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CULTURE – Rolex : Mentor et Protégé, l’art de la transmission

Rolex

MENTOR ET PROTÉGÉ,

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L’ART DE LA TRANSMISSION

Favoriser l’essor de la culture dans le monde, telle est l’ambition de Rolex qui a créé il y a 17 ans un programme de mentorat permettant à de jeunes artistes talentueux de collaborer avec de grandes figures dans leur discipline.

Le rayonnement de la culture comme cheval de bataille

Lancé en 2002, le Programme Rolex de mentorat artistique fut créé dans l’optique de promouvoir la culture à l’échelle internationale. Cette initiative philanthropique signe la collaboration créative entre un maître dans sa discipline et un jeune artiste débordant de talent. L’objectif ? Permettre au protégé d’apprendre et de perfectionner son art au contact d’un mentor. Toujours apte à soutenir l’excellence individuelle, la Maison horlogère suisse est à l’initiative de duos dans les domaines de la danse, du cinéma, de la littérature, de la musique, de l’art dramatique, des arts visuels et de l’architecture. Plus qu’une simple rencontre, le programme constitue un dialogue enrichissant entre des artistes d’âge et d’horizon différents, et favorise par la même occasion l’idée de transmission. Depuis sa création, plus 1 100 artistes provenant de 105 pays ont été proposés, 123 créateurs de premier plan y ont pris part en tant que conseillers et 253 personnalités du monde des arts ont identifié de jeunes artistes et sélectionné les finalistes. Une cinquantaine d’artistes influents du monde entier sont quant à eux devenus mentors.

Le Programme de mentorat de Rolex signe l’étroite collaboration entre un jeune artiste et un maître dans sa discipline.

Sir David Adjaye, mentor en architecture, avec sa protégée Mariam Kamara.

À chaque mentor, son protégé

Toujours apte à soutenir l’excellence individuelle, la Maison horlogère suisse est à l’initiative de duos dans les domaines de la danse, du cinéma, de la littérature, de la musique, de l’art dramatique, des arts visuels et de l’architecture.

Le mentorat, une pratique ancestrale

Le concept de mentorat existe depuis l’Antiquité grecque. À l’époque, la collaboration entre un maître et un disciple était commune afin de permettre à ce dernier d’apprendre et d’exploiter son potentiel artistique. Un temps tombée dans l’oubli, la pratique a connu un regain d’intérêt dans d’autres univers comme les affaires ou l’éducation. Aujourd’hui, Rolex réinvente le mentorat dans les arts avec son programme permettant aux protégés de bénéficier d’un contact privilégié avec des artistes de renom désireux de partager leur savoir. C’est un Conseil - dont les membres sont d’éminents artistes et professionnels du domaine – qui, tous les deux ans, dresse une liste de mentors potentiels. Une fois leur participation confirmée, les mentors établissent avec Rolex le profil du protégé avec lequel ils souhaiteraient collaborer. S’ensuit une période de sélections lors de laquelle des comités se réunissent pour étudier les candidatures des possibles protégés et sélectionner trois finalistes. Après une rencontre organisée par la Maison horlogère entre les finalistes et le mentor, ce dernier choisit son protégé. Dans le cadre du mentorat, les mentors et les protégés doivent au minimum passer six semaines ensemble. À l’issue du programme, Rolex s’engage à rester en contact avec les protégés et à participer au rayonnement de leur travail.

Le cru 2019

Cette année, Rolex a dévoilé une nouvelle organisation du programme incluant l’ajout d’une discipline et la présentation de domaines en alternance. Ainsi, pour la saison 2018-2019, les mentorats concernent l’architecture, la danse, la littérature et la musique quand celle de 2020-2021 sera dédiée au cinéma, à l’art dramatique, aux arts visuels et à un huitième art. Lors de la dernière édition, les artistes de renom Sir David Adjaye (architecture), Zakir Hussain (musique), Crystal Pite (danse) et Colm Tóibín (littérature) ont choisi de travailler respectivement avec les jeunes talents Mariam Kamara, Marcus Gilmore, Khoudia Touré et Colin Barrett.

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