LE CHEMIN À PARCOURIR
PROGRESSER EN PÉRIODE
D’INCERTITUDE
PRÉSENTÉ PAR


PRÉSENTÉ PAR
Cette année encore, nous sommes fiers de vous présenter l’enquête 2023 de Welch LLP sur la croissance des affaires et des entreprises. L’enquête fait désormais office d’historique de la confiance des entreprises à Ottawa.
Pour ce qui est de l’avenir, il semble que nous ayons passé la dernière année à attendre une récession qui, techniquement, n’arrivera jamais. Malgré cela, nous constatons les défis importants auxquels sont confrontés les entreprises et les consommateurs de notre communauté, avec l’augmentation des coûts d’investissement, les difficultés d’accès à ces capitaux et les pressions inflationnistes qui en découlent.
Nous sommes encouragés par les résultats de l’enquête, mais nous notons qu’elle reflète ce temps confusionnel, avec des opinions mitigées et des perspectives difficiles qui reflètent l’histoire économique de ces dernières années. Nous espérons que ces données vous seront utiles pour aborder 2023 et les années à venir.
Nous remercions nos partenaires principaux : le Ottawa Business Journal, l’Ottawa Board of Trade et Abacus Data. Merci à notre principal commanditaire, Les Commissionnaires Ottawa. Nous remercions également RBC, Perley-Robertson, Hill & McDougall, le Regroupement des gens d’affaires de la Capitale nationale (RGA), TAG HR et la Sprott School of Business de l’Université Carleton pour leur généreux soutien.
Malgré les nombreux défis auxquels Ottawa est confrontée, nous sommes fermement convaincus qu’elle reste un excellent endroit pour faire des affaires et une ville que nous sommes fiers d’appeler chez nous.
Je suis très heureuse de lancer l’enquête de Welch LLP sur la croissance des affaires et des entreprises de cette année. Je remercie tous nos partenaires, en particulier Welch LLP et Abacus Data, pour leur soutien continu à cet important rapport.
Comprendre l’état de notre ville du point de vue de nos entreprises locales est d’une importance capitale lorsque nous envisageons le développement économique et le programme de prospérité de la communauté de notre ville aujourd’hui, et lorsque nous planifions l’avenir. Nos entreprises d’Ottawa ont fait preuve d’une ingéniosité et d’une résilience admirables au cours des trois dernières années. Pour cela, nous vous félicitons et vous remercions ! En plus, de nombreux leaders du monde des affaires ont activement contribué aux conversations sur la façon dont la construction de la ville, l’élaboration de politiques intelligentes et la justice sociale peuvent favoriser la réussite des entreprises et de la communauté. La pandémie a certainement mis en évidence l’interconnexion de nos communautés locales et mondiales. Cependant, pour la suite, un certain niveau d’incertitude demeure. Nous devons cependant aller de l’avant. Nous nous concentrons sur les choses que nous pouvons contrôler, nous planifions l’avenir et nous nous engageons dans un programme de croissance. Nous avons la possibilité de tirer parti de nos nombreux atouts à Ottawa et de cibler des opportunités à forte croissance. Notre stratégie doit comporter des objectifs à court et à long terme. Et ceux-ci doivent être communiqués de manière claire et positive afin de créer la confiance et de promouvoir les opportunités.
Nous bénéficions de nombreux avantages en tant que capitale du Canada. Des secteurs public et privé solides, des équipements culturels et naturels uniques, un aéroport international et des établissements d’enseignement et de santé de classe mondiale. Notre avantage concurrentiel vient de notre capacité à collaborer et de notre engagement en faveur de l’inclusion. La protection et l’amélioration de la qualité de vie sont les principaux moteurs économiques. Et chacun a un rôle à jouer : les chefs d’entreprise et les leaders de la communauté, les élus et nos concitoyens.
Impliquez-vous. Soutenez la région. Faites la promotion d’Ottawa. Pour sa part, la Chambre de commerce d’Ottawa, ses membres déterminés et ses bénévoles passionnés utiliseront l’information contenue dans le présent rapport pour défendre les intérêts des entreprises d’Ottawa dans le but de favoriser l’épanouissement d’une communauté d’affaires prospère et de classe mondiale. Une communauté qui contribue à créer une ville abordable, inclusive et durable pour aujourd’hui et pour la prochaine génération.
Au nom de toute l’équipe d’Abacus Data, nous avons une fois de plus le privilège de vous présenter les résultats de l’enquête 2023 de Welch LLP sur la croissance des affaires et des entreprises, la 11e fois que nous sommes le partenaire de recherche de cette importante étude. Le mot de 2022 du dictionnaire Collins était « permacrise », défini comme une période prolongée d’instabilité et d’insécurité. C’est à peu près ça, non ?
La pandémie mondiale a été remplacée par une économie de pénurie, dans laquelle les chaînes d’approvisionnement peinent à fonctionner à plein rendement, les postes vacants restent à des niveaux historiques et le coût des emprunts a considérablement augmenté. Malgré ces défis, la résilience de la communauté d’affaires d’Ottawa est évidente dans les résultats de cette enquête, alors que nous clôturons le premier trimestre de 2023.
Dans l’enquête de cette année, nous constatons une augmentation des entreprises qui signalent une baisse de confiance dans l’économie locale. Nombre d’entre elles ont été affectées par le fait qu’Ottawa a eu du mal à retrouver son élan après la pandémie et le « Convoi de la liberté ». Néanmoins, la communauté des affaires reste résiliente, plus de la moitié des entreprises ayant déclaré une augmentation de leurs revenus au cours de l’année écoulée. Environ la moitié d’entre elles ont vu leurs bénéfices augmenter et 43 % prévoient d’embaucher au cours de l’année à venir.
Ces défis risquent de nous accompagner pendant un certain temps, c’est pourquoi il est important que les entreprises diversifient leurs chaînes d’approvisionnement, qu’elles se concentrent sur l’engagement, la fidélisation et la formation de leurs employés et qu’elles donnent la priorité à l’innovation. Plus important encore, les entreprises doivent travailler ensemble pour défendre des politiques qui encouragent la croissance économique.
Cette enquête a été menée par Abacus Data du 27 février au 31 mars 2023. Au total, 525 chefs d’entreprise ont participé, répondant aux invitations de la Chambre de commerce d’Ottawa, du Ottawa Business Journal et de la liste de contacts de Welch LLP. Les membres des ZAC, du Better Business Bureau, de BOMA, de l’Association de la construction d’Ottawa et de l’Association de la construction lourde de la capitale nationale ont également été invités à participer.
Nous remercions chaleureusement tous les chefs d’entreprise qui ont participé à cette enquête. Vos points de vue utiles ont rendu cette étude possible et nous vous souhaitons tout le succès possible.
David Coletto« Je vois la lumière au bout du tunnel ! »
« C’est le train qui arrive. »
Cette boutade m’a été rappelée lorsque j’ai examiné les résultats de l’indice de confiance des entreprises de cette année.
Après être sorti du marasme de 2020 et des premiers jours de la pandémie, l’indice suggère qu’une nouvelle série d’inquiétudes préoccupe de nombreux chefs d’entreprise. Il n’est pas difficile de deviner quelles sont ces inquiétudes : l’inflation, un marché du travail tendu et des taux d’intérêt en hausse. Les projets d’embauche ont chuté et les inquiétudes concernant l’accès au crédit se sont accrues. Les perspectives du marché des entreprises et la confiance dans l’économie locale se sont dégradées.
À Ottawa, l’incertitude est l’un des principaux freins à la confiance des entreprises. Les fonctionnaires fédéraux retourneront-ils au centre-ville ? Avons-nous un plan si ce n’est pas le cas ? Quel est l’avenir de notre ville, définie depuis si longtemps par la présence fédérale ? (Même si, en passant, les résultats de cette enquête suggèrent que les entreprises du centre-ville sont à peu près aussi confiantes que celles du reste de la région).
Mais au-delà des défis évidents d’une pandémie mondiale et des effets (espérons-le) transitoires de l’inflation et d’un faible taux de chômage, j’ai désiré cette année examiner certains des obstacles les plus fondamentaux à la croissance des entreprises d’Ottawa. Quelles sont les choses qui nous font toujours trébucher ?
Ce que nous constatons le plus souvent, c’est une inadéquation entre le bassin de talents disponibles et les besoins des entreprises. Nous constatons une pénurie d’ouvriers qualifiés. Nous constatons que la bureaucratie est un éternel fléau. Nous constatons également qu’il est difficile d’accéder à du financement par emprunt et par actions adaptés aux besoins des entreprises.
Que devons-nous donc en faire ? Il est évident que le dialogue entre les entreprises et les gouvernements doit se poursuivre. C’est particulièrement vrai dans le dossier de l’immigration et des travailleurs étrangers, ainsi que dans l’énigme des procédures gouvernementales.
À tout le moins, j’espère que cette enquête et ce rapport aideront à créer une certaine lumière au bout du tunnel. Les solutions ne seront jamais faciles à trouver, mais il est toujours bon d’avoir une idée de ce qui nous attend.
Anne Howland Rédactrice en chef Ottawa Business Journalbonnes, les moins bonnes et les mauvaises nouvellesDirecteur général et fondateur, Abacus Data Membre du conseil d’administration, Chambre de commerce d’Ottawa
PRODUIT PAR
Great River Media
PO Box 91585, Ottawa, ON K1W 1KO
ÉDITEUR
Michael Curran
RÉDACTRICE EN CHEF
Anne Howland
RÉDACTEURS
Mia Jensen
David Sali
CONTRIBUTEUR
Luc Lalande
RESPONSABLE DU MARKETING DE CONTENU
Lisa Thibodeau
VENTES DE PUBLICITÉ
Wendy Baily
Victoria Stewart
DIRECTRICE DE LA CRÉATION
Tanya Connolly-Holmes
LES CONCEPTEURS GRAPHIQUES
Celine Paquette
Deborah Ekuma
FINANCES
Cheryl Schunk
EN PARTENARIAT AVEC
COMMANDITAIRE EN TITRE
6 Q&A: UNE ENTREVUE AVEC GOLDY HYDER, PDG DU CONSEIL CANADIEN DES AFFAIRES
8 RÉSULTATS DE L’INDICE DE CONFIANCE DES ENTREPRISES
COMMANDITAIRE PRINCIPAL
20 Q&A: UNE ENTREVUE AVEC SUELING CHING, PDG DE LA CHAMBRE DE COMMERCE D’OTTAWA
COMMANDITAIRES SUPPORTEURS
24 CONTENU COMMANDITÉ Rapport spécial de recherche de la Sprott School of Business de l’Université Carleton : Partenaires de la prospérité d’Ottawa
30 LES PLUS GRANDS OBSTACLES AUX RÉSULTATS DE LA CROISSANCE
36 Q&A: UNE ENTREVUE AVEC HUGH GORMAN, PDG DU GESTIONNAIRE IMMOBILIER COMMERCIAL COLONNADE BRIDGEPORT
41 LUC LALANDE: LES DONNÉES TECHNOLOGIQUES SONT RÉVÉLATRICES
42 RÉSULTATS DES PLANS DE CROISSANCE
44 RÉSULTATS DE LA DURABILITÉ / DIVERSITÉ
PARTENAIRES PRINCIPAUX
48 PROFIL DES RÉPONDANTS
Note de la rédaction : Certains résultats figurant dans les pages suivantes peuvent ne pas correspondre exactement à 100 % en raison des arrondis.
« ... les choses qui nous protégeaient dans le passé, comme la présence du gouvernement fédéral au centre-ville, sont devenues notre talon d’Achille ».
Q:
Quelles sont les forces que les entreprises canadiennes peuvent tirer parti pour croître et comment les entreprises d’Ottawa s’inscrivent-elles dans ce cadre ?
La réponse simple est le talent. Nos politiques d’immigration sont celles qui bénéficient du plus grand soutien dans ce pays, certainement de la part de tous nos principaux partis politiques. Elles sont un atout pour nous dans un monde où ce n’est pas toujours le cas.
Nous avons la capacité de tirer parti des talents qui sont déjà ici, des Canadiens qui travaillent, et d’aider ceux qui sont sous-employés, qu’il s’agisse de femmes, de peuples autochtones ou de personnes en situation de handicap.
Ensuite, nous avons la capacité d’attirer davantage de personnes au pays pour répondre aux besoins. Ces besoins concernent l’ensemble
de notre économie. Nous souffrons d’une grave pénurie de main-d’œuvre. Les retards dans les aéroports, la crise de l’habitation, la crise des soins de santé, le commerce de détail, les restaurants, etc., ceux-ci tous touchés par la pénurie.
Nous devons tirer parti au maximum des talents qui sont ici et nous devons nous assurer que les nouveaux immigrants ont une plus grande opportunité économique dans ce pays. Nous désirons augmenter le nombre de migrants économiques afin de pouvoir soutenir notre politique sociale et nos politiques humanitaires. Nous pensons qu’il s’agit là d’une formidable opportunité.
Ici, à Ottawa, des institutions comme l’Université Carleton, l’Université d’Ottawa et le Collège Algonquin attirent des étudiants du monde entier. Avec la diversité et la beauté de la ville, les possibilités de travailler dans les secteurs public et privé - en plus de des prix plus abordables que dans d’autres grandes villes - je pense qu’Ottawa a une excellente histoire à raconter, pour attirer les talents disponibles ici au pays, mais aussi dans le monde entier.
Q:Quelles sont certaines des faiblesses et des obstacles qui limitent la capacité des entreprises canadiennes à se développer ? Comment se manifestent-ils localement ?
Premièrement, notre système d’immigration accuse un important retard qui oblige le gouvernement à accélérer l’approbation des demandes, et ce depuis le début de la COVID. Pendant deux ans, nous avons continué à recevoir des demandes sans les traiter. De nombreuses demandes
« Je n’ai rien vu nulle part qui ressemble à ce qui se passe à Ottawa »
de travailleurs sont en attente. De nombreux étudiants étrangers, dont les visas n’ont pas été traités assez rapidement, sont partis ailleurs. D’autres demandes sont arrivées et attendent d’être traitées.
Le ministère s’efforce de débloquer la situation, mais il faut accélérer les choses. Nous devons y consacrer toutes nos ressources. Il ne s’agit pas seulement d’un problème fondamental, à savoir que les personnes ne sont pas capable d’y venir, mais aussi un problème d’image, à savoir que le Canada n’est peut-être pas en mesure de traiter ces dossiers assez rapidement. Au lieu de cela, les migrants vont en Australie, au Royaume-Uni, aux États-Unis ou en Europe, autant de pays avec lesquels nous sommes en concurrence pour les talents. Même s’il y aura toujours une série de personnes désireuses de venir ici, il se peut que nous n’obtenions pas les nouvelles personnes les plus brillantes et les plus désirées.
Deuxièmement, et de manière quelque peu surprenante, près de huit personnes sur dix qui sont embauchées au pays sont des femmes. Le secteur privé est en concurrence avec le secteur public pour faire ces embauches. Le secteur public, en particulier le secteur public fédéral, continue de croître. Je pense donc que nous devons en être conscients, car cela a des répercussions sur l’ensemble de l’économie.
Q:Ottawa, particulièrement le centre-ville d’Ottawa, est confronté à un défi unique : les employés fédéraux font toujours du télétravail. Selon vous, quel sera l’avenir de la présence fédérale à Ottawa ?
C’est un problème qui me cause énormément d’inquiétude. En tant que personne qui voyage beaucoup, en
particulier dans d’autres capitales, je n’ai rien vu nulle part qui ressemble à ce qui se passe à Ottawa. Le niveau de retour (au travail) dans de nombreux autres pays est bien plus élevé que ce que nous observons ici. Cela s’étend à ces réalités malheureuses où les endroits qui dépendent fortement de l’engagement actif du secteur public vont subir des dommages irréparables lorsque les entreprises perdront leur clientèle. Si nous ne faisons pas attention, nous créons une société divisée et malsaine avec ces 60 % qui n’ont pas d’autre choix que d’aller travailler tous les matins. Ce sont ces personnes qui assurent notre sécurité, qui prennent soin de nous lorsque nous ne sommes pas en bonne santé, qui nous permettent de garder les lumières allumées. Ils comptent sur ceux d’entre nous qui n’ont pas besoin d’aller travailler tous les jours pour faire partie de leur clientèle. Avec le temps, cela va créer du ressentiment.
Certains disent qu’un ralentissement économique pourrait y remédier, mais personne ne le souhaite. Prenons les choses en main avant qu’une telle chose ne se produise. Je pense que nous devons avoir une conversation adulte à ce sujet, du maire jusqu’aux dirigeants, incluant ceux du secteur public, pour nous réunir et nous demander ce que l’on est en train de faire. Les intentions sont bonnes, mais nous aurons besoin d’une conversation mature pour aider à prévenir ce qui, à mon avis, pourrait être un véritable déclin et une dégradation des relations entre les personnes, dont beaucoup sont nos voisins.
Q: En parlant de l’avenir, quelles sont les politiques que la communauté des affaires peut espérer du gouvernement fédéral au cours de l’année à venir ? Tous les regards sont tournés vers la ministre (Chrystia) Freeland qui,
avec son budget, doit répondre au désavantage concurrentiel du Canada. Si nous ne sommes pas en mesure d’offrir un soutien à l’investissement aux entreprises pour qu’elles s’installent au Canada, qu’elles emploient au Canada, qu’elles paient leurs impôts au Canada, toutes ces choses auront des répercussions. Nous observerons attentivement les possibilités qui s’offrent au Canada d’être un pôle d’attraction pour les capitaux et les talents. Nous devons apporter une réponse claire à cette question.
Il s’agit en grande partie de la transition vers une économie plus propre et plus écologique sur une période de plusieurs décennies qui nécessitera un investissement important dans l’innovation et la technologie à mesure que nous avançons. Ces deux éléments sont des points forts de la communauté des affaires d’Ottawa. Je pense en particulier au secteur technologique, aux instituts de recherche gouvernementaux et aux établissements d’enseignement supérieur. Tous ces éléments peuvent jouer un rôle essentiel pour redresser la barre.
Nous savons que le Canada accueille déjà de nombreuses multinationales. Prenez, par exemple, la société finlandaise Nokia, qui a récemment choisi Ottawa pour y installer son dernier pôle (de recherche et développement). La communauté des affaires d’Ottawa, toutes tailles confondues, est très bien placée pour tirer parti des possibilités qui s’offrent à nous à mesure que nous créons une économie qui nous aide à passer à un mode de vie plus propre et plus écologique.
Au cours de votre dernier exercice financier, votre chiffre d’affaires et/ ou vos revenus ont-ils augmenté, diminué ou sont restés à peu près identiques à ceux de l’année précédente?
Les plus susceptibles à dire que les ventes et/ou les revenus ont diminué Entreprises à croissance décroissante
67%
Les plus susceptibles à dire que les ventes et/ou les revenus sont restés inchangés Entreprises de santé et de bien-être
34%
Les plus susceptibles à dire que les ventes et/ou les revenus ont augmenté Entreprises de l’aérospatiale et de la défense
86%
Comment votre revenu net au cours de votre dernier exercice financier se compare-t-il à celui de l’année précédente? En hausse, en baisse ou sans changement?
Les plus susceptibles à dire que le « revenu net » était en hausse Entreprises de l’aérospatiale et de la défense
86%
Les plus susceptibles à dire que le « revenu net » était en baisse Entreprises à croissance décroissante
67%
Les plus susceptibles à dire que le « revenu net » n’a pas changé Entreprises propriétaires/ exploitants
36%
Au cours de l’année à venir, pensez-vous que le marché de votre secteur d’activité va s’améliorer,
Le défi de l’acquisition et de la rétention des talents devient un problème de plus en plus pressant pour les entreprises locales.
Tous les secteurs ressentent l’impact de la pénurie de talents, y compris les secteurs public, privé et à but non lucratif. La capacité à relever ce défi dépend de la collaboration intersectorielle et de l’innovation.
Le gouvernement fédéral pourrait soutenir cette collaboration en
repensant les politiques d’immigration afin de faciliter la transition vers la main-d’œuvre canadienne. Les entreprises laissent souvent ce marché des talents inexploité parce qu’elles préfèrent une certaine expérience professionnelle canadienne, ce qui crée un cercle vicieux pour les immigrants qualifiés qui cherchent du travail.
Combler ce fossé aiderait les entreprises d’Ottawa qui manquent de personnel à atteindre leur
potentiel de croissance.
Au niveau de l’entreprise individuelle, tout est une question de flexibilité. Récemment, il y a eu un véritable virage vers un marché de l’emploi axé sur les candidats et une demande pour des opportunités qui donnent la priorité à la flexibilité. Pour les entreprises qui désirent croître, cela peut représenter un véritable défi si elles ne sont pas prêtes à s’adapter.
Les entreprises d’Ottawa qui ne se sont pas adaptées passeront à côté des plus grands talents au moment de l’embauche et perdront des membres de leur équipe au profit d’autres entreprises qui sont prêtes à offrir du télétravail, des horaires flexibles
57%
54% et des mesures incitatives adaptées. Le manque de talents a de profondes répercussions : la croissance stagne et le risque d’épuisement de la direction augmente. Le manque de ressources internes affecte également la capacité d’une entreprise à maintenir une culture d’entreprise et à s’engager de manière significative auprès de la communauté. Pour les entreprises d’Ottawa en mode croissance qui sont aux prises avec la pénurie de talents, quelques stratégies efficaces peuvent s’avérer déterminantes. Premièrement et avant tout, la flexibilité est essentielle. Oubliez les possibilités de travail de 9 h à 17 h qui se déroulent à 100 % sur le lieu de travail. Les entreprises qui garantissent l’accès aux talents les plus prometteurs se tournent vers la collaboration en personne de manière ciblée, d’offrir une plus grande
Les plus susceptibles à dire qu’ils s’attendent à une amélioration de leur marché Entreprises de l’aérospatiale et de la défenses
71%
Les plus susceptibles à dire qu’ils s’attendent à ce que leur marché reste le même Musées, écoles, universités et collèges
31%
Les plus susceptibles à dire qu’ils s’attendent à une détérioration de leur marché Entreprises à croissance décroissante
48%
souplesse en matière d’horaires de travail et de repenser les critères d’embauche habituels (tels que le nombre d’années d’expérience) pour se concentrer sur l’adéquation à la culture de l’entreprise.
Il est également essentiel de cultiver une atmosphère de soutien pour permettre aux membres de l’équipe de donner le meilleur d’euxmêmes au travail. Les relations à long terme ne s’épanouissent au niveau de l’entreprise que si nous faisons preuve de compréhension et de patience. Cette philosophie se concrétise par des canaux de communication ouverts et transparents, des politiques autorisant les congés personnels et des initiatives en faveur du bien-être.
Les approches universelles en matière de parcours de croissance et de reconnaissance ne sont également plus
pratique. Au contraire, les récompenses et les incitations doivent répondre aux motivations de chaque membre de l’équipe. Les incitations peuvent prendre la forme d’allocations de perfectionnement professionnel, de primes en espèces, de remboursement des frais de scolarité, de participation aux bénéfices, etc. Il est essentiel de reconnaître et de s’adapter lorsque la situation et les objectifs d’une personne ont changé.
Pour les entreprises, il existe des solutions positives. Les entreprises qui réagissent aux changements du marché en écoutant ce que désirent les membres de leur équipe et les demandeurs d’emploi font état d’un taux de rétention plus élevé, ce qui entraîne une prospérité générale pour notre communauté. — Priya Bhaloo est directrice de l’’exploitation de TAG HR.
Pour mieux comprendre les problèmes qui empêchent la croissance d’affaires et la stabilité économique, la pièce la plus importante du casse-tête est souvent la personne. Les personnes, c’est-à-dire la maind’oeuvre, sont les rouages qui font avancer les choses. Sans les personnes, les entreprises (et la société) ne peuvent tout simplement pas se développer et prospérer. Nous devons positionner les personnes dans les bonnes professions et afin d’optimiser leurs compétences et leur potentiel. La mobilisation mondiale accrue des travailleurs qualifiés est devenue un sujet important et, avec l’avalanche de démissions et du nombre croissant de baby-boomers qui quittent la population active, Ottawa compte
beaucoup sur les nouveaux arrivants pour répondre aux besoins du marché du travail.
Cependant, il y a une grande partie de la population dont les compétences sont sous-utilisées parce qu’elle ne travaille pas dans la profession pour laquelle elle a été formée. Les nouveaux arrivants au Canada, qui sont souvent des professionnels formés à l’étranger, se heurtent à de nombreux obstacles dans l’exercice de leur profession et finissent souvent par occuper des postes qui ne font pas appel aux compétences dont notre société a cruellement besoin.
En d’autres termes, il y a une mauvaise gestion et une mauvaise utilisation du bassin de talents des
nouveaux arrivants.
Mais le problème reste de savoir comment faire correspondre au mieux les compétences des nouveaux arrivants avec les entreprises et les organisations qui cherchent des talents qualifiés. Un talent qualifié est synonyme de croissance pour l’entreprise. Un point c’est tout.
Les problèmes inhérents à l’intégration des immigrants dans la main-d’œuvre sont multiples et complexes et nécessitent une approche multidimensionnelle pour trouver des solutions - il n’existe pas de solution rapide ou facile.
Les gouvernements, les organismes d’aide aux immigrants et les entreprises doivent adopter des stratégies qui
Au cours de l’année à venir, prévoyez-vous recruter de nouveaux employés, maintenir le nombre d’employés au même niveau ou réduire le nombre d’employés ?
n RECRUTER DE NOUVEAUX EMPLOYÉS n MAINTENIR LE NOMBRE D’EMPLOYÉS AU MÊME NIVEAU n RÉDUIRE LE NOMBRE D’EMPLOYÉS NUMBERS 61%
Les plus susceptibles à dire qu’ils s’attendent à recruter Entreprises de l’aérospatiale et de la défense
86%
Les plus susceptibles à dire qu’ils s’attendent à maintenir le niveau de leurs effect Musées, écoles, universités et collèges
71%
Les plus susceptibles à dire qu’ils s’attendent à réduire le nombre d’employés Répondants de Gatineau/Outaouais
25%
tirent parti et maximisent les aptitudes et les compétences des nouveaux arrivants afin qu’ils puissent travailler au sein de leur profession et alimenter la croissance économique.
Compte tenu de l’urgente pénurie de main-d’œuvre à Ottawa, les gouvernements et les entreprises doivent s’orienter vers de nouvelles façons de penser. Nous devons mettre en évidence les écarts entre l’emploi réussi de professionnels aptes et l’incapacité du système canadien à attirer, favoriser et conserver les nouveaux arrivants, ce qui se traduit souvent par de la mobilité professionnelle vers le bas pour les nouveaux arrivants et le gaspillage des talents.
Du côté des pouvoirs publics, il est nécessaire d’ajouter des subventions aux programmes de coaching et de mentorat, et de mettre en place des politiques qui changent l’accent des emplois à des trajectoires professionnelles fondées
sur les besoins économiques ainsi que sur l’identité et les objectifs professionnels des nouveaux arrivants.
Il faut créer des cheminements qui permettent aux nouveaux arrivants de créer plus facilement des compétences professionnelles afin d’accéder plus rapidement à des postes qui optimisent leurs talents.
Les entreprises peuvent apporter leur contribution en investissant dans une culture professionnelle positive, inclusive et saine qui permette aux nouveaux arrivants de se sentir acceptés et de s’épanouir. En comprenant le processus cognitif qui peut influencer et faciliter un environnement de travail cohésif et collaboratif, les entreprises peuvent contribuer à l’émergence de nouvelles perspectives culturelles. Des échanges interculturels productifs améliorent l’efficacité globale du lieu de travail et créent une culture de travail plus synergique dans l’ensemble. L’élimination des barrières culturelles
favorise l’inclusion - au 21e siècle, cet aspect est essentiel pour que les entreprises conservent leurs talents et favorisent un état d’esprit de croissance.
Les stratégies de résolution des problèmes en collaboration doivent aller au-delà de la communauté universitaire afin que les différents ordres de gouvernement, le secteur privé et les communautés d’immigrés puissent participer à l’élaboration des politiques, le secteur privé et les communautés d’immigrés puissent prendre part au dialogue sur le changement.
— Luciara Nardon est professeure de commerce international à la Sprott School of Business et Amrita Hari est directrice et professeure associée à la Feminist Institute of Social Transformation. Leur livre, « Making Sense of Immigrant Work Integration, An Organizing Framework », propose une feuille de route pour résoudre le paradoxe d’une course mondiale aux talents et du gaspillage de talents.
Par rapport à l’année dernière, le crédit est-il plus difficile à accéder, plus facile à accéder ou à peu près le même?
Le monde des capitaux gratuits est désormais loin derrière nous ... Le moment est venu de réévaluer où vous avez déployé votre capital et de vous demander s’il génère des rendements adéquats.
17%
16% 13%
32%
Les plus susceptibles à dire qu’il était plus difficile d’accéder au crédit
Sociétés immobilières
56%
Les plus susceptibles à dire que l’accès était à peu près le même
Répondants de Gatineau/Outaouais
67%
Les plus susceptibles à dire qu’il était plus facile d’accéder au crédit
Entreprises manufacturières et logistiques
17%
Répondants ayant entre 51 et 75 employés
17%
Par rapport à l’année dernière, diriez-vous que votre confiance dans l’économie locale a diminué, augmenté ou est restée la même ?
Le gouvernement fédéral joue un rôle essentiel pour favoriser la croissance des entreprises en fournissant soutien et assistance et doit faire en sorte que ses services soient facilement accessibles aux entreprises, surtout dans une économie post-pandémique.
Le Regroupement des gens d’affaires de la capitale nationale (RGA) soutient la croissance et le développement de ses membres dans la région. Bien sûr, avec la récente pandémie, l’économie mondiale a ralenti au point d’affecter nos économies
locales. Dans la région de la capitale nationale, les membres du RGA ont été confrontés à des défis quotidiens et à des obstacles à la croissance, tels que le manque de services fédéraux et la perte de clients.
Ces deux éléments sont essentiels à la réussite des petites et moyennes entreprises. L’automne dernier, le RGA a été en première ligne pour demander au gouvernement fédéral d’accélérer le retour de ses effectifs dans les bureaux du centre-ville. Pour beaucoup, il s’agit
là d’un facteur essentiel pour permettre aux entreprises du centre-ville de prospérer à nouveau.
Plusieurs de nos membres peinent à accéder aux services du gouvernement fédéral dont ils ont besoin, notamment davantage de possibilités d’emprunt, de subventions et d’assistance technique qui pourraient être la clé de leur développement.
Cependant, la navigation dans les services et programmes fédéraux peut être longue, complexe et bureaucratique, ce qui décourage les entreprises qui n’ont pas les ressources nécessaires pour assumer un tel fardeau. Par conséquent, les petites et moyennes entreprises finissent par ne pas faire de demande et n’accèdent donc pas aux programmes nécessaires à leur bien-être.
Les plus susceptibles à dire que leur confiance a diminué Entreprises à croissance décroissante
85%
Les plus susceptibles à dire que leur confiance est restée la même Répondants de Gatineau/Outaouais
67%
Les plus susceptibles à dire que leur confiance a augmenté Musées, écoles, universités et collèges
36%
Ce manque de soutien adéquat et accessible de la part du gouvernement fédéral, combiné à une perte de clients, a entravé la croissance de nos membres. Nos membres sont souvent confrontés à des acteurs nationaux et internationaux, ce qui leur rend difficile le maintien d’un avantage concurrentiel. Alors que les clients sont l’élément moteur de nos membres, l’instabilité de l’économie a fait baisser la demande de services et de produits, ce qui a eu pour effet de réduire les revenus et les bénéfices de nos membres. L’économie d’Ottawa a besoin de ces bénéfices pour favoriser la transformation et la croissance. encourager la croissance économique locale en rendant les subventions, les prêts et les aides plus accessibles
sont nécessaires. Si les entreprises accèdent plus facilement aux programmes fédéraux, elles peuvent alors se concentrer sur l’adoption d’une approche proactive pour identifier et d’éliminer les obstacles à la croissance. Elles peuvent investir de l’argent et du temps dans d’autres aspects de leur entreprise, tels que la formation, le marketing et l’amélioration de leurs services.
Les décideurs politiques doivent faire leur part en s’attaquant aux causes profondes de ces obstacles à la croissance des entreprises. Même de petites actions, telles que la simplification des services et des réglementations fédérales, rendent les services plus accessibles aux petites entreprises et pourrait représenter
un véritable avantage pour notre économie locale.
Les obstacles à la croissance des entreprises doivent être une préoccupation majeure pour les entrepreneurs et les décideurs politiques. Nous devons relever ces défis grâce à des efforts coordonnés entre les entreprises et les pouvoirs publics. Nous pensons qu’en travaillant ensemble, nous pouvons créer un environnement plus favorable à la croissance et à l’épanouissement des entreprises, ce qui entraînera une excellente prospérité économique et d’autres opportunités dans la région de la capitale nationale.
— Marc Chenier est le directeur général du Regroupement des gens d’affaires de la capitale nationale.
The Ottawa Board of Trade is an independent, nonpartisan, non-profit business association We are the voice of business and a key advocate for economic growth. Our mission is to cultivate a thriving world class business community in Ottawa, our Nation’s Capital One that drives affordable, inclusive and sustainable city building and community prosperity We are passionate, future thinking business and community leaders with a growth agenda
It is more critical than ever to ensure we have a strong Board of Trade representing the interests of our businesses and advancing the economic growth of our community Businesses are facing more opportunities and challenges than ever One voice can influence decisions, priority setting and policy making more effectively than any one of us can do alone
www.ottawabot.ca
Advocates for a competitive business environment and affordable, inclusive and sustainable city building
Builds support for businesses and their employees as they launch, pivot and grow
Champions Ottawa as the best place to live, learn, work, play and invest
Drives initiatives that unite businesses, influence positive decision making and grow our community
Q: D’après ce que vous avez observé dans votre rôle à la Chambre de commerce d’Ottawa, quels sont les obstacles à la croissance des entreprises d’Ottawa?
Le principal obstacle à la croissance identifiée par les entreprises au cours des huit dernières années - et qui a été exacerbée par la pandémie - est l’accès aux talents et à la main-d’œuvre. Les entreprises d’Ottawa sont confrontées aux mêmes problèmes que toutes les autres entreprises : hausse des coûts de fonctionnement, problèmes de chaîne d’approvisionnement, etc. Mais ce qui est particulier à Ottawa, c’est l’incertitude qui entoure l’avenir du centre-ville, qui est le cœur et l’âme de notre culture et de notre économie.
Les entreprises ne considèrent peut-être pas que cela leur est spécifique, mais c’est pourtant le cas. C’est un obstacle pour les petites entreprises, en particulier celles des secteurs les plus durement touchés, qui ont contracté des dettes considérables et qui ont été touchées de manière disproportionnée par la pandémie, l’occupation de l’année dernière et l’incertitude persistante de notre économie.
Q:Ceci étant dit, quelles sont les possibilités de croissance pour les entreprises locales?
Nous ne pouvons pas ignorer le fait que nous sommes la capitale du pays. C’est pourquoi nous avons une forte présence du secteur public. En plus de cela, nous avons une forte présence dans les secteurs à forte croissance, y compris le secteur technologique. Nous disposons d’infrastructures de santé et d’éducation de classe mondiale, qui offrent des commodités auxquelles nous n’aurions pas accès autrement. Tout cela crée donc un moteur pour la croissance des entreprises et l’innovation.
Je dirais également qu’en tant que capitale du pays, nous avons un fort contingent touristique. Le tourisme est la porte d’entrée de toutes les autres formes de développement économique. Si quelqu’un vient ici pour visiter, il se peut que nous soyons
sur son écran radar pour vivre ici, pour aller à l’école ici, pour investir ou pour lancer une entreprise ici.
Nous bénéficions d’une collaboration étroite entre les promoteurs du développement économique et d’une base culturelle solide et attrayante. Cela comprend notre scène artistique et culturelle, notre scène musicale et notre scène sportive. Nous avons également notre propre aéroport international et, les gens ne le savent peut-être pas, mais le train à grande fréquence arrive à Ottawa. Il ira de Montréal à Toronto en passant par Ottawa. Nous avons donc beaucoup de choses à l’horizon et beaucoup d’investissements dans les infrastructures qui sont en cours à Ottawa et qui vont porter leurs fruits.
Q: Que peut attendre la communauté des affaires du nouveau gouvernement municipal au cours de l’année à venir?
Au cours du processus électoral, nous avons vraiment demandé aux candidats d’accorder la priorité non seulement à ce que e gouvernement fera, mais comment ils s’y prendront pour le faire et comment ils se comporteront de manière respectueuse, consultative et en vue d’un consensus. Je dirais qu’à ce jour, même s’il est encore tôt, ils ont été en mesure de le démontrer. Ils ont
« Ça été trois ans d’enfer »
démontré qu’ils sont déterminés à travailler en collaboration pour créer un programme de croissance inclusif et durable pour la ville d’Ottawa, afin de tirer parti de nos meilleures opportunités, y compris la création de fondations pour améliorer notre qualité de vie en ce qui concerne l’accessibilité, les soins de santé, l’habitation, un système de transport en commun intégré et un centre-ville dynamique.
Q: Quels sont les problèmes que vous allez faire valoir auprès de tous les ordres de gouvernement cette année?
Ce sur quoi nous insisterons à la Chambre de commerce, c’est sur le fait que le gouvernement doit créer un environnement compétitif et prévisible dans lequel les entreprises peuvent se développer grâce à des politiques et des programmes prioritaires. C’est l’argument de haut niveau. Ce que nous attendons est que les ordres de gouvernement travaillent en collaboration les uns avec les autres et avec d’autres chefs d’entreprise et leaders de la communauté pour s’acquitter de leur responsabilité de
créer un environnement compétitif et prévisible dans lequel les entreprises peuvent se développer. S’engager dans un programme de croissance et tirer parti de l’ingéniosité et de la résilience des entreprises favorisera la prospérité des communautés et nous mettra en position de relever nos plus grands défis, notamment en matière de climat, de santé et d’inclusion.
L’autre point que j’aimerais aborder est que nous nous attendons des gouvernements qu’ils se conduisent d’une manière qui renforce la confiance du public et protège le processus démocratique sur lequel notre pays est créé.
D’une manière générale, je dirai que ces trois années ont été un véritable enfer. J’ai commencé ce poste le jour même où la pandémie a commencé. Avant cela, nous parlions du rythme des changements, de l’économie mondiale et de la planification de l’avenir. Et puis, tout d’un coup, toutes ces choses qui nous protégeaient ont disparu. Aujourd’hui, ces choses qui nous protégeaient dans le passé, comme la présence du gouvernement fédéral au centre-ville, sont devenues notre talon d’Achille. La communauté d’affaires a fait preuve d’une résilience et d’innovation extraordinaires tout au long de la pandémie. Nous
sommes maintenant en mesure de tirer parti des leçons que nous avons apprises. J’ai l’impression de l’avoir répété à maintes reprises, mais cette situation nous donne l’occasion et, franchement, la responsabilité de mieux bâtir l’avenir d’une manière qui ne nous auraient peut-être jamais motivés à le faire sans pandémie. Comment pouvonsnous intégrer l’action climatique, l’impact économique et l’inclusivité dans les décisions que nous prenons pour l’avenir ? Comment réimaginer le centre-ville pour qu’il soit dynamique et diversifié et qu’il puisse attirer les jeunes dans notre ville en tant que zone à multiples facettes et non comme un simple quartier d’affaires ? Ce sont des décisions que nous serons peut-être obligés de prendre, mais qui nous donneront l’occasion de créer non seulement une ville, mais aussi une région à son plein potentiel. La situation est complexe, et nous nous assurons donc de travailler ensemble afin d’optimiser nos possibilités et de comprendre que nous sommes en concurrence dans une économie mondiale. En tant que capitale de la nation, nous avons la possibilité et la responsabilité d’être des leaders dès maintenant.
Getting involved is essential for the growth and success of any business. Whether you ' re starting a new business or scaling an existing one, it is critical to stay connected with business and community leaders. Membership is a solid strategy for your business and talent development. Here are four tips for leveraging the support of your board of trade.
Enhance the quality of life in our region for your family, your customers, your employees and for the next generation of local leaders
Leverage programs and policies that generate new opportunities, reduce barriers to growth, increase your business brand and save money
Grow your business, your team and your profile b being involved in your local business community working together with leaders for a bright future
leaving your job
Sprott’s Professional MBA Program is designed specifically for busy professionals, with a convenient schedule and a focus on the knowledge, skills and vision needed to lead with purpose. Learn in a dynamic and active environment from world-class faculty and classmates who bring multidisciplinary perspectives to discussions - all while balancing your work-life demands.
Make your next career move. sprott.carleton.ca/pmba
Àla Sprott School of Business de l’Université Carleton, nous travaillons en partenariat avec les entreprises, les gouvernements et les organismes communautaires afin de promouvoir le talent et de partager les connaissances qui ont un impact positif sur le développement économique d’Ottawa et de la région de la capitale nationale. Pour en savoir plus, visitez sprott.carleton.ca/partners-in-ottawasprosperity.
L’apprentissage expérientiel profite aux organisations et aux étudiants Alors que les organisations s’efforcent de trouver de nouveaux moyens d’attirer les meilleurs talents sur le marché du travail compétitif d’aujourd’hui, l’apprentissage expérientiel constitue un puissant outil de développement des talents et de recrutement. Non seulement les étudiants
acquièrent des points de vue sur les cheminements de carrière, les secteurs et les organisations, mais les employeurs sont également en mesure d’observer en action les compétences des étudiants en matière de gestion, de travail d’équipe et autres.
Aujourd’hui, la formation commerciale se déroule dans une variété d’environnements d’apprentissage. L’apprentissage expérientiel offre aux étudiants de l’enseignement postsecondaire la possibilité de travailler en collaboration avec des entreprises et des organisations communautaires sur des projets et des défis stratégiques. Les étudiants appliquent leurs connaissances et leur créativité pour proposer des solutions novatrices qui ont un impact positif sur les organisations et les communautés.
Par exemple, le Sprott Student
Consulting Group (SSCG) aide les organisations à relever un large éventail de défis grâce à des services-conseils gratuits fournis par des équipes d’étudiants guidées par des professeurs. La composition de l’équipe d’étudiants est adaptée aux besoins spécifiques de l’organisation.
Les étudiants consultants de Sprott ont travaillé sur une variété de projets, y compris la continuité des affaires et la planification de la relance, la gestion des événements, les stratégies de croissance, la stratégie de développement des fonds, l’étude de marché, entre autres.
Andrew Webb, professeur adjoint de commerce international et directeur académique du SSCG à la Sprott School of Business, qualifie le modèle de « gagnant-gagnant » pour la valeur qu’il apporte aux étudiants, aux organisations et à la communauté.
La Sprott School of Business et EY Canada travaillent en collaboration pour promouvoir le développement des talents et de la gestion au sein de la SSCG. Les professionnels d’EY, en fournissant des services de mentorat et de coaching aux étudiants consultants de Sprott, accèdent rapidement à leur future main-d’œuvre et obtiennent des points de vue utiles sur leurs motivations et leur façon de penser pour éclairer leur pratique.
De plus, l’apprentissage expérientiel offre la possibilité de puiser dans les connaissances collectives acquises en classe pour mettre à l’épreuve la réflexion de votre organisation.
Par exemple, la Sprott School of Business travaille avec des entreprises et des organisations pour développer des cas à utiliser dans les cours et les concours de cas. L’apprentissage par cas forme les étudiants à trouver des solutions novatrices qui peuvent susciter l’innovation sur le lieu de travail.
Les organisations peuvent également bénéficier de nouvelles perspectives et de nouvelles approches pour relever les défis et saisir les opportunités actuels en
travaillant avec les professeurs de la Sprott School of Business pour développer des opportunités d’apprentissage basées sur des projets pour leurs cours.
L’apprentissage intégré au travail contribue à garder les talents dans la région
Alors que de plus en plus de lieux de travail adoptent le travail virtuel comme une option permanente pour les travailleurs, les possibilités d’emploi pour les étudiants et les diplômés ne sont plus limitées par la distance
« Nous nous efforçons de nous assurer que les étudiants savent comment créer un réseau aussi large que possible, car leur prochaine opportunité peut venir de n’importe où à travers le monde », a déclaré Lisa Lawrence, chef d’équipe du Sprott’s Business Career Management Centre.
Cette tendance accroît la pression sur les stratégies de recrutement des organisations, car les travailleurs ne sont pas liés par leur emplacement. Ils peuvent vivre près de leur famille ou opter pour des emplacements plus abordables sans sacrifier leur carrière.
De nombreux étudiants, y compris les étudiants étrangers, souhaitent rester à Ottawa après avoir obtenu leur diplôme. Les possibilités d’apprentissage intégré au travail - comme l’éducation coopérative et les stages - permettent aux entreprises de la région d’Ottawa de présenter aux étudiants tout ce qu’elles ont à offrir et de commencer à créer des relations avec les talents potentiels dès le début, pendant qu’ils vivent et étudient dans la région.
Par exemple, les étudiants en MBA possèdent des formations académiques et techniques variés. Les entreprises locales accèdent ainsi à un bassin diversifié de talents pluridisciplinaires et multilingues.
En plus des stages MBA, les étudiants des programmes de maîtrise en comptabilité, de maîtrise en finance et de baccalauréat en commerce international de Sprott effectuent également des stages dans le cadre de leur programme, tandis que les étudiants du baccalauréat en commerce peuvent participer à un programme d’éducation coopérative.
L’Université Carleton offre une variété d’opportunités pratiques pour recruter des étudiants et des anciens
étudiants pour des placements coopératifs, des stages, des postes à temps partiel, à temps plein et des postes pour les nouveaux diplômés.
Le maintien des talents et la planification de la relève grâce à l’apprentissage tout au long de la vie Les bouleversements survenus ces dernières années ont rendu le monde des affaires exponentiellement complexe. Les organisations et les entreprises ont besoin de personnes possédant les connaissances, les compétences et la vision nécessaires pour les diriger dans cette période de changements transformateurs et dans l’avenir.
Le MBA professionnel de Sprott (PMBA) est conçu à dessein pour les professionnels occupés. Pour permettre aux étudiants de continuer à travailler et de concilier les nombreuses exigences de la vie, les cours sont dispensés dans un format intensif et exécutif avec des classes les vendredis et samedis des semaines alternées.
Le corps enseignant expert de Sprott propose un programme de gestion intégré qui met l’accent sur les concepts de gestion stratégique et la prise de décisions complexes. Les cours reflètent les besoins actuels des organisations et les tendances du marché.
Les étudiants du PMBA accèdent à un coach professionnel dans la communauté de coaching de Sprott pour un soutien personnalisé et ciblé en matière de perfectionnement professionnel.
Les diplômés du PMBA considèrent souvent les perspectives diverses et interdisciplinaires des discussions en classe comme l’un des aspects les plus appréciés du programme. « Qu’il s’agisse d’ingénierie, de sciences, de soins de santé, de gouvernance environnementale et sociale – vous apprenez de personnes qui sont des experts en la matière dans leur domaine », a déclaré Mohammad Al Jarrah, PMBA/21. « Les points soulevés sont très différents de ce que vous obtiendriez dans une pièce composée
d’individus partageant les mêmes idées. Les discussions sont plus riches et plus approfondies
• L’éducation financière de nouvelle génération Alors que la technologie continue d’accroître son influence sur les entreprises, il en va de même pour le besoin de professionnels qui apportent une expertise fonctionnelle combinée à des compétences en matière de technologie et d’analyse.
À partir de cet automne, la Sprott School of Business offrira son nouveau programme de maîtrise en finance (MFin) afin de promouvoir la prochaine génération de professionnels de la finance.
« Les étudiants intéressés par des carrières en finance ont désormais la possibilité d’acquérir les connaissances financières les plus récentes et les aptitudes en analyse de données requises par le secteur », a déclaré Yuriy Zabolotnyuk, directeur du programme MFin et professeur associé de finance à la Sprott School of Business.
« Nos professeurs sont enthousiastes. Les employeurs ont demandé cette formation et nous sommes prêts à l’offrir ».
Le programme d’études se concentre fortement sur le corps de connaissances du CFA® Institute, équipant les étudiants d’une connaissance approfondie de l’analyse des investissements, de la gestion des investissements, de la gestion des risques, de la finance durable et de l’ESG.
Ceci est renforcé par des compétences en analyse de données appliquées et la maîtrise des derniers outils et technologies du secteur pour préparer les diplômés à réussir sur un marché du travail hautement concurrentiel.
Les étudiants en MFin acquerront une expérience pratique grâce à un stage et à la possibilité de participer au Sprott Student Investment Fund, un portefeuille d’investissement réel géré par des étudiants et actuellement évalué à plus de 2 millions de dollars.
Contactez la Sprott School of Business pour en savoir plus sur les possibilités d’apprentissage tout au long de la vie et de développement des talents.
Quel est le point commun entre Tesla et Meta ? L’une fabrique des instruments électriques, l’autre exploite des plateformes de médias sociaux. Pourtant, sur le plan économique, leur lien est plus étroit qu’il n’y paraît.
L’influence des médias sociaux sur les marchés financiers a connecté l’économie de manière imprévisible. Les gazouillis d’utilisateurs ayant peu ou pas d’expertise en finance se sont révélés avoir un effet d’entraînement sur la valeur des actions d’entreprises sans lien entre elles. Lorsque l’action de Tesla chute, il en va de même de celle de Meta - ainsi que pour 200 autres entreprises.
Cette relation entre les discussions sur les médias sociaux et la finance est ce que Mohamed Al Guindy, chercheur à l’université Carleton, a appelé le Social Internetwork .
En utilisant l’intelligence artificielle (IA) pour analyser des centaines de millions de gazouillis financiers concernant des entreprises cotées en bourse, Al Guindy a tracé un nouveau nexus de l’économie qui illustre quelles entreprises sont liées entre elles, simplement sur la base des discussions sur les médias sociaux.
Le résultat ? Un outil que les investisseurs, les régulateurs et les gouvernements peuvent utiliser pour aider à prévoir les chocs économiques, ainsi que pour prédéterminer l’impact des efforts d’intervention et des manipulations de marché.
« Grâce à cet outil, nous pouvons constater qu’une entreprise moyenne est désormais liée financièrement à plus de 600 autres entreprises, » déclare Al Guindy, professeur adjoint de finance et expert en technologies financières (FinTech) à la Sprott School of Business de l’Université Carleton. « Ce sont 600 entreprises qui peuvent être affectées par un simple gazouillis. »
L’influence des médias sociaux et le pouvoir de la perception publique
Ce qui est nouveau est que ces liens
économiques ne sont pas établis par les les entreprises elles-mêmes, mais plutôt à la perception du public. Les entreprises peuvent ne pas être présentes sur le même marché ou ne pas partager les mêmes fabricants ou fournisseurs - leur connexion est déterminée par ce qu’Al Guindy décrit comme la « sagesse de la foule ».
En comparaison, les études précédentes limitaient le nombre de connexions économiques d’une entreprise à une douzaine seulement, à l’exclusion des liens sectoriels. Désormais, avec l’influence des médias sociaux, Tesla et Meta ont plus en commun que Tesla et un autre constructeur automobile comme Ford.
« Ces enjeux sont importants pour comprendre les crises financières ainsi que les chocs subis par l’économie », explique Al Guindy.
Ses recherches éclairent également la manière dont les chocs financiers se propagent dans l’économie, et quelles sont les entreprises les plus influentes. Ces informations fournissent un contexte crucial pour les décideurs politiques lorsqu’ils planifient des programmes d’intervention économique.
« Nous cherchons des relations et des connexions plus complexes au sein de l’économie », explique Al Guindy.
« Nous connaissons également la force des connexions ; elles ne sont pas toutes égales et certaines sont plus fortes que d’autres. Tout cela est capturé dans le réseau d’une manière qui n’était pas possible auparavant. » En examinant les gazouillis sur les entreprises les plus centrales et les plus prospères, le Social Internetwork a découvert que 92 % de l’économie est connectée indirectement. Un seul incident dans un secteur peut déclencher un effet d’entraînement qui se propage dans des secteurs apparemment sans rapport.
« Ces autres connexions comptent autant que celles du secteur, voire plus », affirme Al Guindy.
Le réseau illustre également le fait que lorsqu’une entreprise centrale a de mauvais résultats, ils se répercutent sur le reste de
l’économie et sont essentiellement reflétés. Mais l’inverse n’est pas vrai : ce qui se passe en périphérie n’affecte pas le centre.
« Cela a pour effet de faire avancer nos connaissances en matière de réseaux financiers », explique M. Al Guindy.
« Nous savons que les réseaux financiers sont importants, mais nous sommes désormais en mesure de bâtir quelque chose de beaucoup plus poussé et plus dense en utilisant la sagesse de la foule », ajoute-t-il.
L’utilisation de cette approche assure également que la représentation du réseau capture les différentes connexions économiques entre les entreprises, tel qu’elles sont perçues par les investisseurs. Ces réseaux évoluent au fil du temps et changent rapidement en fonction des changements financiers et économiques.
Des points de vue dynamiques sur la nature des réseaux financiers
En réponse à la nature fluctuante de l’économie, Al Guindy s’efforce de rendre les données disponibles en temps réel grâce au nouveau laboratoire d’IA sur les médias sociaux et la finance de Carleton, qui ouvrira ses portes cet été. Le laboratoire et la possibilité d’analyser les gazouillis en temps réel fourniront tous deux des points de vue utiles sur la nature dynamique et en constante modification des réseaux financiers.
« Nous désirons chercher des réseaux dynamiques afin de voir le mouvement, et pas seulement une image statique », explique Al Guindy. « L’objectif est de bâtir des réseaux dynamiques et variables temporalisées de l’économie ».
Il faut actuellement un mois pour générer le réseau statique d’une année de données. Le nouveau laboratoire apportera une énorme puissance de calcul avec la possibilité d’analyser les gazouillis quotidiennement - une première au Canada.
« Ce travail est non seulement révolutionnaire, mais il positionne Carleton comme un chef de file mondial dans l’espace de la finance des médias sociaux », déclare Al Guindy.
Sprott’s Master of Finance will equip you with a deep understanding of advanced financial concepts and the skills for complex data analysis, putting you at the forefront of the next generation of financial professionals. Upon completion of the program, you’ll be able to pursue the globally-recognized CFA® designation and a wide range of career opportunities in finance and investment management.
Make your next career move. sprott.carleton.ca/mfin
Parmi les éléments suivants, quels sont les principaux obstacles à la croissance de votre entreprise ?
DISPONIBILITÉ DU FINANCEMENT OU UN FINANCEMENT
n INADÉQUATION ENTRE LE BASSIN DE TALENTS ET LES BESOINS DE L’ENTREPRISE
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Aérospatiale et défense
PAS UN OBSTACLE POUR: Les Arts; Sur le point d’être transféré ou vendu
n LA DISPONIBILITÉ D’OUVRIERS QUALIFIÉS
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Construction
PAS UN OBSTACLE POUR: Musées, écoles, universités et collèges
n PAPERASSE GOUVERNEMENTALE
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Aérospatiale et défense
PAS UN OBSTACLE POUR: Gatineau/Outaouais; Une entreprise en démarrage
n LA DISPONIBILITÉ DU FINANCEMENT OU UN FINANCEMENT ADAPTÉ À VOS BESOINS
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Une entreprise en démarrage
PAS UN OBSTACLE POUR: Services professionnels
n COÛTS DES INTRANTS
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Musées, écoles, universités et collèges
PAS UN OBSTACLE POUR: Services bancaires et financiers
n RÈGLEMENTS
GOUVERNEMENTAUX
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Aérospatiale et défense
PAS UN OBSTACLE POUR: Construction
n UNE CLIENTÈLE LIMITÉE
ET RESTRICTIONS EN MATIÈRE DE ZONAGE ET DE PERMIS
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Croissance en baisse
PAS UN OBSTACLE POUR: 76 à 149 employés
n TROP DE CONCURRENCE
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Construction
PAS UN OBSTACLE POUR: Aérospatiale et défense
n LE MANQUE DE MARKETING D’OTTAWA À L’ÉCHELLE MONDIALTE
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Musées, écoles, universités et collèges
PAS UN OBSTACLE POUR: Gatineau/ Outaouais; Sur le point d’être transféré ou vendu
— PAUL GUINDON, PDG, COMMISSIONAIRES OTTAWA
n L’ABSENCE DE MENTORS OU D’UN
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Sur le point d’être transféré ou vendu
DE MENTORS OU D’UN
L’ABSENCE
n L’IMMOBILIER À PRIX ABORDABLE
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR:
Gatineau/Outaouais
PAS UN OBSTACLE POUR:
Aérospatiale et défense
n LES PROCÉDURES ET RESTRICTIONS EN MATIÈRE DE ZONAGE ET DE PERMIS
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR:
Secteur immobilier
PAS UN OBSTACLE POUR: À but non lucratif/associations ; secteurs manufacturier et de logistique ; Musées, écoles, universités et collèges ; Aérospatiale et défense ; Virtuel uniquement
n ACCÈS AUX MARCHÉS MONDIAUX
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Aérospatiale et défense
PAS UN OBSTACLE POUR: Services bancaires et financiers; Construction; 6 à 10 employés
n TRANSPORT COLLECTIF
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Gatineau/Outaouais; Secteurs manufacturier et de logistique
PAS UN OBSTACLE POUR: Aérospatiale et défense; Virtuel uniquement
n CRIMINALITÉ ET SÉCURITÉ DE LA COMMUNAUTÉ
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Voyages, tourisme et hébergement
PAS UN OBSTACLE POUR: Technologie; Secteur immobilier; Construction; Musées, écoles, universités et collèges; Aérospatiale et défense; Les Arts; 76 à 149 employés; Virtuel uniquement
PAS UN OBSTACLE POUR: Les Arts; Aérospatiale et défense ; Musées, écoles, universités et collèges ; Construction; Services bancaires et financiers ; Vente au détail
n LA CYBERSÉCURITÉ ET LES RISQUES
LE PLUS GRAND OBSTACLE POUR: Services bancaires et financiers
PAS UN OBSTACLE POUR: Sur le point d’être transféré ou vendu ; Croissance en baisse; Gatineau/ Outaouais; 21 à 50 employés; Les Arts; Aérospatiale et défense ; Musées, écoles, universités et collèges ; Secteurs manufacturier et de logistique; Construction
n ACCÈS À DES SERVICESCONSEILS
Wnous l’avons tous fait –envoyé par courriel une photo de nos documents d’identifiant je ne sais où pour confirmer notre identité. Confirmer notre identité en toute sécurité à l’ère numérique est une tâche complexe et délicate que le commun des mortels ne comprend pas entièrement, si bien qu’il se contente de faire ce qui est rapide et facile, et de vaquer à ses occupations. Si vous avez pris conscience des risques liés à l’envoi d’informations sensibles en ligne, vous êtes en bonne compagnie.
Arrive sur la scène Les Commissionaires, un organisme de sécurité pancanadien à but non lucratif qui est opérationnel depuis 1925. Depuis plus de 15 ans, elle gère ce qui est devenu la plus grande infrastructure de prise d’empreintes digitales au Canada avec plus de 50 bureaux d’un océan à l’autre. Non seulement Les Commissionnaires traitent 150 000 vérifications certifiées de casiers judiciaires par année (ce qui comprend les captures d’empreintes digitales), mais elle offre également des vérifications de noms de casiers judiciaires par l’entremise d’un portail en ligne et une gamme complète de services de vérification des antécédents (crédit, études, antécédents professionnels, références, vérifications des médias
sociaux, et plus encore). Avec un grand nombre d’anciens combattants et d’anciens agents de la GRC employés par Les Commissionnaires, ces derniers connaissent bien les risques liés à la sécurité de l’information et la façon de les atténuer - en particulier lorsqu’il s’agit de la prise d’empreintes digitales et de la vérification des antécédents.
Alors que Les Commissionnaires continuent de se concentrer sur les améliorations à apporter à ses systèmes et processus de prise d’empreintes digitales et de vérification des antécédents, l’organisation a récemment commencé un projet de modernisation informatique de 1,5 million de dollars. Bien que ce plan avait été élaboré bien avant la pandémie, Les Commissionnaires considèrent
l’augmentation sans précédent de l’activité en ligne depuis 2020 comme une validation de la nécessité d’avoir des services plus rapides, plus accessibles et plus mobiles, sans compromettre la sécurité, la confidentialité, la conformité réglementaire et l’exactitude.
« Bon nombre de nos clients nous ont demandé de leur proposer une opération transparente dans laquelle soit nous gérons l’ensemble de leur processus, soit ils gèrent leur propre processus par le biais d’un portail unique », a déclaré Cheryl Fifer, directrice de l’exploitation chez Les Commissionnaires Ottawa.
« Au cours des deux dernières années, nous nous sommes lancés dans une modernisation de notre plateforme
Commissionaires and Bluink Ltd. entre en partenariat pour rendre les vérifications d’antécédents plus simples - et faire de l’usurpation d’identité une chose du passé
Un portefeuille numérique sécurisé pour téléphone intelligent permet aux utilisateurs de contrôler leurs renseignements personnels.
qui différencie nos offres de services sur le marché en étant à l’écoute de l’expérience client qu’ils désirent, mais aussi de leurs préoccupations en matière de confidentialité et de sécurité. »
En raison de la multiplicité des types de vérifications nécessitant différents formulaires et suivant différentes procédures, le filtrage des personnes peut s’avérer une tâche compliquée et onéreuse pour toutes les personnes impliquées. Une partie du processus de modernisation consistait à trouver un moyen de rationaliser le système - une solution qu’ils ont trouvée dans la société Bluink.
« Nous avons découvert ce joyau technique tout à fait par hasard », a déclaré Mme Fifer. « Il s’est avéré que Bluink faisait beaucoup de choses que nous faisions dans le domaine de l’identité électronique. »
Steve Borza est PDG de Bluink, une entreprise technologique spécialisée dans l’application de solutions biométriques aux problèmes d’identité, de cybersécurité et de cryptage.
L’application « eID-Me » de Bluink, basée sur téléphone intelligent, permet aux clients d’être vérifiés, puis leur donne un « portefeuille » numérique sécurisé pour stocker des versions numériques de leurs identifiants, notamment le permis de conduire, le passeport et les d’assurance-maladie
« Notre processus utilise l’apprentissage automatique pour regarder vos documents et comparer votre identifiant à un autoportrait que vous avez pris », a déclaré Borza.
Il s’agit d’une description simple qui contient de nombreuses caractéristiques essentielles que vous trouverez dans l’eID-Me : le consentement de l’utilisateur, la vérification individuelle, une identité décentralisée et la possibilité de posséder et de contrôler vos renseignements personnels plutôt que de les envoyer dans un gouffre en ligne. Le
composant d’apprentissage automatique élimine la nécessité pour une personne – qui pourrait vendre vos informations – d’inspecter physiquement vos documents et de procéder à la vérification. De plus, le processus est pratiquement instantané.
En intégrant la technologie de Bluink à la nouvelle plateforme de Commissionnaires, l’équipe crée une solution qui change la donne pour les clients.
« Lorsque vous considérez comment 90 % des identifiants sont transmis, il est clair qu’il y a un manque important de sensibilisation sur le marché », a déclaré M. Borza. « Quelqu’un numérise son passeport ou son permis de conduire, le joint à un courriel et l’envoie à quelqu’un. C’est assez inquiétant, mais c’est la norme. Le potentiel d’usurpation d’identité est énorme. »
M. Borza estime qu’il appartient à des entreprises comme Bluink et Commissionnaires d’informer le marché sur ces risques.
Si vous avez l’impression que Commissionnaires et son partenaire technologique Bluink sont très passionnés par ce qu’ils font, vous avez raison. Ensemble, ils espèrent atténuer les inconvénients du système traditionnel de vérification des antécédents, un problème qui s’est manifesté tout au long de la pandémie.
« Tout cela était tellement ridicule », a déclaré M. Borza, en repensant à l’arriéré de travailleurs de la santé qui n’ont pas pu commencer à travailler pendant la pandémie parce qu’ils avaient besoin d’une vérification de leurs antécédents.
« Il ne s’agissait pas seulement d’un impact sur une seule personne, mais sur la capacité de notre réseau de soins de santé à fonctionner. Et nous disposions de la technologie nécessaire pour résoudre ce problème ».
La combinaison du portail unique de Commissionnaires avec la technologie eID- de Bluink crée une solution sûre, sécurisée et transparente”, a déclaré Mme Fifer.
M. Borza partage cet avis. « Nous offrons tous deux un service dans le même espace », a-t-il déclaré. « Ce partenariat combine le meilleur de ce que nous pouvons tous deux y contribuer ».
Les consommateurs préoccupés par la sécurité et la confidentialité de leurs renseignements personnels devraient se réjouir que Bluink et Les Commissionnaires se soient retrouvés « dans deux couloirs différents nageant dans la même direction », comme le dit Mme Fifer, au lieu d’être deux navires se croisant dans la nuit.
A certied criminal record check with digital ngerprints is the most reliable standard for screening job applicants.
Commissionaires can meet all your security clearance or pre-employment screening needs: digital ngerprinting, criminal record checks, reference and employment history checks, and credit record checks. For even greater convenience, a mobile service for group and VIP processing is also available.
Thank you for voting us as your #1 CHOICE for digital ngerprinting and background screening!
Q: Quelles tendances suivez-vous dans l’immobilier d’Ottawa en 2023?
Nous observons un certain nombre de tendances. L’une d’entre elles est clairement ce qui se passe sur le marché des espaces de bureaux, en particulier dans le centre-ville. Comme nous le savons tous, nous sommes sortis de la pandémie et tout le monde cherche à savoir à quoi ressemble ce nouveau type de travail hybride. J’aimerais pouvoir dire que cela a été réglé et que ce n’est pas quelque chose que nous surveillons de près, mais c’est clairement quelque chose qui a un impact sur le marché des espaces de bureaux.
L’autre chose que nous observons, c’est que nous sommes un grand propriétaire foncier à Ottawa, avec l’intention de créer des immeubles locatifs spécialisés, et en ce moment, les conditions du marché, tant du côté des capitaux propres que du côté de la dette, sont un peu difficiles. Nous avons traversé une période d’augmentation des coûts de construction due à la chaîne d’approvisionnement et aux (problèmes) de main-d’œuvre, ainsi qu’à une augmentation significative des taux d’intérêt, ce qui a un impact sur le financement de la construction. C’est donc un marché relativement
difficile à exploiter à l’heure actuelle. Nous croyons fermement en Ottawa à long terme et nous pensons qu’il s’agit d’une situation temporaire dans laquelle nous nous trouvons sur le marché. Néanmoins, nous espérions pouvoir lancer un certain nombre de projets à cette période de l’année. Nous travaillons activement pour voir si nous pouvons obtenir une proformative sensée pour commencer des projets, parce que certainement du côté des locations spécialisées, nous voyons une demande significative et un réel déséquilibre entre l’offre et la demande. Il y a une certaine déconnexion sur le marché dont nous espérons tirer profit, très franchement.
Q: Quels sont certains des défis pour les estate sociétés immobilières dans la région d’Ottawa?
Il y a un changement dans la façon dont les personnes utilisent les espaces
de bureaux. J’aimerais pouvoir dire qu’il y a vraiment une seule et même type d’approche, mais c’est un peu n’importe quoi, dans le secteur public comme dans le secteur privé. Les locataires cherchent à relever les défis auxquels ils sont confrontés pour faire revenir les employés et essayer de trouver le bon équilibre entre le fait de faire venir les personnes au bureau et de permettre aux personnes de faire du télétravail. Je pense donc qu’il faudra encore attendre 18 à 24 mois avant que cela ne commence vraiment à prendre forme, quelque chose que nous puissions prédire et mesurer.
Je pense que le marché des espaces de bureaux va être difficile au cours des deux prochaines années. À Ottawa, la situation est un peu exacerbée par le gouvernement fédéral et ce qui se passe en matière de retour au travail, mais je pense que le manque de clarté sur ce que fait le gouvernement fédéral en fait un défi particulier, simplement parce qu’il est un locataire très important sur les marchés d’Ottawa. Je pense que le secteur privé est un peu plus clair en ce qui concerne les attentes en termes de travail hybride et le point de vue de chaque entreprise sur le type d’approche hybride approprié. Nous commençons à voir des locataires du secteur privé prendre des engagements et ils sont plus avancés que le gouvernement fédéral dans ce domaine. Je pense donc que le grand défi pour le marché des espaces de bureaux est l’incertitude... qui a
un impact sur sur les liquidités et cela a un impact sur le flux de trésorerie. Il faut donc être un exploitant très solide pour s’assurer de maximiser le flux de trésorerie de sa propriété, surtout lorsque l’on est exposé au gouvernement fédéral. Je pense donc que le marché des espaces de bureaux va continuer à être confronté à des difficultés.
Du côté des promoteurs, en particulier en ce qui concerne les immeubles locatifs spécialisés, nous constatons un réel décalage, car la demande est énorme, mais l’offre nouvelle n’est pas très importante, compte tenu de l’escalade des coûts et des marges de développement sur les projets. Nous vivons donc une période vraiment étrange en ce qui concerne le développement des locations spécialisées.
Q:Quels sont les les avantages et les opportunités au niveau local?
Je crois fondamentalement que le marché à long terme va connaître une forte demande et je ne pense pas que l’offre sera excédentaire. Je suis très confiant dans notre capacité à reprendre le développement. Je pense simplement qu’il faudra un certain temps, jusqu’à la fin de T3, de T4 et peut-être jusqu’en 2024, avant que les promoteurs ne commencent à reprendre le développement à plein régime. Il y a une rupture sur le marché en ce moment. On s’inquiète beaucoup de ce qui se passe dans ces différents secteurs et dans l’immobilier commercial, à juste titre. Mais si vous comprenez le marché et que vous croyez fermement aux perspectives à long terme, il s’agit probablement d’une très bonne opportunité d’achat. Les valeurs se sont certainement rabaissées, surtout si vous achetez avec moins de dettes et plus de liquidités. Je pense qu’il y a une opportunité d’achat significative et, du côté des promoteurs, pour les immeubles multifamiliaux.
Il y a également une demande refoulée très importante et un manque réel de nouvelles offres et je pense que ceux qui se lancent plus tôt que plus tard seront les bénéficiaires de leur audace lorsque le marché est un peu frileux. Vous devez regarder la tendance à long terme et, si vous y croyez, ce qui est notre cas, vous devez être actif et en profiter. C’est en quelque sorte notre point de vue.
Q: Comment le comportement de vos clients de la région d’Ottawa a-t-il évolué au cours des dernières années ?
Quelles tendances avezvous remarqué de la part des entreprises en ce qui concerne la location, les investissements et le développement?
En ce qui concerne les capitaux propres, qu’il s’agisse d’investisseurs fortunés ou d’investisseurs institutionnels, je dirais qu’en général, ce que nous constatons, c’est que les institutions ont tendance à agir de manière relativement cohérente. Il n’y a pas beaucoup de compensation pour être les premiers et prendre beaucoup de risques. Le marché est perçu comme risqué en ce moment, donc ils lèvent des fonds, mais ils sont très prudents sur la manière dont ils les investissent. Je pense qu’il y a une quantité importante de capitaux institutionnels refoulés qui vont être disponibles et qui restent en quelque sorte sur la touche, adoptant une attitude attentiste.
Ceux qui possèdent des actifs ne paniquent pas et ne vendent pas. Ils savent que la situation va être mouvementée pendant un certain temps, mais ils peuvent faire face à la tempête et ils ne vont pas prendre un coup sur l’évaluation d’un actif parce qu’ils ne sont pas paniqués à l’idée de le vendre. Ils sont patients en ce qui concerne le placement et le rapatriement des capitaux, car les
valeurs sont rabaissées. Ils cherchent donc à saisir les opportunités du côté des du côté des acheteurs et ils cherchent à conclure un accord ; ils sont patients et ne sont pas vendeurs parce que les valorisations sont rabaissées. Les actifs qu’ils vendent peuvent se trouver à l’intérieur d’un fonds fermé et, s’il arrive à sa date d’expiration, ils prolongeront simplement le fonds au lieu de vendre dans un marché baissier.
Il y a beaucoup d’optimisme privé et institutionnel sur les perspectives à long terme pour Ottawa, mais beaucoup d’incertitude à court terme. Personne ne fait vraiment grand-chose en ce moment. Il faut qu’il y ait une très bonne affaire du côté de l’achat et qu’il y ait du capital patient du côté de la vente.
Q: Comment voyez - vous l’avenir de la présence fédérale à Ottawa?
Eh bien, cela a un impact significatif. Vous savez, sans doute qu’ils contrôlent 50 pour cent de l’inventaire du marché et sont donc de loin le plus grand locataire et les marchés évoluent en même temps qu’eux. Ils sont un élément important de ce qui se passe sur les marchés et je ne pense pas qu’ils se rendent service. Le Conseil du Trésor a déclaré que tout le monde devrait revenir deux jours par semaine. Cela ne se produit pas au même degré que celui auquel nous nous attendions lorsque l’annonce du Conseil du Trésor a été faite en mars, nous ne constatons pas une augmentation aussi spectaculaire de l’occupation des bâtiments. Je pense donc que le gouvernement fédéral doit faire preuve de plus de leadership dans ce domaine. Le problème sera résolu avec le temps, mais cela prend plus de temps qu’il ne le faudrait et, par conséquent, le marché des espaces à bureaux d’Ottawa est affecté de manière disproportionnée en raison du manque de clarté de la stratégie du gouvernement fédéral concernant sa politique en matière de son personnel et du travail hybride.
En déclarant que l’ère des travailleurs se rendant au centre-ville cinq jours par semaine « est révolue »,un groupe d’experts en urbanisme a récemment déclaré qu’il était temps pour les chefs d’entreprise et les responsables gouvernementaux d’accepter que le travail hybride est là pour de bon et de concevoir de nouvelles façons d’utiliser les espaces à bureaux vides pour redynamiser le cœur d’Ottawa.
Stephen Willis, chef du service national d’urbanisme de la société d’ingénierie Stantec, a expliqué aux 260 personnes qui ont assisté au City Building Summit de cette année au Centre Shaw que les commerçants du centre-ville ne peuvent plus compter sur un flux constant d’employés de bureau pour stimuler leurs ventes.
« Le trafic piétonnier trois jours par semaine n’est pas suffisant pour les maintenir en activité », a-t-il déclaré.
M. Willis, qui étudie les tendances en matière d’urbanisme dans l’ensemble du pays, a déclaré que les données relatives aux téléphones portables et d’autres métriques suggèrent que le volume de personnes dans les rues du centre-ville canadien sur un jour donné n’est que de 50 % environ de ce qu’il était avant que la pandémie ne déclenche un changement massif en faveur du télétravail.
Mais M. Willis a déclaré que la migration vers d’autres lieux que les bureaux a en fait commencé il y a quelques dizaines d’années. La construction de nouveaux espaces bureaux est en baisse au Canada et aux États-Unis depuis des années, expliquet-il. Pourtant, la plupart des grands centresvilles sont encore « trop dépendants des bureaux », a-t-il ajouté, et les leaders civiques commencent à peine à réfléchir à la manière dont les noyaux urbains peuvent être remodelés pour s’adapter à un monde du travail hybride.
« La valeur réelle des espaces de bureaux est en baisse dans toute l’Amérique du Nord », a déclaré M. Willis, citant des villes comme Washington qui ont perdu des centaines de millions de dollars d’impôts fonciers commerciaux.
« Ce que la pandémie a fait, c’est qu’elle a pris une courbe de tendance à long terme et l’a dopée aux stéroïdes. »
M. Willis et les autres membres du panel - Mary Rowe, présidente-directrice générale de l’Institut urbain du Canada, et Stephan Dery, cadre supérieur de la Société immobilière du Canada, ont déclaré que les centres-villes sont le moteur de l’économie canadienne. Sans la circulation piétonnière dans leurs artères, les communautés ne tarderont pas à s’atrophier et finiront par mourir.
Il a expliqué à son auditoire que la Société immobilière du Canada - une société d’État autofinancée qui achète les propriétés excédentaires du gouvernement fédéral et les réaménage en habitations et en communautés à usage mixte - était très favorable à ce concept et pense que les conversions peuvent être un catalyseur pour le redéveloppement du centre-ville d’Ottawa.
« Je pense que c’est la seule chose que nous puissions faire », a déclaré M. Dery. « La SIC est tout à fait disposée à collaborer avec le gouvernement fédéral pour prendre certains de ces immeubles et les intégrer au marché (de l’habitation) afin de faire (du centre-ville) un endroit dynamique où les personnes désirent vivre et pas seulement venir travailler.»
Bien que plusieurs anciens immeubles de bureaux du centre-ville d’Ottawa aient été transformés en projets résidentiels, les experts immobiliers affirment que de telles conversions sont plus faciles à dire qu’à faire - en partie à cause du coût prohibitif de vider les bureaux et de les reconstruire à partir de zéro. Au cours de la période de questions de l’auditoire, Shawn Hamilton, cadre immobilier local, a suggéré que la SIC vende certaines des propriétés d’espaces de bureaux obsolètes qu’elle acquiert à des promoteurs à des prix remis en échange de retours contrôlés.
« Le sort du pays dépend de l’état de nos villes », a déclaré Mme Rowe. « C’est aussi simple que cela. Si nous n’investissons pas dans nos villes, si nous ne trouvons pas de nouvelles stratégies pour nos villes, l’économie et le tissu social canadiens ne tiendront pas. »
L’une des options les plus discutéesla conversion d’anciens immeubles de bureaux en complexes d’habitationsgagne du terrain dans des villes comme Calgary qui ont connu des turbulences économiques avant même la pandémie, ont indiqué les panélistes.
M. Dery, qui était auparavant responsable du portefeuille de 65 millions de pieds carrés des espaces à bureaux du gouvernement fédéral, a déclaré que les conversions offraient « l’occasion d’une vie » de revigorer des centres-villes comme celui d’Ottawa, qui fonctionnent « de 9 à 5 la plupart du temps ».
M. Hamilton a déclaré que cela aiderait à « réduire les risques » du processus de conversion, le rendant plus attrayant financièrement pour les sociétés immobilières privées « afin que vous puissiez vraiment aider à donner un coup de fouet au développement et contribuer à la construction d’habitations abordables. »
M. Dery ne s’est pas engagé, affirmant que la SIC est « ouverte à chercher d’autres façons de faire », tout en soulignant que l’entreprise est autofinancée et doit rester économiquement « viable ».
Pour sa part, Mme Rowe a exhorté les urbanistes municipaux et les promoteurs immobiliers présents dans l’assistance à ne pas perdre de temps à élaborer de grandes stratégies de développement à long terme.
« La ville doit trouver des moyens de faire plus facilement des choses inhabituelles », a déclaré Mme Rowe. « Vous devez accepter le côté chaotique de la situation et essayer de tempérer votre attente que tout soit prévisible et planifié. Ne sous-estimez pas l’opportunité de rebâtir parcelle, par parcelle, par parcelle.»
« Ne sous-estimez pas la possibilité de simplement rebâtir parcelle, par parcelle par parcelle »
Pour amener votre entreprise à un niveau supérieur, RBC® a des équipes attitrées de directeurs de comptes spécialisés qui connaissent très bien votre marché et votre modèle de gestion.
Mettez à contribution nos conseils spécialisés.
La croissance de votre entreprise commence par une conversation.
Alors que le secteur technologique d’Ottawa a connu des hauts et des bas, le thème récurrent reste le besoin perpétuel de talents de haut niveau. Les appels à attirer les « meilleurs et les plus doués » dans le secteur persistent, que les temps soient bons ou mauvais. Mais assurément, ces appels à l’action doivent être plus nuancés, alors que toutes les régions technologiques dignes de ce nom adopteraient des stratégies similaires.
Pour chaque fuite de cerveaux, il doit y avoir un gain de cerveaux quelque part. Un problème crucial pour l’avenir de la stratégie d’Ottawa en matière de talents technologiques doit donc être l’évaluation de notre position par rapport à d’autres pôles technologiques de premier plan.
Une statistique souvent citée qui place ostensiblement le secteur technologique d’Ottawa sous un jour très favorable est la métrique de la concentration de l’emploi dans le secteur de la technologie. Parfois appelée la « densité technologique »c’est-à-dire le nombre d’employés du secteur de la technologie en pourcentage de l’emploi urbain total - Ottawa se situe à 11,6 %, selon le rapport 2022 North American Scoring Tech Talent de CBRE, ce qui place notre ville devant toutes les régions urbaines nord-américaines visées par cette enquête, y compris San Francisco.
À première vue, ce point de données laisse l’impression que tout va bien dans le secteur technologique local. Mais est-ce le cas ? Un aspect important, mais négligé de ces données est que CBRE comptabilise l’emploi dans le secteur technologique par profession, sans tenir compte du fait que ce talent travaille pour le secteur technologique ou dans des secteurs non technologiques, y compris
le gouvernement. D’après les chiffres de 2022 de CBRE, le nombre total d’emplois dans le secteur technologique à Ottawa semble en effet impressionnant : 81 200. Pourtant, comme l’ont souligné quelques observateurs du secteur technologique d’Ottawa, les chiffres de CBRE divergent considérablement des données sur l’emploi dans le secteur technologique collectées par Statistique Canada.
sont nettement plus importants dans les autres régions urbaines du Canada que dans celle d’Ottawa. Relativement à la croissance nette des emplois dans le secteur de la technologie, des villes comme Toronto, Montréal et Vancouver ont obtenu des taux de croissance impressionnants sur cinq ans (36,5 %, 19,3 % et 47,9 %, respectivement), comparativement à un taux de 1,5 % pour Ottawa.
Une statistique encore plus révélatrice serait de savoir si Ottawa a connu une fuite ou un gain de cerveaux par rapport à d’autres régions. Malheureusement, ce type de données est extrêmement difficile à obtenir. Un indicateur potentiel de l’exode ou du gain de cerveaux serait une enquête sur les récents diplômés en STIM de nos établissements d’enseignement postsecondaire. Si ces données sont collectées, elles n’ont pas encore été rendues disponibles au public. Si les nouveaux diplômés dotés d’aptitudes spécialisées très recherchées quittent effectivement Ottawa pour des pâturages technologiques plus écologiques ailleurs, il s’agirait d’un indicateur supplémentaire de l’état du secteur technologique de la ville.
Selon Statistique Canada, le secteur technologique d’Ottawa comptait en moyenne environ 46 000 employés entre 2016 et 2020. Cet écart suggère une interprétation très différente de la robustesse du secteur technologique d’Ottawa.
Malgré les incohérences de la mesure de la densité technologique, une autre métrique importante mérite d’être prise en compte : comment Ottawa se débrouillet-elle en matière de croissance nette des emplois technologiques par rapport à d’autres villes canadiennes considérées comme des pôles technologiques. À travers cette lentille de données, une autre image émerge.
Même en adoptant la définition étendue de CBRE sur les emplois technologiques, Les gains de maind’œuvre en talents technologiques
Le point de vue le plus perspicace sur ce qu’il faut pour que les régions développent des stratégies efficaces en matière de talents provient peut-être de l’indice annuel de compétitivité mondiale en matière de talents publié par l’INSEAD. Il est surprenant que ce rapport ne fasse l’objet que de peu, voire d’aucune couverture à Ottawa, étant donné que notre ville se classe assez bien dans le classement mondial, dans le quartile supérieur et dans l’une des 17 villes d’Amérique du Nord. Les auteurs de ce rapport soutient que la stratégie d’une région en matière de talents est multidimensionnelle et qu’elle ne se limite pas à « attirer les meilleurs et les plus doués
En cette période de bouleversements, les organisations de développement économique d’Ottawa auraient tout intérêt à adopter les critères de référence pertinents afin de mieux positionner notre région comme un concurrent de premier plan en matière de talents.
Luc Lalande est l’innovateur en résidence du Centre de ressources communautaires de Rideau-Rockcliffe.
Au cours des 12 prochains mois, avez-vous
l’intention de:
CHERCHER DES PARTENARIATS STRATÉGIQUES
n CHERCHER DES PARTENARIATS STRATÉGIQUES
LES PLUS SUSCEPTIBLES:
• Musées, écoles, universités et collèges 86 %
• Sans but lucratif/association 80 %
• Les Arts 80 %
LES MOINS SUSCEPTIBLES:
• Vente au détail 20 %
• Gatineau/Outaouais 33 %
• Sud d’Ottawa 38 %
LANCER UN NOUVEAU PRODUIT OU SERVICE
n LANCER UN NOUVEAU PRODUIT OU SERVICE
LES PLUS SUSCEPTIBLES:
• Technologie 62 %
• Les Arts 60 %
• En mode croissance 59 %
LES MOINS SUSCEPTIBLES:
• Construction 23%
• Services bancaires et financiers 27 %
• Propriétaire/exploitant 3 1%
AGRANDIR
n PERCER DANS UN NOUVEAU MARCHÉ
LES PLUS SUSCEPTIBLES:
• Musées, écoles, universités et collèges 57 %
• Santé et bien-être 52 %
• Une entreprise en démarrage 51 %
LES MOINS SUSCEPTIBLES:
• Sur le point d’être transféré ou vendu 15 %
• Secteurs manufacturier et logistique 17 %
• Vente au détail 18 %
Les procédures actuelles de zonage et d’octroi de permis de la ville d’Ottawa constituent des obstacles pour un certain nombre de raisons. Premièrement, il faut plusieurs mois (parfois des années) pour qu’un projet soit approuvé. Cela peut prendre encore plus de temps si un changement de zonage est nécessaire. Deuxièmement, tout promoteur doit faire face à des coûts importants, dont la plupart sont engagés avant de commencer la construction et sans aucune garantie de succès. Troisièmement, à l’heure actuelle, la ville et la province ne sont pas sur la même longueur d’onde, en particulier en ce qui concerne le développement résidentiel.
— TIM THOMAS, PERLEY-ROBERTSON, HILL & MCDOUGALL LLP17% 14% 19%
n RECHERCHER UN FINANCEMENT PAR EMPRUNT OU PAR ACTION
LES PLUS SUSCEPTIBLES:
• Une entreprise en démarrage 49%
• Aérospatiale et défense 43 %
• Les Arts 40%
LES MOINS SUSCEPTIBLES:
• Musées, écoles, universités et collèges 7 %
• Est d’Ottawa 8 %
• Sur le point d’être transféré ou vendu 8 %
n AGRANDIR VOS LOCAUX OU VOS INSTALLATIONS
LES PLUS SUSCEPTIBLES:
• Aérospatiale et défense 71 %
• Construction 36 %
• Secteurs manufacturier et
• logistique 33 %
LES MOINS SUSCEPTIBLES:
• Services professionnels 5%
• Propriétaire/exploitant 6 %
• Croissance en baisse 7 %
n ACQUIRE ANOTHER COMPANY
LES PLUS SUSCEPTIBLES:
• Aérospatiale et défense 57 %
• Gatineau/Outaouais 42 %
• 21 à 50 employés 29 %
LES MOINS SUSCEPTIBLES:
• Propriétaire/exploitant 3 %
• 6 à 10 employés 3 %
• Est d’Ottawa 6 %
Comment votre entreprise a-t-elle intégré les deux problématiques suivantes dans ses objectifs commerciaux?
DURABILITÉ ET CLIMAT RÉSULTATS GLOBAUX EN MATIÈRE DE CHANGEMENT
36% 40% 24%
n PRINCIPAUX RÉPONDANTS: NOUS AVONS IDENTIFIÉ LES AVANTAGES ET PENSONS QU’ILS SONT ESSENTIELS À NOTRE RÉUSSITE
• Secteurs manufacturier etlogistique
61 %
• Voyages, tourisme et hébergement
58 %
• Musées, écoles, universités etcollèges
50 %
n PRINCIPAUX RÉPONDANTS: NOUS SOMMES EN TRAIN DE COMPRENDRE COMMENT CELA S’APPLIQUE À NOTRE ACTIVITÉ
• Construction 68 %
• En baisse de croissance 52 %
• Les Arts 50 %Arts 50%
n PRINCIPAUX RÉPONDANTS : NOUS N’Y AVONS PAS RÉFLÉCHI
• Sur le point d’être transférée ou vendue 46 %
• Propriétaire/exploitant 39 %
• Virtuel uniquement 37 %
objectif et leurs valeurs.
À la question « Comment votre entreprise a-t-elle intégré la durabilité et le changement climatique dans ses objectifs commerciaux ? » posée dans le cadre de l’Enquête de Welch LLP de 2023 sur la croissance des affaires et des entreprises, les propriétaires d’entreprises d’Ottawa ont fait part de quelques points de vue intéressants.
Vingt-quatre pour cent des entreprises n’y avaient pas réfléchi, tandis que 40 % ont admis qu’elles commençaient tout juste à comprendre comment ces questions s’appliquaient
à leur entreprise. Environ un tiers des répondants ont reconnu qu’il était important de lancer rapidement la démarche « écologique » ; 36 % ont déclaré en avoir identifié les avantages et pensent qu’elle est essentielle à la réussite future.
Que peut donc faire une organisation ? Il faut reconnaître que le changement ne se fera pas du jour au lendemain. Pour de nombreuses entreprises, se préparer à un avenir carboneutre peut impliquer de revoir leur stratégie de croissance, leur
C’est ainsi que Level Six, une entreprise de plein air basée à Ottawa, voit les choses. L’organisation s’efforce de redéfinir et de repenser la façon dont le matériel de pagayage est fabriqué et prolonger le cycle de vie de ses produits. Devenir plus écologique est un élément central de l’image de marque.
Stig Larsson, PDG de Level Six, appuie l’objectif d’avoir (à terme) 100 pour cent de ses vêtements fabriqués à partir de tissus recyclés. Cette année, l’entreprise a pour objectif d’éliminer l’utilisation de tout emballage non renouvelable dans ses produits.
« Vous (pouvez désirer) chercher dans la stratégie et les valeurs de votre entreprise pour vous assurer que vous faites tout ce qui est en votre pouvoir pour l’aider à devenir respectueuse de
Des entreprises locales font part de certaines de leurs démarches en vue d’atteindre l’objectif carboneutre.
RÉSULTATS GLOBAUX EN MATIÈRE DE DIVERSITÉ ET D’INCLUSION
n NOUS AVONS IDENTIFIÉ LES AVANTAGES ET PENSONS QU’ILS SONT ESSENTIELS À NOTRE RÉUSSITE
n NOUS SOMMES EN TRAIN DE COMPRENDRE COMMENT CELA S’APPLIQUE À NOTRE ACTIVITÉ
n NOUS N’Y AVONS PAS RÉFLÉCHI
62% 25% 14%
n PRINCIPAUX RÉPONDANTS: NOUS AVONS IDENTIFIÉ LES AVANTAGES ET PENSONS QU’ILS SONT ESSENTIELS À NOTRE RÉUSSITE
• Musées, écoles, universités et collèges 93%
• Les Arts 90%
• 150+ employés 81%
l’environnement ... que vous prenez des décisions commerciales pour que vos employés, vos clients et la communauté puissent compter sur vous sans se soucier de leur futur, » explique M. Larsson.
À partir de là, les entreprises - et leurs dirigeants - peuvent avoir intérêt à rechercher les connaissances, les conseils et le soutien d’entreprises partageant les mêmes idées et d’autres parties prenantes, y compris les investisseurs et les employés, qui sont enclins à se préoccuper des répercussions du changement climatique et qui peuvent identifier les initiatives qui pourraient être les plus efficaces pour l’entreprise.
Des organisations comme Green Economy Canada, par exemple, proposent un camp d’entraînement à l’action climatique pour aider les petites et moyennes entreprises à se
n PRINCIPAUX RÉPONDANTS: NOUS SOMMES EN TRAIN DE COMPRENDRE COMMENT CELA S’APPLIQUE À NOTRE ACTIVITÉ
• Gatineau/Outaouais 67%
• Secteurs manufacturier et logistique 50%
• Une entreprise en démarrage 46%
familiariser avec leur empreinte carbone et avec les arguments commerciaux en faveur de la réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre. des solutions technologiques qui aident à préserver l’écosystème naturel en fournissant 100 millions de dollars d’ici à 2025 pour soutenir les organisations qui tirent parti de la technologie et des capacités d’innovation pour résoudre des problèmes environnementaux urgents. Parmi les exemples, citons le programme de rénovation des bâtiments commerciaux du Fonds d’action climatique d’Ottawa et l’étude de Sentinelle Outaouais sur la santé de la rivière des Outaouais.
Les propriétaires d’entreprise peuvent également commencer à sensibiliser leurs consommateurs, leurs partenaires et leurs fournisseurs à leurs objectifs en matière de climat.
C’est ce que Bushbalm Skincare fait
n PRINCIPAUX RÉPONDANTS: NOUS N’Y AVONS PAS RÉFLÉCHI
• Sur le point d’être transférée ou vendue 46 %
• Propriétaire/exploitant 33%
• Services bancaires et financiers 27%
activement avec ses clients. « Nous les informons sur comment recycler nos produits à la fois sur les pages des produits et par le biais d’histoires sociales », note Tim Burns, cofondateur et directeur de l’exploitation de l’entreprise. L’organisation basée à Ottawa s’efforce également de faire des choix intentionnels sur les plastiques qu’elle utilise avec ses fournisseurs. « Dans un secteur traditionnellement connu pour sa quantité de déchets, nous continuons à chercher des moyens de nous améliorer », explique Tim Burns.
En fin de compte, créer une organisation carboneutre ne se fera pas du jour au lendemain, et il est donc important qu’une entreprise commence à revoir ses pratiques le plus tôt possible.
— Justin Schurman est vice-président régional des services financiers aux entreprises chez RBC.
Communications unifiées
Réseaux gérés
Sécurité de réseau
Internet d’a aires
SD-WAN
Centre de contact en nuage •
Voix sur IP
Routage direct pour Microsoft Teams et plus encore!
Nos partenaires technologiques
Un seul partenaire pour tous vos besoins technologiques
Quel est le secteur d’activité de votre organisation?
Combien d’employés compte votre organisation?
Où votre entreprise est-elle principalement située dans la région? STADE
Comment décririez-vous votre entreprise?
BILINGUISME
Quelle est l’importance du bilinguisme des employés (anglais/français) pour l’exploitation de votre entreprise?
Lors du recrutement et de l’intégration de nouveaux employés, quels types de vérifications d’antécédents effectuez-vous ou votre employeur effectue-t-il?
NOM ET DATE DE NAISSANCE SUR LA BASE D’UNE VÉRIFICATION DU CASIER JUDICIAIRE (EN LIGNE OU EN PERSONNE). VÉRIFICATION DE LA SOLVABILITÉ
Le Ottawa Business Journal est la source privilégiée de nouvelles et d’informations sur les entreprises locales.
L’OBJ tient les dirigeants informés et connectés. Il examine les problèmes clés, reconnaît les réussites et incite les entrepreneurs à aller plus loin.
OBJ Insider est un nouveau programme d’abonnement qui vous permet d’accéder à du contenu en ligne de qualité supérieure et à d’autres avantages. De plus, comme l’OBJ est une entreprise détenue et exploitée localement, vous soutenez également le journalisme indépendant.
• Accès immédiat à tous les contenus réservés aux initiés sur le site web de l’OBJ.
• Quatre numéros par an de l’OBJ envoyés par la poste à votre adresse, ainsi qu’un accès numérique.
• Envoi par la poste du « Book of Lists » à votre adresse, avec accès numérique.
• L’enquête Welch sur la croissance des affaires et des entreprises, envoyée à votre adresse, ainsi qu’un accès numérique.
• Un rabais sur l’inscription à des événements spéciaux en personne.
MERCI À NOS COMMANDITAIRES SUPPORTEURS
MERCI À NOS PARTENAIRES
Comment votre entreprise se situe-t-elle par rapport aux autres?
Contactez-nous pour en savoir plus.
Vous désirez participer à la prochaine édition de cette enquête sur la croissance des affaires et des entreprises d’Ottawa?
Contactez-nous à l’adresse suivante : sales@obj.ca
Suivez-nous sur Twitter à #OBGS
© 2023 Ottawa Business Journal. Cette publication contient des informations considérées comme exactes au moment de l’impression. Toutefois, l’éditeur n’est pas responsable des erreurs ou omissions qui pourraient survenir. Toute reproduction sous quelque forme que ce soit est interdite sans l’autorisation écrite de l’éditeur.