Maman prie avec ses enfants

Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus
«Je ne me découragerai jamais. »
À toi, notre enfant, la sixième merveille qui grandit en moi, Jésus a donné sa vie pour toi.
Je me souviens d’un beau jour, dans mon ancienne paroisse, à l’heure de l’adoration matinale. Silence dans la grande église, quelques paroissiens clairsemés parmi les bancs bien vides, des prêtres pas complètement réveillés ou déjà un peu rendormis... Le calme ambigu d’un matin d’hiver dont on ne sait pas encore s’il va mener à l’action ou, au contraire, replonger dans la nuit noire. Tout à coup, s’avancent un papa et son fiston, accompagnés d’un tigre de la même taille que le petit garçon. Ce divertissement arrive à point nommé au moment précis de l’embourbement de ma prière dans l’ennui ! Le tigre (sous lequel je devine un charmant garnement), son frère et leur père se prosternent devant le Saint Sacrement et prennent ensemble une respiration de prière avant de repartir joyeusement vers leurs activités. De mon côté, ma prière s’ébroue de sa langueur et trouve (enfin) le chemin de la louange, devant une manifestation si délicate de l’amour.
Ce fut mon premier contact avec la famille de Claire et d’Amaury, le premier d’une longue série. Que de soirées de grâce et de détente, que de moments de joie et de simplicité ! Parmi tant de souvenirs précieux, je me
souviens d’un soir où j’étais particulièrement fatigué d’une grosse semaine de travail. La petite troisième, haute comme trois pommes, avait demandé à toute la fratrie : « Pourquoi pas prière des frères pour Père Zean-Baptiste ? » Et ainsi, je m’étais retrouvé à genoux au milieu des petits, devant la belle image de la Vierge Marie de Solesmes et la croix flashy en néon. Les enfants avaient prié pour moi, avec leur cœur tout simple, à la manière des charismatiques, main sur l’épaule et cœur ardent. J’avais aimé ce moment.
Je retrouve dans les pages qui suivent l’ambiance de prière et l’esprit déjanté que j’ai tant aimé fréquenter chez les Féligonde. Les pistes pour prier que propose Claire sont concrètes, réalistes. Elles n’idéalisent ni ne romancent une vie de famille où tout irait toujours bien. Ce sont les prières du quotidien, les prières du bazar, les prières de la fatigue et de l’exaspération, mais aussi celles de la joie et de la paix qui appartiennent à un cœur qui sait être au bon endroit. Même si cet endroit n’est pas instagrammable. Même si cet endroit n’est pas parfait. Cet endroit, c’est le lieu de la grâce, le lieu de l’amour, le lieu de la vie.
Alors, chère lectrice à qui cet ouvrage est destiné, cher lecteur qui as trouvé comment t’infiltrer dans ce livre hautement genré, bon cheminement dans la prière.
La prière est l’air de notre vie de tous les jours. Seul, à deux, et en famille.
Père Jean-Baptiste Bienvenu, coordinateur de Padreblog
Introduction
Chère Maman,
Ces jours-ci, j’ai fait une constatation : mes enfants ne ressemblent pas aux disciples de Jésus dans l’Évangile.
Laisse aller ton imagination et regarde Jésus dans ton cœur. Il prie. Vois-tu les disciples qui arrivent vers lui ? Les vois-tu vraiment ? Ensemble, ils se sont mis d’accord pour aller voir Jésus ; ensemble, ils ont réfléchi et ont demandé : « Apprends-nous à prier. »
Jamais mes enfants ne se sont concertés et ne sont venus vers moi, l’air solennel et les cheveux recoiffés, pour me demander : « Apprends-nous à prier. » Jamais. Ils préfèrent jouer, bien sûr. Et, lorsque je leur dis : « Les enfants, et si on essayait une nouvelle petite idée pour prier ? », j’ai souvent l’impression de les déranger.
Pourtant, avec mon mari, nous sentons leur soif intérieure (parfois bien cachée). Ils ont profondément besoin et envie de s’adresser à Dieu, de l’écouter, d’avoir une relation personnelle avec lui. Il est donc crucial pour nous – primordial même – de leur apprendre à prier. Alors, nous tentons des méthodes différentes, nous innovons, nous changeons de moment, de lieu, de décor. Inlassablement. Quel que soit leur âge (même à la maternité !).
En guise d’introduction, j’ai envie de partager avec toi mon petit mode d’emploi pour leur apprendre à prier. Tu en trouveras des centaines dans la littérature religieuse. Celui-ci est très personnel, il me ressemble. Prends ce qui te convient, adapte-le et invente à ton tour. Et sois-en certaine :
Dieu ne manque pas de force pour nous aider à porter nos enfants.
Dieu ne manque pas d’amour pour nous aider à aimer et à rayonner.
Dieu ne manque pas d’intelligence pour nous inspirer dans notre travail quotidien.
Dieu ne manque pas d’humour pour partager nos fêtes et nos rires.
PETIT MODE D’EMPLOI (TRÈS PERSONNEL)
POUR APPRENDRE AUX ENFANTS À PRIER
(OU PLUTÔT POUR LAISSER DIEU
LEUR APPRENDRE À PRIER À TRAVERS NOUS)
1. Et si tu en faisais une priorité de ta vie de maman ?
L’apprentissage de la prière me semble plus important que l’apprentissage scolaire, plus important que toutes les activités. Il faudrait donner du temps pour cela. Malheureusement, du temps, j’en ai peu. Mais je n’oublie jamais (enfin, j’essaye) que le goût de la prière est la meilleure chose à transmettre à nos enfants. C’est leur donner la clé du bonheur véritable. Si nous gardons cette priorité dans nos cœurs, petit à petit,
nous faisons de la place pour cela, nous en parlons, nous en vivons, nous imprégnons le quotidien de cet apprentissage.
2. Tu leur apprendras plus facilement et naturellement ce que tu vivras toi-même !
Comme je n’ai pas le temps de réinventer la pluie, je leur parle de ce que j’ai testé dans ma prière personnelle. Je n’ai pas trouvé plus simple ! Ainsi, je leur explique mes propres « techniques » pour converser avec Dieu tout au long de ma journée. Je leur parle de mes diverses tentatives, de mes succès et de mes échecs aussi, de mes découvertes dans la Bible, de mes résolutions spirituelles.
C’est pour cela que chaque chapitre de ce livre commence par une partie pour toi, rien que pour toi. Avant de proposer à tes enfants une expérience de prière, tu la feras toi-même. Cela me semble une étape essentielle.
3. Fais prier chacun avec ce qu’il est aujourd’hui. Pourquoi un enfant qui a une attitude de coquin (voire de petit monstre à certains moments) se transformerait-il, le temps d’une prière, en enfant parfait avant de revenir gentiment à ses frasques ? Je fais prier mes enfants en faisant le lien avec ce qu’ils vivent, avec ce que nous vivons en famille aussi. Colères, disputes, joies, questionnements sur l’amitié, sur la vie, sur la mort, sentiments d’injustice, nous partons de là.
4. Dis-leur que c’est pour leur bonheur !
« Bien sûr, tu n’es pas obligé de prier, mon garçon, mais tu sais, cela te rendra tellement heureux de vivre avec Dieu que je te conseille très vivement de prendre quelques secondes avec Jésus ce matin ! » Voilà ce qu’a dit mon mari ce matin même à l’un de nos garçons qui rechignait légèrement à l’idée de se concentrer pour offrir sa journée.
Je dis souvent aux enfants que leurs parents les aiment très fort, mais ils sentent bien que cet amour est limité, imparfait. Je leur dis que l’Amour parfait et sans limite existe, qu’il est en Dieu. Ils ne manqueront jamais de l'amour, jamais ! Et la prière est justement le moment pendant lequel ils reçoivent pleinement cet Amour.
Chère Maman, fais-en l’expérience et répète-le : « C’est parfois difficile, mais c’est merveilleux de prier, c’est merveilleux d’être avec Dieu. »
5. Fais-les rire ! Faisons de l’apprentissage de la prière un moment de joie. J’utilise des images qui les amusent — tu les découvriras au fil des pages de ce livre. Je les mime régulièrement pour introduire les temps de prière. Cela fait rire les enfants, cela les aide à entrer joyeusement dans la prière. Exagérer le geste de fermeture des yeux, lancer les temps de silence en faisant : « Attention, un, deux, trois… partez ! » Faire de ces secondes puis de ces minutes de silence un petit défi familial. Nous applaudir mutuellement ensuite. Je tente tout, je change, j’improvise. Et nous rions !
Dieu est bon ! Il est heureux que nous aimions nos temps de prière, que nous utilisions notre imagination, celle de nos enfants, que nous désirions rendre ces temps toujours plus attrayants et créatifs.
6. « Fait vaut mieux que parfait. » Tu la connais, cette expression très aimée des mamans. Elle se vérifie lorsque je prie et fais prier les enfants. S’il faut attendre qu’ils soient bien lunés, peignés, silencieux, au bon endroit, cela me paraît trop rare, voire impossible. Je n’ai pas trouvé mieux que de les faire prier … quand j’y pense ! Tout de suite !
Quand j’ai un petit moment avec eux.
Bien sûr, il y a chez nous des temps de louange en famille mais, régulièrement dans la journée, je leur propose de parler à Jésus. Là, maintenant, sans attendre ! Il s’agit de passer de « il faudra le faire » à « faisons-le tout de suite ! ». La voiture est un endroit merveilleux : pas de Playmobil, ni de BD à disposition. Tout le monde va dans la même direction, les enfants sont bien installés et je suis là. C’est mon endroit préféré pour les aider à prier.
7. Il y a ce qui se voit et ce qui est caché (surtout ce qui est caché d’ailleurs !)
Quelques secondes de prière ne laissent jamais indifférent le cœur de ton enfant. À chaque fois, c’est comme l’élever un peu plus vers Dieu, et c’est surtout laisser à Dieu la possibilité de l’élever. Lorsqu’un bébé fait un câlin à sa maman, même s’il ne s’en rend pas compte, c’est un moment où l’amour se transmet, où l’enfant grandit sans s’en apercevoir. On sait que chacun de ces câlins a été précieux.
Il en est de même pour la prière. Quel que soit son âge et quelle que soit la réaction de ton enfant, sa réceptivité apparente, et même si tu as l’impression de lancer un pavé dans la mare, Dieu agit, le bénit. Il agit au plus profond de son cœur. Sois persuadée que chaque temps de prière est un moment d’intimité entre ton enfant et Dieu, même si en apparence il ne s’est rien passé. C’est Dieu qui travaille, fais-lui confiance !
Oui, il est bon, il est doux pour des frères de vivre ensemble et d’être unis ! On dirait un baume précieux, un parfum sur la tête, qui descend sur la barbe, la barbe d’Aaron, qui descend sur le bord de son vêtement. On dirait la rosée de l’Hermon qui descend sur les collines de Sion. C’est là que le Seigneur envoie la bénédiction, la vie pour toujours.
Psaume 132
Chère Maman,
Et si, pour renaître d’en haut, nous changions aujourd’hui notre manière de vivre nos énervements ? Pour cela, je te propose la prière du « pétage de câble ». Elle permet d’accueillir le Royaume de Dieu, quelles que soient les circonstances et quelle que soit notre humeur ! Écoute cette petite histoire. C’est du vécu !
Il était une fois un virus chinois — qu’on ne décrit plus —, un mari testé positif et deux semaines d’école à la maison.
C’était en décembre 2021. Des jours « électrisants »,
comme le disait avec raison mon fils aîné, alors âgé de huit ans. Il était une fois trois poésies de Noël. C’est très beau une poésie de Noël, me diras-tu. Oui, c’est très beau. Mais là, il y en avait trois qui décrivaient exactement la même chose, mais avec des tournures de phrases différentes. Trois bébés joufflus, souriants, au milieu de la crèche. Trois fois des dizaines d’anges blancs qui chantent en chœur sans aucune fausse note. Et tout cela pour des dizaines de bergers qui sentent la biquette et 3 x 3, donc neuf mages empêtrés dans leurs robes. Parce que tu comprends, bien sûr, que c’est très compliqué de monter sur un chameau avec une robe cousue de fils d’or !
Dans ma cuisine, je me sentais colonisée, entourée de leurs chameaux mâchouillant, de ces trois ânes et de ces trois bœufs bruyants, d’une odeur de paille plus ou moins fraîche. Il y avait les cris de mes deux filles qui piaillaient comme les petites chèvres des bergers et voulaient manger les carottes que j’épluchais. Il y avait les rires des grands qui s’amusaient à s’échanger les vers de leurs poésies respectives pour me faire tourner en bourrique…
Là, j’ai craqué. J’ai commencé par un fou rire sans fin et les enfants ont pris le relais, ravis. Puis, il a fallu quand même finir par réviser sérieusement ces poésies, puisque j’étais censée filmer chaque enfant et envoyer la récitation à sa maîtresse. J’en ai eu marre de cette crèche vivante, des devoirs qui arrivaient sur ma boite mails à vitesse grand V, du linge qui s’accumulait, des carottes qui étaient mangées avant même de passer à la casserole. Vraiment
marre ! Soudain, j’ai voulu tout arrêter, prendre une valise et partir à Acapulco, faire un jogging de 35 km ou deux heures de shopping. J’étais knock-out. Totalement.
As-tu déjà senti monter en toi quelque chose que l’on pourrait appeler de manière peu élégante mais significative : un pétage de câble ? Est-ce que, toi aussi, tu te dis parfois, au fond de toi, ou tu dis tout fort, en fonction de ton état : « J’en ai ras-le-bol, j’ai la tête qui éclate, tout ce bruit me met en vrac ! » ? Je me suis demandée, ce jour-là, comment j’allais survivre aux prochains jours d’école à la maison.
Au même moment, j’ai reçu un message d’un ami prêtre nous souhaitant une paisible période de l’Avent. Paisible période ! Je l’ai donc appelé aussitôt et lui ai conseillé de prier pour que son vœu se réalise vraiment. Il a ri à la description apocalyptique de ma salle de classe et m’a répondu : « Il est bon, il est doux pour des frères de vivre ensemble et d’être unis ! » Je me suis demandé s’il se moquait légèrement de moi.
Mais non ! C’était l’extrait du psaume 132, un psaume qu’il m’a conseillé de lire, de relire encore et encore. Le répéter sans cesse pour en être persuadée. « Il est bon, il estdouxpourdesfrèresdevivreensembleetd’êtreunis. »
Il fallait, en quelque sorte, le considérer comme une formule magique, faire confiance en la parole de Dieu.
N’agit-elle pas toujours quand on la lit, quand on la garde en soi et qu’on la répète ?
Je ne sais comment cela fonctionne, mais j’ai vu les fruits de ce psaume. Des jours durant, j’ai eu l’impression de le mâchouiller et particulièrement les soirs d’intense pétage de câble. Le répéter, toujours le répéter…
Oui, la vie en famille est parfois laborieuse, mais ce psaume dit vrai. Il est bon de vivre avec ma famille et il est bon d’être unis, de chercher l’unité. Même si cette vie de mère de famille est souvent fatigante, elle est bonne pour mon cœur. Et, si on lit ce bref psaume en entier, on découvre que la vie avec ses frères peut être comparée à un baume précieux, un parfum sur notre tête. Toi aussi, tu aimes te parfumer ? Alors, accueille ta vie imparfaite comme une agréable odeur de chez Dior ! Oui, la vie de famille peut mettre tes nerfs à rude épreuve, mais elle est mystérieusement un baume précieux, une douce rosée du matin.
Chère Maman, je te propose, cette semaine, de répéter ce psaume tous les soirs, et particulièrement après des journées pendant lesquelles tu as craqué un peu – ou même beaucoup. Répète ce psaume, crois simplement ce que Dieu te dit, sans chercher à comprendre. Et regarde ta vie de famille, dans ta maison parfois en vrac, comme si tu étais chez Chanel, entourée de beauté et d’une senteur enivrante. « Oui, il est bon, il est doux pour des frères de vivre ensemble et d’être unis ! » C’est là (et non ailleurs !) que le Seigneur envoie la bénédiction, la vie pour toujours.
Ce psaume a une force mystérieuse, la force que porte la parole de Dieu. Je te promets qu’il est thérapeutique !
Sois bénie !
Si l’atmosphère a été tendue à la maison dans la journée, s’il y a eu colères, fatigues et incompréhensions, au moment de dire bonsoir aux enfants, je leur répète cette phrase du psaume avec un demi-sourire aux lèvres.
« Oui, il est bon, il est doux pour des frères de vivre ensemble et d’être unis ! »
Je la dis tout simplement, sans préparation. Cela paraît alors tellement incongru ou décalé que mon sourire devient contagieux. Quand il est difficile de justifier rationnellement la joie de vivre ensemble, n’hésite pas à te répéter cet extrait du psaume. À le dire à tes enfants. Tout simplement. Même si cela semble arriver comme un cheveu sur la soupe. Parfois, j’ajoute : « Aujourd’hui, il y a eu des moments tendus, mais là, ce soir, j’aimerais juste redire avec vous que si Dieu nous a donnés les uns aux autres, c’est pour le bien de chacun ! Et même si ce n’est pas toujours simple au quotidien, il est bon pour moi, pour nous, pour vous, de vivre ensemble ! C’est notre place, c’est là que Dieu nous a mis. Notre famille, c’est THE place to be pour chacun de nous ! »
Les soirs de pétage de câble, ne cherchons pas à tout régler d’un coup, mais recevons ce baume précieux gratuitement. Tente l’expérience avec tes enfants,
quels que soient leurs âges et leurs degrés de réceptivité. J’explique qu’il ne s’agit pas d’auto-persuasion. C’est bien plus que cela. « Dire cette phrase du psaume ce soir, la répéter dans ton cœur, c’est faire confiance en la parole de Dieu qui agit pour réunir les membres de notre famille. Dire cette parole, cela vient remettre en place ce qui a été mis en désordre par nos disputes ou nos réactions. » C’est un acte d’abandon que de le répéter, même si cela semble un pavé dans la mare.
Propose à ton enfant de se redire cette phrase, écris-la pour qu’il la lise. Il manque de bonne volonté, il se sent encore plein de rancune ? Tant pis ! La Parole agit !
Jésus, nous te présentons cette journée où il y a eu des disputes, des « pétages de câble », des tempêtes à la maison. Nous te demandons de venir restaurer notre unité, de réunir nos cœurs malgré nos incompréhensions, nos énervements. Nous croyons que tu aimes notre famille, telle qu’elle est. Et que tu ne nous l’as pas donnée au hasard. Sois béni pour cette famille !
Nous te demandons pardon pour nos manques de patience et de bonté. Nous voulons simplement redire cette parole du psaume qui va agir dans nos cœurs et dans notre famille. « Oui, il est bon, il est doux pour des frères de vivre ensemble et d’être unis ! » Gloire
du bonheur
Après le succès de son premier livre Maman prie, Claire de Féligonde partage, dans ce livre, ses recettes et ses secrets pour prier avec ses enfants.
Rien de magique, rien d’inaccessible, juste une bonne dose d’humour, d’imagination et une immense confiance.
Le livre indispensable pour mettre la prière au cœur du programme familial. Pour ne plus dire « Il faut que je m’y mette » mais « Allez, hop, on y va tout de suite ! »
Mère de cinq enfants, Claire de Féligonde est l’auteur des podcasts Maman prie du magazine Famille Chrétienne, écoutés par plus de 110.000 personnes.
« Le goût de la prière est la meilleure chose à transmettre à nos enfants. C’est leur donner la clé
véritable. »