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09-12-20 LIVRET URBAIN - Groupe n°13 LIVRET URBAIN - Groupe n°13 Humairaa GOLAMNOBEE - Hugo LEMBCKE - Marc-antoine MASUTTI - Sophie TOULOUZE Humairaa GOLAMNOBEE - Hugo LEMBCKE - Marc-antoine MASUTTI - Sophie TOULOUZE



SOMMAIRE I - À GRANDE ÉCHELLE : Montfermeil, une ville qui tend à se mettre en réseau - Une boucle qui intercepte les radiales - Le Grand Paris Express - Un point culminant et un emplacement stratégique - Une dynamique de travail II - À ‘ECHELLE INTERCOMMUNALE : Montfermeil, un puzzle assemblé au fil du temps -

Un puzzle assemblé au fil du temps La pièces 0 - Les 7 îles - Le tissu issus de la topographie Les plateaux pavillonnaires Une empreinte issue des géométries Conjonction des axes Géométrie des mailles L’épaisseur vitale Perspective d’entrée - Point névralgique - Ouverture sur le grand paysage

III - LA NAISSANCE D’UN NOUVEL ESPACE -

Le projet : une mise en lumière des éléments singuliers Travailler la perspective d’entrée La confluence des maillages La perspective d’entrée La tête de l’arboretum La stratégie du projet La programmation

IV - LE SURPLOMB À LA FIN DE LA PERSPECTIVE D’ENTRÉE (Sophie, Marc-antoine) V - L’ÉLÉMENT VERTICAL DE L’ARBORETUM (Huho) VI - LA RÉCEPTION EN PARTIE BASSE DE L’ARBORETUM (Humaïraa)


INTRODUCTION

Pour ce master 1, nous nous trouvons à Montfer meil. Montfermeil est une commune française appartenant au département Seine Saint Denis dans la région île de France. Elle est bordée par les communes de Clichy-sous-Bois au nord-ouest, Coubron au nord, Gagny au sud-ouest et Chelles au sud-est. Le territoire s’étend sur 545 ha situé à l’est de Paris sur le plateau portant la forêt de Bondy. Ainsi, elle possède 69 ha d’espaces verts répartis entre les 21 ha de forêt de Bondy, 20 ha pour le Bois des Or mes, 23 ha de parcs et jardins, 5 300 m2 de massifs fleuris, 3 ha dans les établissements municipaux.


I - À GRANDE ÉCHELLE : Montfermeil, une ville qui tend à se mettre en réseau

- Une boucle qui intercepte les radiales - Le Grand Paris Express - Un point culminant et un emplacement stratégique - Une dynamique de travail


UNE BOUCLE QUI INTERCEPTE LES RADIALES

Montfer meil est une ville qui tend à se mettre en réseau. Elle fait partie du projet Grand Paris Express et se trouve être une intersection sur la rocade. Le Grand Paris Express vise à relié les pôles économiques que sont Orly, Roissy, Saclay et La Défense. En 2030, avec 200km de métro entièrement automatique le réseau pourra connecter 68 gares, grâce à 5 nouvelles lignes. En 2030 la ligne 14 du métro prolongera l’axe nord/sud, et la ligne 15, la principale, for mera une boucle autour de Paris visant à décongestionner et à facilité l’accessibilité entre les banlieues de la grande couronne. D’ici 10 ans, Montfer meil fera donc partie intégrante du nouveau réseau de transport en Île de France.

MONTFERMEIL


UN POINT CULMINANT ET UN EMPLACEMENT STRATÉGIQUE

L’intérêt porté à Montfermeil découle de sa position géographique stratégique : un point culminant au centre d’un archipel forestier qui domine la vue. De plus, Montfer meil se trouve à 15 km de 3 grands pôles économiques : Paris, Roissy et Mar ne la vallée. L’accès à ces grands pôles se font majoritairement en voiture pour un trajet d’environs 50 min.

ROISSY

MARNE LA VALEE PARIS

UN POINT CULMINANT

2,5km


UNE DYNAMIQUE DE TRAVAIL

A cela s’ajoute la dynamique de travail. On constate que les déplacements générés par l’activité professionnel se concentrent majoritairement vers Paris Roissy et se développe plus faiblement à l’est. La sur face blanche représente la déserte des transports en commun en 40 min. Nous pouvons voir qu’elle n’atteint pas les zones de travail des habitants de Montfermeil. Le nouveau zonage représente la desserte du réseau en 2030 afin d’atteindre ces même dis- tance en 40 min.

DYNAMIQUE DE TRAVAIL


II - À L‘ÉCHELLE INTERCOMMUNALE : Montfermeil un puzzle assemblé au fil du temps

- Un puzzle assemblé au fil du temps - La pièces 0 - Les 7 îles - Le tissus issus de la topographie - Les plateaux pavillonnaires - Une empreinte issue des géométries - Conjonction des axes - Géométrie des mailles - L’épaisseur vitale - Perspective d’entrée - Point névralgique - Ouverture sur le grand paysage


UN PUZZLE ASSEMBLÉ AU FIL DU TEMPS

Lorsqu’on arrive à une échelle intercommunale et qu’on découvre les premiers aspects de Montfer meil, on remarque qu’elle se constitue comme un puzzle. On le voit notamment avec les différentes pièces qui s’assemble au fil du temps.

500m


LA PIÈCE 0 - LES 7 ÎLES LE TISSUS ISSUS DE LA TOPOGRAPHIE

La pièce 0, aujourd’hui connu comme le centre ville. Nous sommes en 1764 où elle compte environs 800 habitants. Peu à peu elle évolue et atteint les 1200 habitants avec les 7 îles et la partie topographique en 1896.

500m

500m


LES PLATEAUX PAVILLONNAIRES

Si Montfer meil est constitué de pièces qui for ment un puzzle, on peut voir que certaines pièces ne lui appartiennent pas. On fait référence ici aux 2 plaques pavillonnaires qui vont se greffer à Montfer meil for mant les zones pavillonnaires de Franceville et des Coudreaux. Par la suite, une nouvelle pièce composé des grands ensembles de Clichy sous Bois / Montfer meil s’additionne au reste. Une fois de plus, c’est une plaque qui s’accoste à la ville sans forcément l’appartenir.


UNE EMPREINTE ISSUE DES GÉOMÉTRIES

L’assemblage de ces pièces va laisser paraître une certaine dislocation. Ainsi, on peut voir l’apparition d’une emprunte dans la structure urbaine issue des géométries humaines (le tracé des structures pavillonnaire) et naturelle, la for mation topographique.

EMPREINTE ISSUE DES GEOMETRIES


CONJONCTION DES AXES

Cette dislocation d’apparence va néanmoins influer quant aux relations sociales au sein du territoire. Montfermeil avec ce caractère hétérogène, tend aujourd’hui à remplacer une des pièces de son puzzle par une autre. C’est l’arrivée de la nouvelle gare ainsi que tous les équipements dans le quartier des Bosquets. Elle se traduit par l’apport d’activités nouvelles qui devient une entité de plus qui s’ajoute à la ville. La rencontre de cette nouvelle entité avec Montfer meil provoque une tectonique de plaque qui amplifie la fissure initiale. Autrement dit, la fracture physique va alimenter une fissure sociale. Le nouveau quartier gare accompagné d’équipements à rayonnement national alimentera le centre ville accentuant la fracture avec la plaque pavillonnaire du quartier de Franceville.

CONJONCTION DES AXES


GÉOMÉTRIE DES MAILLES

De part sa géométrie Franceville est d’apparence dissocié de Montfer meil. Or Montfer meil est une commune qui commence au nord avec le quartier des Bosquets et se ter mine au Sud englobant la zone pavillonnaire. Le sentiment d’une appartenance Montfermeilloise est autant affirmé pour ceux qui habitent le centreville, tout comme ceux qui habitent les Bosquets et ceux qui habitent les zones pavillonnaires.


L’ÉPAISSEUR VITALE

En conclusion, la compréhension du territoire nous amène alors à voir que Montfermeil est un en- semble de mailles qui se rencontrent. On fait référence aux différents maillages : celui des axes, le maillage géométrique for mé par les différents tissus et celui de la vitalité, l’indicateur des activités et des usages.


PERSPECTIVE D’ENTRÉE - POINT NÉVRALGIQUE OUVERTURE SUR LE GRAND PAYSAGE

La superposition de ces différents maillages provoque une dislocation de Montfer meil en apparence. Néanmoins on peut voir qu’elle se fait ressentir au niveau de son tissu social. En effet, il y une fissure entre le tissu pavillonnaire et les ensembles collectifs. Or, lorsqu’on découvre le territoire, on s’aperçoit qu’il dispose des éléments singuliers : nous faisons référence à une perspective d’entrée par un axe historique, un point névralgique qui nous ouvre sur le grand paysage. Ces éléments singuliers sont sources de richesse qu’il est évident d’intégrer au projet.


PERSPECTIVE D’ENTRÉE - POINT NÉVRALGIQUE OUVERTURE SUR LE GRAND PAYSAGE

UN POINT NEVRALGIQUE

OUVERTURE SUR LE GRAND PAYSAGE


III - LA NAISSANCE D’UN NOUVEL ESPACE :

- Le projet : une mise en lumière des éléments singuliers - Travailler la perspective d’entrée - La confluence des maillages - La perspective d’entrée - La tête de l’arboretum - La stratégie du projet - La programmation


LE PROJET : UNE MISE EN LUMIÈRES DES ÉLÉMENTS SINGULIERS

La stratégie est alors de trouver un intérêt collectif qui servirait d’intermédiaire entre la zone pavillonnaire et les ensembles collectifs qui donnent cet aspect disloqué de Montfer meil. L’intérêt est de rendre l’espace plus fluide lorsque l’on passe d’un tissu social pavillonnaire à celui d’un tissu historique de centre ville et de grands ensembles. Autrement dit, cela nous amène à nous interroger sur : qu’est ce qui pourrait faire maille ? Et comment pourrait- on le traduire en un espace? De part cette interrogation, nous changeons d’échelle afin d’aborder le projet urbain.


TRAVAILLER LA PERSPECTIVE D’ENTRÉE

Cette compréhension du territoire nous amène à découvrir les éléments singuliers de Montfer meil. On parle de la perspective d’entrée par un axe historique qui nous emmène au point sensible qui nous fait découvrir l’ouverture sur le grand paysage.


LA CONFLUENCE DES MAILLAGES

La prise de position c’est de travailler la perspective d’entrée en agissant à la confluences de tous les maillages dans le but de rappeler le mode de constitution de Montfer meil. En rappelant ce mode de constitution, on tend à mettre en avant le côté atypique de cette ville et on montre que dans le caractère hétérogène il y a des singularités qui sont sources de richesse.


La réflexion nous a amenés à faire «tomber les murs de Montfermeil» en ouvrant le coeur de la ville constitué de l’arboretum, le coeur végétal. Cette échelle inter médiaire passe par un programme qui serait au service du collectif. De ce fait il y a la, la naissance de nouveaux usages et la re-qualification de certains espaces. Nous savons pertinemment que l’architecture ne peut pas tout résoudre, notamment lorsque nous parlons de problèmes d’ordres sociaux. Néanmoins, la création d’espaces nouveaux qui sont la résultante d’inter médiaire entre des échelles d’habitations différentes semble être une alter native dans la fluidité d’une organisation spatiale. Autrement dit, le fait de travailler sur des seuils , des jointures de la ville, cela nous amène à faire naître des espaces où avec le temps, l e s p e r s o n n e s p o u r ro n t s e l ’ a p p ro p r i e r e t o ù d i f f é re n t s u s a g e s pourront véhiculer. A travers la réflexion menée sur ce projet d’atelier, cela nous a per mis de nous interroger sur la naissance de nouveaux espaces qui pourraient «faire maille au sein d’un ensemble de maillage qui compose une ville» .Nous parlons de mailles et de maillages car c’est le mode de constitution de notre territoire d’étude qui est Montfer meil.


LA PERSPECTIVE D’ENTRÉE

La perspective d’entrée est un axe qui subsiste depuis 1700. Au bout de la perspective on y trouvait le château. Aujourd’hui ce tracé est toujours existant, en revanche elle devient principalement pour l’usage du flux automobile. En effet c’est le passage de la départementale qui per met de traverser Montfer meil en diagonale. Avec l’arrivée de la nouvelle gare, on voit l’apparition d’une nouvelle porte d’entrée par les transports en communs. C’est le tracé du tramway 4.


LA TÊTE DE L’ARBORETUM

La «tête de l’arboretum», se caractérise en par différents moments : - L’arrivée par l’axe, sur un plateau - La tête de l’arboretum qui est l’articulation de la ville et du parc arboretum. Elle se situe précisément sue le changement de niveau qu’on va appeler le point d’inflexion. - Puis nous avons l’arboretum au niveau d’une cuve. Cela nous amène à nous interroger sur cette tête d’arboretum : est ce la fin d’une perspective ? ou le début du parc ?

PLAN MASSE ACTUEL


LA STRATÉGIE DU PROJET

La stratégie du projet est de travailler 3 moments : traiter la tête de l’arboretum comme un surplomb (esplanade articulant les flux ), le parc comme une traversée avec différents moments (notamment la tour d’observation afin de convoquer le grand paysage et la partie basse de l’arboretum comme une réception. Ces trois moments du projets découle d’une compréhension topologique pour inscrire des cheminements de différents ordres.

A T E G I E D E GD’une ROUPE

part, avec Sophie et Marc Antoine nous aborderons la question du cheminement en belvédère, d’autre part avec Hugo nous découvriront le cheminement verticale, et pour finir avec Humairaa nous allons plutôt voir un cheminement qui tend à joindre différents niveau.

L RECEPTION

ARBORETUM


LA STRATÉGIE DU PROJET

Ce semestre nous somme dans une idée d’interaction et de mise en réseau entre les équipes. Notre équipe va alors collaborer avec le groupe 8. En effet la stratégie du groupe 8 est de dire que etN E Svient conquérir le haut plateau de l’hôpital. A N M A S S E Dl’arboretum E S S T R A T E G I E Sglisse COMMU L’arboretum devient alors un unique grand parc.

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LA STRATÉGIE DU PROJET

Ce choix d’étendre le tissus végétal au delà de l’arboretum nous amène alors à porter une réflexion sur le statut du vieux chemin de l’abîme ainsi que de la rue de la fontaine jean val-jean. En effet aujourd’hui ces rues séquences le parc en deux parties. Or nous avons une volonté d’en faire une seule et même entité. Nous allons alors changer le statut de ces rues pour qu’elles fassent parties intégrantes du parc : «ce sont des rues du parc». Il va alors y avoir un traitement sur ces voies notamment un rehaussement de chaussée, l’instauration d’une zone de rencontre accompagnée d’une limitation de vitesse.


LA PROGRAMMATION

Nous allons alors aborder la programmation. Comme nous l’avons dit précédemment, dans le projet nous allons travailler sur 3 moments :

- Le surplomb à la fin de la perspective d’entrée (Sophie, Marc Antoine) - L’élément vertical de l’arboretum (Hugo) - La réception en partie basse de l’arboretum (Humaïraa)


IV - LE SURPLOMB À LA FIN DE LA PERSPECTIVE D’ENTRÉE : (Sophie, Marc-antoine)


LE SURPLOMB

Nous commençons par le surplomb : (Sophie, Marc Antoine) Le diagnostique de l’état actuel de la tête de l’Arboretum nous a per mis de relever plusieurs points critiques que nous souhaiterions modifier. Nous nous sommes d’abord penchés sur les bâtiments existants. Alors que l’équipement scolaire est inscrit dans l’identité de la ville grâce à une architecture cohérente à son environnement, l’équipement sportif, situé en face, apparait désuet, voir intrusif. Ainsi, nous avons choisis de conserver l’école et de réhabiliter le gymnase, afin de l’inscrire dans la nouvelle dynamique urbaine de Montfer meil.

Inscrit dans une topographie dépendante, 3 niveaux se dessinent entre les bâtiments. Le premier et le troisième niveaux, composant la plus grande sur face du site, sont consacrés au stationnement automobile. Le second niveau, plus étroit, établis un lien timide entre les deux établissements. Ainsi, cette espace apparait en incohérence face à son environnement, comme un ilot inaccessible, ni intégré à la circulation automobile, ni à l’espace piéton que for me l’arboretum.


LE SURPLOMB Force est de constater que les flux actuels, quelqu’ils soient, contour nent la place. Ainsi, nous souhaiterions créer un parcours mettant en avant la qualité du lieu, c’est à dire, ouvrir la perspective sur le grand paysage, depuis l’axe majeur qu’est le boulevard Jean Jaurès. Nous avons donc pour objectif de créer un véritable balcon sur la ville, permettant aussi de fluidifier les circulations douces, notamment grâce à un jeu de rampes.

Nous projetons donc de créer un deck en bois, surplombants les deux niveaux inférieurs. En plus de créer un point de vu invitant les passants jusqu’à la cime des arbres, il per mettra de développer des volumes qui s’inséreront en dessous. Des tampons arboré, situé en amont, viendront perturber l’horizon afin d’aviver la curiosité des piétions et per mettront également de structuré cette partie du site, grâce à une légère déclivité. Entre ces éléments, des places minérales serviront d’esplanades devants les entrées de l’école et du gymnase. Les espaces circulatoires interstitiels seront en stabilisé.

Élévation vue depuis le parc


LE SURPLOMB

Une fois ter miné, le plan masse rend compte d’un ensemble cohérent, en lien direct avec l’arborétum et offrant un nouvelle dynamique piétonne et patrimoniale à cette endroit. Ainsi on peut voir que le parcours, à travers ces différents espaces, est rythmé par des jeux de pincements et d’ouvertures entre les tampons arborée plus ou moins denses et la large place, et entre les masses bâtis et la jetée en belvédère sur le parc.


LE SURPLOMB

Lorsqu’on s’intéresse à l’insertion du nouveau volume du gymnase, on constate que la topographie per met un jeu de niveau au sein du bâtiments. Doubles hauteurs et jeux de transparence produiront un lien implicite entre la place et la forêt. En rez-dechaussée, directement depuis la place, l’entré et l’accueil du gymnase ce fait par un balcon surplombants le terrain de jeux en contre bas. Derrière les gradins, dans l’espace couvert par le balcon du deck on cherche a aménager des locaux tel que vestiaires ou rangement. Par ailleurs, les autres circulations mènent au balcon puis induisent l’usager à descendre.

AVANT

APRÈS

AVANT

APRÈS


LE SURPLOMB

En sous sol, inséré sous le large deck supérieur, on découvre la médiathèque qui est en lien avec l’école. Ainsi l’espace réquisitionner dans l’école pourrais donc être hybride en fonction des besoins des deux équipements, tel que des salles de lecture aussi bien pour les usagers de la médiathèque que pour les enfants dans un cadre scolaire.


LE SURPLOMB

Plan ré-de-chaussée - niveau place et belvédère

Plan sous-sol - niveau parc



V - L’ÉLÉMENT VERTICAL DE L’ARBORETUM (Hugo) :


UN MIRADOR QUI VA VENIR CONVOQUER LE GRAND PAYSAGE


Situé en iles de France, le parc arboretum de Montfermeil est un site reconnu pour sa faune et essentiellement sa flore très riche. Nous venons apporter une proposition de conception pour l observatoire en tirant parti de son emplacement unique dans une zone en contrebas du plateau de Montfermeil. La différence de paysage au sein du parc et du territoire le closant, a été prise comme base principal de la conception. La vue est dirigée de plusieurs côtés, pour que les visiteurs montant la structure, puissent avoir la chance de voir le paysage caractéristique de Montfermeil et bien au-delà.


Dans un premier temps, nous proposons une promenade qui serait la jointure au parc. Celle-ci surplomberait le sol pour avoir un minimum d impact. Cette rampe ascendante lentement, nous mènerait ainsi à l observatoire par une ballade hors sol de 3% (pour les PMR) à travers les arbres. Ce décalage au sol semble nécessaire pour donner aux visiteur cette impression d immersion entre les feuillages dévoilant peu à peu le mirador.

Parcours botanique du parc arboretum de Montfermeil


Dans cet arboretum nous retrouvons un panel botanique remarquable. Comment faire valoir cette panoplie à travers l observatoire ?

Dans la continuité de la promenade, l usager est amené à l observatoire Ainsi le visiteur peut choisir soit de rejoindre le parc par une descente, soit de marquer une pause au mirador. Nous venons créer un jeu de perspective sur les angles des façades En effet, la façade d entrée est très mince m et la façade de l autre côté est plus large m


La structure de l observatoire est enveloppée par deux composants. La partie large et basse serait en béton brut grâce à ces compétences techniques, donnant ainsi un rappel à la terre, et la partie mince et haute serait un bardage en bois sur ossature métallique donnant ainsi un rappel de l élancement des arbres. Afin d obtenir de faibles coûts d entretien, le bois serait traité avec la technique japonaise bien connue : le Sugi carbonisé, une option écologique et extrêmement durable. Il est très pratique, et il améliore l élégance de la conception. Cependant ces matériaux restent encore à être réfléchis pour une meilleure pérennité.

L observatoire dépasse de peu les arbres. En effet, il viendrait par la topographie se rehausser sur une structure porteuse et surplomber très légèrement ses environs. Le principe structurel jusqu à la hauteur de 25 m serait basé sur la combinaison d éléments verticaux et horizontaux ainsi que des escaliers diagonaux qui, au total, fonctionnerait comme une poutre verticale.


Les étages serviront à créer des séquences de vue mais aussi à la présentation d étude approfondie de l arboretum Des interactions et fonction seraient menée à l intérieur : une convocation au grand paysage. Le rez-de-chaussée se créerait depuis l entrée par la promenade. Il servirait à des audiences et une pleine vue sur les feuillages des arbres. Ainsi cet étage intermédiaire offre deux choix aux visiteurs. Le premier est de continuer la ballade en descendant le sous-sol de l observatoire pour rejoindre le parc et le deuxième est d emprunter les escaliers du dessus menant ainsi peu à peu au sommet panoramique pour contempler en 360° le territoire de Montfermeil.


Au fur et à mesure de l ascension, la peau du mirador se diviserait délicatement, donnant aux visiteur une tout autre impression en arrivant au point culminant : un lien plus direct vers le paysage. La promenade et l observatoire formeraient une présence austère et naturelle, offrant l occasion de découvrir un environnement arboré dynamique.

« L a chi ec

e e le mélange de no algie e d an ici a ion e

ême

Jean Ba d illa d


VI - LA RÉCEPTION EN PARTIE BASSE DE L’ARBORETUM : (Humaïraa)


LA RÉCEPTION

Nous finissons la présentation par le troisième point du projet qui est : La réception en partie basse de l’arboretum La réflexion nous a amenés à faire «tomber les murs de Montfer meil» en ouvrant le coeur de la ville constitué de l’arboretum, le coeur végétal. Le but est de trouver une échelle inter médiaire entre le HLM et les pavillonnaires. Cette échelle inter médiaire passe par un programme qui serait au service du collectif. De ce fait il y a la n a i s s a n c e d e n o u v e a u x u s a g e s , l a re - q u a l i f i c a t i o n d e c e r t a i n s espaces...


LA RÉCEPTION

E n pa r t ie b a sse n o us allons traiter u n chem i nem ent à l a jonction entre 2 niveaux de parcs. De ce fait, nous trouvons la maison de site. L’arboretum est considérés comme étant le «joyau de Montfermeil» de plus le patrimoine végétal est une des singularités de Montfer meil. L’objectif est alors de mettre en avant cet atout. Comme nous l’avons vu précédemment, avec la stratégie du groupe 8, arboretum glisse vers le haut plateau de l’hôpital. La maison de site vient alors tenir l’angle et s’encastrer au pied des immeubles. Situé à l’angle du vieux chemin de l’abîme et de la Rue de la F o n t a i n e J e a n Va l - j e a n , n o u s f a i s a n t f a c e à u n d i f f é r e n t i e l topographique. En effet nous sommes au pieds des immeubles sur un talus gravissant les 5m. La rue et le parc sont situés en contre bas.


LA RÉCEPTION

L’enjeu majeure est de d’articuler les différents niveaux du sol dans le but de faire ressortir un parcourt ludique qui déposerais le visiteur dans le parc.

de d’ ar ticul e r l es d if f é r e n t s n i v e a u x d u s o l d a n s l e b u t d i dépos er ais l e vis ite ur d a n s l e p a r c .


LA RÉCEPTION

L’intervention est avant tout le travail d’un espace public où l’on vient travailler un socle. La stratégie est ici d’articulé cet espace public comme un processus part L ’i n te rde ve nt descente. io n e st a v antCe t o u tprocessus le t r a va il drépond ’u n e s p a cnon e p u seulement b l i c o ù l ’ o n vau i e n t parc t r a v a i de l l e r un soc le . L a s t rasa t égprogrammation ie es t ic i d ’a r ti c u lé : cmaison e t e s pac ede p u bsite l i c c mais o m m e uaussi n p r o ce s s u sl’environnement d e d e s c e n t e . Ce p r oc e s sus par ré po ndproche n o n s e uavec l em e n t lequel a u p a r cil de p a r t s a soit pr o g:r aau m m apied t i o n : de m a ices s o n dimmeubles. e s i t e m a i s a uNous s s i p a r l’e n v iinteragit r o n ne mdevons en t p r oc he a v ec le q u e l il int er a g i t s o i t : a u p i e d d e ce s i m m e u b l e s . N o u s d e on s p r e n dr e prendre en compte le cheminement des personnes vqui e n c omrésident p t e l e ch emi ne me n t de s p e r s o n ne s q u i r é s i d e n t d a n s c e s i m m e u b l e s . dans ces immeubles.

L ’o b j e c tif e s t d e t r o u v er di f f é r e nt es f aç o n s d e p r a t i q u e r c e t e s p a c e . E n e f f e t , l e s p e r sonn e s p e u v e nt a r r ive r ve r s le h au t , i ls s u iv ent l ’ é c o u l e m e n t n a t u r e l l e i n d u i t p a r l a t o p o g r a p h ie et s e vo i t ê tr e dé p o se r en b o r d u r e d e par c. E l l es pe u ve nt e n re va nc h e a r r ive r par le b a s e t d é c i d e n t d e m o n t e r p o u r p r e n d r e d e la h a u t eu r e t a v oi r u n e vu e su r le p ar c . E lle s ar r iv en t a l o r s s u r u n e s p a c e p u b l i c m i n é r a l q u i p ou r r ai t a us si se r v i r d’e xp o s it io n ex tér ieu r .


LA RÉCEPTION

L’objectif est de trouver différentes façons de pratiquer cet espace. En effet, les personnes peuvent arriver vers le haut, ils L’ o b j e ctif suivent e st de t rl’écoulement o uver di ffé r e ntes f aç o n s d e p ra t i qu e r clae t topographie es pa c e . E n e ffe l e s voit p e r s o nn es naturelle induit par ett , se p e u v en t arri ver déposer ve r s le h aut, ils sui ven tde l’ éparc. co ul em e n t na t u r el l e i n d u i t pa r l a t o po g r ap hi e et s e être en bordure vo i t ê tr e dép oser en bor du r e de par c.

Elles peuvent en revanche arriver par le bas et décident de monter E lle s pe u ven t e n prendre r ev anch ede ar rla i vehauteur r par le et b asavoir et d éune c i d e vue n t d esur m ole nt er p o u rElles p r enarrivent d re d e l a ha ute ur pour parc. e t a v o i r u nael ovu e sur le par c. Elle s ar r iv ent a l o rs su r u n e spa c e pu b l i c m i né ra l q r s s u r u n e s p a c e p u b l i c m i n é r a l q u i p o u r r a i t a u s s i uis eprovur i rr ai t a us s i s er v i r d’e xp o sit io n extér ieu r . d’exposition extérieur.


LA RÉCEPTION

Ces parcours nous per mettent évidemment de rejoindre le programme de la maison de site. Car lors de la montée ou de la descente, nous retrouvons l’entrée de la maison de site que nous voyons plus précisément sur le plan RDC. C e s p ar cours nou s permettent évidemment de re j o i nd re l e p ro gra m me d e l a ma i so n d e s ite . C a o rs de la Cette mont éeMaison o u de la cente, n ouplus s r e t préciséement r o u v o ns l ’e n t ré eundeaccueil la m a i so qui n denous sit e qu e no us dedes site c’est v oy on s p lus ée ment DC. d i rpré i g ecis v r s ds ur e s les aplan l l e s Ro ù on retrouverait des expositions, des projections...

C e t t e Ma ison plus e nt i l l qui o uosu d e lra s i rdeers scaell e s où on E t a de n t site p r a c’est tiquem e n pr t éci e nsé t eem rré , iul n facc a u tu e a o r s np v ior ige i r évc r e t ro uv erait de s e xposEn itions , desnous projectio n s. . . en place le principe d’un patio batiment. effet mettons

penché qui per metterai une entrée de lumière. Ce glissement d’un E tan t p ra tiqu nt enterré, il fautdes alors p o u vd’orchestré o i r é c l ai r e r ce baambiance t i me nt . E n e lumineuse ff e t n ous m e tt ons en soleme meuble est l’une façon une p la ce le prin ’unbâtiment. patio penché q ui p e r me t t e r a i u ne e n t ré e de lu m i ère . C e gl is se m ent d’ u au cipe sein ddu s o l m eu ble est l’un e des faç on d’orches tr é u ne a m bi a n ce lu m i ne u se au s e i n du bâ t im e nt.



CONCLUSION

Pour conclure, dans ce titre Montfer maillage, nous avons voulu mettre en avant le fait que Montfer meil soit un ensemble de mailles, maillage qui se rencontrent. Cela nous dévoile le mode de constitution de cette ville et met en avant les singularités que nous avons perçues comme une source de richesse. Ainsi en agissant à des endroits stratégiques, les trois moments du projets : au niveau du balcon de la ville, dans l’arboretum et pour TEST LOGO - Montfer maillage finir à la jonction entre 2 niveaux de parcs, on met en avant le fil c o n d u c
 t e u r d e M o n t f e r m e i l .
 L e s i n t e r v e n t i o n s d e v i e n n e n t d e s espaces qui font mailles dans le grand maillage de Montfer meil.

MAILLAGE

MONTFER

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09-12-20 LIVRET URBAIN - Groupe n°13 Humairaa GOLAMNOBEE - Hugo LEMBCKE - Marc-antoine MASUTTI - Sophie TOULOUZE

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