Marguerite Duras La reconnaissance
Je t’aime plus grand que la mer.
Les Petits Chevaux de Tarquinia, 1953
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J’ai beaucoup parlé de l’amour maternel puisque c’est le seul amour que je connaisse comme étant inconditionnel. C’est celui qui ne cesse jamais, qui est à l’abri de toutes les intempéries. Il n’y a rien à faire, c’est une calamité, la seule du monde, merveilleuse. Le Monde extérieur - Outside 2, 1993
1 Marguerite Duras vers 1947-1948 et son tout jeune fils Jean, surnommé Outa, du nom des moustiques d’été, les aoûtats, qui le dévorèrent l’été de ses deux mois à Château-Chinon chez François Mitterrand. 2 Brouillon manuscrit, extrait de La Vie matérielle. 3 Tirage de deux photographies de Marguerite Duras avec son fils Jean Mascolo, dit Outa, vers 1950. 4 Marguerite Duras et Jean Mascolo son fils, âgé de deux ans environ, vers 1949. 5 Marguerite Duras dans les années 1950.
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