Book 2022 - Femy SAUVALLE

2022

Femy Port-folio Etudiant à l’ecole d’architecture de Versailles - ENSA V - depuis 2017

Femy SAUVALLE

05 08 1999

Paris

Portfolio d’ARCHITECTURE Ecole Nationale Superieure d’Architecture de Versailles

ENSA-V

Student at the Versailles school of architecture - ENSA V - since 2017

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F. Sauvalle

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C. Veran et E.Bonduelle

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M. Gelin

Qui suis-je ? D’ou je viens et quels sont mes contacts ? Quelle est ma formation, quelles sont mes experiences et mes différentes compétences ?

Conception d’un Palais Poulaire, équiement public aux abords de la Mairie de Ivry-surSeine, au nord du Val-de-Marne (94) En collaboration avec Hendrix Renoncé

Travail de materialité. Entre platre et béton, imaginer une salle de bain forte de son concept, ex-nihilo

P- 4-7

P- 8- 13

P- 14- 17

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C. Petetin

Cardboard Building. Echelle 1/1. Projet d’abris évolutif en carton.

En collaboration avec Anne Alessandri, Armand De Gauléjac, Charlene Siret, Jasmine Angulo, Khadija Kadil

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P- 18- 19

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G. Ramillien

Préssentir la morphologie du logment de 2050. Et ainsi répondre à la question d’un changement de paradigme Projet, à Stains, ville de SeineSaint-Denis (93)

P- 20- 25

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L. Burriel

Etdue de Elements of Architecture - Rem Koolhas -2014 Utiliser le plafond comme disppositif architectural et en imaginer sa mise en forme

P- 26- 29

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G. Brunet et D. Klouche

Hospes Building. En s’inspirant du projet de Andrea Branzi - Casa Madre - Proposer un Univers de coéxistence entre autonomie et contribution. Ile Seugin, Boulogne-Billancourt (92) En Collaboration avec Mathis Porte et Marie Grondard

P- 30- 35

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M. Gelin

Expérimenter manuellement et structurellement la recontre entre bois, beton, platre et verre dans la conception d’une maison individuelle, sur les berges de la Piece d’eau Des Suisse à Versailles (78)

P- 36- 39

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SAUVALLE Femy

Né le 05/08/1999 47 Rue Berthier 78000 Versailles Tél : 07 77 55 32 48 E-mail : fefe_soso@hotmail.fr

-4 Femy SAUVALLE 05.08.1999 17 Rue de Satory Versailles (78000) fefe_soso@hotmail.fr 07 77 55 32 48

FORMATION Depuis 2017

École Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles (ENSA-V), 1ere et 2eme années

Année 2017

Baccalauréat mention Bien, série Économique et Social, Option Latin

Année 2014/2017

Lycée Français Jean-Mermoz (Dakar – Sénégal)

Informatique

Pack office, Créative Cloud, Autocad, etc.

Informatique

Pack office, Créative Cloud, Autocad, etc.

EXPÉRIENCE Du 1er Mars 2021 au 10 Septembre 2020 a rs 2021

Depuis le 08 Février 2018

Assistant Stagiaire chez Bond Society, Travail sur différents projets de logements (ETUDES, ATC, DCE). 42 rue Cambronne logements en co-living, Design de la banque d’accueil. Concours pour la création du nouveau siège des Restos du Cœur, 3D et dessin des façades. Communication générale du projet de transformation du Hangar T, à Vannes. Egalement assistant en communication : réseaux sociaux, site internet, etc.

Secrétaire puis Vice-Président de l’Association de La Grande Mousse, qui s’occupe à la fois de trouver des contrats fanfares de l’école, et d’organiser les gros évènements étudiants : Soirées, pots et rencontres. (Versailles – 78000)

Du 15 Juillet au 13 Septembre 2019

Juillet 2018

Du 05 Fevrier au 08 Juin 2018

Stage chez SOA Architectes, agence D’Architecture combinant Architecture, Urbanisme et Agriculture urbaine.

(Paris - 75011). Travail sur, logiciels Stage chez Leclercq Associés, Agence d’Architecture et d’Urbanisme (Paris – 75020). Visites de chantiers en cours (logements, bureaux, Siège social de Canon, etc). Travail sur le projet - Cœur de Quartier, Nanterre -

Vendeur à la COOPERATIVE ENSA-V, Ventes de matériel pour maquette, arts plastiques. (Versailles – 78000).

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Contacte C et conseille. Maitrise du vocabulaire des arts a plastiques (types de cartons, de papiers, épaisseurs, etc) Août 2017

Stage St d’étude sur Chantier, "Maison de Vacance" (Dakar – S Sénégal).

Assister les ouvriers, et apprendre les bases de la construction d’un autre point de vue. Relation et contact avec c différents corps de métiers. d

Année 2015

Baby BabySitting Gardes Occasionnelles (Dakar –Sénégal)

Décembre 2014 Décembre 2014

Stage S Chez Maitre Sow Avocats, (Dakar – Sénégal).

Stage S Chez Maitre Sow Avocats, (Dakar – Sénégal).

Observation et découverte du métier d’avocat, en classe de O 3eme 3

COMPÉTENCES -6

Langues

Français, Anglais, Espagnol (en cours D’apprentissage).

Logiciels

Autocad, Sketchup, Illustrator, Photoshop, Rhino, Blender, InDesign

LOISIRS

Voyages

Allemagne (Munich, Berlin), Martinique (Fort-de-France, Ducos), République Tchèque (Prague), Portugal (Porto, Lisbonne, Sintra), Sénégal (Dakar, Saly, Mbour, Casamance, Saint Louis), Pays-Bas (Rotterdam, Kinderdijk, Amsterdam, Goedereede), Cameroun (Douala, Yaoundé), Cote d'Ivoire (Abidjan), Maroc (Casablanca, Rabat), Belgique (Bruxelles), Suisse (Genève), Angleterre (Londres, Egham)

20 : 34

03 : 56

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One more station Il nous paraissait intéressant d’assimiler Ivry à une plate-forme Multi-modale, un lieu ou les marchandises changent de mode de transport. Un pole d’échange qu’on analyse comme un réseau de flux, d’homme et de connaissance. En s’y rendant, on a rapidement remarqué que tous les éléments présent dans le programme s’y trouvaient déjà; un théâtre, un cinema, une médiathèque et de nombreux équipements publics. Ces infrastructures génèrent des déplacement qui sont malheureusement contraints par le manque de moyen, le manque de temps et/ou le manque d’envie des Ivryens. Pourquoi donc y construire un « Palais Populaire » ?

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L’idée serait d’accorder aux habitants la possibilité de s’offrir à la fois les moyens, le temps et l’envie. Notre palais populaire est celui d’un peuple en mobilité constante. C’est une station par laquelle on passe sans s’arrêter. C’est une station par laquelle on s’arrête prendre le temps.

En assimilant le centre-ville d’Ivry à une plate-forme d’échange où places publiques sont percées par des nationales, ou les voitures croisent les piétons, et ou les bus vont à la rencontre des gares, etc, on re-caractérise le dispositif de circulation des habitants. C’est à ce réseau qu’on choisis de se greffer, un PLUG en plein centre ville qui mène le peuple à poursuivre son itinéraire à travers, sans même s’en rendre compte.

Le projet se base dès lors sur la continuité de l’espace publique, la nouvelle station s’inscrit dans la réalité d’un réseau hyper actif déjà présent. Tout le rez-de-chaussée est libre, donnant accès à un espace modulable et à une cours des palabre. Il abrite également l’extension du marché déjà présent. Le projet délimite un espace propre au peuple ou il en est le principal organisateur.

C’est aussi le rez-de-chaussez qui donne

accès au reste du programme. Il se distingue par ce qu’on a choisit d’appeler les « quatre bouches d’entrée », quatre rampes s’ouvrant sur les quatre lignes qui composent le programme : la Connaissance, la Contribution, le Savoir-faire et le Partage.

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One More Station Projet en Collaboration avec Hendrix Renoncé du 09/2019 au 12/2019

PLAN r+1 Rencontre du partage, de la conaissance, de la contribution et du savoir -faire (cf. Schma 3)

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Plan RDC

Continuité de l’espace public et intégration tentaculaire du marché

Plan R+2

Etage ou Co-Working et Médiathèque se rencontrent

Plan R+3

Le dernier etage est celui de la salle de spectacle et de la terrasse.

One More Station Projet en Collaboration avec Hendrix Renoncé du 09/2019 au 12/2019

One more station AXONOMETRIE ECLATEE Ensemble du Palais dans son contexte urbain

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One More Station Projet en Collaboration avec Hendrix Renoncé du 09/2019 au 12/2019

One more station mAQUETTE DU PROJET Echelle 1: 100, contre plaqué (découpe lazer-cut), papier et carton

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One More Station Projet en Collaboration avec Hendrix Renoncé du 09/2019 au 12/2019

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The bathroom The Bathroom est le projet d’une salle bain sortie de tout contexte. Aucune pièce adjacente ou de soucis d’acheminement et d’évacuation des eaux. Il s’agit plutôt de la mise en scène d’un concept.

La salle de bain, c’est l’une des pièces les plus intime, c’est le lieu du soi, c’est l’endroit où l’on se retrouve face à sois même.

En clair, la salle de bain c’est l’intimité.

On tente alors de remanier la hiérarchie classique des dispositifs de la salle de bain.

Les toilettes, utiles à tous les moment de la journée se trouvent à l’entrée, c’est l’espace le plus accessible. Elles sont surmontées d’un muret conduisant au lavabo juste derrière. La douche est un peu plus haute.

-15 Sur un piédestal, elle est légèrement cachée de l’entrée par le dossier des toilettes / Lavabo. Tout en haut, la baignoire, on se donne le temps d’y aller. C’est l’endroit où on va le plus rarement, mais c’est aussi celui où on peut passer le plus de temps.

La baignoire donne sur une double ouverture (dont l’une est zénithale). Se trouvant à près de 1,70 mètre du sol elle contribue à cette notion d’intimité. Quelqu’un peut donc aller aux toilettes et se laver les mains pendant que je suis dans mon bain sans qu’il n’y ai de soucis d’intimité.

The Bathroom Projet seul du 02/2018 au 03/2018

aXONOMETRIES Trois différentes visions du projet (interieurs et exterieurs)

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The Bathroom Projet seul du 02/2018 au 03/2018

aXONOMETRIES Coupe de la salle de bain

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The Bathroom Projet seul du 02/2018 au 03/2018

FANFOLD Cardboard Building

Concours en collaboration avec l’école de TONJI à Shanghai, le but est d’imaginer un abri, à l’aide de planches de cartons d’environ 3m carrés chacune (soit 2 mètre de hauteur par 1,5m de largeur).

Apres réflexion, on a fait le choix de déterminer que notre abri devait pouvoir rendre compte de l’ambivalence du matériau. Aussi rigide dans certaines situations que flexible et souple dans d’autres.

On voulait pouvoir faire de notre abri un objet imposant qui sait ne plus se montrer quand on a pas besoin de lui. Le Fanfold peu donc autant, se plier et ne plus exister que se déplier et former un long couloir. La forme arrondie née de -18 l’assemblage particulier des planches de carton. En les entaillant a des distances précises, la structure s’arrondi lorsqu’on les encastres les unes dans les autres.

L’intérieur de l’abri était pensé de manière a ce qu’on ai l’impression que le couloir était infini. chaque planches était ouverte d’une arche différente (allant de la plus basse à 1m 50 et la plus haute à 1,m 80). Le croisement de deux voutes créaient au plafond un tissage rappelant celui du plafond des églises/ Cathédrale. La monumentalité d’une église dans un abri près à être emporté déployé et prendre la place qu’on le souhaite. C’est un accordéon qu’on peut ranger dans le coffre de sa voiture.

Fanfold Projet en collaboration avec Anne Alessandri, Armand De Gauléjac, Jasmine Angulo, Charlène Siret et Khadija Kadil du 11/2017 au 01/2018

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APRES la prosperite Dans cet exercice, la question est celle de la post prospérité. Dans une situation démographique critique, on tente de penser à l’optimisation des espaces, faire entrer l’idée de mutualisation dans les moeurs de nos sociétés et enfin de repenser au troc et à l’échange à petite échelle comme d’un outil dans la conception du logement.

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Il s’agit d’un habitat qui pourrait reprendre le modele de liaison des grands transport.

Une mégalopole à l’échelle de l’habitant.

On y vit, on s’y croise, on y partage et on y échange. Les grands poles d’attractivité se matérialiserai par des pôles culturels. Un foyer offert par les habitants pour les habitants. L’idée serrait au final de remettre en réseau l’architecture avec son environnement de manière optimiste.

Il faut donc réfléchir en pensant à l’individu, en pensant aux liens sociaux que les différents types de ménages peuvent avoir entre eux. Sur les 38 720 habitants de Stains environ 27 500 sont des familles soit 71%. On passe facilement d’une mère célibataire à un un couple avec plus de quatre enfants. Il partait alors impératif d’adapter la réflexion à cette structure familiale mouvante. On délimiterai alors différentes sphères, celle de l’intime, celle du partage et celle du social. La sphère de l’intime se résume à ce qu’une famille ne peut pas partager. Ces éléments s’organisent autour et à l’intérieur des murs massifs en pierre. La sphère du partage est celle qui fait le lien entre les différents ménages par le biais de la cuisine. C’est la transition intérieur - extérieur / privé - social. C’est l’endroit ou se font les « noeuds » sociaux de premier ordre. Enfin, la sphère sociale vient créée un autre type de carrefour puisqu’elle lie

le bâtiment à la société et à son environnement. La transition se fait par un foyer, profitant à la fois aux habitants, à l’environnement, au bâtiment mais aussi aux autres habitants de Stains.

C’est l’endroit où on cherche à devenir un « citadin compétant ». Selon Richard Sennett : « Le citadin compétant est alors celui qui est capable de sortir de son isolement, d’aller à la rencontre de l’autre et de jeter un regard toujours renouvelé sur le monde qui l’entour ».Le bâtiment se voit donc devenir un carrefour en lui même, crée par l’action des habitants. En se sentant bien dans une espace qui lui est propre le citadin serra plus apte à rencontrer, s’instruire et instruire les autres.

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APRES la prosperite PLAN d’ETAGE Fonctionement, imbrication et usage des différentes pièces

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Après la Prospérité Projet seul du 02/2020 au 05/2020

APRES la prosperite COUPE PERSPECTIVE Vue interieure d’un T3 (RDC) et un T5 (R+1 et R+2)

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Après la Prospérité Projet seul du 02/2020 au 05/2020

APRES la prosperite DETAIL TECHNIQUE Détail de l’assemblage de la pierre et des plateaux CLT

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Après la Prospérité Projet seul du 02/2020 au 05/2020

APRES la prosperite VUE INTERIEURE Vue depuis l’entrée vers la pièce de vie d’un T3

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Après la Prospérité Projet seul du 02/2020 au 05/2020

The underside of the floor above From - Elements Of Architecture Rem Koolhaas Dans une société ou l’innovation connait une évolution exponentielle. Il partait important de mettre en lumière les changements qu’on pu connaitre certains dispositifs. Apres la lecture de Element of Architecture de Rem Koolhaas, je me suis focalisé sur le livre Ceiling, soit une analyse du Plafond. Ce qui m’a amené à re-questionner la notion de fonction des pièces de la maison. La démocratisation des appareils électroménagers, de la technologie et de la domotique. Quels changement cela a pu engendrer sur la vie domestique ?

Dans cette réflexion, le faux plafond qui a connu se grosse démocratisation au début du XXieme siècle, est l’élément de départ.

Dans une remise en question de l’habitat d’aujourd’hui, on pourrait alors se demander si l’utilisation de ce faux plafond ne pourrait pas permettre de définir l’usage d’un espace. La pièce ne se définirait plus par son nom, mais par ce que le plafond lui offre. Dans cette idée, je prend le plafond comme un élément creux pouvant contenir une quantité limité de paramètres. Les pièces s’organisent librement les unes en fonction des autres selon ce qu’on souhaite y faire. Chaque module de plafond correspond à un paramètre qui va induire l’épaisseur de celui-ci (lumière artificielle , plomberie, lumière naturelle, chauffage, etc.).

En outre, penser le plafond comme un élément de lien re-questionne également la séparation classique qu’il y’a entre les étages.

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Le plafond et le sols se confondent alors.

Ainsi la structure prend une place primordiale. Comment faire tenir des plafonds d’envergures variables en les laissant s’organiser de manière assez libre ? J’imagine donc grâce à un système d’emboitements bois, un jeu de poteaux et de poutres. Les poteaux peuvent se placer n’importe où et permettre grâce à la diversité des assemblages de s’adapter à n’importe quelle topographie.

The Underside of The Floor Above Projet seul du 02/2020 au 05/2020

Modules nécéssaires à la fixation des des différents types de paneaux de facades

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The Underside of The Floor Above Projet seul du 02/2020 au 05/2020

Résultat de la rencontre des poteaux avec les différentes tailles de poutres

Assemblages permétant de changer de dimensions. Une infinité de possibilités

Permet de s’adapter à un dénivelé en reliant des plateaux ou Plafond entre eux

Typologie propre aux fixaxtions des sols (pour les endroits sans plafond par

Les liaisons de coins permettent de relier plusieurs plafond du meme niveau entre eux

Dans les lieux considéré comme publics ce type de menuiseries marque l’interieur de l’exterieur

Structure de base permettant de porter le plafond

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The Underside of The Floor Above Projet seul du 02/2020 au 05/2020

DATA-SCOPE

S’inscrire dans un réseau de Fabriques du Territoire La crise écologique que nous traversons amène pléthore de discours prônant la coexistence du vivant, l’osmose avec la nature, la vie en communauté etc. Cette nouvelle philosophie est en fait la résultante d’un rapport à la technique insatisfait. La promesse de l’épanouissement de l’homme par la technologie s’est révélée illusoire et pousse aujourd’hui certains à s’accomplir dans des occupations plus primaires.

Pourtant, le progrès technique a tellement façonné nos quotidiens que l’on ne peut s’en défaire.

Nous désirons dans ce projet, requestionner notre relation avec la technologie et montrer qu’un rapport sain avec elle est possible.

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Dans Tarzan in the media forest, Toyo Ito définit l’homme connecté comme une coexistence de deux corps, l’un réel, échangeant avec son environnemnet des flux d’air et d’eau, l’autre virtuel, communiquant avec un monde immatériel par un flux d’électrons au travers d’un «media-suit».

L’architecture agit comme ce «vêtement -média» construisant le lien entre matériel et immatériel. Ce réseau de connexions et de flux d’électrons n’a rien d’un nuage (le cloud) et nécessite une infrastructure incarné par ces bres optiques et ces data centers.

Que signife donc réellement être actif sur un réseau social ou naviguer sur internet ?

Comment envisager le futur d’un stockage de donnée sans limites, perpétuant un succédané d’existence ? Quel impact les infrastructures ont-elles sur l’environnement.

Adoptée le 16 octobre 2016, la loi pour une république numérique oblige toute commune de plus de 3500 habitants à rendre libre d’accès ses données d’ordre publique. Le projet s’engouffre dans cette brêche. S’inscrivant, dans le réseau de «fabriques de territoire» francilien initié par l’appel à projet gouvernemental

de juillet 2019, et dans le nouveau projet culturel de l’Île Seguin, il vise à démysti er le rapport à la donnée, et à imaginer son potentiel d’action sur le réel. Le potentiel de l’analyse des données, déjà exploité dans le domaine privé, est naissant dans le publique mais très prometteur.

Il permettrait par exemple, de prévenir des épidémies par les données de santé, ou d’améliorer le réseau de transport en trouvant ses carences grâces aux données des utilisateurs. Ce serait l’apanage de data-scientists exerçant dans le laboratoire du complexe. De même, le projet devient un lieu d’acculturation à la donnée pour le non-inité. Des cartes interactives représentant en temps réel le territoire selon ses données, une zone de familiarisation avec la technologie, des espaces de formations et une friche artistique autour du numérique composent l’expérience proposée.

Ce programme serait nu sans son data center, matérialisant la donnée. Il est dimensionné pour conserver les données des 5 villes alentours, soit 285 000 personnes, considérant une augmentation de 13% par an, ce qui ferait, en 2040, 600Go

DATA-SCOPE

par individu.

Le processus de création du projet s’articule autour des contradictions matériel-immatériel, nature-technique ou encore liberté-standardisation.

Il fait coexister trois éléments (hétéroclites). Tout d’abord une topographie. Elle est le sol libre, le paysage qui déploie sous elle de grands espaces lorsqu’elle s’envole, et qui accueille, en surface, les espaces d’acculturation et de coworking, permettant une expérience du travail libre, hors des espaces standardisés. Avec les arches qui prolongent sa courbe jusqu’au sol, elle est la terre du projet, l’hyper-matériel, d’une seule et même matière coulée.

Ce paysage est intérieur. Il est donc couvert par une toiture qui est tout son -32 contraire. C’est une nappe tridimensionnelle en treillis, laissant la place aux gaines techniques et aux fulides, surmontée de verre, le tout pincé entre deux plaques de grillage metallique. Entre ces deux éléments apparaît une typologie optimisée, de grands plateaux libres en poteaux-dalle, cerclée de polycarbonate, venant parfois surplomber la pente, d’autres fois la traversant.

Dans le sol est enfoui le data center, centre névralgique des circulations d’énergie. Les racks de serveurs produisent beaucoup de chaleur. Nous en disposons dans les espaces stanrdisés afin de les chauffer. L’île étant bordée par la Seine, nous creusons dans le sol a n de faire passer l’eau dans les circuit de refroidissement des racks.

Data-Scope Projet en collaboration avec Mathis Porte et Marie Grondard du 10/2020 au 01/2021

mODULE DU rACK Le Rack de serveur comme base de la trame

DATA-SCOPE Carte Boulogne - ISSY Zone d’imlpantation du projet (Ile Seguin - Boulogne Billancourt)

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Data-Scope Projet en collaboration avec Mathis Porte et Marie Grondard du 10/2020 au 01/2021

DATA-SCOPE AXONOMETRIE Vue d’ensemble du projet, rencontre de la topographie, des plateaux et du treillis

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Data-Scope Projet en collaboration avec Mathis Porte et Marie Grondard du 10/2020 au 01/2021

DATA-SCOPE AXONOMETRIE Vues interieures. Différentes spacialités du projet

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Data-Scope Projet en collaboration avec Mathis Porte et Marie Grondard du 10/2020 au 01/2021

Le Barillet Le Barillet c’est la tentative de l’assemblage bois. L’idée était d’imaginer par le biais de planches de Roofmate, un assemblage bois complexe permettant de crée une structure autour de laquelle on pouvait tourner. Notre idée était donc celle de l’emboitement. Deux modules se chevauchent (l’un carré et l’autre en -36 losange), Chaque étage tourne de 5 degrés donnant a la structure cette forme particulière, une sorte de torsade qui ne semble pas vouloir s’arrêter. Ainsi elle monte à plus de 3,50 m de haut.

Le Barillet Projet en collaboration avec Etienne Vinet, Julie Rannou, Hendrix Renoncé, Samy Vincent, Louis Vandevyver et Bastien Rivière du 02/2019 au 03/2019

Le Barillet Tete D’assemblage Modules d’assemblages à 90° et à 35°

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Le Barillet Projet en collaboration avec Etienne Vinet, Julie Rannou, Hendrix Renoncé, Samy Vincent, Louis Vandevyver et Bastien Rivière du 02/2019 au 03/2019

Le Barillet photogrpahies Retracer les phases de reflexion, de construction et d’exposition

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Le Barillet Projet en collaboration avec Etienne Vinet, Julie Rannou, Hendrix Renoncé, Samy Vincent, Louis Vandevyver et Bastien Rivière du 02/2019 au 03/2019