Ducati Redline Magazine 01|2022 - FRA

The Redline Magazine

Dream Wilder

2023 : L’AN ZÉRO Ducati en MotoE PLUS RAPIDES QUE LE VENT AC75 Luna Rossa GÉNÉRATION DESMO Pecco Bagnaia et Jack Miller

01|2022

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Si vous pouvez le rêver, vous pouvez le faire

Mon aventure chez Ducati a commencé le 1er octobre 1991. J’étais un jeune ingénieur avec des rêves plein la tête. C’était le début de l’ère de la Superbike. Ducati venait de gagner son premier championnat du monde et des personnes merveilleuses, qui m’ont, par la suite, beaucoup appris tant sur le plan professionnel que sur le plan humain, m’ont accueilli à bras ouverts.

Aujourd’hui, Ducati est une entreprise très différente, dont la taille est environ 20 fois supérieure à celle de l’époque. Néanmoins, ses valeurs fondamentales sont restées intactes au fil des années et perdureront à l’avenir.

Aujourd’hui, nous vivons la meilleure période de notre histoire.

Welcome to Ducati Redline Magazine

En effet, la passion pour les courses, pour les belles choses bien faites et pour les émotions que le produit peut procurer a toujours été au cœur des activités de Ducati. De même que des efforts constants en matière de recherche et d’innovation, qui nous ont menés à acquérir de plus en plus de compétences techniques et technologiques, jusqu’à devenir leaders dans différents domaines de notre secteur. Aujourd’hui, nous vivons la meilleure période de notre histoire. L’année 2021 a été la meilleure de toutes en termes de ventes. En MotoGP, nous avons remporté le titre de champions du monde des constructeurs pour la deuxième année consécutive grâce à notre record de 24 podiums. Avec nos jeunes pilotes, nous avons gagné, pour la deuxième fois de notre histoire, le titre de meilleure équipe, un résultat qui atteste de la valeur du parcours entrepris depuis des années.

Èditorial

“Chaque

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exploit mène à de nouveaux objectifs

“

Èditorial

Je suis très honoré de diriger l’entreprise aujourd’hui, et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour qu’elle continue à se développer à l’avenir, en offrant un excellent environnement de travail aux femmes et aux hommes qui travaillent à Borgo Panigale, à celles et ceux qui œuvrent dans nos lieux de vente et de production à travers le monde, et, bien entendu, à nos concessionnaires et fournisseurs.

C’est quand tout va bien qu’il faut investir davantage dans l’avenir.

C’est exactement ce que nous faisons, en tentant de toujours rehausser le niveau de beauté et de technologie de nos produits et en rejoignant avec enthousiasme des univers totalement nouveaux pour nous.

Comme celui des motos à propulsion électrique. L’accord signé avec Dorna en ce qui concerne la fourniture des motos lors de la Coupe du monde FIM Enel MotoE à partir de 2023 marque un moment historique.

Le prototype de la Ducati MotoE a déjà fait ses débuts sur circuit, à Misano, donnant un premier aperçu de son grand potentiel. L’objectif est de fabriquer une moto à la fois performante et légère, fidèle à l’ADN Ducati. Et veiller à ce que les innovations développées avec cette nouvelle expérience influencent l’évolution Claudio Domenicali CEO Ducati Motor Holding S.p.A.

technologique de l’ensemble des produits Ducati, au profit de nos clients passionnés.

En ce qui concerne les nouveautés de la dernière partie de 2021, je ne peux qu’être enthousiasmé par le nouveau DesertX, une moto qui marque nos débuts dans l’univers des 21/18 et reconsidère les limites des possibilités d’une Ducati. Le DesertX a été le temps fort d’une Ducati World Première vraiment inoubliable.

Accompagnée des modèles déjà présentés et des autres à venir dans les prochaines semaines, elle dévoile la gamme la plus complète de tous les temps, l’expression parfaite d’une passion qui ne cesse de grandir.

En ce qui concerne cette dernière, j’ai hâte d’être le 22 juillet 2022 afin que nous puissions tous nous retrouver au Misano World Circuit Marco Simoncelli pour la World Ducati Week. Ce sera l’édition la plus inoubliable de tous les temps, dans le respect de toutes les règles nécessaires pour assurer la sécurité des participants.

Car même si 30 ans se sont écoulés, la passion pour cette merveilleuse entreprise reste intacte. Et pour moi, vivre cette passion aux côtés de chacun d’entre vous est la meilleure façon de célébrer ces nouveaux objectifs.

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Aucun défi n’est impossible

Toujours plus loin, toujours plus haut

Protagonistes de nouvelle génération

L’art de créer un impact

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Don’t stop me now Najla Aqdeir

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Génération Desmo Pecco Bagnaia et Jack Miller

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Un saut dans le futur Audi RS Q e-tron

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Plus rapides que le vent AC75 Luna Rossa

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Énergie indomptable Paolo Mr Pramac Campinoti

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Le fils du désert Max Calderan

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Freedom Vibes Dario Costa

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Passion familiale Troy et Oli Bayliss

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DesertX Dream Wilder

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Liberté totale Voyage aux confins du télétravail

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Multistrada V4 Rule All World

Panigale V2 Bayliss 1st Championship 20th Anniversary Born to celebrate Premiers de la classe Ducati et Unibo Motorsport

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Multistrada V4 Pikes Peak Rule All Mountains

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THE BAR

RAISE

LEAD

THE WAY

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Ducati Unica Le rêve fabriqué sur mesure

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La légende continue Fonoprint et Ducati Scrambler Live

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Surf shack La nouvelle vague du style surf

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Scrambler de cinéma Matrix Reloaded

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Ces années 1990 si spéciales Quand le numérique devient réalité

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DesertX Capsule Collection

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Urban Motard City Rebel

Mission : durabilité Ducati et Volkswagen GoToZero

THE FUTURE

Toujours plus haut Stefano Ghisolfi

Tout pour les courses Luca Salvadori

UNLOCK

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THE CHANGE

2023 : l’an zéro Ducati en MotoE

EXPRESS

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Ducati Redline Magazine 01|2022 The Dream Issue Bienvenue dans l’édition 01|2022 du Ducati Redline Magazine.

Un voyage en quatre étapes dont le fil conducteur est le rêve.

Une aventure qui vous mènera au cœur de la passion Ducati en quatre chapitres.

Intro

Lead the Way Il y a ceux qui rangent leurs rêves dans un tiroir, et ceux qui les réalisent. Max Calderan, explorateur et surhomme, et Stefano Ghisolfi, vainqueur de la Coupe du monde d’escalade sportive en premier de cordée, font partie de la deuxième catégorie. Des dunes de sable conquises par le DesertX à la montagne dominée par la Multistrada V4 Pikes Peak, ce chapitre parle de défis qui ne sont impossibles qu’en apparence.

Comme celui de la révolution électrique, dans laquelle Ducati et Audi s’emploient à écrire l’avenir des motos et des voitures.

Raise the bar Pour réaliser ses rêves, le talent ne suffit pas. Il faut également de l’ingéniosité, de l’implication et une pincée de folie saine. Des caractéristiques partagées par trois sportifs d’exception tels que Luca Salvadori, Najla Aqdeir et Dario Costa. Des caractéristiques qui ont encouragé les ingénieurs de Luna Rossa à imaginer et à fabriquer un bateau capable de voler.

Unlock the Future L’entente gagnante entre Pecco Bagnaia et Jack Miller, l’optimisme irrépressible de Paolo M. Pramac Campinoti, l’enthousiasme de l’équipe UniBo Motorsport et l’émotion éternelle du binôme Ducati-Bayliss, célébrée dans la Panigale V2 Bayliss 1st Championship 20th Anniversary spéciale : l’avenir est le lieu où les rêves deviennent réalité, encouragés par l’énergie des nouvelles générations.

Express the Change Lorsqu’on rêve en grand, on trouve des traces de rêve partout. Dans la Panigale V4 créée et sculptée par le peintre et sculpteur néerlandais Joseph Klibansky. Dans les notes enregistrées dans un studio de musique mythique. Dans l’audace avec laquelle le nouveau Scrambler Urban Motard se fraye un chemin dans la jungle urbaine. L’avantage avec les rêves, c’est qu’ils ne connaissent aucune limite. Et même lorsqu’ils se sont réalisés, leur impact ne s’arrête jamais.

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2023 : l’an zéro À compter de la saison 2023, Ducati sera l’unique fournisseur officiel des motos qui participeront à la Coupe du monde FIM Enel MotoE™, la catégorie électrique du Championnat du monde MotoGP™.

C’est le début d’un nouveau chapitre exaltant de la grande histoire de Ducati dans le domaine des courses.

L’accord signé avec Dorna Sports perdurera jusqu’en 2026 et couvrira donc quatre éditions de la Coupe du monde MotoE.

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2023 : l’an zéro

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Préparons-nous pour une nouvelle ère de spectacle et de développement technologique

Le monde de l’électrique est en constante évolution. En participant à la Coupe du monde MotoE, Ducati pourra développer les meilleures technologies et méthodes de test appliquées aux motos électriques sportives, légères et performantes. Dans le même temps, l’appartenance de Ducati au groupe Volkswagen, qui a fait de la mobilité électrique un élément essentiel de sa stratégie 2030 « New Auto », représente le meilleur moyen de mettre en place un extraordinaire échange de compétences dans le domaine des

groupes motopropulseurs électriques.

Actuellement, les défis les plus importants dans ce domaine concernent les dimensions, le poids, l’autonomie des batteries et la disponibilité des réseaux de recharge. L’expérience de Ducati dans la Coupe du monde FIM Enel MotoE, associée à l’évolution physiologique de la technologie et de la science, apportera un soutien essentiel au service de recherche et développement de produit.

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Une fois encore, les compétitions se transforment en un laboratoire de développement de compétences et de solutions qui deviendront réalité pour tous les motards. L’objectif est de déterminer comment fabriquer, dès que la technologie le permettra, un véhicule électrique Ducati à la fois sportif, léger, impressionnant et en mesure de satisfaire tous les passionnés.

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Audi RS Q e-tron

Audi RS Q e-tron : un saut dans le futur

AU-DELÀ DE L’IMPOSS 14

Audi RS Q e-tron

SIBLE 15

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Audi RS Q e-tron

Audi RS Q e-tron

Tempête électrique Un éclair dans l’esprit. C’est ainsi que naissent certaines idées. Elles arrivent d’on ne sait où, peut-être d’une force ancestrale, difficile à expliquer et impossible à maîtriser.

Parfois, elles s’élèvent lentement, et d’autres fois, elles surgissent de façon impétueuse.

Jusqu’à ce qu’elles se manifestent dans toute leur grandeur et que vous n’avez pas d’autre choix que de les transformer en réalité.

Un défi technologique extrême 17

C’est exactement de ça qu’il s’agit pour l’Audi RS Q e-tron. Une idée révolutionnaire, fruit du génie et du courage associés à une pincée de folie saine. Un projet à première vue impossible, destiné à changer l’avenir des sports mécaniques pour toujours.

Concevoir et fabriquer des voitures révolutionnaires fait partie de l’ADN d’Audi qui, déjà dans les années 1980, avec l’Audi Quattro et la traction intégrale 4x4, redéfinissait d’abord l’univers des compétitions de rallye puis celui des productions de série. Aujourd’hui, quarante ans après cette expérience, le rallye redevient la terre de conquête du constructeur aux quatre anneaux. Et il ne s’agit pas de n’importe quel terre, mais de la plus inaccessible. Le Dakar.

Plus de 4 000 km de course dans des conditions extrêmes. Deux semaines de sable, de boue, de pluie, de complications sur la route et dans l’air. Que l’Audi RS Q e-tron a traversés comme jamais personne n’a osé le faire avant elle : à l’aide d’un concept d’entraînement alternatif, qui allie une transmission électrique avec une batterie haute tension et un convertisseur d’énergie très efficace (TFSI).

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Le défi de l’Audi RS Q e-tron a commencé par une étude de faisabilité sur un concept de propulsion alternative réalisée par une petite équipe d’Audi Sport. Ensuite, les autres services sont venus s’ajouter à cette équipe lors de la phase de développement. Néanmoins, comparé aux projets de courses sur les circuits, ceux-ci ne disposaient pas d’expériences antérieures sur lesquelles s’appuyer.

Tout a été créé de fond en comble, dans le cadre d’un processus où le point de départ et l’objectif final étaient les seuls éléments connus.

De l’idée au prototype Même si le projet emprunte de toutes nouvelles voies, certains principes restent toujours valables. C’est le cas de ceux qui concernent le poids, par exemple. Légèreté est synonyme de vitesse, y compris dans le Rallye Dakar. Étant donné que le poids est la première difficulté des véhicules électriques, chaque pièce de l’Audi RS Q e-tron a été optimisée afin d’atteindre les deux tonnes, c’est-à-dire un poids moindre. En matière d’efficacité, étant donné qu’il est impossible de recharger dans le désert, la voiture est dotée du moteur TFSI déjà efficace utilisé pour le DTM, associé à un groupe motopro-

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pulseur qui charge une batterie haute tension pendant la conduite et récupère de l’énergie lors du freinage. La transmission électrique est identique sur les essieux avant et arrière.

Non reliés entre eux, ils sont gérés par un logiciel qui crée un différentiel central virtuel et pouvant être configuré. Les deux essieux sont dotés de groupes motopropulseurs dérivés de celui de l’Audi e-tron FE07, qui a participé à la saison 2021 de la Formule E. Sur ce type de transmission, les ingénieurs d’Audi ont déjà réussi à atteindre une efficacité supérieure à 97 %. Mais si, dans ce cas précis, les marges de progression sont réduites, du point de vue de la batterie et de la gestion de l’énergie, il reste encore beaucoup à faire pour le développement général de la mobilité électrique. Le savoir-faire obtenu et accumulé pour ce projet, dans un contexte aussi exigeant, sera intégré dans les concepts de production et définira les lignes de développement futur d’Audi.

En effet, une technologie en mesure de relever les défis du Dakar est une technologie capable de fonctionner partout. C’est l’une (voire la seule) des certitudes que garantit cette compétition extrême. Un défi au charme irrésistible et un incubateur technologique comme il en existe peu dans le monde.

Une occasion unique pour ceux qui n’ont pas d’objectif particulier, si ce n’est d’écrire l’histoire.

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Audi RS Q e-tron

Dakar 2022

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Electrified

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D AY O N E

D AY F O U R D AY T W O

M A X

D AY F I

C A L D E R A N

LE FILS DU DÉS 20

Max Calderan

D AY S I X

IVE

D AY N I N E

SERT Pour les gens ordinaires, le désert ne contient que du sable. Mais Max Calderan n’est pas un être humain comme les autres. Pour lui, le désert contient tout. Amateur de sport extrême et explorateur, Max est entré dans la légende après

avoir été le premier à traverser, en solitaire, les 1 100 km du Rub al-Khali, le Quart Vide de l’Arabie Saoudite, la dernière frontière inexplorée de la Terre.

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D AY

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Max, comment prépare-t-on une prouesse comme la traversée du Rub al-Khali ?

Avec sa capacité à rêver. En grand, en très grand, en bien plus grand que ce que vous serez finalement capable de réaliser.

Enfant, je rêvais d’aller sur Mars, et j’ai été récompensé avec la traversée du Quart Vide, un lieu où personne n’avait jamais osé s’aventurer.

Comment avez-vous préparé votre corps à un projet aussi extrême ?

Avec des années d’expériences physiques très différentes les unes des autres, comme le ski alpin, l’escalade, le volley-ball et le skateboard. Et des privations toujours croissantes. Pour moi, s’entraîner signifie atteindre l’épuisement total, afin de pousser mon corps à ses limites et réduire autant que possible la dépendance physiologique et naturelle à la nourriture, à l’eau et au sommeil.

EL MAHDI Né en 1967, Max Calderan a accompli 14 premières mondiales dans le domaine de l’exploration désertique. Avant son périple dans le Quart Vide, il avait réalisé d’autres exploits dont

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la traversée, pendant 90 heures consécutives, d’Oman le long de la ligne du tropique du Cancer, et plus de 22 heures de montée et descente non-stop sur la Dune Moreeb aux Émirats arabes unis.

Max Calderan

Et vous y êtes parvenu, à tel point que vous êtes aujourd’hui devenu le « Mahdi ».

Oui, c’est comme cela que m’appellent les Bédouins. Cela signifie « guidé par Dieu » et, selon la foi musulmane, le Mahdi est le prophète qui surgira du désert et sauvera le monde à la fin des temps. C’est un nom dont je suis très fier, car il témoigne du lien que j’ai tissé avec ces personnes.

L’exploration, ce n’est pas seulement une prouesse physique.

C’est également de la culture, du savoir et des relations sociales.

Pour explorer un territoire, vous devez d’abord parler avec ses habitants. Écouter leurs histoires.

“ J’ai choisi le désert car c’est la terre la moins explorée, que ce soit d’un point de vue géographique que d’un point de vue culturel. ”

exploration au Qatar, que je suis explorateur à temps plein. Je le suis dans la vie quotidienne, et tout particulièrement pendant mes périples, quand j’active le mode « Desert ».

Comment l’exploration du Rub al-Khali vous a-t-elle changé, si tel est le cas ?

Elle ne m’a pas changé. Cela fait depuis 2006, depuis ma première

Et qu’est-ce qui caractérise votre mode « Desert » ?

Mon mode « Desert » est centré sur le concept de privation. Il faut éliminer tout ce qui n’est pas strictement nécessaire, se libérer de tout ce qui est superficiel. Devenir comme les animaux, avancer seul et en totale symbiose avec la nature et ses éléments.

Que ressent-on lorsqu’on est seul au milieu du désert, à des centaines de kilomètres de l’être humain le plus proche ?

Dans le désert, il n’y a que du sable. Le silence est total. Vous entendez votre cœur battre, votre sang couler dans vos veines. C’est à ce moment précis que vous parvenez à rassembler toute l’énergie que la nature vous offre. Et c’est la raison pour laquelle, même dans le désert, on ne se sent jamais seul.

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Avant Max, d’autres explorateurs sont parvenus à traverser des portions plus courtes du Rub al-Khali, sur des chameaux ou

des véhicules tout-terrain. Max a effectué son voyage à pied en suivant un itinéraire inexploré, qui sera indiqué sur les cartes

géographiques sous le nom de « Calderan Line ».

Vous préparez-vous actuellement pour une nouvelle exploration ?

Non, avec trois enfants, dont un né peu après mon retour du Rub al-Khali, les grands projets auxquels je souhaite me consacrer sont uniquement ceux liés à ma famille. Néanmoins, je mets actuellement en place différentes activités d’apprentissage et de

communication pour les plus petits. Je souhaite leur permettre de rétablir un rapport sain avec la nature, et utiliser la science et la technologie pour élargir nos horizons et nous donner de nouvelles possibilités infinies.

Dernière question : de toutes les terres extrêmes, pourquoi avoir choisi le désert ?

Car c’est la terre la moins explorée, que ce soit d’un point de vue géographique que d’un point de vue culturel. Je n’ai jamais souhaité suivre les traces de quelqu’un.

Au contraire, j’aimerais que les autres suivent les miennes.

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Max Calderan

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Highlight

THE NEW DUCATI DESERTX 26

DesertX

DREAM WILDER

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Highlight

21" / 18” Roue avant / Roue arrière

230

mm

Course de suspension

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Modes de conduite

937

cm3

Moteur Testastretta 11°

28

mm

DesertX

Préparez-vous à l’aventure d’une vie.

Exploration. Plaisir. Performances. Et une grande envie de voyager. L’identité de cette moto ne laisse aucune place au doute : le simple fait de la regarder vous transporte dans l’atmosphère des courses du Dakar.

Dotée d’une roue avant de 21” et d’une roue arrière de 18”, le nouveau DesertX a été conçue pour traverser même les terrains les plus exigeants en matière de tout-terrain. Le développement dédié au tout-terrain associé à l’expertise de Ducati sur la route donnent vie à une moto réactive et maniable, qui s’adapte à n’importe quel type de parcours et d’asphalte.

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Highlight

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DesertX

Mon désert, ma première DesertX Par Antoine Méo* Lorsque j’ai participé au Dakar, les pilotes les plus expérimentés me disaient qu’une fois qu’on essaie le désert, il reste en nous pour toujours et on ne peut plus s’en passer... Ils avaient raison !

C’est une sensation merveilleuse, d’extrême liberté, qui m’a vraiment manquée. La revivre dans le désert de Fossil Rock, au guidon de le nouveau DesertX, était pour le moins passionnant. Et impressionnant !

En effet, je n’avais jamais essayé la moto avant de venir ici. Néanmoins, il m’a suffi de monter dessus pour réussir à l’apprivoiser. Quand j’ai allumé le moteur et que j’ai démarré, j’avais l’impression de l’avoir toujours pilotée.

Quintuple champion du monde d’enduro

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Vous sentez immédiatement que cette moto a été créée pour le tout-terrain, il y a vraiment un excellent équilibre pédale-selle-guidon. Lorsque vous êtes debout, vous pouvez décharger tout votre poids sur les pédales, vous n’avez pas besoin de rester agrippé au guidon, ce qui vous permet de rester détendu, même quand vous devez rouler pendant une longue durée.

La moto se conduit très bien en tout-terrain. Elle présente un avant léger et est toujours en équilibre sur les sauts. Notamment grâce à ses suspensions qui, en plus d’offrir une excellente réponse, sont très sensibles aux réglages et très personnalisables.

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Highlight

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DesertX

Pour ce qui est de l’électronique : souvent, les motos de cette catégorie ont tendance à être soit trop simples, soit trop compliquées.

Les premières ne vous offrent pas l’assistance nécessaire pour rendre la conduite moins fatigante. Les secondes présentent des systèmes de gestion tellement complexes que, finalement, ce n’est pas vous qui guidez la moto mais la moto qui vous guide. L’électronique de le DesertX, quant à elle, est parfaitement équilibrée. Les réglages sont très utiles dans les situations les plus décontractées, mais si vous souhaitez piloter dans des conditions plus difficiles, sur des dunes par exemple, il vous suffit de tout éteindre et d’utiliser la moto dans sa version nue et brute. J’ai vraiment beaucoup apprécié cela, car une moto qui parvient à répondre à mes besoins est une moto qui me fait me sentir vraiment libre.

Son moteur, le légendaire Testastretta 11°, présente également une polyvalence maximale. Toujours prêt et généreux, grâce à cet étalonnage spécialement conçu pour le tout-terrain, il dispose de la puissance idéale dans toutes les situations de conduite, même les plus difficiles. Mais je l’ai trouvé très agréable, y compris lors des tronçons simples, des moments de voyage et des déplacements. Ce n’est pas rien. En réalité, le désert est un émerveillement constant.

Et quand vous y êtes, vous ne voulez qu’une seule chose : en profiter pleinement. Tout ce dont vous avez besoin, c’est d’être accompagné des bons compagnons de voyage.

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Multistrada V4

RULE ALL WORLD Virages, gués, ruelles. Sur les sentiers rocailleux des Alpes comme dans les virages sinueux de la Côte d’Azur. Quelle que soit la destination, pour la Multistrada V4, il n’existe qu’une seule façon d’aborder la route : la dominer. Et les éloges de la presse spécialisée et des passionnés du monde entier sont là pour le prouver.

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Multistrada V4

Multistrada de nom et de fait Depuis sa présentation, la quatrième génération de la gamme Multistrada a suscité un intérêt hors du commun.

Le V4 Granturismo, un moteur de 170 ch dont les intervalles d’entretien sont de 60 000 km, soit plus du double de la moyenne du segment. La technologie inédite à double radar, avant et arrière, jamais vue sur une moto par le passé. Sans parler de l’électronique de pointe, de la partie cycle et de l’ergonomie entièrement revisitées et de l’aérodynamique entrée dans une nouvelle phase d’évolution. Les éléments innovants de la Multistrada V4 étaient nombreux et à la vue de tous. Au moins aussi évidents que ses ambitions, renfermées dans une promesse - Rule All Roads - qui s’est immédiatement révélée être une réalité.

Côte d’Azur

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@ducati_frejus

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Star omniprésente D’un côté, la rencontre avec le public : de la Colombie a l’Extrême-Orient, les ventes de la Multistrada V4 ont conduit à une année de forte croissance de Ducati dans le monde entier. De l’autre, celle avec les experts. Le terrain des grandes enduros est perfide, battu par tous les porte-drapeaux technologiques des constructeurs.

Les comparatifs réalisés par les principaux magazines de moto internationaux ont néanmoins démontré que la Multistrada V4 n’est pas seulement la dernière évolution d’une histoire pleine de succès, c’est également une nouvelle référence pour tout un secteur.

Due Ruote et Motociclismo (Italie), Moto et Motards (France), Allt om MC (Suède) et Bike (Royaume-Uni).

Voilà certains des magazines qui ont attribué la victoire à la Multistrada V4 lors de leurs tests comparatifs.

Tests auxquels s’ajoute le plus prestigieux de tous : l’Alpen-Masters, le défi des défis organisé par la revue allemande Motorrad, durant lequel des motos de différents segments s’affrontent lors d’essais de différentes natures sur les routes et les sentiers des montagnes alpines.

Colombie

@mateo_medinac

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Multistrada V4

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Multistrada V4

Sur le toit du monde Si l’Alpen-Masters est le test le plus prestigieux au monde, ce n’est pas uniquement pour la beauté des lieux dans lesquels il se déroule. Tels que le Grossglockner, col autrichien très apprécié des motards pour la variété de son parcours et pour les conditions impeccables de l’asphalte, qui a accueilli l’édition 2021 du test. C’est également pour l’exhaustivité des tests, dont le but est d’évaluer une moto sous tous ses angles au moyen d’une combinaison d’essais classiques et spécifiques étudiés dans les moindres détails. Comme, par exemple, le contrôle de l’élasticité du moteur, qui consiste à mesurer le temps nécessaire à une moto en deuxième vitesse pour passer de 25 km/h à 75 km/h avec un passager à son bord tandis qu’elle parcourt une route en forte pente. Il existe également des tests qui évaluent le niveau de confort, la protection aérodynamique et les équipements techniques.

Atteindre le sommet du classement de l’Alpen-Masters, en mettant fin à une longue série de succès allemands et autrichiens, semblait un défi impossible. Mais la Multistrada V4 est une moto née pour briller. Prête à aller n’importe où dans le monde pour décrocher le prix le plus convoité.

Vallée du Zanskar, Inde

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La meilleure compagne de voyage La Multistrada V4 a défini de nouveaux standards de puissance et de facilité d’utilisation dans le secteur de l’Adventure Touring. Même lors d’une conduite avec passager et à pleine charge, la moto garantit une facilité de conduite et une stabilité de route à haute vitesse, grâce notamment à son excellente protection aérodynamique et à son système d’oscillation des sacoches.

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Multistrada V4

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Multistrada V4

« Une compagne infatigable aussi bien pour les déplacements quotidiens que pour les vacances en moto à pleine charge. » Motorrad

« Un moteur qui n’a aucun point faible, accompagné d’une partie cycle très précise. » InMoto

« Séduisante, avant-gardiste, performante, palpitante. L’indomptable V4 bombe le torse comme un gorille de montagne à chaque poignée de gaz. » Motociclismo

« L’accomplissement d’un processus de développement de 20 ans, dont chaque détail révèle un travail de réglage minutieux. » Due Ruote

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STEFANO GHISOLFI

TOUJOURS PLUS HAUT Il faut beaucoup de force, aussi bien physique que mentale, pour s’accrocher à ses rêves.

Stefano Ghisolfi, vainqueur de la Coupe du monde d’escalade sportive en premier de cordée 2021, sait ce que signifie partir du bas pour arriver au sommet.

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Stefano Ghisolfi

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Stefano Ghisolfi

Certaines passions naissent par hasard, puis deviennent une raison de vivre. À 11 ans, Stefano Ghisolfi réalise sa première ascension. Moins d’un mois plus tard, il signe son premier podium lors d’une compétition officielle. Commence alors une longue et incontrôlable ascension qui atteint son apogée en 2021 : Stefano « libère », comme on dit dans le jargon, deux des voies les plus difficiles au monde, Erebor et Bibliographie, triomphe au Rock Master Festival d’Arco et, enfin, remporte, après l’avoir touchée du bout des doigts à deux reprises, sa première Coupe du monde.

Stefano, commençons par le commencement.

Qu’est-ce qui vous a poussé à vous diriger vers un sport non conventionnel comme l’escalade sportive ?

Cette rencontre est due au hasard. Quand j’étais petit, je faisais du vélo et du snowboard. Un jour, des amis m’ont fait grimper avec une corde. Ça m’a tout de suite plu. Lors de ma première compétition, je suis arrivé deuxième alors que je n’avais même pas de chaussons d’escalade. Un an plus tard, je remportais le championnat d’Italie junior. À partir de là, tout a été crescendo.

Escalade de bloc, escalade en salle, escalade en plein air. Voie courte, grande voie. Quel type d’escalade reflète le plus votre caractère ?

J’ai commencé avec l’escalade de bloc, puis, avec le temps, je me suis spécialisé dans l’escalade en premier de cordée, aussi bien en salle qu’en plein air. Au cours de la saison, j’alterne entre moments en salle et moments sur la roche. Deux âmes s’équilibrent et se complètent en mon for intérieur de grimpeur.

Stefano Ghisolfi est né en 1993 à Turin. Avec Adam Ondra et Alex Megos, il est le seul grimpeur au niveau mondial à avoir terminé au moins deux voies de difficulté 9b+, avantdernière cotation de difficulté dans le domaine de l’escalade sportive.

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Quel point essentiel vous a permis d’atteindre le plus haut niveau mondial de l’escalade sportive ?

La persévérance. Je me suis constamment entraîné, je n’ai jamais manqué l’occasion de participer aux compétitions les plus importantes de la saison et j’ai renoncé à toutes les activités qui pouvaient mettre ma carrière en danger, notamment parce qu’aucune autre ne me procurait le même plaisir. Cela m’a permis d’évoluer de façon progressive et constante.

Vous n’avez pas vécu de moments difficiles ?

Si, un seul, l’année dernière, quand j’ai été privé du rêve des Jeux olympiques. Je n’ai pas réussi à me qualifier lors du premier essai, et ma seconde et dernière chance, le Championnat d’Europe de Moscou, a été annulé à cause de la Covid. C’était frustrant, mais je suis parvenu à transformer cette énergie négative en de nouveaux objectifs.

Quels éléments faut-il maîtriser pendant une compétition ? Et pendant une voie en plein air ?

En compétition, la préparation est essentielle.

Vous avez six minutes pour analyser la voie et six minutes supplémentaires pour la réussir en un seul essai. Si vous ne parvenez pas à effectuer tous les mouvements à la perfection, aussi bien mentalement que physiquement, vous n’avez aucune chance. Sur la roche, en revanche, vous vous battez contre vous-même. Vous pouvez choisir à quelle période de l’année et avec quelles conditions climatiques tenter la voie, et vous savez que vous avez toujours une autre chance. C’est un défi complètement différent, qui nécessite une excellente connaissance de soi.

Sur quelles voies et dans quelles conditions parvenez-vous à donner le meilleur de vousmême ?

Mes meilleurs atouts sont ma force et ma résistance, c’est pourquoi j’aime beaucoup les murs en surplomb et très inclinés. Comme Perfecto Mundo en Espagne et son inclinaison de 45°, par exemple. Ou Change, en Norvège, un mur quasi horizontal situé à l’intérieur d’une gigantesque grotte.

Comment pensez-vous pouvoir vous élever encore davantage ?

En tentant de libérer une voie cotée 9c, la seule cotation qui se trouve au-dessus du 9b+. Je n’ai pas vraiment le choix puisqu’il n’en existe qu’une : Silence, en Norvège. À moins que j’en libère une nouvelle.

Y a-t-il un endroit dans le monde où vous aimeriez être le premier à le faire ?

Oui, ici, à Arco, où j’habite depuis plusieurs années. Je ne pensais pas qu’ouvrir de nouvelles voies, leur donner un nom et faire en sorte que d’autres puissent les libérer me procurerait autant de plaisir. Si je dois imaginer mon avenir une fois ma carrière sportive terminée, eh bien, c’est précisément comme cela que je le vois.

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Highlight

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Multistrada V4 Pikes Peak

RULE ALL MOUNTAINS

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Highlight

La nouvelle Multistrada V4 Pikes Peak n’est pas seulement la Multistrada la plus adaptée à la course de tous les temps, c’est également la dual bike la plus sportive au monde.

Une moto conçue et fabriquée tant pour profiter pleinement des sensations des virages de montagne que pour ressentir toute l’adrénaline de ses performances entre les vibreurs d’un circuit.

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Agile, maniable et précise, son aisance à fermer la trajectoire est déjà excellente en entrée de virage et se poursuit également en mettant les gaz : la nouvelle Multistrada V4 Pikes Peak suit véritablement le regard du pilote.

Multistrada V4 Pikes Peak

Le sud de l’Espagne, où se trouvent la chaîne de montagnes de la Sierra Nevada et le Circuito Nuevo de Andalucia, est sa terre de conquête idéale.

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Roue avant de 17”

EC 2.0 Suspensions Öhlins Smart EC 2.0

MONO Monobras oscillant

214 Poids à sec

kg

Sur circuit, entre les vibreurs et les longues lignes droites en contrepente, la nouvelle Multistrada V4 Pikes Peak tire le meilleur parti des 170 ch du V4 Granturismo, grâce notamment au Riding Mode Race doté d’une stratégie dédiée, conçu pour libérer de manière optimale toute la puissance de la moto sur circuit. La cartographie, qui permet une réponse de l’accélérateur plus directe et une intervention progressive du limiteur, associée aux nouvelles stratégies pour Quickshifter et contrôle du cabrage, optimise les performances dans les virages et offre à la Multistrada V4 Pikes Peak un comportement de véritable moto de course.

Lorsque vous empruntez des routes de montagne sinueuses, son caractère dominant permet de suivre le tracé avec une extrême précision de conduite. La roue avant de 17” et la partie cycle dédiée de la nouvelle Multistrada V4 Pikes Peak offrent une maniabilité maximale en entrée de virage et lors des changements de direction, grâce notamment au couple généreux (toujours facile à gérer) du moteur qui permet un contrôle total lors de la prise de virages. Une sensation amplifiée par une ergonomie spécifique et par les suspensions Öhlins Smart EC 2.0 qui, en plus d’augmenter la précision de la conduite, permettent de ressentir les émotions de la conduite sportive entre les vibreurs d’un circuit ou dans les virages d’un col de montagne.

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Najla Aqdeir a toujours su surmonter les obstacles grâce à ses passions. Le sport, la course et maintenant son Monster, qui est entré dans sa vie avant même qu’elle ne puisse le piloter. Car Najla est une boule d’énergie impossible à canaliser. Après tout, comme elle aime à le dire elle-même « Vivre ce n’est pas se trouver, c’est se créer. ».

Najla Adqeir

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COUP DE FOUDRE

Vous êtes née et avez grandi avec cette passion pour la course.

Quand avez-vous découvert votre passion pour les motos ?

Il y a deux ans, quand des coéquipiers m’ont fait découvrir l’univers des rassemblements de motards. En voyant tous ces motards qui continuaient à filer à toute vitesse devant moi, je me suis tout de suite dit que je voulais être comme eux.

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Najla Adqeir

« Je n’arrêtais pas de fixer les motos des autres jusqu’à ce que je me dise : ok, maintenant j’en veux une à moi. » Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans le Monster ?

J’aime beaucoup l’avant. Il est différent de celui des modèles précédents et je le trouve très moderne et séduisant. Mais ce que j’adore par-dessus tout dans cette moto, c’est sa couleur rouge.

Quelles sensations vous procure-t-elle ?

Quand je me mets au guidon et que je m’imagine piloter ce bolide, j’ai l’impression d’être la reine du monde !

Dans une vie à 100 à l’heure, quand trouverez-vous le temps de faire de la moto ?

C’est vrai, il n’y a pas une seconde de répit dans ma vie. Mais ne vous inquiétez pas, on trouve toujours le temps de faire de la moto ! Et puis, pour participer aux courses, suivre mes entraînements et faire du bénévolat, il faudra bien que je me rende à Milan, non ?

Quel effet ça fait de devenir une Ducatiste ?

Quand j’ai reçu ma moto, j’ai tout de suite réalisé que j’étais

entrée dans quelque chose de grand, d’historique. Maintenant, je ressens cela dès que je lis l’inscription « Ducati »

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sur le réservoir. C’est vraiment une sensation fantastique, et j’ai hâte de participer à mon premier rassemblement !

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Hauteur du mât : 26,5 mètres

Surface du plan de voilure : 400 m2

Longueur de la coque : 23 mètres

Longueur des bras des foils : 5 mètres

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AC75 Luna Rossa

PLUS RAPIDES QUE LE VENT Dans le secteur des sports nautiques, comme dans celui du motocyclisme, le développement technologique est guidé par l’aérodynamique.

Depuis toujours, le domaine des courses et des compétitions sportives encourage l’innovation technologique la plus extrême. Et ce n’est pas un hasard si le terrain de jeu du secteur des sports nautiques et celui du motocyclisme se concentrent de plus en plus sur un élément commun : l’air.

L’air est un élément essentiel pour la vitesse d’une moto. En effet, au-dessus de 100 km/h, la résistance aérodynamique devient le plus grand obstacle à l’avancement de la moto. Davantage encore que la friction des pneus ou que le dénivelé d’une route. L’air génère également ce qu’on appelle la force verticale, ou portance, qui influence les phases de freinage, d’accélération et de trajectoire dans les virages.

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Sur les ailes de l’innovation Ducati fut la première écurie en MotoGP à intégrer de façon systématique des appendices sur les ailes, afin de diminuer le flottement de la roue avant et d’augmenter la stabilité de la moto aussi bien lors de l’accélération que du freinage. S’en est ensuivie une phase de progrès technologique sans précédent.

Toutes les équipes ont œuvré à leur tour à la conception et au développement de nouvelles solutions technologiques.

Les AC75, les bateaux qui ont participé à la dernière Coupe de l’America, marquent eux aussi un tournant dans l’histoire des sports nautiques. Les monocoques de 75 pieds (presque 23 mètres), dont le poids est de 6,5 tonnes, ont impressionné tout le monde avec leurs foils latéraux, grâce auxquels ils parviennent véritablement à voler au-dessus de la surface de l’eau.

Cela provient du fait que l’aile élimine la résistance de la coque. Cette dernière n’a plus besoin d’être immergée pour que le bateau reste en équilibre puisque sa résistance est remplacée par celle de l’aile, dont la portance entraîne un moment de redressement.

AC75 Luna Rossa

Le foil est réglé de façon à ce que la portance soit égale au poids à chaque instant.

Plus ils s’élèvent de la surface de l’eau, plus ils acquièrent de la stabilité.

La coque est conçue pour offrir la plus faible résistance aérodynamique possible.

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Mât

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Le défi des AC75

Soft wing

Code Zero

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Foil

Gouvernail Comparé aux catamarans utilisés lors des éditions de 2013 et de 2017, choisir de participer avec les monocoques a été une véritable révolution pour les équipes.

En effet, le catamaran est doté d’une grande stabilité de départ, qu’il perd partiellement en vol. Pour le monocoque, c’est l’inverse qui se produit. Dépourvu de stabilité pendant qu’il navigue, il l’acquiert lorsqu’il se soulève.

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AC75 Luna Rossa

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Conçus pour voler Lorsqu’ils atteignent un certain seuil de vitesse, les AC75 planent en vol et seulement 2 % de leur surface totale restent immergés dans l’eau.

Quand ils sont dans les airs, ils peuvent naviguer à plus du double de la vitesse du vent, jusqu’à dépasser les 50 nœuds (plus de 90 km/h). Un chiffre incroyable qui souligne toute l’excellence technique atteinte par ces monocoques. Une catégorie de bateaux qui crée l’écart avec tout ce qui a été vu en mer jusqu’à présent et qui propulse l’univers nautique dans une nouvelle ère.

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AC75 Luna Rossa

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Freedom vibes

Dario Costa

Le sentiment de liberté est une chose très personnelle.

Pour Dario Costa, la liberté, c’est battre des records en vol acrobatique et de course, réaliser le rêve de toute une vie en traversant un tunnel en avion et faire un tour au guidon de son Scrambler.

Dario, commençons par le commencement.

Comment vous est venue l’idée de traverser un tunnel en avion ?

C’est une idée que j’ai eue pour la première fois à l’âge de 12 ans, lorsque je n’étais qu’un enfant avec une passion débordante pour les avions. Ensuite, je suis devenu pilote cascadeur et pilote de course, et cette idée est devenue une obsession. Je n’étais pas le seul à avoir ce rêve, les films et les dessins animés sont remplis de traversées de tunnels en avion. Mais, j’ai été le premier à réellement le faire.

Que vouliez-vous prouver en réalisant cet exploit ?

Tout le monde a déjà conduit une voiture ou une moto à l’intérieur d’un tunnel, donc tout le monde sait qu’un avion n’est pas censé passer dans un tunnel. Je voulais prouver le contraire. Que le talent n’existe pas mais qu’avec de l’entraînement, de l’implication et de la préparation, tout est possible.

Le talent n’existe pas mais une vocation si, n’est-ce pas ? Comment avez-vous découvert la vôtre ?

Je pense que tout dépend de ce que nous voyons et enregistrons lorsque nous sommes enfants. J’ai grandi en Libye, j’ai eu la chance de monter dans un avion lorsque j’étais tout petit et j’ai toujours été fasciné par le sentiment d’infini que l’on éprouve en vol. Quand je suis dans un avion, je me sens libre, je ne pense à rien, seulement à voler et à profiter du paysage.

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Le 4 septembre 2021, Dario Costa a signé un nouveau record dans l’histoire de l’aviation en pilotant son avion de course pendant 43,44 secondes à une moyenne de 250 km/h à travers les tunnels de Çatalca, en Turquie.

Dario Costa

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Et votre passion pour les motos, d’où vient-elle ?

Quand j’avais six ans, ma famille a déménagé à Bologne, à deux pas seulement de l’usine de Ducati. Pour un enfant qui rêvait de voler, c’était tout naturel de se passionner également pour les sports mécaniques. À 14 ans, j’ai commencé à faire de la moto et je n’ai pas arrêté depuis, mais ma passion va au-delà de la conduite. Ce que je veux dire, c’est que je pourrais passer une journée entière à regarder une Panigale V4 R. Et ce que j’apprécie beaucoup dans les motos, c’est qu’elles peuvent être modifiées.

En effet, un Ducati Scrambler entièrement personnalisé se trouve désormais dans votre garage.

Oui, j’ai choisi le Scrambler car je voulais une moto utilisable tous les jours et facile à personnaliser. Le Scrambler Icon Dark était la base parfaite, à laquelle j’ai voulu donner un côté un peu plus racing. J’ai fait installer deux roues de 19’’, un système d’échappement réalisé sur mesure par l’équipe de Ducati Salzbourg et le guidon du Scrambler Full Throttle.

Que ressentez-vous au guidon de votre Ducati Scrambler ? Vous recherchez l’aventure, la détente, le plaisir ?

Je recherche la même chose que dans un avion. Par la force des choses, la moto ne peut pas m’offrir le même sentiment d’infini qu’un panorama qui s’étend au-delà de l’horizon, mais la sensation de liberté est la même. Je pourrais conduire mon Scrambler pendant des jours et des jours sans me soucier de rien. Je suis toujours pressé de partir, mais jamais d’arriver.

« À moto, je suis toujours pressé de partir, mais jamais d’arriver. »

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LIBERTÉ TOTALE Voyage aux confins du télétravail extrême Prendre part à un appel depuis une terrasse avec vue sur la mer. Se promener dans la forêt une fois sa journée de travail terminée. Ce qui était auparavant réservé à une minorité concerne aujourd’hui un nombre toujours plus grand de personnes qui, avec la pandémie, ont pris conscience que leur bureau pouvait se trouver n’importe où à condition de disposer d’une table, d’un ordinateur portable et d’une connexion internet.

Sommes-nous en train de tous nous diriger vers un avenir de nomades numériques ? Difficile à dire. Certains métiers ne peuvent pas être exercés à distance et certaines personnes ne peuvent pas se permettre la liberté personnelle que nécessite ce mode de vie. Bien entendu, le télétravail est un outil supplémentaire pour ceux qui ressentent le besoin de sortir de leur routine, qui sont à la recherche de nouvelles inspirations ou qui souhaitent regarder les choses sous un angle différent, même si ce n’est que pour de courtes périodes.

Les opportunités ne manquent pas. Des agences immobilières, des portails de vacances ainsi que des studios de design proposent des solutions adaptées à tous les goûts et à tous les besoins.

Entre camping-cars, mobile homes, chalets en haute altitude, il vous suffit de choisir une destination et de laisser libre cours à votre créativité !

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Panoramic Business Room, Cortina d’Ampezzo, Italie

Travailler en admirant le paysage unique des Dolomites, site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, dans un bureau aux murs de verre situé en haute altitude : la solution parfaite pour concilier travail, vacances et sport en toute sécurité.

La Panoramic Business Room se trouve à Cortina d’Ampezzo, à deux pas des pistes de ski. Les trois murs de verre permettent d’avoir une vue à 360° des sommets des Dolomites les plus célèbres. Ce coin de paradis est accessible en raquettes ou en ski de randonnée depuis le « Rifugio Col Gallina » tout proche.

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Floating Beach House, Belgrade, Serbie

Cette Beach House sur l’eau est un open space au design moderne. Elle se cache dans l’oasis de verdure florissante du parc d’Ada Ciganlija, une île de la rivière Save située dans la ville de Belgrade.

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Le lieu idéal pour les personnes en quête de simplicité. Elle est dotée d’une vaste salle de séjour entourée de grandes fenêtres mobiles, qui illuminent la pièce et permettent de profiter de la vue sur la rivière Save depuis n’importe quel endroit. Étant donné qu’elle est en mesure d’accueillir jusqu’à huit personnes, elle peut également servir de lieu d’exception pour de petits ateliers et réunions. Elle présente également un espace détente confortable permettant de se ressourcer au terme d’une journée de travail ou en vue d’une soirée dans la dynamique capitale serbe.

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Liberté totale

False Bay Writer’s Cabin, Îles San Juan, États-Unis

Ce chalet de 46 m2 a été conçu par le designer Tom Kundig en tant que cottage et refuge privé pour visiteurs et écrivains.

Il s’intègre parfaitement à l’environnement dans lequel il a été installé et peut être mis en sécurité lorsqu’il n’est pas utilisé. Le chalet a été conçu comme une

maison en verre entourée de trois ponts, servant de volets lorsqu’ils sont relevés et de sol lorsqu’ils sont abaissés, pour un espace extérieur luxueux. Un bureau pour le moins polyvalent, un petit refuge capable de changer de forme en quelques minutes.

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The Glass House, Marlboro, États-Unis

La ville de New York se trouve à seulement 1 h 30 de distance, mais l’intérieur de la Glass House donne l’impression d’être dans un tout autre monde. Cette charmante mini-maison d’un peu plus de 16 m2 et dotée de tout le confort nécessaire permet de travailler en admirant une étendue infinie de vignes et de vergers. Entourée de 30 hectares de collines douces, elle offre une intimité totale et un isolement optimal à ses résidents, à l’exception des rencontres régulières avec la faune sauvage présente dans le parc qui font de la Glass House un lieu unique pour vivre une expérience très immersive au cœur de la nature.

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En coulisse avec Luca Salvadori, pilote et youtubeur.

Tout pour les courses Qu’est-ce qui est le plus difficile : réussir à conduire une moto de course ou réussir à gérer une communauté de plus de 300 000 abonnés ? Pour Luca Salvadori , aucun des deux. Influenceur numérique et pilote professionnel, Luca se sent aussi bien au guidon de la Panigale V4 R, lorsqu’il participe au National Trophy avec l’équipe Barni Racing Team Ducati, que devant sa caméra, quand il réalise une nouvelle vidéo retraçant ses records personnels sur le web.

Luca Salvadori a fait ses début dans l’univers du motocyclisme professionnel à 17 ans. En 2014, il a remporté le championnat National 600 Supersport. En postant des vidéos sur ses réseaux sociaux, il a révolutionné la façon dont les gens parlent de leur passion pour les motos.

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Quand avez-vous découvert que vous étiez doué à moto ? Et quand avez-vous découvert que vous étiez également doué devant une caméra ?

Pour les motos, c’est arrivé un peu par hasard. J’ai grandi dans une famille qui a une préférence pour les voitures : mon père, ancien pilote, possède une écurie, la Trident Racing, qui court en Formule 2 et en Formule 3. J’ai essayé à 16 ans, transporté par l’enthousiasme que j’avais pour ma

50 cm3. J’ai fait un essai sur circuit au guidon d’une 125 cm3 à deux temps, et j’ai tout de suite compris que c’était le grand amour. Pour ce qui est de la caméra, cela a davantage été une nécessité : arrivé à un certain point, je me suis rendu compte que si je voulais continuer à vivre de ma passion, je devais devenir plus médiatique. J’ai commencé tout seul, grâce à une GoPro Hero 4 et à de nombreux tutos vidéo sur YouTube et cela a tout de suite fonctionné, de façon assez inattendue.

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Pour ce qui est de la caméra, j’ai commencé tout seul et cela a tout de suite fonctionné.

»

Luca Salvadori

Beaucoup de passion, zéro filtre

Comment parvenez-vous à concilier vos activités de pilote et de youtubeur ?

Ce n’est pas facile. Surtout lorsque vous rencontrez des problèmes sur le circuit ou, pire encore, quand vous êtes percuté, c’est vraiment difficile de trouver l’énergie mentale et la lucidité pour passer devant la caméra.

J’essaie toujours de faire de mon mieux en tant que professionnel dans ces deux domaines, afin d’obtenir les meilleurs résultats aussi bien d’un point de vue multimédia que sportif. Néanmoins, il y a quelque temps, je suis retourné sur circuit sans ma caméra, avec le seul but de faire un bon résultat et de profiter de la course aux côtés de mes équipiers, amis et adversaires. C’était la première fois depuis trois ans et je ne vous cache pas que c’était une sensation agréable.

Il n’a pas peur de se mettre en danger, ni sur circuit ni sur le web.

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Quelles parts la préparation et l’improvisation occupent-elles sur circuit et en studio ?

La course nécessite une préparation minutieuse. Tous les détails, en particulier ceux qui n’ont aucun rapport avec le circuit, comme la condition physique ou un briefing bien fait avec l’équipe, peuvent faire la différence. Pour ce qui est de la réalisation des vidéos, il faut savoir improviser, pour la simple et bonne raison qu’il est impossible de prévoir l’avenir. On prépare un programme, qu’il est possible de suivre à 60-70 % quelle que soit la situation, mais dont les 30-40 % restants dépendent de ce qui se passe sur le circuit.

Vous êtes devenu une référence pour tous les passionnés de motocyclisme. Qu’est-ce que vos abonnés apprécient le plus chez vous ?

Une référence, c’est peut-être un peu exagéré. Je suis heureux que beaucoup de gens me suivent sur YouTube et qu’une belle communauté ait vu le jour. Quand ils me rencontrent en personne, beaucoup me disent qu’il n’y a aucune différence entre celui qu’ils voient sur les réseaux sociaux et celui que je suis dans la réalité. Être considéré comme une vraie personne, et non comme un personnage savamment construit, est pour moi une grande récompense..

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Y a-t-il une course (de motos ou automobile) à laquelle vous aimeriez participer et que vous souhaiteriez partager avec vos abonnés ?

Oui, une course de Formule 1 ! Non, je plaisante, mieux vaut garder les pieds sur terre.

Dernièrement, j’ai participé pour la première fois à une course de 25 h et j’ai trouvé cette expérience fantastique. Pour ce qui est du domaine automobile, participer aux 24 Heures du Mans serait incroyable. Et en tant que pilote de moto, j’aimerais beaucoup faire mes débuts dans le WorldSBK. On verra bien si l’occasion se présente.

Quels sont les modèles qui vous inspirent, tant parmi les pilotes que parmi les personnalités du web ?

Casey Neistat, youtubeur américain et véritable maître du montage, sans l’ombre d’un doute.

Cet homme parvient à vous faire regarder une vidéo pendant 20 minutes en vous montrant des scènes de vie quotidienne tout à fait banales.

Et puis, il y a Alberto Naska, évidemment. Il a été le premier à m’encourager à me lancer dans cette aventure et c’est également grâce à lui que j’en suis là aujourd’hui. Ce qui est génial, c’est qu’au lieu de devenir concurrents, nous nous sommes aidés l’un et l’autre : je lui ai donné des conseils sur les motos et lui m’a aidé pour le montage, la narration, etc. En ce qui concerne les sportifs, Valentino, précurseur d’une nouvelle façon de vivre et de parler du motocyclisme, a toujours été mon modèle.

Outre le malheureux final, que retenez-vous de cette première saison au guidon de la Panigale V4 R ?

J’ai fait la rencontre d’une magnifique équipe, la Team Barni, avec laquelle j’ai passé de superbes moments. Mais surtout, j’ai découvert une moto extrêmement rapide et capable de vous donner beaucoup de bonheur. La cerise sur le gâteau serait de participer au championnat Superbike avec une wild-card. C’est une moto incroyable, déjà en modèle de série, avec laquelle j’ai enregistré le meilleur temps du circuit de Crémone. Il n’a pas été battu pendant des mois et celui qui a réussi à faire mieux était au guidon d’une moto kittée. Cela permet de comprendre encore davantage l’incroyable potentiel de la Panigale V4 de série !

Quelles sont les vidéos que votre communauté apprécie le plus ?

Si je savais quels contenus fonctionnent le mieux sur ma chaîne, je les proposerais tous les jours ! Blague à part, sur YouTube, comme dans toutes les activités les plus complexes, y compris rouler en moto, il faut toujours se renouveler et se réinventer. Il est certain que les défis impossibles, comme la course avec la V4 S de série, attirent toujours l’attention du public, surtout si vous lui montrez l’envers du décor.

Comment votre popularité sur les réseaux sociaux influence-t-elle vos relations avec vos collègues dans les stands et vos adversaires sur le circuit ?

Avant que je n’atteigne les résultats d’aujourd’hui, j’étais une sorte de vilain petit canard. Puis, il y a eu les sponsors, les contrats importants, les invitations aux événements et, forcément, les critiques de certains jaloux.

Malheureusement, certains n’ont pas compris que c’est ça l’avenir. Que ces outils peuvent aider tout le monde, pilotes et compétitions, à évoluer et à trouver de nouvelles ressources.

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Luca Salvadori

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ÉNÉRATION DESMO

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Pecco et Jack : gagner est un sport d’équipe Ils sont jeunes et pourtant ils font partie des plus anciens duos du MotoGP. Ils sont très unis et, surtout, ils remportent de plus en plus de victoires.

En 2022, Jack Miller et Pecco Bagnaia participeront à leur quatrième saison comme coéquipiers, la deuxième sous les couleurs de l’équipe officielle Ducati et la première en tant que détenteurs du titre de champions du monde, remporté lors d’une année 2021 pour le moins passionnante.

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Ils possèdent un style et un caractère différents. Jack est aventureux et sanguin, sur le circuit comme dans la vie. Pecco est méthodique et posé, du moins en apparence. Leurs destins se croisent pour la première fois le 26 juin 2016 sur le circuit néerlandais d’Assen.

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Ducati Team

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De Pramac à Ducati Corse, sous le signe de la Desmosedici

Pecco, lors de la première saison du championnat Moto3, obtient sa première victoire absolue en MotoGP, démontrant son immense talent. Jack, après une première année difficile dans la catégorie reine, gagne sa première course au terme d’une spectaculaire remontée sur piste mouillée, montrant à tout le monde de quoi il est capable.

Au bout de trois ans, alors que Pecco vient de remporter le championnat Moto2 et que Jack est de plus en plus fort et constant en MotoGP, les deux deviennent coéquipiers dans l’équipe Pramac Racing Team powered by Ducati.

Deux années d’apprentissage leur suffisent pour se familiariser avec la Desmosedici et mériter leur intégration dans l’équipe Ducati Lenovo Team de 2021.

Ces vrais pur-sang, nés pour les motos et les compétitions, veulent toujours tirer le meilleur parti des enjeux. Mais tous deux espèrent que leur concurrent pour la victoire soit leur coéquipier, car, pour eux aussi, le plus important est de voir Ducati gagner.

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Ils ont une profonde estime et un respect total l’un pour l’autre.

Dans les stands, ils parlent de tout : des pneus, des stratégies, des adversaires (et de supercross, dont ils sont tous deux passionnés). Sur le circuit, chacun roule pour lui, mais ils ne se défilent pas lorsqu’il faut rouler en équipe.

Pour Paolo Ciabatti, le directeur sportif de Ducati Corse, c’est « un duo de pilotes que je ne changerais pour rien au monde ». Pour Luigi Dall’Igna, le directeur général, ils ont également été essentiels « pour aider les techniciens à comprendre où et comment améliorer la moto ».

Pour tous les Ducatistes, ce sont les protagonistes d’une merveilleuse saison, mais avant tout, ce sont Pecco et Jack, deux hommes qui, grâce à leur passion et à leur détermination, ont démontré qu’ils savaient incarner les valeurs de Ducati de la meilleure façon. Il y a fort à parier qu’en 2022, les pilotes feront tout pour également ramener le titre individuel le plus convoité à Borgo Panigale.

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Pecco & Jack

Francesco « Pecco » Bagnaia Année de naissance : 1997 Signe : Capricorne Numéro de course : 63 Passions cachées : voitures et chaussures Chanson préférée : « Mi fido di te » de Jovanotti

Jack Miller Année de naissance : 1995 Signe : Capricorne Numéro de course : 43 Passions cachées : MX et hélicoptères Chanson préférée : « Thunderstruck » d’AC/DC 87

UCATI LENOV TEAM 2022

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« Je me sens très bien dans ce groupe et je suis certain que nous ferons de grandes choses ensemble. » Francesco Bagnaia

L’équipe Ducati Lenovo Team est prête à vivre sa vingtième saison en MotoGP. Pour la première fois de son histoire, la Desmosedici GP se pare de « Rouge Ducati », la couleur d’origine qui caractérise depuis toujours les Ducati de série.

21 Grands Prix sont au programme. Le premier, le Grand Prix du Qatar, aura lieu le 6 mars. Une fois encore, Lenovo, partenaire principal de l’équipe et partenaire technologique essentiel à l’amélioration des processus décisionnels sur circuit, soutiendra le travail d’équipe et les pilotes.

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Ducati Lenovo Team 2022

« Faire partie de l’équipe officielle Ducati signifie avoir le soutien de très nombreux fans, en Italie et dans le monde entier. » Jack Miller

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La Dream Team Comme toutes les dream teams, ceux qui se trouvent dans les stands partagent tous le même objectif commun : la victoire. La réussite des pilotes est le fruit du travail de l’ensemble de l’équipe et de ses « ingénieurs de la vitesse ».

Pour chaque arrêt aux stands, ils ne disposent que de quelques secondes pour desserrer et serrer les écrous, changer les roues, régler les étriers de frein, refroidir les éléments électroniques de la Desmosedici et bien plus encore. La pression ne redescend pas tant que les pilotes n’ont pas atteint la ligne d’arrivée. Pour accomplir leur mission, les mécaniciens de l’équipe Ducati Lenovo Team font confiance aux outils électroniques Bosch Professional, partenaire officiel de Ducati dans le cadre du MotoGP depuis 15 ans, qui contribuent à accélérer et faciliter les opérations

de réglage des motos dans les stands.

Chaque course est un défi entre hommes et outils techniques, dont l’objectif principal est d’être les plus rapides et d’arriver devant : c’est une succession d’accélérations, de freinages, de changements de direction, de freinages brusques et de nouvelles accélérations, qui se répètent des dizaines de fois, à chaque tour.

Pendant les courses, les pilotes s’en remettent totalement aux mécaniciens de leur équipe.

Chaque détail compte et une erreur, aussi petite soit-elle, peut coûter la victoire.

Les outils sans fil comme la nouvelle clé à chocs BITURBO GDS 18V-1050 H peuvent avoir un impact sur le résultat des séances de test et de la course, en faisant gagner quelques fractions de secondes et en assurant une vitesse impressionnante dans les stands de chaque circuit. « Le couple extraordinairement élevé de la clé à chocs permet à l’équipe de desserrer et de serrer des écrous de grandes dimensions plus facilement et fait gagner de précieuses fractions de secondes dans les stands », déclare Marco Ventura.

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À cela s’ajoute l’interchangeabilité totale des batteries, qui permet à l’équipe de travailler sans interruption et sans s’arrêter pour recharger.

Le travail est facilité par le fait de disposer en permanence de batteries puissantes et prêtes à l’emploi.

Le souffleur GBL 18V-120 fait partie des outils les plus utilisés. Il permet de refroidir l’électronique et les échappements, ce qui prévient la surchauffe de certaines pièces.

Le détecteur thermique GIS 1000 C est devenu indispensable sur les circuits pour mesurer la température de l’asphalte et des pièces de la moto sensibles à la chaleur. Ces relevés permettent aux mécaniciens d’identifier rapidement les problèmes en temps réel et de configurer les motos de façon précise en fonction des conditions du circuit.

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PAOLO CAMP MR PRAMAC

L’énergie indomptable de

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Il ne fait pas de moto et n’avait jamais vu de courses de MotoGP avant de fonder l’équipe Pramac Racing Team. Mais Paolo Campinoti est comme ça. Il se passionne immédiatement pour les choses et laisse toujours son empreinte, sur les championnats et sur les personnes, grâce à son intuition sans faille et à son optimisme inébranlable.

Paolo, 2021 a été l’une des meilleures années de tous les temps pour l’équipe Pramac Racing Team grâce aux titres de meilleure équipe indépendante, de meilleur pilote indépendant et de rookie de l’année. Parmi ces trois titres, lequel vous rend le plus fier ?

Celui qui m’a fait le plus plaisir est sans aucun doute celui de la meilleure équipe indépendante. Le motocyclisme est un sport individuel, mais les résultats s’obtiennent avant tout grâce à l’équipe.

L’adrénaline que vous procurent les courses est une expérience unique.

Paolo Campinoti

PINOTI Quel est celui qui vous a le plus surpris ?

Je dois avouer que je m’attendais un peu aux titres des pilotes. Martín est largement meilleur que tous les autres rookies et Zarco venait de réaliser une magnifique saison.

Je savais qu’ils feraient du très bon travail avec cette moto qui a beaucoup progressé ces dernières années.

Avant de créer l’équipe Pramac Racing Team, vous n’aviez jamais vu de courses de moto de votre vie. Aujourd’hui, vous êtes l’un des symboles du MotoGP. Comment votre rapport aux courses a-t-il évolué au cours de ces 20 dernières années ?

Les courses sont une façon d’être, une façon de vivre, un univers pour lequel il est impossible de ne pas se passionner.

Vous pouvez être un débutant du point de vue technique, mais l’adrénaline que vous procurent les courses est, dans tous les cas, une expérience unique. Il n’existe aucun autre sport capable d’autant allier le côté technologique et le côté humain.

En parlant de côté humain, pourquoi beaucoup de jeunes pilotes trouvent que Pramac est le cadre idéal pour évoluer ?

Car chez Pramac, ils trouvent le juste équilibre entre la pression qui les pousse à s’améliorer et la tranquillité nécessaire pour ne pas se brûler les ailes. Ceux qui viennent chez nous savent que l’on travaille beaucoup, mais avec juste ce qu’il faut d’insouciance.

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Quel type de rapport aimez-vous instaurer avec vos pilotes ?

Je ne voudrais pas paraître trop sentimental, mais pour moi, ce sont comme des fils. Ces jeunes garçons vous suivent, vous font confiance, grandissent avec vous... Un rapport qui va au-delà de l’expérience professionnelle s’instaure. Et je me démène pour qu’il en soit ainsi, dans l’équipe et au travail.

Donc le Paolo Campinoti homme d’affaires et le Paolo Campinoti homme de courses se ressemblent ?

Oui et il ne pourrait pas en être autrement, car vous devez sans cesse gérer des personnes. Parfois, il faut mettre un peu de pression, et parfois, il faut savoir encourager. Un grand chef d’entreprise disait qu’au travail, on a besoin de trois éléments : du cœur, du cerveau et de la chance. J’y crois beaucoup, surtout en ce qui concerne le cœur, car, au final, un cerveau sans cœur vous donnera la détermination parfaite, mais sur le long terme, sans le cœur, impossible de surmonter certains problèmes.

Pramac est une équipe très convoitée, et pas seulement par les pilotes. Qu’est-ce qui fait que votre accueil est le plus agréable du MotoGP ?

Nous essayons simplement de donner son véritable sens au mot « accueil ». Ceux qui viennent chez nous doivent être à l’aise, se sentir un peu spécial. Et puis je suis une personne ouverte, j’aime mélanger les gens qui n’ont rien à voir entre eux et me rendre compte à la fin de la soirée qu’ils forment un tout. Y compris parce que ce qui est génial avec les motos, c’est qu’elles procurent des émotions si fortes que même les stars, lorsqu’elles sont ici, sont comme des enfants à une fête foraine !

“ Non, je n’arrive pas à imaginer une équipe Pramac sans Ducati. ” 96

Paolo Campinoti

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Paolo Campinoti

“ Je suis un homme chanceux car je suis né heureux. ” Le partenariat avec Ducati est bien établi et se poursuivra, à notre satisfaction mutuelle, au moins jusqu’en 2024.

Qu’est-ce qui permet à cette collaboration de fonctionner aussi bien ?

Les choses qui semblent banales, mais qui, en réalité, ne le sont pas vraiment : beaucoup d’estime et d’affection, aussi bien d’un point de vue personnel que professionnel. Il y en a toujours eu, même dans les moments les plus difficiles. Luigi Dall’Igna, Paolo Ciabatti et l’ensemble de l’équipe de Ducati Corse sont des personnes avec lesquelles vous passez d’excellents moments, en plus de travailler. Non, je n’arrive pas à imaginer une équipe Pramac sans Ducati.

Dernière question. Nous savons que vous n’aimez pas vous faire de compliments tout seul, mais quel est le plus grand mérite que vous vous attribuez ?

Ie suis un homme chanceux car je suis né heureux. Je m’émeus des choses simples.

Et j’ai remarqué que lorsqu’on fait les choses avec enthousiasme, les résultats suivent automatiquement. Ça peut prendre un peu de temps, un mois, voire même un an. Mais ils suivent. Il suffit de persévérer et d’avoir envie de profiter de toutes les émotions que la vie vous procure.

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PASSION FAMILIALE Que signifie grandir dans les stands Ducati du WorldSBK, suivre son papa dans le monde entier et le voir devenir une légende du motocyclisme ? Pour Oli Bayliss, cela signifie monter sur un tricycle à deux ans, faire ses débuts dans l’Australian Superbike à 14 ans et devenir pilote de l’équipe Barni Racing Team lors du Championnat du monde de Supersport à 18 ans, au guidon de la Panigale V2.

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Oli Bayliss

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Oli Bayliss

Les courses dans le sang Tout le monde se souvient de ce petit diable blond aux yeux bleus qui courait partout dans le paddock entre deux séances d’essai de son papa, Troy, sous l’œil vigilant de sa maman, Kim. Ducati et les Bayliss ont toujours formé une grande famille et, pour Oli, les stands ont toujours été une deuxième maison. Les courses ont accompagné son enfance, puis son adolescence. Oli a pris ses marques sur des karts et des motos dirt track, avant de passer aux choses sérieuses en commençant les championnats nationaux à l’âge de 14 ans. En 2021, il fait ses débuts dans l’Australian Superbike. Trois courses lui suffisent pour décrocher sa première victoire. C’est le signe qu’Oli est prêt pour le grand saut international.

possibilité de cultiver son talent.

Maintenant qu’Oli a terminé ses études, la famille Bayliss est heureuse de son arrivée en Europe.

Ainsi, en 2022, soit 20 ans après le premier titre de Baylisstic, un Bayliss se tiendra au guidon de la moto bicylindre Ducati. L’histoire est-elle en train de se répéter ?

Il est trop tôt pour le dire. Bien entendu, comme aime le souligner Troy, « À deux ans déjà, Oli allait en tricycle au skatepark et depuis, il n’a jamais cessé de rouler ».

Ducati et l’équipe Barni Racing Team ont hâte de lui donner la

En 2022, Oli Bayliss roulera avec l’équipe Barni Racing Team lors du Championnat du monde de Supersport au guidon de la Panigale V2.

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Highlight

THE NEW

PANIGALE V2

BAYLISS 1ST CHAMPIONSHIP 20TH ANNIVERSARY 104

Panigale V2

BORN TO CELEBRATE

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Highlight

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Panigale V2

52 victoires, 94 podiums et 3 championnats du monde de Superbike : le binôme Ducati-Bayliss a été l’un des plus victorieux de l’univers des sports mécaniques.

Ses exploits en course ont gravé de manière indélébile le nom de l’Australien dans le cœur de tous les Ducatistes, et l’entente gagnante entre Ducati et « Baylisstic » a été renouvelée pour la réalisation de cette moto commémorative, produite en série numérotée, dont les détails graphiques et le nom ont été choisis d’un commun accord.

La nouvelle Panigale V2 Bayliss 1st Championship 20th Anniversary célèbre l’un des pilotes les plus victorieux de tous les temps ainsi que le symbole de toute une communauté : Troy Bayliss. Cette moto spéciale, produite en série numérotée, est une expression pure de la sportivité Ducati et un hommage à une passion intemporelle.

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Créée à partir de la Panigale V2, cette version doit sa singularité à sa livrée spéciale, inspirée de la 996 R avec laquelle Troy Bayliss a remporté son premier titre mondial en 2001, et aux précieux composants Öhlins, qui permettent à la Panigale V2 Bayliss 1st Championship 20th Anniversary d’atteindre un tout autre niveau sur circuit.

cm3

Cylindrée

155CV Puissance

NIX30 TTX36 174,5 et

Fourche et amortisseur Öhlins

kg

Poids à sec

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Ducati et UniBo Motorsport

Premiers de la classe Le drapeau italien a triomphé lors de la Motostudent International Competition 2021 grâce à Minerva GN, la moto électrique créée par l’équipe de course de l’Université de Bologne avec le soutien des techniciens Ducati.

Elle s’appelle Minerva GN. Car c’est un produit sophistiqué, fruit du génie humain et des arts appliqués, car elle s’est révélée réussie à de nombreux niveaux, et car tout comme la déesse romaine Minerve, elle puise ses origines en terre étrusque. Ou plutôt à Felsina, le nom antique de la ville de Bologne.

Conçue et fabriquée par l’équipe UniBo Motorsport, sponsorisée et soutenue par la Fondation Ducati, la moto Minerva GN a triomphé lors de la Motostudent International Competition 2021 dans la catégorie électrique. Une victoire qui vient de loin puisqu’elle est le fruit de la collaboration de Ducati avec la plus ancienne université d’Occident, une des nombreuses synergies qui animent cette terre des merveilles appelée Motor Valley. Mais c’est également un objectif important pour l’avenir en ce qui concerne le développement de véhicules à propulsion électrique et la formation des ingénieurs des sports mécaniques de demain.

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Motostudent

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Synergie gagnante

Au cours des trois années de travail sur Minerva GN, les jeunes ingénieurs d’UniBo Motorsport ont œuvré comme une équipe de MotoGP, gérant chaque phase du processus de développement, « De la conception à la fabrication des pièces, jusqu’aux essais en laboratoire et sur circuit », comme nous l’expliquent Rebecca Rimondi et Fabio Curto, respectivement cheffe d’équipe et directeur technique Motostudent d’UniBo Motorsport.

Comment se déroule la collaboration avec Ducati ?

R - Ducati est un partenaire essentiel de nos projets. C’est à Simone Di Piazza et Roberto Cané que nous présentons nos idées pour la nouvelle moto en premier. Ils nous aident à déterminer l’objectif idéal et nous expliquent

comment faire pour l’atteindre de façon concrète.

F - C’est une collaboration continue. Nous échangeons une fois par semaine afin d’analyser et de discuter ensemble du développement de la moto, mais également afin de mener les activités de gestion de l’équipe du mieux possible. À quelle fréquence le championnat Motostudent a-t-il lieu ?

F - Tous les deux ans, même si la dernière édition a été reportée d’un an en raison de la Covid. Mais après chaque championnat, tout le monde recommence tout à zéro. On repart d’une feuille blanche et chacun est libre de proposer de nouvelles idées.

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Motostudent

Combien de fois l’équipe se voit-elle pour travailler ?

F - Au départ, il est demandé aux membres de l’équipe de s’investir au moins une fois par semaine, en dehors des heures de cours, de façon à concilier cette activité avec les études. Bien entendu, plus on se rapproche des courses, plus il y a de travail, car chaque course nécessite énormément de préparation.

R - Pour les six responsables de l’équipe, dont Fabio et moi faisons partie, le travail est quotidien. En réalité, c’est un travail à plein temps qui finit inévitablement par réduire le temps que nous pouvons consacrer à nos études. Néanmoins, cela en vaut la peine car c’est vraiment une expérience unique, qui vous enrichit aussi bien sur le plan humain que sur le plan professionnel.

Quel a été l’élément décisif pour la victoire du Motostudent ?

F - Pour ce qui est de la moto, je dirais sa partie cycle.

Avant la dernière épreuve sur le Circuit Motorland Aragon, des essais ont été menés par les pilotes d’essai officiels de la fédération, dont Jeremy McWilliams, ancien pilote de MotoGP. À en croire tous les pilotes d’essai, la moto était très maniable et offrait immédiatement d’excellentes sensations. Cela est dû au fait que nous avons pu produire les pièces principales en interne, en utilisant des technologies de pointe.

R - Nous avons également pu réaliser de nombreux essais, organisés dans les moindres détails, qui nous ont permis de tester pleinement nos solutions et d’adapter les équipements de la moto à son pilote, Alessandro Berardi. Mais, à mon avis, notre véritable atout était notre esprit d’équipe. Dès le début, il y avait une excellente ambiance dans l’équipe.

46 universités du monde entier ont participé au Motostudent dans la catégorie électrique.

Au terme des épreuves (qui, en plus du circuit, comprenaient également la conception et les aspects économiques), Minerva GN a totalisé 712,6 points, soit 30 points de plus que le deuxième au classement.

Cela nous a permis de travailler dans les meilleures conditions lors de toutes les étapes du projet, surtout pendant les courses : lorsque vous jouez le tout pour le tout et que vous disposez de peu de temps, se comprendre rapidement, d’un simple coup d’œil, fait toute la différence.

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Mission : durabilité Chez Ducati, les ambitions ne manquent pas. Celle de concevoir et de fabriquer des motos toujours plus fascinantes et avant-gardistes. Celle d’être la marque de référence des motards les plus passionnés. Mais également celle de participer à la construction d’un monde où conduire une moto et respecter l’environnement seraient en parfaite harmonie.

Quand le groupe Volkswagen a lancé sa stratégie « goTOzero » afin de progresser sur la voie de la durabilité, Ducati a immédiatement accepté d’y apporter sa contribution : avec sa nouvelle Mission environnementale, mise en place en mars dernier, Ducati est déterminée à réduire les impacts environnementaux potentiels générés par ses activités, sans négliger aucun de ses principaux domaines d’activité.

Car être à l’avant-garde signifie avant tout regarder vers l’avenir. Et parce que plus le défi est grand, plus Ducati offre le meilleur d’elle-même.

Mission : durabilité

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La Mission environnementale Elle détermine les quatre objectifs vers lesquels convergent toutes les initiatives mises en œuvre par Ducati en faveur de la durabilité.

Un plan d’action intégré, qui s’étend du cycle de production à la World Ducati Week, visant à réduire les impacts environnementaux négatifs et à optimiser les avantages pour l’ensemble de la société.

Changement climatique : ed’ici 2025, réduire de 15 % les émissions de gaz à effet de serre (CO2) tout au long du cycle de vie de nos produits par rapport à 2015 et devenir une entreprise à zéro émission de CO2 d’ici 2050.

Ressources : d’ici 2025, réduire l’impact de la production en termes de CO2, d’énergie, d’eau, de déchets et de composés organiques

volatils (COV) de 25 % par véhicule par rapport à 2013.

Qualité de l’air : d’ici 2030, intégrer au moins un modèle électrique dans notre gamme de produits.

Conformité environnementale : mettre en place des systèmes de gestion efficaces afin de contrôler les impacts environnementaux lors de toutes les phases du cycle de vie des activités de Ducati.

Système de trigénération L’engagement de Ducati en faveur de l’environnement commence par son établissement principal, à Borgo Panigale. Là, chaque processus est soumis à une évaluation constante afin de réduire au maximum l’impact environnemental de l’usine de production et de la transformer en

un écosystème toujours plus durable. Pour produire de l’énergie de façon plus efficace, Ducati a mis en place, aux côtés du groupe Hera, un système de trigénération, qui utilise un seul combustible pour générer simultanément, grâce à l’utilisation de deux moteurs endothermiques,

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de l’énergie électrique, de l’énergie thermique et de l’énergie frigorifique. Le système couvre la quasi totalité des besoins thermiques et électriques de l’usine de Borgo Panigale et permet d’économiser des milliers de tonnes de CO2 et de pétrole.

Mission : durabilité

3 367

TEP (tonnes d’équivalent pétrole)

1 315

ha de forêt nécessaires pour les absorber

7 888

tonnes de CO2 évitées, ce qui représente :

15 543

98 %

vols Rome-New York effectués par une seule personne

le pourcentage de déchets récupérés sur l’ensemble des déchets produits

746 464 kg de déchets récupérés grâce au tri sélectif

Réduction de la Récupération consommation des déchets Afin de diminuer son empreinte eau, Ducati a mis en place plusieurs mesures visant à réutiliser l’eau et à utiliser les ressources de façon efficace. L’entreprise s’engage également à tous les niveaux en ce qui concerne l’énergie. Cela va de l’automatisation des systèmes d’allumage et d’extinction des installations d’éclairage et d’aspiration au remplacement des ampoules traditionnelles par des ampoules LED.

La collaboration entre Ducati et le groupe Hera est également à l’origine d’un plan de gestion des déchets permettant de séparer au maximum les différents types de déchets et de bien démarrer le processus de récupération des rebuts de fabrication.

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Cercles vertueux Grâce à l’attention accordée à l’impact environnemental lors de l’ensemble des phases du cycle de vie du produit, toutes les motos Ducati voient le jour sous le signe de la durabilité. Les fournisseurs répondent tous à des critères précis de performance environnementale. Les matières premières sont sélectionnées afin

de réduire au maximum les émissions polluantes et de garantir le recyclage de plus de 90 % de l’ensemble des composants de la moto. Grâce aux maquettes virtuelles et à la dynamique des fluides informatisée, qui limitent le recours aux prototypes physiques et les essais sur route et sur circuit des véhicules qui en

découlent, la même conception est aujourd’hui plus durable, que ce soit en termes de déchets produits qu’en termes de polluants émis dans l’air. La numérisation des manuels, aussi bien d’utilisation et d’entretien que d’atelier des motos Ducati, a été tout aussi décisive pour la réduction de la consommation de papier.

Comme une famille La durabilité passe également par des habitudes et des choix quotidiens simples. De la vie en entreprise aux événements destinés à l’ensemble de la communauté, de nombreux projets et initiatives spéciaux encouragés par Ducati démontrent combien il est facile de concilier santé et plaisir personnels avec protection de l’environnement.

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Mission : durabilité

Su-Eatable Life Ce projet, financé par la Commission européenne et mené en collaboration avec Felsinea Ristorazione sous la coordination de Fondazione Barilla, a pour objectif d’inciter les personnes à faire des choix alimentaires sains et durables. Le projet a conduit à un véritable livre de cuisine de la durabilité, offert aussi bien aux utilisateurs de la cantine d’entreprise Ducati qu’aux employés en télétravail, qui réduit au maximum l’impact de l’alimentation sur l’environnement.

#Project1Hour Né d’une initiative du groupe Volkswagen, le projet #Project1Hour est ouvert à tous les employés et permet à ceux-ci d’accéder à une heure de formation et de sensibilisation sur la crise climatique. En 2021, il a accueilli, en tant qu’intervenant, le professeur Riccardo Valentini, membre du comité scientifique sur le climat de l’ONU et prix Nobel de la paix en 2007.

WDW En plus de mettre à l’honneur la passion Ducati, la World Ducati Week célèbre également la durabilité. En effet, le grand rassemblement de Ducatistes est le seul événement de l’univers des motos à avoir obtenu la certification d’événement durable, grâce au recours à des fournisseurs locaux, à un important système de tri sélectif, à l’utilisation de matières premières recyclées et recyclables et aux nombreuses possibilités de sensibilisation à des questions environnementales proposées aux participants.

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Ducati Unica

Ducati Unica, le programme de personnalisation dédié aux personnes souhaitant posséder une Ducati unique, a vu le jour.

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Le Centro Stile ouvre ses portes aux Ducatistes et les accompagne lors de la fabrication de leur rêve : collaborer directement avec les designers et les techniciens pour créer une moto unique au monde.

Les Ducatistes qui participeront au programme pourront se rendre dans l’atelier du Centro Stile Ducati et décrire leurs souhaits aux designers. Des matériaux de haute qualité, des finitions dédiées, des couleurs spéciales et des accessoires Ducati Performance : chaque détail pourra être personnalisé, avec l’aide des professionnels de l’équipe Ducati Unica et dans le respect des critères stylistiques caractéristiques d’une véritable Ducati.

Grâce à des visites régulières, les propriétaires de Ducati Unica pourront suivre l’avancement de leur moto, en se rendant compte du dévouement et du soin dont Ducati fait preuve pour chaque projet.

Lors de la livraison, chaque Ducati sera accompagnée d’un certificat d’unicité qui en attestera l’originalité et qui en garantira la non reproductibilité.

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Ducati Unica

« Quand les Ducatistes verront leur moto terminée, ce sera un grand moment d’émotion et une grande fierté. » Andrea Ferraresi, Directeur du Centro Stile Ducati

Chaque étape de la fabrication sera décrite et impliquera directement les passionnés qui verront leur moto prendre forme à partir des premières esquisses jusqu’à la cérémonie de livraison.

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En raison du haut niveau d’unicité et de la très grande attention accordée aux détails de chaque projet Ducati Unica, l’entreprise ne peut accepter qu’un nombre très limité de demandes par an.

Les concessionnaires Ducati font partie intégrante du projet. En s’adressant à eux, vous pourrez obtenir les informations nécessaires afin de pouvoir accéder au programme, disponible dans le monde entier et applicable aux gammes Ducati et Scrambler.

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© 2021 The LEGO Group

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La légende continue C’est en 1976 qu’est créé le studio d’enregistrement Fonoprint, dont le but est d’offrir à la ville de Bologne un lieu où exprimer tout son exceptionnel potentiel musical. Les premiers utilisateurs se nomment Lucio Dalla, Francesco Guccini et, quelques années plus tard, Zucchero et Vasco Rossi. Des artistes locaux qui, à partir de ces micros, parviendront à atteindre la consécration sur la scène internationale.

Aujourd’hui, Bologne est une ville de musique reconnue par l’UNESCO, et Fonoprint, partenaire de Ducati pour le projet Scrambler Ducati Live, continue à faire ce pour quoi il a été créé : graver l’histoire de la musique italienne.

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Scrambler Ducati Live

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Avec Scrambler Ducati Live, la musique rencontre les motos, sous le signe de la découverte et de la liberté d’expression.

Le projet est né pendant la pandémie, afin de donner à chacun(e) la possibilité de voyager en utilisant la musique comme véhicule de son imagination.

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Scrambler Ducati Live

Dans la ville de la musique

En plus d’être un studio d’enregistrement, Fonoprint est aujourd’hui également un musée dont la mission est de partager l’histoire et le prestige du patrimoine des chanteurs-compositeurs italiens.

Scrambler Ducati Live est un format inédit de six sessions live et interviews de musiciens émergents de la scène italienne : Jennifer Gentle, Eugenia Post Meridiem, Giungla, Bee Bee Sea, Black Snake Moan et Sunday Morning.

Des artistes de renommée internationale, qui représentent une grande variété de genres musicaux, allant du rock au blues, en passant par le folk et le post-punk. De nombreuses façons de s’exprimer musicalement, unies par le choix commun de chanter en anglais.

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Les six épisodes de la websérie Scrambler Ducati Live sont disponibles sur la chaîne YouTube de Scrambler Ducati et sur la Media Box du site scramblerducati.com, un espace multimédia dédié à l’ensemble des contenus vidéo et musicaux du « Land of Joy ».

OPENED IN 2019, DUCATI WORLD IS THE WORLD’S FIRST AMUSEMENT PARK THEMED AREA DEDICATED TO A MOTORCYCLE BRAND. THE AREA GUARANTEES AN ALL-ROUND EXPERIENCE NOT ONLY TO GUESTS WHO ARE WILLING TO SHARE THEIR VERY SPECIAL PASSION BUT ALSO TO ABSOLUTE BEGINNERS. DESMO RACE THE ROLLER COASTER

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GLOBALLY UNIQUE CIRCUIT

FOR THE LITTLE ONES

3

AMAZING RIDES

FOOD & BEVERAGE

3

NEW EATERIES

MERCHANDISING

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DUCATI SHOP

DUCATI AREA EXPERIENCE AN AREA WITH STATE-OF-THE-ART SIMULATORS THAT ALLOW VISITORS TO BE FULLY IMMERSED IN THE WORLD OF TWO WHEELS AND FEEL THE EUPHORIA OF SPEED, IN AN EXPERIENCE THAT BORDERS ON THE LIMITS OF REALITY. ducatiworld.mirabilandia.it

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FUN ‘N’ FREEDOM

Surf shack

Surf shacks : la nouvelle vague du style surf Peu importe que l’on ait essayé ou non.

Le mot « surf » suffit à susciter un sentiment d’extrême liberté et de plaisir. Pour conduire l’esprit dans un monde où l’été règne en maître, où les journées commencent avec les premières vagues de l’aube et se terminent le soir avec un feu sur la plage. En effet, le surf, en plus d’être un sport (pour ne pas dire un art, si l’on observe les évolutions spectaculaires de ses fidèles les plus confirmés), est également et surtout un style de vie.

Après tout, c’était déjà le cas il y a 200 ans, chez les populations polynésiennes qui le pratiquaient pour entrer en contact étroit avec la nature. Les planches, les plages et les personnes qui le pratiquent ont changé, mais l’essence du surf est la même qu’il y a deux siècles. Une connexion profonde avec l’océan. Le respect obséquieux de la nature et de son rythme. Des caractéristiques qui ont fait du surf un véritable phénomène culturel, qui a inspiré le cinéma, la mode, la musique et, désormais, l’architecture.

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Les célèbres « surf shacks », les cabanes dans lesquelles les surfeurs passent leur temps libre entre deux sorties, se trouvent au cœur de la vie sur terre de ceux-ci. Traditionnellement fabriqués en bois, souvent par leurs occupants eux-mêmes, les « surf shacks » sont des refuges servant à se reposer, à stocker les planches de surf et le matériel voire à boire une bière fraîche en compagnie d’autres surfeurs.

Généralement situés sur la plage, avec vue directe sur l’océan, les « surf shacks » sont le symbole des personnes ayant choisi un style de vie entièrement centré sur la mer et sur le respect total de la nature. C’est pour cette raison que de plus en plus de gens s’inspirent des « surf shacks » pour concevoir ou décorer leurs maisons et pour adopter un style de vie surf, même loin des plages.

Ainsi, de la même façon que le surf auquel ils doivent leur origine, les « surf shacks » se sont également transformés en un style. Un véritable style architectural qui fait de la sobriété des espaces et de la connexion intime avec les lieux géographiques dans lequel ils sont installés leurs traits distinctifs. À ce titre, pas besoin de la mer pour vivre dans un « surf shack ». Un refuge hors de la ville, une cabane située au bord d’un parc... Si l’on a l’intention d’adapter ses journées aux rythmes de la nature, il est possible de vivre selon les principes du style de vie surf quel que soit le lieu dans lequel on s’installe.

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LIGHTHEARTED LIVING

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Surf shack

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www.ducatiurbanemobility.it

Ducati Urban e-Mobility

Ducati Urban e-Mobility

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Le Scrambler entre dans la matrice Poursuivant un héritage qui a commencé en 2003 avec la présence de Ducati dans des scènes spectaculaires de la trilogie Matrix originale, Scrambler Ducati reprend désormais le flambeau avec une moto modifiée apparaissant dans Matrix Resurrections, au sein d’une mise en scène époustouflante.

Dans ce quatrième chapitre de la saga culte des sœurs Wachowski, distribué par Warner Bros., nous retrouvons les stars originales Keanu Reeves et Carrie-Anne Moss dans les rôles emblématiques qui les ont rendus célèbres, Neo et Trinity. Nous nous souvenons tous de cette dernière au guidon d’une Ducati 996, vêtue de cuir noir et de latex, avec comme passager le Maître des clés agrippé à ses hanches, dans l’une des coursespoursuites en moto les plus célèbres de l’histoire d’Hollywood.

Cette fois, la voie de sortie est tracée par un Scrambler 1100 PRO, spécialement modifié pour les besoins de la scène. Après Eddie Brock et son alter ego Venom, aux guidons du Full Throttle et du 1100 Special dans le célèbre film Marvel Comics, le Scrambler entre dans la matrice, afin de porter sur grand écran son style emblématique ainsi que le rugissement de son moteur bicylindre.

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RETURN TO THE SOURCE WITH SCRAMBLER DUCATI RE-ENTER THE MATRIX

12.22.21 SEE IT

IN THEATERS

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Ces années 1990 si spéciales Des cyborgs sous forme liquide, des dinosaures qui se déplacent avec un réalisme exceptionnel : c’est ici que voit le jour le métavers au cinéma ! Nous sommes au début des années 1990. Les salles de cinéma diffusent des films comme Terminator 2 : le Jugement Dernier, Jurassic Parc ou Toy Story, et les spectateurs ne peuvent que rester bouche bée devant des choses qu’ils n’auraient jamais pu imaginer auparavant.

C’est la beauté du CGI (Computer-generated imagery, effets spéciaux numériques), une technique d’infographie qui, dans ces années-là, déclenche une révolution dans le domaine des effets spéciaux et marque l’entrée du cinéma dans l’ère du numérique.

L’arrivée des effets spéciaux numériques apporte avec elle un contrôle et une liberté créative jamais vus auparavant.

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Ces années 1990 si spéciales

1999

Matrix

1996

Toy Story

1995

Jurassic Park

Terminator 2

1991

de techniques numériques de plus en plus avancées, encouragées par l’industrie du cinéma et celle des jeux vidéo.

Dès la fin des années 1970, on assiste à une importante évolution dans le secteur de l’infographie. Mais c’est au début des années 1990 que l’on commence à parler de réalité virtuelle, grâce au développement 139

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Les premières applications révolutionnaires d’infographie remontent aux fantastiques années 1980, avec les modèles tridimensionnels texturés utilisés dans des films comme Labyrinthe et Tron. Mais ce sont le réalisateur James Cameron et le studio Industrial Light and Magic qui, en 1991, font le grand saut avec le mythique T-1000, le redoutable androïde mutiforme protagoniste de Terminator 2. C’est grâce à lui, le premier personnage de cinéma qui n’aurait pas pu exister sans le CGI, qu’une percée technologique qui a changé le rapport entre réalité et fiction pour toujours a eu lieu.

Le CGI rendait possible ce qui ne pouvait être qu’imaginé (tout au plus) auparavant.

Voir des dinosaures courir dans une prairie à côté d’êtres humains (Jurassic Park, 1995).

Ou des jouets réalisés par ordinateur avec un niveau de détail tel que l’on aurait dit de vraies personnes (Toy Story, 1996). Jusqu’à pouvoir arrêter le temps, pour nous faire bouger de façon tridimensionnelle en un instant (Matrix, 1999). C’étaient les premiers pas d’un numérique qui devenait de plus en plus réel. Les premières démonstrations d’un univers qui, encore aujourd’hui, n’a pas fini de révéler tout son potentiel.

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QUAND LE NUMÉRIQUE DEVIENT RÉALITÉ

Grâce au CGI, les fonds verts sont remplacés par des arrièreplans virtuels ou des éléments entièrement réalisés de façon numérique.

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Ces années 1990 si spéciales

E

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Quand les rallyes écrivent l’histoire

L’âge d’or de la Dakar revient avec la collection capsule DesertX exclusive La collection doit son nom « 21-18 » aux dimensions des roues de cette moto, qui a vu le jour dans les rochers et sur le sable du désert.

Elle doit sa couleur blanche caractéristique au fait que les pilotes des années 1990 portaient des couleurs claires pour se protéger de la chaleur étant donné que les tissus techniques dont nous disposons aujourd’hui n’existaient pas à l’époque.

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DesertX Capsule Collection

Identité forte, fonctionnalité extrême.

La veste en est le parfait exemple.

Les manches sont amovibles, ce qui permet une plus grande liberté de mouvement lors de la conduite tout-terrain.

Les poches avant sont grandes et s’inspirent des sacs banane utilisés dans l’univers de l’enduro.

La poche arrière est asymétrique, pour une ouverture plus facile.

La collection 21-18 a été entièrement dessinée par le Centro Stile Ducati.

révèlent leur vraie nature de pièces techniques, créées à l’aide d’une sélection de matières et soignées dans les moindres détails.

À première vue, les vêtements sont épurés et présentent des découpes nettes ainsi que des lignes fluides. Mais lorsqu’on les regarde de plus près, les pièces de la collection capsule

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Redline Magazine

Highlight

THE NEW

SCRAMBLER URBAN MOTARD 144

Scrambler Urban Motard

CITY REBEL

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Redline Magazine

Highlight

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Scrambler Urban Motard

17"

73CV

III

180

Roues à rayons

Puissance

Diablo Rosso III Pneus Pirelli

kg

Poids à sec

Foncer dans la jungle urbaine pour arriver à l’heure à son rendez-vous, filer tout droit vers les virages des collines pour apprécier le panorama de la ville, avant de rejoindre le terrain de jeux du quartier pour un match de basket-ball avec ses amis. Rapide, audacieux, agile et sportif, le nouveau Scrambler Urban Motard voit le jour pour vivre la ville avec plaisir et insouciance, toujours à pleine puissance.

et un couple de 6,7 kgm à 5 750 tr/min, pour des performances incroyables qui garantissent une grande agilité dans le trafic urbain et un plaisir maximum dans les virages hors des villes.

La selle plate et les plaques portenuméro latérales soulignent l’esprit motard et s’intègrent parfaitement au design caractéristique Scrambler Ducati. De la gamme Scrambler 800, l’Urban Motard conserve également le pack électronique, à commencer par le phare avant avec DRL : les quatre demilunes qui rendent chaque Scrambler immédiatement reconnaissable même de jour, l’équipement électronique de sécurité avec le Cornering ABS, indispensable dans les situations imprévisibles, et la prédisposition pour le Ducati Multimedia System, qui permet de connecter son smartphone à la moto. En bref, un Scrambler fabriqué pour le plaisir, qui exprime l’esprit urbain du Land of Joy dans toute sa splendeur.

Une roue avant de 17’’ avec un gardeboue surélevé, des jantes à rayons et un élément graphique énergique style graffiti : voilà ce qui fait du nouveau Scrambler Urban Motard l’alliance parfaite entre street art et univers motard.

Le nouveau Scrambler Urban Motard est équipé de l’indémodable bicylindre Ducati refroidi par air de 800 cm3, agréable, instinctif et facile à gérer. Doté d’une distribution desmodromique, il délivre une puissance de 73 ch à 8 250 tr/min

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Redline Magazine

Credits

Directeur de la publication Luigi Bianchi Conception, textes et projet éditorial Craq Design Studio: Davide Baruzzi Giulia Tristaino Pierre Maurice Reverberi Mattia Marchetto Coordination rédactionnelle Patrizia Cianetti Isabella Cumani Sara Alberghini Photos Archivio Fotografico Ducati, Callo Albanese, Pietro Bianchi, Marco Campelli, Giovanni De Sandre, Milagro, Luca Gambuti, Gorodenkoff - stock. adobe.com, Alex Farinelli, Thomas Maccabelli, Gigi Soldano, Claudio Cipriani, Escape, Tim Bies / Olson Kundig, Anthony Hill, Nuri Yilmazer, LANDMARK MEDIA / Alamy Stock Photo, APL Archive / Alamy Stock Photo, AF archive / Alamy Stock Photo

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