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La Grande Interview

TSCHUMI d’avoir toujours et inventif"

VACHERON CONSTANTIN Siège de la manufacture de l’horloger à Plan-lesOuates inauguré en 2005

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Intellectuel de premier plan et théoricien puissant, l’architecte franco-suisse enchaîne depuis trente-cinq ans les réalisations majeures partout dans le monde. Entretien exclusif

Propos recueillis par DAVID BRUN-LAMBERT

Le Parc de la Villette à Paris ou la «Blue Tower» de Manhattan. Le Musée de l’Acropole à Athènes ou le siège international de Vacheron Constantin à

Plan-les-Ouates. À 75 ans, Bernard Tschumi ne connaît pas de répit créatif, poursuivant entre

New York et Paris, sièges de ses deux agences, des recherches fondamentales menées entre pensée et événement, espace et mouvement. Aborder l’œuvre du Lausannois, fils de l’architecte genevois Jean Tschumi, c’est suivre la trace d’un investigateur rétif aux poncifs du modernisme et à ses courants consécutifs. Théoricien à l’avantgarde d’abord inscrit dans une carrière académique, il se fait ensuite constructeur global au début des années 1980, proposant de l’Europe aux

États-Unis, de la Chine au Moyen-Orient, une architecture prestigieuse, dynamique, dépouillée, définie non pas du point de vue du style, mais à partir de concepts qui puisent leur nature dans le cinéma et la littérature, les arts plastiques et la philosophie. Pour la liberté créative dont fait preuve cet enseignant réputé, ayant exercé tant à l’Architectural Association de Londres qu’à l’Université

Columbia de New York, Bernard Tschumi connaît ses détracteurs en Suisse romande. Admirées par les uns, mais boudées par d’autres, ses réalisations menées à

Rolle (Carnal Hall) ou Lausanne («Interface» pour la gare du Flon) lui valent ainsi éloges, méfiances ou jalousie. Mais qu’importe pour lui! Cinq ans après la vaste exposition rétrospective (Bernard Tschumi, Concept & Notation) que lui a consacré le Centre Georges Pompidou à Paris, ce créateur hors-norme dessine et construit encore pour

«comprendre l’architecture», comme il dit. New York est étroitement lié à votre parcours personnel et créatif. Qu’est-ce qui vous a originellement frappé dans cette ville? J’avais 17 ou 18 ans quand je suis venu ici pour la première fois et ce qui m’a marqué c’est de découvrir une ville hors norme, d’une activité et d’une dimension insoupçonnée. En tant qu’adolescent, je connaissais Paris, Milan ou Londres, mais New York était à part. Par la suite, j’y suis retourné à intervalle régulier. Jusqu’à ce que je décide d’y passer plusieurs mois durant les années 1970. Je voulais y développer certaines idées très liées au monde créatif de l’époque, et notamment celui qu’on trouvait à Manhattan. Là, j’ai attrapé le virus. La preuve, j’y suis encore. (rire)

Qu’avez-vous découvert en vous installant ici? Une ville en déclin, dans un état alors lamentable, au bord de la faillite, et en même temps d’une richesse culturelle incroyable. New York connaissait des problèmes économiques tels que les loyers étaient ridiculement bas. Il n’y avait plus de réglementation. Cette phase d’économie difficile a permis à certaines activités et à certaines personnes d’être des agents de renouvellement. Une génération de jeunes artistes a pu ainsi trouver des lofts somptueux au cœur d’espaces industriels, à Soho notamment, faisant de ces quartiers des lieux ouverts à des possibilités d’invention permanente dans toutes les disciplines: image, peinture, sculpture, danse, poésie… J’étais pour ma part proche de la scène Performance Art.

Durant cette ère, l’architecture était-elle également questionnée par une avant-garde? Les prémices d’un changement apparaissent au fil des années. Dans les années 1960, il y a eu chez les artistes un questionnement – une notion fondamentale présente dans l’art, mais aussi dans la politique. Les artistes se posaient par exemple la question du musée ou des galeries commerciales. Certains créateurs réfléchissaient à ne pas s’inscrire dans le marché de l’art et inventaient l’art conceptuel, le Land Art ou le Performance Art. Mais ces questionnements se trouvaient également dans d’autres champs d’activité. Dans la littérature et la philosophie, par exemple, avec des penseurs comme Michel Foucault, Roland Barthes, Jacques Derrida ou Gilles Deleuze. Ce questionnement a trouvé son apogée en France avec Mai 1968, mais aussi aux États-Unis à la même période.

Vous avez activement participé à la grande bousculade intellectuelle de Mai 1968 à Paris. Quel impact cet épisode a t-il eu sur vos réflexions théoriques autour de la ville, de la citoyenneté et du «vivre ensemble» dans l’espace urbain? 1968 a remis en question toutes les bases, tout le dictionnaire des idées reçues dans beaucoup de domaines, et notamment dans l’architecture. Le résultat, c’est une période de réflexion qui, pour moi, fut aidée par le fait qu’après Paris je suis parti à Londres enseigner à l’Architectural Association où des gens

© Peter Mauss-ESTO

«Pour moi, un bâtiment n’est pas une chose statique. C’est toujours quelque chose de dynamique.»

comme Rem Koolhaas ou Zaha Hadid étaient également venus se réfugier, car il ne se passait pas grand-chose en architecture, nulle part. Ce lieu me permettait de poser les bonnes questions. À ce moment-là, pour moi, il n’y avait pas encore d’image. C’était vraiment une réflexion théorique qui n’était pas exprimée par la forme. Sur quoi portaient spécifiquement vos travaux d’alors? Au centre de ma réflexion, il y avait la société, le corps dans l’espace, la ville ou plutôt ce qui fait la ville, ce qui fait la différence entre une ville progressiste ou réactionnaire. Également, il y avait certains parallèles qui m’intéressaient beaucoup et m’intéressent encore entre l’architecture et d’autres champs d’activité: architecture et philosophie, architecture et art, architecture et littérature ou encore cinéma. Pendant cette période, j’étais donc plutôt dans une réflexion que dans une production. Ensuite je suis parti à New York. Et c’est là que je me suis remis à dessiner. Car entre 1968 et 1976, j’avais pratiquement arrêté. Sentiez-vous un appel qui vous pousse à dépasser la théorie pour enfin mettre en pratique vos réflexions? On s’aperçoit très vite que ce n’est pas parce qu’on a une idée, qu’on peut la transformer en un bâtiment! (rire) Durant ces années, j’ai développé un certain travail qui avait une capacité à être communiqué. Ce n’était pas exactement de l’architecture conventionnelle, mais plutôt un questionnement sur l’idée de narration, d’action ou d’événement. J’ai montré ces travaux dans des galeries d’art sous le nom The Manhattan Transcripts Project. Et ce n’est qu’après, au début des années 1980, qu’une chose intéressante s’est passée. J’avais l’impression d’avoir fait le tour de cette réflexion théorique dans son illustration et sa transposition à travers le dessin, et j’ai décidé de l’appliquer à un vrai projet ou à un problème architectural. En 1983, à l’aube de vos 40 ans, vous remportez le Grand concours du Parc de la Villette, votre premier concours d’architecture. Quel rôle a joué votre «innocence» d’alors dans cette réalisation? C’est incroyable que ce projet ait pu réussir. Depuis 35 ans, le parc vit et évolue de manière tellement différente, inattendue, toujours avec la même intensité. L’ambition était immense à l’époque de la part des gens qui ont décidé de créer un parc à cet endroit. Et ensuite, il y avait ma propre ambition. L’innocence? Oui, elle a joué un rôle important. Le fait d’ignorer tous les problèmes qu’on pouvait rencontrer en faisant un projet de cette envergure. Un projet, en plus, qui voulait être une nouveauté, qui refusait tous les poncifs des parcs paysagers de l’époque. De ne pas savoir ces difficultés, vous permet d’escalader des montagnes parce qu’au début, on n’est justement pas conscient qu’on est en train d’escalader une montagne. (rire) Ça a été très dur. J’ai encore dans mes archives les lettres échangées à l’époque. Il y avait des conflits terribles entre les différents politiques. Je me retrouvais coincé entre le marteau et l’enclume à certains moments. Puis tout s’est mis en place, peu à peu. NOUVEAU MUSÉE DE L’ACROPOLE Inauguré au pied du site antique du centre historique d’Athènes en

2009

«BLUE TOWER» Symbole du dynamisme de Manhattan, inauguré en 2007

© Laura Sanburn Quel rôle a joué l’influence de Manhattan dans l’éla- boration du Parc de la Villette? Les principes conceptuels du Parc se trouvent pour la plupart dans les quatre épisodes des Manhattan Trans- cripts: la notion de la combinatoire, de la superposition de différents systèmes, de l’acceptation que l’architec- ture n’est pas seulement la réciprocité entre un usage et une forme, mais que c’est aussi parfois un conflit ou une indifférence.

Cette réalisation a-t-elle aiguisé votre appétit pour la construction? Oui. Tout à coup je me suis aperçu que la pensée une fois traduite en réalité ça devenait incroyablement excitant! Et que le travail d’architecte qui pouvait à la fois penser et bâtir, c’était une combinaison extraordinaire. Là encore, j’ai attrapé le virus.

«On ne vient me trouver que lorsque le projet, le site, la politique ou le budget est difficile.»

Durant ces années et jusqu’à aujourd’hui, vous avez continué d’enseigner l’architecture à l’Université de Columbia. Que transmettez-vous à vos étudiants? Je leur apprends à se poser les bonnes questions. J’en- seigne un séminaire qui est pour moi relativement simple à faire et qui étudie l’architecture de 1968 à nos jours: c’est à dire toutes les questions que se sont posées les différentes générations d’architectes. Durant cet atelier, je pose un certain nombre de questions qui forcent les étudiants à réfléchir pour éviter ce que j’appelle «le dic- tionnaire des idées reçues de l’architecture». C’est un domaine dans lequel il y a beaucoup de clichés, de redites. Il est important d’avoir toujours l’esprit ouvert et inventif. En Suisse, vos projets ont marqué les esprits. Pourtant, votre anti-dogmatisme agace certains de vos contemporains. Comment expliquez-vous cet amourdésamour pour votre œuvre ici? On fait tous partie de la même culture. On vit à la même époque. On est témoins des mêmes événements. Mais il y a différentes manières de les interpréter. Je remarque qu’il y a parfois une volonté de conserver les acquis. Et parfois, une volonté d’accélérer. Il me semble qu’il y a une architecture suisse excellente, remarquable dans tant de domaines, constructifs notamment, mais qui essaye de conserver les acquis. Là où moi, j’aurais tendance à vouloir essayer en même temps de me projeter vers l’avant – et ce n’est pas complètement incompatible. Mais ça créée parfois des malentendus, des quiproquos.

Pourquoi fait-on appel à vous? Je me suis souvent posé la question! Je m’aperçois qu’en général on m’appelle quand un projet est d’une certaine dimension. Mon agence compte une vingtaine de personnes – une dizaine à Paris, une quinzaine à New York. Nous avons toujours de grands projets, souvent peu évidents. J’aimerais bien faire un projet tout simple, un logement ou un bureau, mais on ne vient jamais me chercher pour ça. On ne vient me trouver que lorsque le projet, le site, la politique ou le budget est difficile. Dans ce genre de cas, on se dit: «tiens, Tschumi va pouvoir nous aider!» (rire) L’avantage, c’est que ça permet de trouver des solutions originales à des choses parfois complexes.

Aimez-vous les contraintes dans la création? Je travaille avec toutes les contraintes. Il n’y a pas d’architecture sans contraire. Plus les contraintes sont grandes, plus ça me permet de développer des idées qui, elles, sont sans restrictions. Les contraintes de la réalité permettent à l’imagination de développer des concepts qui sont parfois nouveaux.

Quel serait l’ADN commun à l’ensemble de vos réalisations? C’est un ADN assez complexe puisqu’il n’y a jamais une volonté d’utiliser toujours le même vocabulaire formel. Là, je pense à des architectes dont on apprécie le travail, qui utilisent toujours le béton ou le verre de la même manière. Pour moi, ce qui prime, c’est la recherche d’une idée. Et ensuite de traduire cette idée à travers des matériaux, et aussi quelque chose qui encourage le mouvement. Pour moi, un bâtiment n’est pas une chose statique. C’est toujours quelque chose de dynamique. C’est peut-être dans ce sens que tous les bâtiments ou les lieux que j’ai construit possèdent une démarche commune.

La nature d’un bâtiment, c’est d’évoluer? Absolument. Je ne peux pas séparer un bâtiment de son usage. Je ne fais pas des monuments aux morts. L’architecture c’est quelque chose de complètement dans la vie. Je regarde des bâtiments construits il y a 1000 ans, des églises romanes, par exemple, et qui ont encore complètement leur vie. Cela, ça m’intéresse.

Bernard Tschumi Architects www.tschumi.com

BERNARD TSCHUMI EN 10 DATES

> 25 janvier 1944

Naissance à Lausanne

> 1969

Achève ses études en architecture à l’EPFZ

> 1970

Enseigne à l’Architecture Association, Londres

> 1981

Développement du projet The Manhattan Transcripts

> 1983

Remporte le Grand concours pour la construction du Parc de la Villette, Paris et y ouvre son agence

> 1988

Nommé doyen de la Faculté d’Architecture, Planning and Preservation, de l’Université de Columbia, New York

> 1988

Ouvre l’agence Bernard Tschumi Architects à New York

> 2004

Réalisation du siège de l’horloger Vacheron Constantin, Plan-lesOuates

> 2007

Achèvement de la tour Blue Condominium, New York

> 2009

Achèvement de l’Acropolis Museum, Athènes

BINHAI SCIENCE MUSEUM Musée des sciences et des technologies inauguré en 2019 à Tianjin, Chine

KÄRCHER COMBLE LE DERNIER VIDE DANS SON PORTEFEUILLE DE BALAYEUSES

La nouvelle balayeuse compacte MC 250 de Kärcher vous offre une large gamme d’avantages combinés: une vitesse de transport élevée qui vous permet de circuler confortablement; un grand bac à déchets offrant beaucoup d’espace et une cabine confortable. Pour l’une des catégories les plus importantes de véhicules municipaux, le spécialiste du nettoyage a rassemblé toutes les exigences essentielles du client et les a intégrées dans ce nouveau modèle. Une très bonne performance de nettoyage, des moteurs respectueux de l’environnement et une faible émission de micro-particules sont bien sûr à bord.

Le design de la MC 250 s’intègre parfaitement dans le paysage urbain moderne. Avec la nouvelle balayeuse compacte, Kärcher comble le dernier vide de son portefeuille et dessert toutes les catégories de 0,5 à 6 mètres cubes.

Les balayeuses sont très demandées aussi bien dans le centre-ville que dans les zones périphériques, de sorte qu’il faut parfois parcourir de longues distances entre les opérations. Les trajets fréquents jusqu’au dépôt ou aux stations de déchargement entraînent également des temps d’inactivité et sont inefficaces. La MC 250 offre une solution dans les deux cas, car elle combine une vitesse de transport de 60 km/h et un conteneur d’un volume de 2,2 m 3 . Étant donné que les micro-particules sont un problème de plus en plus important pour les villes, Kärcher attache aussi une grande importance au maintien des émissions à un niveau aussi bas que possible. Pour les mesures de micro-particules, la MC 250 répond aux exigences de la catégorie 2,5 PM. Les moteurs des catégories EURO 6c et STAGE V répondent également aux dernières normes environnementales.

La MC 250 offre aussi de très bons résultats en termes de performances de nettoyage. Le flux d’air a été optimisé grâce à la simulation CAO, ce qui augmente encore l’efficacité de la balayeuse par rapport aux modèles précédents. Le système de balai permet une commande individuelle et peut être utilisé de manière flexible avec deux ou trois balais et

Les balayeuses sont très demandées aussi bien dans le centre-ville que dans les zones périphériques

brosses à mauvaises herbes. Un système de recyclage de l’eau et un réservoir séparé pour les eaux usées sont également intégrés. Pour gagner du temps lors de l’entretien quotidien, tous les composants de service sont facilement accessibles par les entrées de maintenance et le moteur est aussi directement accessible grâce au réservoir d’eau pivotant sur le côté.

En termes de confort, la MC 250 offre à l’utilisateur une cabine spacieuse. Le conducteur et le passager bénéficient d’une climatisation optionelle automatique et d’un niveau sonore très faible. L’éclairage (option LED pour le travail), la possibilité de recharge USB et l’espace de rangement généreux garantissent des conditions de travail agréables, de même que le concept de commande éprouvé via un écran central et un panneau de commande ergonomique. Enfin, la suspension hydropneumatique à suspension indépendante sur l’essieu avant est très confortable, ce qui amortit les inégalités du terrain.

Confort et durabilité pour la catégorie des 2 mètres cubes

MC 250

DESCRIPTION MC 250 (VERSIONS A ET B)

Moteur A)............................ VM R754EU6C Moteur B)............................ VM R754ISE5 Post-traitement des gaz Hauteur de remplissage d’échappement................... A) FPD + RCS

B) FPD

Puissance (kW).................... A) 75,0 à 2300 tr/min

B) 54,5 à 2300 tr/min

Classe d’émission................ A) EURO 6c

B) STAGE V

Charge max. ....................... 2200 kg Vitesse de conduite.............. 60 km/h Vitesse de travail.................. 20 km/h Poids (DIN 15429-1)............ 3800 kg Type d’entraînement............ Deux roues

Largeur de balayage............ 1600 / 2600 mm

motrices

réservoir à déchets.............. 1600 mm Volume réservoir à déchets... 2200 l Réservoir d’eau propre......... 195 l Recyclage de l’eau .............. 400 l Rayon de braquage intérieur........ 2060 mm Empattement ...................... 1980 mm Dimensions (L x l x H en mm)..... 4491 x 1300 x 1999

LA POMPE À EAU SALE À ESSENCE WWP 45 KÄRCHER

Grâce à la nouvelle pompe à eau sale WWP 45 de Kärcher, les excavations remplies d’eau et les passages souterrains ou caves inondés sont asséchés en un rien de temps. La pompe peut également être utilisée pour l’alimentation en eau et pour le remplissage de réservoirs, par exemple dans le domaine de l’agriculture. À cet effet, l’appareil alimenté par un moteur à essence à 4 temps fonctionne indépendamment du réseau électrique.

Avec un débit jusqu’à 45 m³/h, elle est en mesure de venir à bout de grandes quantités d’eau. Même les saletés importantes contenant de grandes particules jusqu’à une taille de 30 mm ne lui posent aucun problème. La hauteur d’aspiration maximale est de sept mètres, la hauteur de refoulement peut s’élever jusqu’à 25 mètres. Un accent particulier a été mis sur sa conception robuste garantissant un fonctionnement sûr, même dans les conditions les plus exigeantes. Des dimensions compactes, un poids de 36 kg relativement faible en comparaison et un démarreur à câble fiable permettent un maniement simple. Tous les composants concernés par l’entretien sont facilement accessibles. Le réservoir de carburant de 3,6 litres situé en hauteur offre un remplissage facile et sûr tout en permettant une durée de fonctionnement prolongée de la pompe grâce à sa faible consommation.

L’ensemble de la technologie de la pompe est logé dans un cadre tubulaire solide en acier. De cette façon, l’appareil peut aussi être transporté accroché à une grue ou dans un godet sans risquer d’être endommagé. Les valeurs d’émission de gaz d’échappement du moteur de 4,8 kW de la pompe sont inférieures aux exigences de la norme d’émission STAGE V READY – une condition préalable à l’homologation dans l’UE à partir de 2019. La livraison comprend deux raccords pour tuyaux, trois colliers de serrage et un panier d’aspiration.

Un appareil polyvalent pour le pompage de grandes quantités d’eau indépendamment du réseau d’électricité

WWP 45

LA FICHE WWP 45

Débit.................................................. 45 m³/h Hauteur max. d’aspiration..................... 7 m Hauteur max. de refoulement ............... 25 m Taille max. des particules..................... 30 mm Cylindrée moteur à essence.................. 196 cm³ Poids.................................................. 36 kg Puissance du moteur ........................... 4,8 kW Capacité du réservoir .......................... 3,6 l Dimensions (L x l x H en mm)................ 580 x 440 x 450