Le constat trĂšs sombre que Pierre Gallix dresse de la gouvernance du dispositif de gestion du handicap en France est, malheureusement, la conclusion de nombreux dĂ©bats de lâInstitut Diderot, quâils concernent lâĂ©ducation, la santĂ©, le logement ou la sĂ©curitĂ©âŠ
Une sociĂ©tĂ© dans laquelle le principe dâĂ©galitĂ© ne sâapplique plus seulement au droit des personnes mais Ă la validitĂ© des idĂ©es conduit Ă mener simultanĂ©ment, ou dans des temps approchĂ©s, des politiques opposĂ©es dont les obligations sâajoutent et finissent par interdire tout mouvement.
Lâopposition virulente des associations qui dĂ©fendent la mise en Institution des handicapĂ©s ou leur maintien dans les familles illustre ce point et bloque en mĂȘme temps des initiatives innovantes.
Néanmoins, comme Pierre Gallix le rappelle, les choses ont évolué et elles continueront à évoluer au coeur de la société, avec les parents, avec les enseignants, pour certains avec les rééducateurs, les éducateurs, les accompagnants.
La société doit viser