Mon but dans ce mémoire a été d’explorer une infime partie de la diversité que constitue l'architecture ainsi que de promouvoir à mon échelle un éloge de l’unicité que provoque le peuple qui conçoit, construit et habite un espace de vie. L’idée est, à travers une étude de l’évolution de l’architecture vernaculaire vers le bioclimatisme en climat tropical, de démontrer l’importance qu’il faut redonner au contexte, d’une part climatique mais aussi socio-culturel menant à la définition de l’identité d’un espace.