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EN RAFALE
Distinguer la démence de l’Alzheimer
Une nouvelle forme de démence ressemble à s’y méprendre à la maladie d’Alzheimer, soutient la Dre Julie Schneider, neuropathologiste au Rush University Medical Center de Chicago. Il est actuellement impossible de savoir combien de personnes en seraient atteintes, car seule une autopsie peut détecter la protéine qui en serait responsable. Toutefois, le Dr Peter Nelson, de l’Université du Kentucky, est convaincu que ce nombre est très élevé. Les recherches se poursuivront, car un diagnostic précis permettrait d’avoir recours à la médication la plus appropriée dans chaque cas.
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K Source
Santé numérique : lignes directrices de l’OMS
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a publié en avril dernier ses recommandations sur dix manières auxquelles les pays peuvent recourir pour améliorer la santé de leur population et lui offrir les services essentiels à l’aide de la technologie numérique, que ce soit par ordinateur, tablette ou téléphone portable. La Dre Soumya Swaminathan, scientifque en chef a l’OMS, précise cependant que « si l’on veut intégrer durablement les technologies numériques dans les systèmes de santé, il faut pouvoir prouver que, par rapport aux moyens habituels de prestation de services de santé, elles apportent des améliorations à long terme ».
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À
bas les batailles au hockey !
Selon le Dr Dave Ellemberg, une fois sur trois, la commotion cérébrale n’est pas un accident, mais le fruit d’un geste comme on en voit encore trop souvent au hockey. Ce neuropsychologue et professeur titulaire au Département de kinésiologie de l’Université de Montréal est catégorique : les bagarres n’ont aucun sens et il faut les abolir pour préserver la santé et la sécurité des joueurs. Par ailleurs, inquiet du message envoyé aux jeunes lorsque des hockeyeurs professionnels se bagarrent, il souhaite que ceux qui donnent des coups sournois soient plus sévèrement punis.
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La césarienne n’a rien de banal
L’accouchement par césarienne présenterait un risque plus élevé de complications graves pour la mère que l’accouchement par voie vaginale, que l’intervention chirurgicale soit pratiquée avant ou pendant le travail. C’est ce qu’affrment des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et de trois universités parisiennes, dont les travaux ont été publiés dans le Canadian Medical Association Journal L’équipe a comparé les dossiers de 1 444 femmes ayant développé des complications graves après un accouchement – des hémorragies, le plus souvent – avec ceux de 3 464 femmes dont l’accouchement n’a pas été suivi de complications. Les résultats sont particulièrement signifcatifs chez les femmes âgées de 35 ans et plus.
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Triage à l’urgence : nouvelles
Lignes Directrices
Le Collège des médecins du Québec (CMQ) et l’Ordre des infrmières et infrmiers du Québec (OIIQ) viennent de publier la deuxième édition de leurs lignes directrices sur le triage à l’urgence, un document par ailleurs axé sur la collaboration interprofessionnelle. Bien que le triage soit sous la responsabilité de l’infrmière, il ne saurait être effectué sans la collaboration d’autres professionnels, dont les médecins. Le CMQ et l’OIIQ estiment qu’une mise à jour des lignes directrices s’imposait, compte tenu de l’évolution de la pratique dans les salles d’urgence, des connaissances en la matière et des récentes publications sur le triage.
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