Livret "Gauguin l'alchimiste" - Quelle Histoire / Grand Palais - RMN

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LIVRET JEUNESSE

Paul Gauguin - L’alchimiste -


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1. La fabrique des images

L’artiste que tu vas découvrir aujourd’hui s’appelle Paul Gauguin (1848-1903). L’exposition s’intitule « Gauguin l’alchimiste ».

Utilise le plan reproduit à la fin de ce livret pour te repérer dans l’exposition.

Gauguin l’alchimiste Ce mot évoque ces hommes qui pratiquaient l’alchimie, c’est-à-dire l’art de transmuter le plomb en or. La métamorphose d’un métal commun,

gris et lourd en un autre rare, précieux, qui ne rouille pas. Gauguin, ici dessiné par Pissarro (n° 1), transforme « la matière brute de l’arbre en sculpture.  »

Camille Pissarro, Paul Gauguin travaillant sur Dame en promenade ou La petite parisienne (Sheet 22 verso of Paul Gauguin’s sketchbook), 1880, craie noire sur papier, 23,3 x 29,7 cm, Stockholm, Nationalmuseum © Nationalmuseum, Stockholm.

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Des rêves de voyages

Le code secret

En langage marquisien, les îles Marquises sont nommées « Fenua Enata », barre les noms des différentes îles de la liste et tu découvriras la traduction de « Fenua Enata ».

Toute sa vie, Paul Gauguin ne cessera de voyager, d’être attiré par des îles paradisiaques. Cette attirance lui vient de sa petite enfance, passée au Pérou, dans la famille de sa mère. Et de ses années de marin. Il embarque dès l’âge de 17 ans pour de grandes navigations sur les mers du Sud. Il atteint le Brésil, passe par le détroit de Magellan et découvre, pour la première fois, Tahiti et les îles de la Polynésie française.

La Terre des

Noms à retr o

uver :

Motu O ne Fatu’Uk Hatuta u ’a Hiva’oa Eiao Tahuata Hatu Iti Moho Ta Nuku H ni iva Fatu Iva Ua Huk a M otu’Na Ua Pov o

Les différentes étapes des voyages de Gauguin en Amérique du Sud et dans le Pacifique Réponse : la Terre des Hommes

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Pérou

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Martinique

Gauguin essaiera toutes sortes de techniques artistiques : peinture, dessin, gravure, sculpture, céramique, comme tu vas pouvoir t’en rendre compte. Mais avant de devenir un artiste,

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Les Marquises

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Gauguin a travaillé jusqu’à l’âge de 35 ans environ dans la banque. Il gagnait correctement sa vie et menait une existence confortable avec sa femme et ses cinq enfants.

Brésil

Tahiti

Chili

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Détroit de Magellan

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Cap Horn

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Artiste sur le tard ...

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Regarde bien les deux toiles de Pissarro et Gauguin. Elles ont le même sujet mais sont assez différentes. Relie à Pissarro et/ou à Gauguin chaque proposition :

Et avec Edgar Degas Toujours dans la même salle, tu peux voir un célèbre tableau d’Edgar Degas, qui représente des danseuses à l’Opéra (n° 4). Cet artiste est fasciné par le monde de la danse et a suivi plusieurs années les jeunes femmes pendant les répétitions, dans les coulisses et jusqu’aux représentations. Il en tirera des dessins et des sculptures. Ces deux artistes, Pissarro et Degas, appartiennent au mouvement « impressionniste » qui se caractérise par un style rapide, traduisant la lumière et le rythme de la vie moderne. Gauguin s’en inspire au début de sa carrière.

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Edgar Degas, Répétition d’un ballet sur la scène, 1874, huile sur toile, 65 x 81 cm, Paris, musée d’Orsay © Musée d’Orsay dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt.

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Camille Pissarro, La Bergère, dit aussi, Jeune fille à la baguette ; paysanne assise, 1881,huile sur toile, 81 x 64 cm, Paris, musée d’Orsay © Photo RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / René-Gabriel Ojéda.

Gauguin commence à s’intéresser à la peinture lorsqu’il fait la rencontre de Camille Pissarro à Paris. Les deux hommes se découvrent des points communs : ils ont tous les deux grandi à l’étranger, Gauguin au Pérou, Pissarro dans les îles Vierges. Dans cette salle, tu peux admirer deux tableaux, sur le thème de la campagne : La Bergère (n° 2) de Camille Pissarro et La Bergère bretonne (n° 3) de Paul Gauguin.

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Paul Gauguin, La Bergère bretonne, 1886, huile sur toile, 60,4 x 73,3 cm, Royaume-Uni, Newcastleupon- Tyne, Laing Art Gallery © Tyne & Wear Archives & Museums / Bridgeman Images.

Sa rencontre avec Camille Pissarro

On voit le ciel, une maison et un homme à l’arrière-plan La bergère est assise Le troupeau broute ou se repose dans l’herbe

Les feuilles des arbres se teintent d’oranger, c’est bientôt l’automne 6

La bergère tient une baguette

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Un exemple de réalisation en matière de céramique

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En voici un bel exemplaire avec ce Vase en forme de souche (n° 5), qui fait penser à une tête grimaçante, comme si l’esprit de l’arbre s’animait et faisait les gros yeux !

À ton avis, pour travailler la céramique on utilise : a. De la pâte à modeler b. De l’argile c. Du plâtre

Réponse : de l’argile

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Paul Gauguin, Vase en forme de souche, vers 1887-1888, grès, décor d’engobes colorés et d’oxydes métalliques noirs, rehauts glaçurés et dorés, 22 x 13 cm, Paris, musée d’Orsay © Musée d’Orsay, dist. RMN-Grand Palais/ Patrice Schmidt.

Un chef-d’œuvre ! Dans cette salle, tu peux aussi admirer les tableaux que Gauguin peint en Bretagne. Dans ce portait mystérieux (n° 6), on découvre une jeune femme en costume traditionnel. Le peintre l’a inscrite dans un cercle qui semble flotter devant un papier peint fleuri. À gauche, on peut voir une statuette comme on en trouve au Pérou où a vécu Gauguin enfant, souviens-toi !

2. Le grand atelier

Gauguin se met ensuite très vite à la céramique. Pour l’artiste, c’est important de pouvoir malaxer la matière, « communiquer au vase la vie d’une figure », écrira-t-il.

Degas achètera ce tableau deux ans plus tard, car pour lui, c’est un vrai chefd’œuvre ! Paul Gauguin, La Belle Angèle, 1889, huile sur toile, 92 x 73 cm, Paris, musée d’Orsay © Photo RMN-Grand Palais (musée d’Orsay)/ image RMN-GP.

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Portrait de l’artiste au Christ jaune Voici une toile majeure du travail de Gauguin : Portrait de l’artiste au Christ jaune (1890) (n° 7). À l’arrière-plan, tu distingues un Christ à la peau jaune. Il a le visage de l’artiste. Cette peinture marque un moment difficile dans sa vie : son œuvre n’est pas reconnue, il fait de nombreuses démarches pour s’installer à Tahiti, mais sans sa femme et ses enfants partis vivre au Danemark, dans leur famille maternelle. 7

Observe bien la toile et cherche autour de toi la sculpture qui y est représentée. Alors, tu as trouvé ? Il s’agit de : • Pot autoportrait en forme de tête de grotesque • Vase à deux embouchures • Momie péruvienne Réponse : Pot autoportrait en forme de tête de grotesque. Ce vase est en fait un portrait de Gauguin lui-même, dans lequel il grave sa souffrance.

Paul Gauguin, Autoportrait au Christ jaune, 1890-1891, huile sur toile, 38 x 46 cm, Paris, musée d’Orsay © Photo RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / René-Gabriel Ojéda.

Le travail de la gravure

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Une autre facette de cet artiste : le travail de la gravure. Tu en vois un exemple intéressant (n° 8). La scène est gravée sur une planche de métal, du zinc. Les parties en creux sont encrées en noir ou en couleur, puis imprimées sous pression sur une feuille de papier.

Similitudes

3. Du sujet au symbole

Partir, partir toujours plus loin. Gauguin veut vivre de nouvelles expériences et découvrir ce qu’il ignore de lui-même.

Gauguin aime faire dialoguer les techniques et répéter les mêmes personnages d’une œuvre à l’autre. Regarde bien Soyez mystérieuses (n° 9) qui représente au centre, une jeune femme de dos, jouant dans les vagues. Tu retrouves le même personnage dans une autre création.

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Paul Gauguin, Léda, couverture de la « Suite Volpini », 1889, gravure (zincographie imprimée en noir et blanc avec rehauts de couleurs sur papier vélin jaune canari), 50 x 65 cm, États-Unis, Chicago, The Art Institute of Chicago © The Art Institute of Chicago. Paul Gauguin, Dans les vagues (Ondine I), 1889, huile sur toile, 92,5 x 72,4 cm, Etats-Unis, Cleveland, The Cleveland Museum of Art © The Cleveland Museum of Art. Paul Gauguin, Soyez mystérieuses, 1890, bas-relief en bois de tilleul polychrome, 73 x 95 x 5 cm, Paris, musée d’Orsay © Photo RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Tony Querrec.

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4. L’imagier des tropiques Gauguin habite plusieurs années en Bretagne, dans le village de Pont-Aven, avant de s’embarquer pour les îles de Polynésie.

L’école de Pont-Aven Ce n’est pas une école comme la tienne, pour les enfants, mais un grand atelier pour les artistes. Très attaché à cette région, Gauguin écrira : « J’aime la Bretagne, j’y

trouve le sauvage, le primitif.  » Il y admire la vie simple, rustique, et l’attachement aux croyances traditionnelles très anciennes.

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Paul Gauguin, Femmes de Tahiti ou Sur la plage, 1891, huile sur toile, 69 x 91 cm, Paris, musée d’Orsay © Photo RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski.

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Et puis, voici une salle consacrée à son livre Noa Noa, témoignage artistique de ces années tahitiennes entre 1891 premier voyage à Tahiti, en 1893 il rentre en France, puis repart pour Tahiti en 1895. C’est un mélange de textes, d’aquarelles, de gravures sur bois et de photographies, dont tu peux admirer quelques extraits ici (n°13 et n°14). Cet ouvrage « sera très utile pour faire comprendre ma peinture », écrit-il à sa femme. Noa Noa signifie en tahitien « odorant », « parfumé ». Tu remarqueras que Gauguin donne souvent un titre tahitien à ses tableaux, il aime la sonorité et le mystère que provoque cette langue, bien différente de la nôtre : il y a 5 voyelles (A E I O U) mais seulement 8 consonnes (F H M N P R T V) – alors que l’alphabet français compte 6 voyelles et 20 consonnes !

Paul Gauguin, Noa Noa (texte manuscrit ; motif décoratif de Polynésie), 1895, dessin et aquarelle, 31,5 x 23,2 cm, Paris, musée d’Orsay, conservé au musée du Louvre © Photo RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski.

Mais c’est bien loin de la Bretagne, à Tahiti puis aux îles Marquises, en Polynésie française, qu’il espère trouver vraiment ce qu’il cherche : la vie loin de la civilisation européenne moderne. Il y découvre le quotidien tranquille des femmes (n°11 et n°12). Il va les peindre près de la rivière dans la forêt avec un chien ou sur la plage. Il va vivre avec l’une d’entre elles, Teha’amana.

Noa Noa

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Paul Gauguin, Couple ; femme tahitienne ; couples dans la nature (Noa Noa), 1895, dessin et aquarelle, 31,5 x 23,2 cm, Paris, musée d’Orsay, conservé au musée du Louvre © Photo RMNGrand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski.

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Paul Gauguin, Arearea (Joyeusetés), 1892, huile sur toile, 73 x 94 cm, Paris, musée d’Orsay © Photo RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski.

Dans les îles

Le jeu du labyrinthe Aide Gauguin à retrouver son

tube de peinture !

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Le jeu du rébus Quel est le mot tahitien pour dire « femme » ? présent. Mon premier est le verbe aller à la 3 personne du singulier du e Mon deuxième est la 9 lettre de l’alphabet. Mon troisième est synonyme de venir au monde.

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e

Réponse : chemin n° 3

Réponse : Va-i-Né (vahiné)

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5. Mythes et réinventions Dans ces îles, Gauguin s’immerge dans la culture locale, se mêle aux habitants, comme tu l’as vu, il crée, invente…

Croyances et légendes Il découvre les mœurs, les croyances et les légendes des populations, les Maoris. Il va peindre et sculpter l’âme des morts, les dieux et les déesses, les lieux

religieux. Mahana no atua (Le jour de Dieu n°16) entraîne Gauguin loin de la civilisation à laquelle il était accoutumé et le plonge dans un véritable paradis.

Paul Gauguin, Mahana no atua (Le jour de Dieu), 1894, huile sur toile, 68,3 x 91,5 cm, États-Unis, Chicago, The Art Institute of Chicago © The Art Institute of Chicago.

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Il sculpte cette Idole à la coquille (n°15), dont on connaît enfin – et c’est un scoop - le nom original : Tii à la coquille qui désigne une figure intermédiaire entre les hommes et les dieux. La statue est taillée dans un bois local, le toa, surnommé « le bois de fer ». Gauguin utilise aussi une mâchoire (appelée dent pharyngienne) de poisson-perroquet et un coquillage.

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Paul Gauguin, Oviri, 1894, grès cérame, 75 x 19 x 27 cm, Paris, musée d’Orsay © Photo RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski.

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Paul Gauguin, Tii à la coquille, dit aussi, Idole à la coquille, 1892, bois de toa (bois de fer), coquille de Meleagris margaritifera, dent pharyngienne de poisson-perroquet, 34,4 x 14,8 x 18,5 cm, Paris, musée d’Orsay © Photo RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Gérard Blot.

Idole à la coquille

La déesse Oviri Oviri signifie « Sauvage ». Cette statue (n°17) en terre cuite (le grès) représente la déesse debout sur la dépouille d’une louve. Une copie en bronze de cette œuvre a été placée sur la tombe de Gauguin des années plus tard.

Le jeu des 7 erreurs

Retrouve les 7 erreurs entre ces deux totems

Réponse : bouche, col, bracelets, socle, coquillage, main, morceau

de sculpture à gauche

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L’inspiration à travers les lieux sacrés

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Ce tableau (n°18) représente un lieu sacré pour les Maoris,c’est pour cela qu’il est entouré d’une clôture délicatement sculptée. Près du sommet de la colline, on distingue une statue de divinité. Paul Gauguin, La Montagne sacrée (Parahi Te Marae), 1894, huile sur toile, 66 x 88 cm, États-Unis, Philadelphie, Philadelphia Museum of Art © Philadelphia Museum of Art.

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Paul Gauguin, La Maison du Jouir, plinthe droite « Soyez amoureuses et vous serez heureuses », fin 1901, bois de séquoia, 45 x 204,5 x 2,2 cm, Paris, musée d’Orsay © Photo RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / René-Gabriel Ojéda.

La Maison du jouir Pour terminer cette exposition, tu vas découvrir la Maison du Jouir, construite par Gauguin aux îles Marquises. Cette maison, dont il a sculpté le décor autour de la porte d’entrée en bois de séquoia que tu peux admirer ici (n°19), est entourée d’un jardin qui embaume de fleurs tropicales, tels les lys blancs et les magnolias roses.

Il écrit à sa femme : « Là, je pourrai, au silence des belles nuits tropicales, écouter la douce musique murmurant des mouvements de mon cœur en harmonie amoureuse avec les êtres mystérieux de mon entourage. Libre enfin, sans souci d’argent et pourrai aimer, chanter et mourir. » Jouir enfin de la vie, comme le nom qu’il a donné à cette maison ! C’est dans ce cadre enchanteur que Gauguin meurt le 8 mai 1903.

6. En son décor

La Polynésie n’offre pas que des paysages de plages et Gauguin aime aussi représenter la forêt et la montagne, cela l’aide à surmonter les difficultés qu’il rencontre dans sa vie personnelle. 21


Une inspiration pour de nombreux artistes

Parcours de l’exposition

« L’alchimiste » a influencé de nombreux artistes, notamment Henri Matisse et Pablo Picasso. Le premier découvre l’œuvre tahitienne de Gauguin en 1905 et se montre attiré par l’utilisation qu’il fait de la couleur et des formes. Le second, fasciné par les idées artistiques que Gauguin expose dans son livre Noa Noa, s’inspirera, tout au long de sa vie, de ses sculptures et de ses toiles.

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Ce bas-relief de Matisse (n° 20) rappelle une œuvre sculptée de Gauguin que tu as observée plus tôt dans le parcours : • La Belle Angèle (p.  9) • Soyez mystérieuses (p.  11) • Oviri (p. 19)

Réponse : Soyez mystérieuses

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Henri Matisse, Nu de dos, deuxième état, 1913, bronze, 1,88 x 1,16 x 0,14 m, Paris, Centre Pompidou - Musée national d’art moderne - Centre de création industrielle © Centre Pompidou, MNAM–CCI, dist. RMN–Grand Palais / Droits réservés. © Succession H. Matisse pour l’œuvre de l’artiste.

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Les œuvres dans l’exposition et dans le livret 1. Paul Gauguin travaillant sur «Dame en promenade» ......... p. 3

10. Dans les vagues ..................... p. 11

2. La Bergère ................................ p. 6

12. Femmes de Tahiti ................... p. 14

3. La Bergère bretonne ............... p. 6 4. Répétition d’un ballet sur la Scène p. 7 5. Vase en forme de souche ...... p. 9 6. La Belle Angèle ........................ p. 9 7. Autoportrait au Christ jaune ... p. 11 8. Léda .......................................... p. 11 9. Soyez mystérieuses ................... p. 11

11. Arearea ................................... p. 14 13. Noa noa ................................. p. 15 14. Noa noa.................................. p. 15 15. Tii à la coquille........................ p. 18 16. M ahana no atua ................... p. 17 17. Oviri ......................................... p. 19 18. La Montagne sacrée ............ p. 21 19. La Maison du Jouir ................. p. 21


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