On constate ici que, pour permettre d’accéder aux ‘racines’ des maladies, il est important de recevoir les patients sans la présence d’un tiers (qu’il s’agisse du mari, du compagnon ou même d’un des parents). C’est à cette seule condition que le malade peut vraiment se livrer. A la première consultation, il est possible - et souhaitable - de faire une exception. Ainsi on pourra cerner le caractère et le comportement du conjoint, appréhender les tensions au sein du couple, évaluer les résistances éventuelles au changement de vie nécessaire pour retrouver la santé.
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