2024 Validation Projet de fin d’étude « Entre Cîmes et rêverie »
2023 Validation mémoire : « Promouvoir le minimum ? à propos du label «écoquartier» en France
2023, Membre honoraire « World Pleutre Family » conception et réalisation de scénographie événementiel pour de petits petit événement.
2022, Workshop « Habiter le déjà là » travail sur la coexistante d’un monde numérique en lien direct avec le lieu «réel»
2016, Stage de deux semaine chez «Petit» filiale patrimoine de Vinci construction.
2018 - 2023 emploi étudiant en restauration rapide.
Compétences
Informatique
Langues
Centres d’intérêts
Voyages :
Cultures : Sports :
- Suite ADOBE ( Ps, Ind, ill ) ; AUTOCAD, RHINO (dessin, rendu (Vray) et modélisation), BLENDER( modélisation animation et rendu), UNREAL ENGINE , PACK OFFICE . Possède une capacité adaptation et d’apprentissage rapide et autonome en matière de logiciel.
Vélo, Randonnée, Vélo de descente, activités en pleine nature.
Expériences professionnelles
MUSÉE DE LA TAPISSERIE DE BAYEUX
AIRBORNE MUSEUM À SAINTE-MÈRE-ÉGLISE
ORDENERPOISSONNIERS
HÔTEL-DIEU
SAINT-MÉDARD
Workshop
STAIN 2040
Projets d’études
LA MÉCANIQUE DES ÎLES
P-26
ENTRE CÎMES ET RÊVERIES
P-30
LA VILLE SANS CESSE
P-34
P-38
MUSÉE DE LA TAPISSERIE DE BAYEUX
Concours restreint - Projet non retenu
Images : Projectiles
Equipe :
Architecte / Scénographe mandataire : Projectiles
Semper Architecture groupesetec
studio des signes
8 18 lumiere
Lundi 8 artisans didees
Paysage : Emma Blanc Paysage
Économiste : BMF
Acousticien : Altia
La Tapisserie de Bayeux, vestige historique d’une ampleur exceptionnelle (6,830 m), mérite d’être contemplée dans son intégralité. Le projet d’extension du musée vise à offrir cette expérience unique en prolongeant le séminaire existant tout en respectant son architecture classée. Cette nouvelle aile permet non seulement le déploiement complet de la tapisserie, mais est également un espace dédié à la recherche et à la restauration de l’œuvre. Parallèlement, les anciens jardins du séminaire sont réaménagés en un parc, redonnant vie à ces espaces verts et offrant aux visiteurs un cadre paisible qui dialogue harmonieusement avec la richesse historique du lieu.
AIRBORNE MUSEUM, SAINTE-MÈRE-ÉGLISE
Marché public
Lieu
Sainte-Mère-Église, France
Surface
1 400 m² de restructuration dont 1000 m² pour le nouveau pavillon
Équipe
Projectiles, architecte et muséographe (mandataire du marché)
TPFI, BET TCE
Emma Blanc, paysagiste
WA75, graphiste
Lundi 8, multimédias
Abraxas, lumière
Altia, acoustique
Le paysage environnant de l’Airborne Museum est un élément essentiel, porteur de la mémoire du 6 juin 1944. Ce projet vise à renforcer le dialogue entre l’architecture, la scénographie, et le site, intégrant le paysage comme toile de fond scénographique pour la collection exposée, notamment le planeur WACO. Le nouveau pavillon, situé à l’angle sud-ouest de la parcelle, complète l’ensemble muséal en définissant clairement les limites du site. Les visiteurs sont guidés à travers des volumes massifs, ponctués de cadrages sur le paysage, créant une promenade architecturale qui met en scène la relation intime entre l’intérieur du musée et son contexte historique.
ORDENER-POISSONNIERS
Concours restreint - Projet non retenu
Images : Projectiles
Equipe :
Architecte / Scénographe mandataire : Projectiles
Semper Architecture groupesetec
studio des signes
8 18 lumiere
Lundi 8 artisans didees
Paysage : Emma Blanc Paysage
Économiste : BMF
Acousticien : Altia
Le projet du Jardin Mécano vise à créer un espace public vivant et fonctionnel, en intégrant divers usages et services à proximité des usagers. Organisé autour d’un jardin public et d’une rue diagonale, l’espace est animé par des commerces, cafés, et ateliers, garantissant une présence vigilante à chaque coin. Les formes urbaines, qui relient patrimoine industriel et urbanisme haussmannien, s’orientent vers le soleil, avec des immeubles en peigne au Nord et alignés au Sud, posés sur un socle de services. Inspiré par la pensée de Jane Jacobs, le projet célèbre la diversité, la mixité, et le dynamisme piéton, où l’ordre apparent naît du désordre créatif et sécurisant des interactions urbaines.
HÔTEL-DIEU
Concours restreint - Projet non retenu
Images : Projectiles
Equipe :
Architecte / Scénographe mandataire : Projectiles
Semper Architecture groupesetec
studio des signes
8 18 lumiere
Lundi 8 artisans didees
Paysage : Emma Blanc Paysage
Économiste : BMF
Acousticien : Altia
Sur l’Île de la Cité, le projet Paradis vise à reconnecter les Parisiens à leur cité en transformant l’HôtelDieu en un véritable quartier parisien. En réintroduisant des logements, des commerces, et des services, nous avons voulu faire de ce lieu une destination dynamique et inédite. L’ouverture des trois faces de l’édifice abolit la barrière symbolique de l’ancien hôpital, créant une transparence qui révèle sa transformation fonctionnelle. Le socle est ouvert à tous, avec de nouvelles circulations exploitant cours et allées, redonnant au lieu une urbanité accueillante et ludique pour les résidents, travailleurs, et visiteurs.
SAINT-MÉDARD
Concours restreint - Projet non retenu
Images : Projectiles
Equipe :
Architecte / Scénographe mandataire : Projectiles
Semper Architecture groupesetec
studio des signes
8 18 lumiere
Lundi 8 artisans didees
Paysage : Emma Blanc Paysage
Économiste : BMF
Acousticien : Altia
Implanté dans la partie Sud du terrain, le bâtiment vinicole s’harmonise avec le paysage environnant, dominé par les vignobles et les massifs forestiers du Luberon et de la montagne Sainte-Victoire. Sa silhouette courbe, inspirée des formes naturelles, varie en hauteur de 4 à 6 mètres, et est habillée de panneaux en bois pré-grisé. Le rezde-chaussée accueille un restaurant et une boutique, tandis que les locaux de production sont situés au sous-sol, exploitant la déclivité naturelle pour le processus gravitaire de vinification. Trois hangars, aux façades en enduit ton pierre et toitures en tuiles de terre cuite, complètent l’ensemble dans la partie Nord du terrain. Le projet s’intègre discrètement dans le paysage, respectant l’histoire et l’identité du lieu.
WIKI PRAIRIE SCHOOL
Workshop - Biennal d’architecture Paris Versailles
Lors de la Biennale d’Architecture et de Paysage 2022 à Versailles, nous avons créé une expérience immersive, fusionnant réalité et virtuel autour des plantes. En six jours, nous avons dessiné un herbier à l’aquarelle de 132 plantes, représentant 47 variétés. Parallèlement, une expérience en réalité virtuelle a été conçue, où les doubles numériques des plantes racontent une histoire lyrique et enrichissent les connaissances scientifiques. L’exposition éphémère invitait les familles à explorer ce monde virtuel, retrouver la plante correspondante dans le monde réel, et repartir avec, laissant progressivement l’espace se vider. Finalement, seule la serre virtuelle persiste, préservant ces plantes éternellement.
STAIN 2040
ANNÉE : 2020
Projet licence 3
EQUIPE : Félix Joubert.
ENCADRANT : Guillaume Ramillien
Alors que le réchauffement climatique pousse l’humanité à revoir ses priorités, la majorité des fonds alloués à la recherche par le gouvernement sont désormais utilisés pour réduire notre impact environnemental à toutes les échelles. Cependant, il existe un domaine où des solutions existent depuis longtemps, mais sont encore sous-exploitées : la gestion de l’eau. Avant même les changements climatiques, cette ressource vitale était déjà en danger à cause de l’utilisation abusive qu’en faisaient les grandes puissances. C’est pourquoi la ville de Stains a décidé que la nouvelle opération de logement doit optimiser son utilisation de l’eau potable et claire, tout en développant un système permettant de convertir les eaux grises et noires en une ressource pour le territoire local.
Traditionnellement, nous avons pompé notre eau dans les nappes souterraines avant de rejeter l’eau épurée dans les rivières, créant ainsi un cycle où l’eau n’est utilisée qu’une seule fois avant d’être considérée comme un déchet. Le défi de ce nouveau projet est de diversifier les sources d’eau pour les usages qui le permettent et de multiplier les utilisations de cette eau une fois intégrée dans le circuit urbain. Cependant, cet objectif doit être atteint sans augmenter la consommation énergétique du bâtiment ni multiplier les coûts d’entretien et de construction, car malgré les changements profonds de la société, l’argent reste un facteur crucial dans la conception d’un projet.
C’est dans ce contexte que s’inscrit la nouvelle opération de 60 logements semi-collectifs à Stains. Située à la lisière entre le parc et la ville, cette opération bénéficiera des réseaux existants de la ville tout en les enrichissant, et profitera du microclimat apporté par le parc, assurant ainsi un apport d’eau et de nutriments pour la faune et la flore.
Un réseau auxiliaire d’eau de pluie est intégré au réseau d’eau potable pour les utilisations appropriées (douche, toilettes, laverie, arrosage...), et des réservoirs à débordement permettent le stockage de l’eau grise pour les chasses d’eau. Enfin, une station de phytoépuration épurera les eaux usées pour les réutiliser dans la ville et le parc. Le réseau d’eau est conçu pour maximiser l’utilisation de la force centrifuge et minimiser le recours aux pompes.
LA MÉCANIQUE DES ÎLES
ANNÉE : 2023
Projet Master 2
EQUIPE : Félix Joubert.
ENCADRANT : Reza Azard, Jérome Boutterin, Sina Abedi.
S’il était des murs dont on ne connaissait pas la fin ni l’origine.
S’il était possible d’entreprendre de marcher le long de ce dernier, l’on mourrait de vieillesse avant d’en apercevoir le bout.
Si l’immensité de ces murs les rendait inéluctables, s’ils s’imposaient à nous comme les montagnes ou les océans le font.
Telle une frontière qui délimite là où l’on est et de là où l’on ne peut tout simplement pas aller.
Une limite entre ce que l’on connaît et ce que personne n’a jamais vu.
Ces murs seraient alors certainement le point de départ d’une multitude d’histoires et sûrement la fin d’autant d’entre elles.
Certainement que ceux qui habitent à ses pieds auraient commencé à se l’approprier, construisant, s’accrochant, s’appuyant, se servant de lui pour tout type de construction. La ville à ses pieds passerait de l’horizontalité à la verticalité.
Mais ces remparts ne sont ni immenses, ni infinis, ni même inéluctables à notre regard. De fait, ils sont même plutôt petits, tantôt discrets dans le paysage, et souvent maladroitement bordés de voies de circulation piétonnes ou automobiles qui semblent ne pas tellement leur faire honneur. S’il n’est plus question aujourd’hui de se protéger d’une quelconque armée voisine, si la nécessité de taxer les marchandises à l’entrée de la ville et si les frontières mêmes de la ville ne justifient plus les remparts, leurs valeurs patrimoniales retraçant près de huit siècles d’histoire, ainsi que leur appartenance à la trinité du palais des papes, du pont et des remparts d’Avignon en font bien un monument historique. La question est en fait quelle partie de l’histoire choisir? Celle de la rénovation des ponts et chaussées, de la rénovation d’E. Viollet-Le-Duc, de celle de l’époque des douves et des toits au-dessus des rondes de garde ?
Les remparts sont multiples de par leur état, leur histoire, leur utilité réelle aujourd’hui mais aussi de leur influence sur le tissu de la ville.
C’est pourquoi le projet des murs emmurés vise à redonner aux remparts une certaine prestance, une certaine monumentalité qui viendrait faire taire les questions incessantes que l’on se pose, qui viendrait asseoir les remparts dans une temporalité nouvelle (la nôtre) tout en laissant une trace de leurs origines.
L’idée est de fluidifier en augmentant la densité visuelle, ou plutôt de donner à comprendre pourquoi on ralentit, à donner envie de ralentir. Tel un mur de scène, le bâtiment se veut monumental mais garde une certaine transparence comme un geste de politesse envers le voisinage, une invitation à regarder de loin se dérouler la grande pièce de théâtre qu’est la vie de ce bâtiment..
LA VILLE SANS CESSE
ANNÉE : 2021
Projet d’analyse, Master 2
EQUIPE : Félix Joubert.
ENCADRANT : Jeremy Lecomte, Thomas Raynaud.
Enjeux : construire une analyse critique d’un territoire donné en partant d’un constat jugé problématique. Utiliser les outils intrinsèques de l’architecture : le relevé, le dessin en plan et l’analyse territoriale, puis les lier à un travail d’écriture mettant en évidence la complexité du territoire choisi.
PLANIFICATION SAISONNIÈRE : ENTRE GENTRIFICATION ET TOURISTIFICATION, QUEL AVENIR POUR LES HABITANTS ?
20 millions de chiffre d’affaires en 2019 pour 200 salariés, dont 76% sont générés sur une période d’un à deux mois en hiver : ces chiffres semblent traduire une entreprise touristique en pleine forme. Les conséquences de cette attractivité touristique saisonnière sont cependant plus contestées. Entre les 1 714 habitants que compte la commune de La Clusaz, et sa capacité de 23 000 lits touristiques, le rapport de force entre la vie saisonnière de la station et la vie quotidienne du village est de plus en déséquilibré. Si la station est de plus en plus attractive, le village connaît depuis 20 ans une baisse significative de sa démographie. Face à une prise de conscience mondiale sur le changement climatique se traduisant par une augmentation des mouvements contestataires et d’une volonté de stopper cette envie de croissance quoi qu’il en coûte, la politique de La Clusaz elle aussi commence à changer, évoquant par exemple la possibilité de développer les infrastructures existantes plutôt que d’en créer de nouvelles pour pouvoir préserver l’aspect traditionnel de la station. « Authentique, sportive, familiale et un brin décalé, notre station a tout pour plaire et ce n’est pas un hasard si elle se classe aujourd’hui parmi les 20 les plus attractives de France. Elle doit néanmoins réussir à trouver un équilibre pour conserver sa population et son attractivité ». Si les élus en place se remettent en question et prennent conscience du déséquilibre qui règne entre l’entreprise touristique et la vie au village, ils ne semblent pas avoir de véritable solution à proposer. C’est semble-t-il l’une des raisons principales qui, aux dernières municipales, a mené un groupe d’habitants à s’organiser, et à présenter une liste d’opposition aux élections. Tout en considérant et comprenant la difficulté de faire changer les mentalités d’une population vieillissante qui s’est construite et enrichie grâce au « tout-ski », ADN, emmenée par Alexandre Hamelin, natif de La Clusaz, défendait notamment l’idée d’un modèle de développement plus polyvalent, tant au niveau de sa saisonnalité qu’au public visé. L’embourgeoisement et l’attractivité de plus en plus importante de la station a pour effet de faire monter les prix du marché immobilier, rendant la possibilité de s’installer sur place pour les nouvelles générations de plus en plus difficile. Si les logements destinés à la location sont un vecteur important de cet accroissement des prix, la prolifération de résidences secondaires parait avoir un impact encore plus
important sur les prix du foncier.
La condition géographique rendant toute opération de rénovation ou de construction très coûteuse, les « lits froids » de gens fortunés tendent à remplacer ceux qui pourraient accueillir des habitants de manière pérenne.
Même si dans le même temps, cette gentrification est aussi une des conditions actuelles permettant à la municipalité de mener une politique de préservation du patrimoine bâti traditionnel. Cette dynamique d’une activité enrichissant la commune tout en forçant une partie des générations futures à quitter la municipalité a mené aujourd’hui La Clusaz à un taux de 20% de résidence principale seulement. Ce paradoxe d’un développement unilatéral, s’appuyant sur le ruissellement économique de l’aspect touristique du village, entraine dans le PLU des directives ambiguës.
Par exemple la définition d’un quartier du centre village comme zone prioritaire dans le développement de l’industrie touristique et hôtelière alors même que ce quartier ne possède plus de parcelle constructible et qu’il compte déjà un nombre important d’hôtels et d’infrastructures publico-touristiques. Face à des discours proclamant une économie plus locale et au service du village côtoyant des directives visant à aider au développement touristique, certains natifs finissent par ne plus se retrouver dans leur village hors-saison.
De ce point de vue, La Clusaz est faite de dynamiques contradictoires : une politique territoriale soumise à une ressource économique saisonnière, une prise de conscience inégale au sein de la hiérarchie dirigeante, et un déséquilibre entre rentabilité du village et plaisir ou possibilité d’y vivre. Cependant cette situation n’est pas nouvelle ni même exceptionnelle. De cette difficulté à articuler deux fronts politiques renversés résulte un « objet urbain » particulier, fait de contradictions qui le font exister. De plus en plus attractif pour les touristes et, générant un flux financier de plus en plus important, cette même dynamique semble faire fuir les locaux et rendre de plus en plus difficile la possibilité d’acquérir de nouveaux habitants, quand bien même ceux-ci continuent de vivre principalement du travail que ce modèle de développement leur fourni, directement ou indirectement. À l’heure où le réchauffement climatique fait peser une menace de plus en plus tangible et urgente non seulement sur la montagne mais aussi sur le modèle des sports d’hiver qui la structure encore largement aujourd’hui, l’ensemble des acteurs du territoire affichent des propos nuancés, vantant soit un objectif commun soit une multitude d’objectifs individuels, se basant sur un même constat de nécessité de changer face à un futur de plus en plus incertain, tout en étant pris dans une sorte de miroitement contraire entre développement touristique et habitat.
ENTRE CÎMES ET RÊVERIES
ANNÉE : 2024
Projet de fin d’étude
EQUIPE : Félix Joubert.
ENCADRANT : Reza Azard
Dans le cadre de mon projet de fin d’étude, J’ai effectué des recherches exhaustives à travers diverses époques et échelles territoriales. Aussi, une présentation linéaire pour ce travail me semble inadéquate.
Cette démarche s’inscrit dans la continuité de mon cursus de master. En conséquence, j’ai choisi une approche fragmentée se déclinant en trois typologies distinctes :
Journaux Thématiques : Ces trois volumes examinent l’évolution de la perception des territoires montagneux dans nos sociétés contemporaines et scrutent leur progressive colonisation par des entités urbaines. Pages 37 à 53
Cartographies Diachroniques : Deux cartes offrent une perspective historique, retraçant l’évolution du site concerné par le projet depuis les années 1960. Elles servent également à identifier les points de départ essentiels pour les changements envisagés. Pages 57 à 59
Une intention de projet qui visent à redonner au site sont potentiel urbain passé et futur. À partir de la page 60