement des Étudiantes et Étudiants en Architecture (RÉA)
Université de Montréal Représenter les étudiants auprès de la Fédération des Étudiants de l’Université de Montréal et des autres écoles d’architecture du Canada ; Participer comme représentant étutudiant au processus d’entrevue pour la nouvelle direction de l’École d’architecture.
Trésorier Annuel de Design
Administrer les comptes de l’exposition des finissants des 7 programmes de design de l’UQAM ; Collecter du financement (donations, commandites et ventes d’articles)
Université du Québec à Montréal
Fondation Desjardins
Soprema
Association des designers industriels du Québec (ADIQ) Alu-Québec
Ce portfolio présente une sélection de projets réalisés dans le cadre de mes études universitaires. Ma double formation en design de l’environnement et en architecture m’a permis de développer une compréhension aiguë des interactions entre les différentes échelles du design qui mènent à la création d’objets architecturaux complexe et riches.
Mes réflexions, alimentées notamment par mon intérêt pour les théories de l’architecture et la sociologie, sont axées autour d’une recherche conceptuelle visant la création d’édifices originaux et inusités. En alliant des formes sculpturales et une expression matérielle forte, les projets présentés mettent en valeur la possibilité de créer des environnements sensoriels généreux.
Mon approche s’ancre dans une sensibilité pour l’expérience des usagers ; la plus grande richesse de notre discipline réside en sa capacité d’influencer positivement la vie des gens à travers des solutions créatives concrètes.
(514) 799-3896
james.luca.pinel@gmail.com
Dispositif architectural de camping urbain au pied du silo#5
Élément architectural
Multiplex d’habitation dans un nouveau quartier en bordure de Mercier-Est
Maquettes et prototypes de dômes géodésiques pour une exposition
Maison de la culture et de la poésie sur la place Gérald-Godin (métro Mont-Royal)
Maison de la culture et piscine municipale pour l’arrondissement de Rosemont–La-Petite-Patrie
Inspiré du feu de camp et des rapprochements privilégiés que celui-ci permet entre les individus, Hāsu est un projet de bivouac urbain articulé autour d’un foyer central. Ce datum génère l’orientation, les ouvertures et la disposition des habitations. Véritable fil d’Ariane du projet, l’âtre répond non seulement à des préoccupations formelles, mais aussi fonctionnelles en alimentant le chauffage des habitacles par un système hydronique. À mi-chemin entre fragments de monuments postindustriels et tentes traditionnelles, les capsules sont des objets sobrement déposés, dans un group form dont la cohésion est assurée par le rapport au feu.
Basé sur le fonctionnement de l’auberge de jeunesse, le programme permet d’accueillir voyageurs et citadins locaux à la recherche d’une expérience nouvelle de l’urbanité. Une variété de scénarios d’habitation est permise par l’articulation entre les différents modules : simple, double ou en groupe. Conçu comme un système d’unités préfabriquées et standardisées, Hāsu est divisible, multipliable et commutatif. Il crée des ensembles dynamiques et singuliers qui donnent naissance à des microcommunautés spontanées dans un dispositif architectural temporaire.
Au pied du site postindustriel du Silo#5, l’agglomération se présente comme un monticule de fragments tombés du silo.
L’ajout de limaille de fer au béton de la coque raconte alors l’histoire du monument emblématique du Vieux-Port et de la monté et du déclin industriel de Montréal ; la blancheur et l’impeccabilité du béton préfabriqué s’oxydant et se patinant avec le temps.
Un système de chauffage est rattaché au foyer central. En entretenant le feu, les résidents temporaires entretiennent un sentiment communautaire. Le liquide caloporteur se réchauffe, est pompé dans un module spécialisé, puis retourné vers les capsules habitables. Afin de limiter la longueur du réseau, deux boucles sont créées.
La maquette a été réalisée par moulage de plâtre synthétique avec renforcement de fibre de polyvynilalcool (PVA) afin d’émuler la fabrication en usine du monocoque de béton armé. Celle-ci est coulée à l’envers, puis la finition intérieure est ensuite complétée et le plancher y est ajouté. Le tout est installé sur un système de vérins qui permet aux capsules de s’adapter à différents terrains.
Rainure moulée pour l’évacuation de l’eau de pluie
Monocoque de béton préfabriqué
Membranes d’étanchéité
Colombage d’acier et isolant rigide
Finition intérieure
Porte d’acier corten préfabriquée et boulonnée à même l’armature du plancher
Marche d’appoint
Finition du plancher et mobilier intégré en contreplaqué
Vérins permettant l’adaptation à une variété de terrain
Préparé dans le contexte de l’Annuel de design 2018 à l’UQAM, un fragment à l’échelle 1:1 a été développé pour supporter la maquette. Cet exercice permet la validation du concept constructif et tectonique.
Élément architectural
La simple poignée a été développée dans le cadre de l’atelier 1:1. Visant à explorer l’échelle de la main et les techniques de production industrielle, le projet démontre qu’une attention aux détails architecturaux peut se substituer aux quincailleries banales.
Si la porte matérialise le seuil, la poignée lie ce seuil à la main, au geste. La poignée de porte nécessite un effort, même si minime et court, forçant l’usager à prendre connaissance d’une transition spatiale. La forme de la poignée répond donc à plusieurs exigences techniques, mais tente d’abord de rétablir une relation productive et harmonieuse avec la porte.
La simple poignée apparaît comme une émanation de la porte plutôt qu’un objet distinct et accessoire à celle-ci. La simple poignée, à travers la dématérialisation de l’axe de rotation, perd son volume et donne un effet de discrétion. Distillée, géométrique et élégante, elle offre confort et ergonomie à travers son manche en bec-de-cane est fin et légèrement arrondi à l’arrière. La rosace dissimule un fonctionnement résolu et compatible aux standards de l’industrie.
Son design résolument contemporain vise un marché résidentiel haut de gamme tout en continuant, grâce à un processus industriel adéquat, d’être abordable et suffisamment robuste pour en assurer la durabilité.
1. 2.
Malgré son profil inusité, la poignée prend en compte l’adaptabilité aux mécanismes standards. Une clé d’assemblage permet d’accrocher celle-ci sur la tige du mécanisme. (1) Afin d’émuler la fabrication par moulage en acier, le projet a été développé par moulage de plâtre. La forme a donc été conçues en considération des spécificités du processus, notamment les contre-dépouilles et les lignes de démoulages. (2)
Le projet s’installe sur une friche de terrain industriel appartenant à la raffinerie de pétrole de l’est de Montréal. La parcelle devenue vétuste, son avenir est en discussion depuis plusieurs années. La proposition de l’atelier-groupe a donc consiste en la création d’un nouveau quartier comprenant une grande diversité de typologies d’habitation. Chaque étudiant a ensuite développé une typologie particulière.
Glyptique est un multiplex regroupant sept logements walk-up. Chacun unique et offrant d’une seule à trois chambres, les logements sont adaptés à différents types de foyers. Toutes les unités ont été réfléchies pour offrir une terrasse extérieure d’une quarantaine de mètres carrés. La disposition de ces espaces extérieurs permet une grande intimité entre les résidents. Une place publique et un jardin communautaire partagés catalysent la création d’une communauté. Alors que les logements du RC et du 2e étage sont traversants, ceux des 3e et 4e sont sur deux étages, assurant à chacun au moins un ensoleillement du sud ou zénithal.
L’édifice se présente comme une sculpture monolithique. La volumétrie est générée par soustraction géométrique dans une forme simple et épurée. Afin de renforcer cette idée, le béton lisse a été employé. Finalement, des ouvertures généreuses assurent une continuité entre l’intérieur et l’extérieur dans les espaces semi-publics de l’appartement, alors que des fenêtres plus discrètes permettent un apport de lumière tout en maintenant l’intimité dans les chambres à coucher.
Le plan d’ensemble conçu par le groupe-atelier est localisé en bordure du quartier Mercier-Est, sur une partie désaffectée de la raffinerie de pétrole de Montréal. Cette dernière borde du côté est la parcelle, alors qu’a l’ouest se trouve le parc Bellerive. Chaque étudiant a ensuite développé une typologie de logement spécifique sur une portion du quartier.
3 chambres 105 m2
46 m2 extérieurs
2 chambres 105 m2
43 m2 extérieurs
3 chambres 105 m2
14 m2 extérieurs
2 chambres 85 m2
21 m2 extérieurs
2 chambres 130 m2
20 m2 extérieurs
1 chambre 85 m2
20 m2 extérieurs
3 chambres 115 m2
20 m2 extérieurs
La volumétrie est conçue pour permettre à chaque logement un milieu de vie qualitatif. Tous les appartements ont accès à de la lumière naturelle du sud ou zénithale. De plus, des espaces extérieurs généreux sont offerts, tout en maintenant une intimité optimale entre les terrasses individuelles. Toutes les unités sont différentes et s’adaptent à des besoins variés.
Daniel Demay, Julien Daly
Carlo Carbone, Réjean Legault, Cammie McAtee
Maquettes et prototypes de dômes géodésiques pour une exposition
Amorcé il y a plus d’une décennie par le Pr Réjean Legault et Cammie McAtee, le projet d’exposition Montréal : le rêve géodésique s’intéresse au moment géodésique de l’histoire de Montréal. L’exposition retrace le travail de Buckminster Fuller, et surtout celui de Jeffrey Lindsay, ingénieur canadien important au développement de ces structures utopiques des années 70.
Le Pr Carlo Carbone, se joignant à l’équipe de commissaires, a mis sur pied une équipe d’étudiants qui ont étudié les différents systèmes employés à travers les années. Joignant cette équipe, mes collègues et moi avons réalisé une série de maquettes d’interprétation.
L’élément saillant de ce projet de recherche-création fut la réalisation d’un dôme de 7,5 m de diamètre. Ce prototype a permis d’exprimer la spatialité exceptionnelle des dômes géodésiques tout en développant une didactique des éléments structuraux nécessaires à sa réalisation. Sa mise en œuvre aura permis de mettre en lumière les enjeux structurels de façon claire et d’intégrer les différentes échelles du design dans la production d’un projet architectural.
L’exposition Montréal et le rêve géodésique se sont tenue au Centre de design du 21 septembre au 10 décembre 2017 et ont reçu une couverture médiatique importante.
Un ensemble de maquettes à l’échelle ont été réalisées afin d’illustrer les différents types de dômes géodésiques développés par B. Fuller et J. Lindsay. Ces maquettes mettent en lumière l’assemblage, les transferts de charges, la variété de dimensions des membrures et les spécificités de chaque modèle dans un effort didactique.
Un dôme de 7,5 m de diamètre a été conçu pour permettre d’exprimer l’assemblage et la spatialité extraordinaire du dôme géodésique. Trois types de connecteurs et autant de membrures distinctes ont été requis. Dans l’esprit du travail de B. Fuller, les connecteurs ont été fabriqués, dans un souci d’industrialisation par moulage. Un moule mère a d’abord été réalisé par CNC à partir d’un modèle 3D (1), puis un moule en silicone en a été extrait (2). Les connecteurs sont faits de résine. (3)
Illustrations : J. Daly & D. Demay
Circadien répond à l’intention de la ville de Montréal de construire, à l’emplacement du métro Mont-Royal une maison de la culture et de la poésie. Le programme composé d’une salle de spectacle, d’un espace de médiation, d’un hall d’exposition et d’un bureau de consultation d’archives, complémente la bibliothèque municipale située de l’autre côté de l’avenue Mont-Royal, consolidant un pôle culturel au cœur du plateau.
Le projet, réalisé en collaboration avec des étudiants de la polytechnique, s’attaque à la question de l’architecture durable. Que ce soit par le cycle de vie des matériaux, l’efficacité énergétique ou la gestion des eaux, l’édifice répond aux enjeux contemporains liés aux changements climatiques.
Les deux volumes monolithiques s’élèvent vers le soleil afin de favoriser un chauffage passif et un apport de lumière naturelle. Ainsi, alors que l’angle optimise l’ensoleillement hivernale, le recul de façade évite la surchauffe en été.
L’élément saillant du projet réside dans un mur de terre pisée qui traverse les deux volumes et organise l’espace tout en servant de masse thermique. Sa matérialité inusitée contribue à la création d’un bâtiment audacieux et identitaire pour les résidents du Plateau Mont-Royal.
Réaménagement des rues
La maison de la culture s’associe à la réfaction de l’édicule et de la place du métro Mont-Royal. Les deux volumes font face à la rue Rivard et y dégagent un parvis événementiel. L’implantation à l’arrière de l’édicule permet de maintenir sur l’avenue Mont-Royal une place publique grandement appréciée des Montréalais.
Métro Mont-Royal Hall d’accueil
Café
Salle d’exposition
Parvis
Foyer
Salle de spectacle
Exposition Gérald-Godin
Salle de médiation
Terrasse
Administration
Studio de répétition
Un mur de terre pisée traverse l’édifice et organise l’ensemble des espaces du bâtiment, en plus de jouer un rôle structurel.Tant tôt mur, parfois garde-corps, sa forme courbe oriente le parcours des usagers. Alors que les tons froids de la pierre calcaire de l’enveloppe évoquent l’architecture traditionnelle montréalaise, les teintes orangés, de la terre pisée offre un contraste accueillant et chaleureux à l’intérieur. Les qualités du matériau conjugué à l’optimisation de l’apport solaire hivernal créent une masse thermique qui favorise un chauffage passif.
Un fragment de l’édifice a été développé afin de caractériser les matériaux et leur jonction. Les ancrages au mur de terre pisée, l’articulation de l’enveloppe et l’assemblage des éléments ont été traités pour valider les principes énoncés. L’utilisation de matériaux tels la laine de chanvre, la pierre calcaire et la structure de bois ont été choisies pour répondre à des exigences de cycle de vie et de création d’environnements sains pour les usagers. L’emploi de verre triple ou encore de verre thermichromique optimise l’efficacité énergétique du bâtiment.
Le préau répond à un programme énoncé par l’arrondissement de Rosemont pour la consolidation de son pôle civique. Une piscine et une bibliothèque aux styles architecturaux éclectique se trouvent actuellement sur le site. Seule cette dernière et ses ornements Arts déco ont d’ailleurs été conservés. Produit dans le cadre de l’atelier de projet complet de la maitrise en architecture, l’édifice s’attaque aux enjeux complexes structurels, bioclimatiques et matériels d’un projet d’architecture.
L’intégration des deux programmes d’apparence irréconciliable a servi de point de départ à la réflexion conceptuelle. Des prismes opaques et minéraux accueillent les espaces culturels se prêtant à l’introspection et à l’arrêt, alors que les circulations et le pôle sportif se retrouvent sous un grand préau de bois souple et dynamique. S’élançant au-delà de l’enveloppe, ce dernier crée des environnements extérieurs couverts propices à une multitude d’usages. L’emploi de la brique jaune intègre le projet à la bibliothèque existante et, plus généralement, à l’architecture institutionnelle montréalaise alors que le grand préau crée un caractère fort et identitaire à l’ensemble.
La topographie en pente du site a été mise à profit par la création d’un rez-de-chaussée et d’un rez-de-jardin, assurant une lumière naturelle à tous les niveaux. De plus, un détachement entre la portion du projet sur le boulevard Rosemont et celle sur Bellechasse favorise une connexion entre les deux écoles publiques qui bordent le centre.
de la culture et piscine municipale pour l’arrondissement de
Rez-de-chaussée : maison de la culture
Rez-de-jardin : piscine
La dualité du programme est exprimée à travers deux réponses formelles distinctes : pour les espaces culturels, des monolithes minéraux ; pour les circulations et la piscine, un large préau de bois souple et dynamique. Alors que les premiers s’intègrent à l’architecture institutionnelle conventionnelle, le second crée un ensemble civique audacieux.
Les structures réciproques sont composées d’au moins trois chevrons ne nécessitentant aucun pilier central, chaque élément partageant les charges avec les autres. Ce système novateur permet d’impressionnantes portées tout en maintenant de très minces membrures. Ici, un élément de base préfabriqué est assemblé pour créer un premier module (1).
Ce module, une fois assemblé, répété et organisé sur une grille,
forme la structure réciproque (2). Pour que l’effet soit cohérent avec le reste de la structure, des membrures secondaires ont été ajoutées pour maintenant le motif présent dans les espaces du préau ne faisant pas appel à la structure réciproque (3).
Une fois cette structure assemblée, une double peau de verre vient s’y accrocher (4), créant 3 conditions différentes (5) dans lesquelles un bris thermique a été détaillé en page 61 (6).
Mur de béton
Colonne de béton noyée dans le mur
Brique romaine
Membrane pare-air
Ancrage pour brique et isolant rigide
Joint de dilatation
Membrane pare-vapeur avec excédent pour permettre la dilatation
Bloc de néoprène Ancrage chimique
Le fragment ci-haut détaille la jonction entre les deux structures. Autrement dit, sont dessinés ici les liens unissant le préau de bois et les volumes de brique. Un espace de dilatation et des membranes adéquates ont été employés pour permettre les variations entre la structure de bois et celle de béton.
La page ci-contre présence les compositions types des conditions horizontales. Le second détail explicite davantage le bri thermique créé en périphérique du préau.
Toit de la salle de spectacle
membrane de toit (blanc)
membrane d’étanchéité soudée
panneau de support 1po
polystyrène extrudé (R5*8po = R40)
membrane bitumineuse pare-vapeur
gypse type x (résistance au feu)
pontages d’acier
poutrelle d’acier 1050mm (porté 21 000 mm/20)
Toit du préau : toit végétalisé
Treillis de protection contre l’érosion
Substrat (60 mm)
Toile filtrante Géotextile Soprafiltre
Panneau de drainage Sopradrain ECO-5
Natte de désolidarisation Ditra Polyéthylène (3 mm)
Membrane anti-racine Soprabarrier 20 mil
Panneau de support OSB (25 mm)
Polystyrène expansé haute densité (R5*8po = R40
Toit du préau : structure dédoublée en rive
Poutres en bois lamellé-collé [106 mm x 670mm]
Connexions type Résix, Tiges acier + résine époxy haute performance [900 mm]
Isolation par polyuréthane giclé
Poutre perpendiculaire en bois lamellé-collé [244 mm x 670mm]
Membrane pare-vapeur
Platelage de CLT [105 mm]
Membrane d’étanchéité
Fondations
dalle de béton 200mm
membrane pare-vapeur
polystyrène extrudé haute densité
(R5*4po = R20)
membrane d’étanchéité soudée
dalle de béton de propreté
gravier
roc
(514) 799-3896
james.luca.pinel@gmail.com