la cittadina ligure, apprezzata per il suo dolce clima e per la bellezza dei luoghi, era frequentata da una colonia di turisti inglesi, quasi tutti di estrazione militare, che dal freddo londinese aveva scelto come “seconda casa” la Riviera dei Fiori. Le ville abitate dagli inglesi, per la maggior parte circondate da parchi e giardini, disponevano in alcuni casi di un “court”, teatro di match tennistici. Al capitano C. W. Murray, stufo di dover organizzare per corrispondenza a Londra i “ferri del mestiere”, venne in mente, un giorno, di far costruire sul posto l’occorrente per giocare a tennis e si rivolse alla rinomata ditta di Bordighera Nada & Billour che, oltre ai mobili, si dedicò, almeno in parte, alla realizzazione di racchette. Nel giro di pochi anni, le racchette “Made in Bordighera”, con tanto di marchio inglese , conquistarono gli appassionati di tennis per le loro eccellenti caratteristiche. La S.I.R.T. (Società Italiana Racchette Tennis) aveva acquisito l’esperienza necessaria nella lavorazione del legno. I fratelli Giovanni e Federico Billour, figli di uno dei fondatori della ditta, ebbero il fiuto del businnes e dopo la fine della Prima Guerra Mondiale si attrezzarono alla grande e cambiarono l’attività sociale dedicandosi esclusivamente alla fabbrica di racchette
| Racchette SIRT
| La fabbrica della SIRT
SANREMO.it/pag51
| Le gout “Anglais” du Bordighera Lawn Tennis Club Maintenant ça fait partie de l’histoire. Pas tout le monde sait que ce le Tennis Club qui est situé dans le centre de Bordighera a été le premier club de tennis italien, lié au colonialisme et à l’Angleterre. C’était en 1878 quand les premiers matchs de tennis ont été joués à Bordighera, sur les premiers courts de tennis situés dans une rue centrale à coté des jardins publiques et de l’Eglise Anglicane: zone découverte par l’anglais Wingfield, qui emporta ce sport dans une zone avec l’un des climats les plus doux de la Méditerranée. C’est ainsi qui commencé l’histoire du « Bordighera Lawn Tennis Club ». Derrière l’Église anglaise est né un lieu de rencontres non seulement pour les athlètes, dans une compétition amicale avec le Comité Anglais présidée par l’évêque de Londres et Gibraltar. Avant la guerre de 1914, les deux clubs arrivèrent à neuf courts de tennis, et quand, après la guerre, la communauté britannique arriva à trois mille personnes, la Coopérative Anonime du sport et des colonies britanniques se dépêcha de préparer six autres courts. Terminées les tensions de la guerre, les premières compétitions d’amateurs ont commencé, c’était aussi une façon pour désamorcer ces années de sang à l’aide d’un sport élégant beaucoup aimé par les britanniques. A partir des tournois locaux, en 1925, a été institutionnalisé le premier tournoi interne « BAIN CUP ». Mais deux années plus tard, en 1927, le club organisait des compétitions internationales de haut niveau: la « LONG CUP» pour les professionnels, la «VERA CUP» pour les femmes et deux coupes pour les jeunes de moins de 16 ans. Les tournois se déroulaient au printemps, lorsque la colonie anglaise était sur le point de conclure la résidence saisonnière dans le doux climat de Bordighera. C’était le moment où le Club de Bordighera semblait être le plus célèbre de la Riviera Italienne: derrière les nobles applaudissements du roi de Suède et des princesses Mafalda et Jeanne de Savoie, des joueurs de renommée internationale tels que Tilden, Lacoste, Cochet, Hopman, ainsi que les italiens De Morpurgo, De Stefani et Vido, se confrontaient sur les seize champs “rouges” de la «Ville des Palmiers». La tradition continue encore aujourd’hui. Actuellement, le Club est devenu une évidence internationale qui accueilli pour la deuxième année des excellences du monde du sport, des champions comme Andreas Seppi n°1 en Italie et n° 23 dans le monde, le serbe Filip Krajinovic né en 1992, actuellement n° 420 dans le classement mondial et le staff de Riccardo Piatti, professeur de renommée internationale avec Massimo Sartori, entraîneur de Seppi. Toujours sur la question du tennis et de l’ Angleterre, l’influence de la bourgeoisie anglaise dans la ville balnéaire des palmiers a fait décoller en Italie, le premier fabricant italien de raquettes, la S.I.R.T. Vers la fin du XIXe siècle la ville ligure, connue pour son climat doux et pour la beauté de la région, était fréquentée par une colonie de touristes britanniques, la quasi-totalité d’extraction militaire, qui du froid de Londres avait choisi La Riviera des Fleurs comme «deuxième maison». Les villas habitées par les anglais, la plupart entourées par des parcs et des jardins, avaient dans certains cas, des courts de tennis. Le capitaine C. W. Murray, qui en avait assez de prendre des dispositions sur les «outils du métier», par correspondance, nce, pensa, un jour, de construire sur place ce dont il avait besoin pour jouer au tennis et se tourna vers l’entreprise Nada & Billour de Bordighera qui, en plus des meubles, se consacra en partie à la réalisation de raquettes. aquettes. 109