À LA UNE
Edition du 14 Mars 2018 au 20 Mars 2018
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Laissez votre empreinte en Terre d’Israël
Grâce à vous des projets prennent vie
gramme et corresponde à vos aspirations.
Vous associer à l’œuvre du KKL, par le biais du JNF, c’est participer à la construction d’Israël !
Votre confiance nous engage : En léguant au KKL-JNF, vous devenez un maillon précieux de la transmission aux générations futures.
Le JNF (Jewish National Fund) est le département du KKL dont l’effort de collecte est dédié exclusivement aux « legs et testaments ». Les réalisations auxquelles le KKL-JNF vous invite à prendre part répondent à des objectifs en faveur du développement et de la qualité de vie en Israël.
AVANTAGES - Liberté de choisir, parmi tous les projets du KKL, ceux qui correspondent le mieux à vos aspirations - Inscription de votre nom ou de celui d’êtres chers au cœur de la mémoire collective du peuple juif. - Soutien de projets d’avenir en Israël grâce à votre héritage
Le KKL-JNF est au service de tous ceux qui souhaitent que tout ou partie de leur patrimoine soit consacré au développement de l’Etat Israël en accord avec leurs valeurs et convictions. En désignant le KKL en tant qu’héritier, vous choisissez de participer à la construction de l’avenir d’Israël et de la pérennité du peuple juif en alliant Mémoire et Transmission. Grâce à vous des projets prendront vie ! Vous pouvez vous engager dans des actions qui vous ressemblent dans les domaines de prédilection du KKL-JNF : Reboisement, construction de réservoirs d’eau, d’infrastructures agricoles et routières, aménagement d’espaces pour les personnes en situation de handicap, aires de jeux, éducation sioniste, bourses pour les étudiants … Il y aura toujours un projet ou un pro-
GARANTIES - Léguer en toute confiance puisque le KKL-JNF s’engage à respecter scrupuleusement votre volonté et vos dispositions testamentaires. - Votre legs est totalement exonéré de droits de succession puisque le KKL-JNF est reconnue d’utilité publique - Un accompagnement personnalisé dans toute vos démarches et en toute confidentialité vous sera proposé par le département Legs et Testaments du KKL-JNF Léguer au KKL, c’est entrer pour l’éternité dans l’histoire d’Israël pour l’avenir du peuple juif ! Vous souhaitez obtenir des renseignements sur les legs et testaments ? Lynda est à votre disposition au 01 42 86 54 93 / 01 42 86 88 88 ou jnf@kkl.fr
La Philanthropie des firmes en Israël. Un certain manque de générosité D’après une étude sérieuse les entreprises israéliennes ne sont pas très généreuses. Les associations à but non lucratif sont principalement financées par l’Etat, ce qui porte un coup à leur indépendance et bloque souvent certaines de leurs initiatives. Selon cette étude, l’Etat n’encourage pas assez les Israéliens à être généreux. « Il ne s’agit pas d’une question culturelle, mais d’une politique. Car la philanthropie doit être encouragée. Ce que l’Etat n’a jamais fait. Les appels aux dons sont en effet assez rares. » On recense quelques 25 000 associations à but non lucratif en Israël et chaque année il s’en créée environ quelque 1 700 nouvelles. Parmi ces associations, on compte les universités et les hôpitaux publics, dont la part dans le PIB israélien représentait 13 %. Pourtant, Israël possède l’un des plus importants secteurs tertiaires qui survit grâce à la générosité du judaïsme de la diaspora. Or, les dons en Israël ne représentent que 0,8 % du PIB, moins que dans la plupart des pays occidentaux. Ainsi, sur les quelque 6,6 milliards de shekels que totalisent les revenus des organisations à but non lucratif, 3,5 millions proviennent de l’étranger, 590 millions seulement provenant de dons locaux alors que
le reste est généré par les associations ellesmêmes et par l’Etat. Selon l’Office central israélien des Statistiques, il existe 6 377 fondations en Israël qui distribuent environ 150 millions de dollars par an, 1 500 d’entre elles étant des Fonds étrangers qui opèrent en Israël. Par ailleurs, l’Etat attribue en moyenne 51 % du financement des associations à but non lucratif, face à 37 % dans la plupart des pays occidentaux. Israël ne peut pas non plus tirer de fierté du nombre de ses volontaires et bénévoles dans ce type d’associations. Dans ses conclusions, l’équipe du Dr Limor demande donc à l’Etat et au gouvernement de changer de politique au plus vite et d’initier des campagnes d’appels aux dons auprès des entreprises et des individus. Elle appelle également à réformer de nombreux aspects de la politique fiscale qui n’encouragent guère la générosité, notamment par le biais des déductions d’impôts. Selon une étude 9 % seulement des entreprises israéliennes consacrent un budget spécial destiné à financer une « action sociale ». Cette étude n’a pas pris en compte certaines données beaucoup plus rassurantes attestant de l’attitude bien plus généreuse existant dans certains secteurs de la population. Jacques Bendelac